Euphonium Concerto No. 2 est une adaptation du Concerto pour Clarinette composé à l?origine pour la clarinettiste concertiste Linda Merrick. Philip Sparke en a réalisé une adaptation pour euphonium pour le soliste virtuose Steven Mead. Le mouvement d?ouverture écrit dans un style proche du ragtime est riche en motifs syncopés. Le second mouvement plus lent explore dans un premier temps les capacités lyriques de l?euphonium à travers une mélodie reprise ultérieurement par l?orchestre tandis que le soliste façonne son déchant en filigrane. Le troisième mouvement à tendance bebop met l?accent sur le côté jazzy de l?euphonium.

A new concertpiece by Menno Haantjes. After his previous' Around a Village' not an programmatic composition but an unnamed 'Sine Nomine' leaving complete imagination to all musicians and listeners.

Concerto for Trombone' was written especially for Jörgen van Rijen the solo trombonist of the Royal Concertgebouw Orchestra Amsterdam. It is a composition without a story consisting of four overlapping parts. The solo part was not written for Jörgen van Rijen technical skills but rather for his expressive technique in the higher registers. According to Jan Bosveld Jörgen van Rijen has additional merits that distinguish him from all other trombonists. 'Concerto for Trombone' was premiered at the International Music Festival in Saas-Fee Switzerland.The Repräsentations Orchester des Schweizer Armeespiel conducted by Christopher Walter accompanied him. This composition was made financially possible by the Music Lending and Information Centre (MUI) department of the library for the province of Gelderland in Arnhem The Netherlands. Special thanks goes to mr. Bert Aalders director of the MUI.

Pièce pour cor et orchestre d'harmonie-Durant toute une vie un homme s'est consacré à un autre monde un monde imaginaire drapé du mystère de la littérature fantastique et des légendes. Nous entrons dans une autre dimension. La Terre du Milieu est née et dans la force de sa flamme créatrice John Ronald Reuel Tolkien (1892-1973) a donné vie à toutes les créatures fabuleuses qui la peuplent : nains elfes dragons et hobbits. Nous sommes au Troisième Âge de la Terre du Milieu quelques décennies avant la trilogie du Seigneur des Anneaux. Nous sommes à l?ère de Bilbon Sacquet ou Bilbon le Hobbit un être de petite taille qui vit paisiblement avec ses semblables dans un pays de collines verdoyantes la Comté. Paix précaire depuis que Bilbon a trouvé l?Anneau Unique jadis forgé par Sauron le maître du Mal. Car l?Anneau souverain est doté d?un pouvoir immense qui permet à son détenteur de se rendre invisible et gouverner les possesseurs des autres Anneaux. Sauron le Maléfique avide de pouvoir décide de reconquérir l?Anneau Unique par tous les moyens.Fasciné par les œuvres des maîtres de la musique de film Maxime Aulio structure cette pièce concertante à leur manière. Et tel un générique de fin sa musique revient sur les passages et personnages fondamentaux du roman. La vision de Maxime Aulio est grandiose. Des paysages de la Comté à la Terre du Milieu des Grands Dragons à Gandalf le Magicien Bilbon Sacquet raconte son histoire au travers d?arabesques virtuoses et éthérées interprétées par le soliste. Bilbo the Hobbit (Bilbon le Hobbit) a été créé par la Musique des Équipages de la Flotte de Brest et Jean-Pierre Cenedese Cor.

Cette oeuvre concertante merveilleuse et très colorée fera briller votre orchestre de toutes ses facettes. Le début onirique est suivi d'un passage dansant qui devient de plus en plus animé et dans lequel tous les groupes ont tour à tour voix au chapitre. Ensuite le thème dramatique du début refait surface avec un contre-chant superbe dans les cors/euphoniums pour terminer enfin par une finale grandiose.

C?est avec cette ouverture festive qui peut ?galement faire office d??uvre concertante que nous vous pr?sentons pour la premi?re fois ce jeune compositeur japonais. Au Japon il est d?ores et d?j? une superstar et avec cette ?uvre nous fournissons un d?but d?explication de ce statut. Cette composition fait penser ? une musique de film tr?s nerveuse avec des m?lodies excitantes et des parties rythmiques spectaculaires. Une ?uvre prometteuse ?crite par un compositeur tout aussi prometteur.

