Estampes (3)

De cartes et d?estampes est une série de cinq pièces indépendantes pour trois flûtes, à travers lesquelles peuvent s?insérer des improvisations au piano. J?avais présente à l?esprit l?idée d?ailleurs et d?exotisme que le Trio d?Argent, à qui l??uvre est dédiée, sait si bien défendre.Le titre est issu du poème Le Voyage de Charles Baudelaire, dédié à Maxime Du Camp : ?Pour l?enfant, amoureux de cartes et d?estampes, L?univers est égal à son vaste appétit?. Karol Beffa Commande du Trio d?Argent. Création le 13 mars 2014, dans le cadre des Cartes Blanches du Trio d?Argent au Triton (Les Lilas), part le Trio d?Argent.

Piano, 3 Flûtes, Violon, Vlc, Cb, Grosse Caisse, Cymbales et Tambourin. Par PONTHIEUX F.. Grâce au compositeur Jean-Claude Soldano, les éditions du même nom ont pu voir le jour dans les années 2000 et ainsi publier des oeuvres de petits compositeurs essentiellement français. C'est le cas du recueil dénommé 3 estampes ('Jugy Be', 'Good by Knokke', 'Lune rousse') de Ponthieux F. qui a été composé pour Guitare / Niveau : Fin de 2ème Cycle / Répertoire / Guitare Solo

Description This volume contains the complete music for solo piano written by Claude Debussy between 1888 and 1905. Beginning with Deux Arabesques , it offers the Suite Bergamasque , Reverie , Danse , Estampes and many more. This edition has been designed to be used at the piano. Songlist Ballade Clair De Lune Danse Deux Arabesques D'un Cahier D'esquisses Estampes: Hommage A Rameau Images: Jardins Sous La Pluie L'isle Joyeuse Masques Mazurka Menuet Mouvement Pagodes Passepied Pour Le Piano: Prelude Reflets Dans L'eau Reverie [Dancla, Charles] Sarabande Soiree Dans Grenade Suite Bergamasque: Toccata Valse Romantique

Ce volume prend en compte les recherches les plus récentes et est basé sur la première édition imprimée en 1799 et réimpressions ultérieures publiées pendant la durée de vie de Beethoven. Ces derniers sont d'une importance particulière comme sources secondaires comme ni l'autographe, ni aucune copie de MS étroitement liée à l'autographe ont survécu. La pratique de rédaction restreinte de ces premières estampes a servi de modèle pour le minimum d'intervention éditoriale attentive dans ces volumes. La mise en page se distingue par sa clarté, la lisibilité facile et la sensée page-virages, rendant cette édition éminemment convenable pour la performance de pratique. Le présent volume, comme toutes les éditions de la Wiener Urtext, contient également une préface informative de remplissage dans le contexte historique, des notes détaillées sur l'interprétation et un commentaire critique. / Piano / Partition

Concertos pour piano de Mozart de Henle et Breitkopf: la naissance d'un projet En 2006, le Henle-Verlag a lancé un projet ambitieux: une réduction pour piano András Schiff aux concertos K. 453, 467 et 488. Au cours des années à venir, tous les concertos pour piano de Mozart sera publié dans les éditions urtext complètement nouveaux. En coproduction avec Breitkopf and Härtel, concertos sélectionnés seront publiés non seulement dans la réduction pour piano abordables, mais aussi avec le score approprié conducteur, parties d'orchestre et le score étude. Le Concerto K. 467 marque le début de cette coproduction.La qualité rédactionnelle de la nouvelle édition est garanti non seulement par les doigtés sensibles Schiff et stylistiquement cadences bien fondées, mais aussi par les spécialistes de Mozart à qui Henle a confié ses éditions urtext. Chaque oeuvre est édité par un spécialiste selon prédéterminés directives éditoriales standardisés. D'abord et avant tout parmi les sources consultées étaient partitions manuscrites de Mozart, étant les sources les plus importantes. Dans certains cas, ils n'avaient pas été disponibles au moment des éditions précédentes ont été en cours de préparation. En outre, nous savons aujourd'hui que, en plus de manuscrits de Mozart, premières copies des pièces et des estampes également contenir des informations importantes concernant le texte musical. / Piano