Suite concertante pour flûte/piccolo solo harp obligée et Orchestre d'Harmonie-Si les récits de métamorphoses furent très populaires dans l?Antiquité gréco-romaine le recueil du poète latin Ovide [43 av. J.-C./17 apr. J.-C.] est de loin le plus célèbre. Les quinze livres des Métamorphoses racontent la formation du monde et les transformations légendaires des dieux et des hommes en animaux en plantes ou en objets. Parmi les nombreuses histoires de métamorphoses relatées par Ovide on trouve celle de Marsyas un satyre originaire de Célènes en Phrygie. Fils d?Hyagnis considéré comme l?inventeur de l?harmonie phrygienne Marsyas excellait dans la musique. Un jour Athéna fit une flûte double et en joua à un banquet des dieux. Tournée en dérisionpar Héra et Aphrodite et ayant constaté elle-même en voyant le reflet de son visage dans l?eau que l?instrument quand elle en jouait lui déformait les traits elle jeta la flûte en maudissant quiconque la ramasserait. Cette malédiction frappa le satyre Marsyas qui la trouva et en joua magnifiquement au grand plaisir des paysans des contrées phrygiennes qui l?écoutaient et qui prétendirent que le dieu Apollon en personne n?aurait pu mieux faire avec sa lyre. Apollon entra dans une colère formidable et proposa à l?insolent satyre un concours musical dont le vainqueur pourrait faire subir au vaincu le châtiment de son choix. Les Muses et le roi Midas choisis comme juges ne réussirent pas à départager les concurrents. Alors Apollon joua de la lyre à l?envers et demanda à Marsyas d?en faire autant avec son instrument. Cela était impossible. Marsyas n?y parvint pas et Apollon fut déclaré vainqueur. Il se vengea du satyre de la plus cruelle façon : il l?attacha à un pin et l?écorcha vif.Certains racontent qu?Apollon se repentant de sa vengeance métamorphosa en fleuve le corps de Marsyas. D?autres prétendent que le sang de Marsyas ou les larmes versées par les nymphes et les satyres privés des enchantements de sa flûte formèrent le fleuve de Phrygie qui porte son nom. / Marsyas fut créé le 22 juillet 2005 à Bordes sur Arize en Ariège par le

Pour Devreese la danse et la valse en particulier est toujours li?e ? l??tre humain en tant que danseur. La danse devient ainsi une exp?rience une aventure et par cons?quent ses valses parlent des sentiments humains. Ceux qui connaissent un peu la musique de Devreese savent que ces diff?rentes facettes ne sont pas s?par?es ? ses yeux. Les musiques de films et les ?uvres concertantes se renforcent et s?influencent mutuellement. Les th?mes les plus connus de ses musiques de films comme la 'Valse Sacr?e' font partie de la m?moire collective de la musique flamande. Cette valse a ?t? compos?e pour le film 'Le Sacrement' d?Hugo Claus. La t?che consistait ? ?crire une valsesauvage pour une sc?ne de danse lors d?une f?te de famille mouvement?e.

Suite concertante pour flûte/piccolo solo harp obligée et Orchestre d'Harmonie-Si les récits de métamorphoses furent très populaires dans l?Antiquité gréco-romaine le recueil du poète latin Ovide [43 av. J.-C./17 apr. J.-C.] est de loin le plus célèbre. Les quinze livres des Métamorphoses racontent la formation du monde et les transformations légendaires des dieux et des hommes en animaux en plantes ou en objets. Parmi les nombreuses histoires de métamorphoses relatées par Ovide on trouve celle de Marsyas un satyre originaire de Célènes en Phrygie. Fils d?Hyagnis considéré comme l?inventeur de l?harmonie phrygienne Marsyas excellait dans la musique. Un jour Athéna fit une flûte double et en joua à un banquet des dieux. Tournée en dérisionpar Héra et Aphrodite et ayant constaté elle-même en voyant le reflet de son visage dans l?eau que l?instrument quand elle en jouait lui déformait les traits elle jeta la flûte en maudissant quiconque la ramasserait. Cette malédiction frappa le satyre Marsyas qui la trouva et en joua magnifiquement au grand plaisir des paysans des contrées phrygiennes qui l?écoutaient et qui prétendirent que le dieu Apollon en personne n?aurait pu mieux faire avec sa lyre. Apollon entra dans une colère formidable et proposa à l?insolent satyre un concours musical dont le vainqueur pourrait faire subir au vaincu le châtiment de son choix. Les Muses et le roi Midas choisis comme juges ne réussirent pas à départager les concurrents. Alors Apollon joua de la lyre à l?envers et demanda à Marsyas d?en faire autant avec son instrument. Cela était impossible. Marsyas n?y parvint pas et Apollon fut déclaré vainqueur. Il se vengea du satyre de la plus cruelle façon : il l?attacha à un pin et l?écorcha vif.Certains racontent qu?Apollon se repentant de sa vengeance métamorphosa en fleuve le corps de Marsyas. D?autres prétendent que le sang de Marsyas ou les larmes versées par les nymphes et les satyres privés des enchantements de sa flûte formèrent le fleuve de Phrygie qui porte son nom. / Marsyas fut créé le 22 juillet 2005 à Bordes sur Arize en Ariège par le

Outre 4 concertos pour piano Sergei Rachmaninov (1873-1943) a également écrit quelques symphonies. Le solo de clarinette extrait de ladagio de sa deuxième symphonie opus 27 est sans doute lune des plus belles mélodies de cette période.