Par DUFOURT HUGUES. Devenu sourd à l'âge de quarante-six ans, Goya a réalisé vers 1820 de mystérieuses fresques appelées Pinturas negras sur les murs de sa maison de campagne madrilène, la Quinta del Sordo. C'est sur ces 'tableaux noirs' que s'appuie la composition de La Maison du Sourd pour flûte et orchestre. Goya fut le premier artiste de son époque à refuser toute utilité publique et sociale à l'art. Il renonce aux fonctions d'embellissement et de transfiguration qui avaient été traditionnellement dévolues à la peinture et va jusqu'à rejeter l'idée même des règles de l'art. Goya a frayé une voie nouvelle en peinture, qu'il oriente de la réalité au rêve. En faisant de la peinture une sorte de sténographie des pulsions, Goya invente le style de l'esquisse. Goya reçut sans doute de Tiepolo le secret de son art. Celui-ci apprit à Goya l'univers enchanté, lumineux qui caractérise la culture de l'Europe pastorale de l'Europe du rococo. Il lui transmit les moyens techniques propres à rendre la texture des songes : précision, économie et légèreté de la touche, fraîcheur de la palette, limpidité cristalline du coloris, intensité lumineuse de la gamme chromatique. Tiepolo embrasse les nuées - ses fresques de plafond sont des prodiges perspectifs d'architecture feinte, avec des ciels mauves, des nuages rosés, argentés ou gris bleutés, qui se détachent d'un fond bleu azur ou vert pâle. Tiepolo accomplit la synthèse de toute la tradition décorative vénitienne qu'il transfigure dans des atmosphères insaisissables. Il s'échappe aussi dans l'univers intimiste de l'élégie mélancolique, parfois teintée d'amertume, qu'il confie à des petites toiles de chevalet, à des dessins et des eaux-fortes. Les Vari Capricci, gravés en 1740 et publiés par ses fils en 1775, les Scherzi di fantasia, série de vingt-quatre estampes qu'il exécute entre 1739 et 1757, découvrent un monde inquiétant qui annonce la violence sourde et la sombre irrationalité des Caprices de Goya. Goya avait commencé à peindre de vastes paysages lumineux, avec des bleus célestes et des verts juteux, sur les murs de sa maison de campagne qu'il avait achetée en 1819, aux portes de Madrid. Il vivait avec une femme encore jeune et séparée de son mari, la belle Leocadia Weiss - la Manola qui ouvre le cycle des peintures murales de la Quinta del Sordo -, et sa petite Rosario que l'on présume être la fille du peintre. Comment ces vastes paysages, d'une grandiose sérénité, composés à la manière du monde radieux de Tiepolo, ont-ils pu être ensevelis sous des alluvions de noir dense, de gris, de brun et de jaune terreux, qui sont celles des Peintures noires ? Nul ne le sait. Seules subsistent quelques tristes évidences : la lutte fratricide, la sauvagerie des instincts, les espoirs réduits à néant, la vie mutilée, la mort imminente. Ici, deux hommes déjà à demi enlisés dans les sables mouvants s'assomment à coups de gourdins. Là, une frise de sorcières accroupies, terrifiées, couvant un feu mauvais, acclament le Grand Bouc. Assise au fond, à droite, la Manola assiste impassible à la scène. Tout proche, c'est le Sabbat. Ailleurs, Asmodée : le démon du plaisir impur, le vol de la volupté fauché par une décharge de fusil. Judith et Holopherne : la vengeance féminine, la violence du désir inassouvi. Plus loin, deux femmes rient d'un homme à gorge déployée. Les Parques tranchent le fil de la vie. Saturne dévore ses fils. Un chien nage à contre-courant. On s'accorde à penser que les Peintures noires sont le geste d'amertume et de désespoir d'un homme qui voit l'Espagne sombrer définitivement dans le despotisme et la réaction. Mais il y a plus. Goya est le premier peintre du monstrueux et de l'abject. Il décrit la condition de misère d'une humanité qui recule d'horreur devant la mort, mais la préfère encore à la vie, dans la régression et le dégoût de soi. La folie des hommes tient moins à leur impuissance à s'émanciper qu'à leur refus de l'autonomie. Goya n'a jamais renoncé au rationalisme des Lumières ni aux thèmes de réflexion universalistes. Mais pour lui, la fin de l'art n'est plus de plaire et d'instruire, mais de témoigner d'un rapport essentiel de l'homme à lui-même, jusque dans la révélation de l'inéducable. Dans ma propre 'Maison du Sourd', j'ai évoqué, en première partie de l'oeuvre, ce rêve luministe, ce rideau de lumière qui évoque l'intensité et l'espace du monde radieux de Tiepolo, et dont le large panorama avait formé la toile de fond du premier projet des peintures murales de la Maison du Sourd. C'est une très longue plage suspensive où le soliste n'intervient pas. La seconde partie, qui laisse libre cours à la stridence de l'expression subjective, est au contraire dominée par le mélisme tourmenté et replié sur lui-même de la flûte. L'orchestre libère de l'énergie en même temps qu'il en accumule, à la manière d'une spirale qui ne cesse de se contracter et de se replier sur elle-même, jusqu'à l'étranglement final. Hugues Dufourt / Niveau : Difficile / contemporain / Répertoire / Flûte Traversière Solo

Par METZGER RICHARD. Une collection de chansons imprimés dans diverses collections entre 1529 et 1543 par Pierre Attaingnant, l'inventeur de l'imprimerie de single-impression. L'arrangement des chansons pour luth ou le clavier a été une source importante de la musique instrumentale au XVIe siècle. Les chansons dans l'anthologie présente, les fruits d'une période particulièrement riche dans la musique française, sont des arrangements modernes pour la guitare ou luth fait conformément aux procédures dans les estampes françaises de l'époque. La gamme de styles musicaux, de la chanson franco-flamande grave, imitation de compositeurs du Nord pour les chansons souvent grivois, enjouées et charmants qui fourni des spectacles de musique au début du XVIe siècle Paris. Même si les arrangements sont instrumentales, traductions de texte sont aménagées pour faciliter l'interprétation de la musique et d'amuser le lecteur moderne comme ils amusent à l'auditeur dans les années 1530 et années 1540. Notation standard. / Niveau : Intermédiaire / Recueil / Guitare

Par TIET TON-THAT. / Niveau : Difficile / contemporain / Répertoire / 3 Flûtes Traversières et Percussion