Tomaso Albinoni (1671-1751) est né à Venise. Il est le fils aîné d?un riche marchand. Dès son plus jeune âge il développe un réel talent pour le chant et surtout pour le violon et se met rapidement à composer. Albinoni a vécu et travaillé toute sa vie durant à Venise mais a également séjourné à Florence et à Munich.Dans sa jeunesse Albinoni compose de la musique sacrée mais sans grand succès. En 1694 il attire l?attention du public vénitien lors de la représentation de son premier opéra Zenobia Regina de Palmireni (Zenobia reine de Palmireni). Ses premières œuvres de musique instrumentale datent de la même année. Par la suite Albinoni se consacre surtout à lacomposition d?œuvres vocales (opéras et cantates) et instrumentales (sonates et concertos).C?est en travaillant sur la biographie d?Albinoni au sortir de la Deuxième Guerre mondiale que le musicologue milanais Remo Giazotto découvre à la Bibliothèque Nationale de Dresde un manuscrit inédit sur lequel est basé le célèbre Adagio. Il semblerait que les six mesures de la mélodie et la ligne de basse retrouvées aient constitué un passage d?un mouvement lent d?une sonate à trois. Vers 1945 en partant de ces éléments Remo Giazotto reconstitue une œuvre célèbre de nos jours comme l?Adagio d?Albinoni alors qu?Albinoni lui-même ne serait probablement plus en mesure de reconnaître sa pièce.

from the Clarinet Concerto in Eb Major Op. 36-Le compositeur et violoniste tchèque Frantisek Vincenc Kramar dont le nom fut germanisé en Franz Vinzenz Krommer est né le 27 novembre 1759 à Kamenice en Moravie occidentale et mort le 8 janvier 1831 à Vienne en Autriche. À l?adolescence il est initié à l?art du violon et à l?orgue par son oncle Anton Matthias Krommer lui-même organiste et chef de chœur. En 1785 il fait un premier séjour à Vienne avant de rejoindre l?orchestre du Comte de Limburg-Stirum dont la résidence se trouve à Simontornya en Hongrie. Il est engagé d?abord en tant que violon solo de l?orchestre puis plus tard en tant que maître de chapelle. Vers 1790 il obtient le poste de chef de chœurà la cathédrale de Pécs. Il quitte cette fonction en 1793 pour entrer au service du Comte Károlyi puis du Prince Antal Grassalkovich. En 1795 suite au décès du prince hongrois Franz Krommer revient à Vienne. Après une longue période d?infortune il entre comme Maître de Chapelle au service du Duc Ignaz Fuchs en 1806. Quatre ans plus tard il est nommé au poste de directeur musical du Théâtre Royal et Impérial de Vienne (Wiener Hoftheater). En 1818 succédant à Leopold (Johann Anton) Kozeluch il devient le dernier Maître de musique de chambre et compositeur de la cour des Habsbourg. Il gardera ses fonctions jusqu?à sa mort en 1831.Franz Krommer était l?un des plus illustres compositeurs tchèques de la Vienne impériale vers la fin du XVIIIe siècle. Sa musique était très appréciée de son vivant et certains le considéraient comme le digne héritier de Joseph Haydn. Son style est indéniablement apparenté à ce dernier mais aussi à celui de Mozart. Franz Krommer a composé de nombreuses symphonies des concertos (essentiellement pour instruments à vent solistes) des duos pour violons des quatuors à cordes de la musique de chambre et des œuvres sacrées. Le Concerto pour Clarinette Opus 36 de Krommer a été publié pour la première fois en 1803 chez l?éditeur allemand Johann Anton André.

Edvard Grieg (1843-1907) est surtout connu pour son « Morgenstimmung » et ses concertos pour piano. Ce recueil 'Lyriske stykker' op. 38 a initialement été écrit pour piano solo et comprend 5 actes courts dans des styles différents.

from the Clarinet Concerto in Eb Major Op. 36-Le compositeur et violoniste tchèque Frantisek Vincenc Kramar dont le nom fut germanisé en Franz Vinzenz Krommer est né le 27 novembre 1759 à Kamenice en Moravie occidentale et mort le 8 janvier 1831 à Vienne en Autriche. À l?adolescence il est initié à l?art du violon et à l?orgue par son oncle Anton Matthias Krommer lui-même organiste et chef de chœur. En 1785 il fait un premier séjour à Vienne avant de rejoindre l?orchestre du Comte de Limburg-Stirum dont la résidence se trouve à Simontornya en Hongrie. Il est engagé d?abord en tant que violon solo de l?orchestre puis plus tard en tant que maître de chapelle. Vers 1790 il obtient le poste de chef de chœurà la cathédrale de Pécs. Il quitte cette fonction en 1793 pour entrer au service du Comte Károlyi puis du Prince Antal Grassalkovich. En 1795 suite au décès du prince hongrois Franz Krommer revient à Vienne. Après une longue période d?infortune il entre comme Maître de Chapelle au service du Duc Ignaz Fuchs en 1806. Quatre ans plus tard il est nommé au poste de directeur musical du Théâtre Royal et Impérial de Vienne (Wiener Hoftheater). En 1818 succédant à Leopold (Johann Anton) Kozeluch il devient le dernier Maître de musique de chambre et compositeur de la cour des Habsbourg. Il gardera ses fonctions jusqu?à sa mort en 1831.Franz Krommer était l?un des plus illustres compositeurs tchèques de la Vienne impériale vers la fin du XVIIIe siècle. Sa musique était très appréciée de son vivant et certains le considéraient comme le digne héritier de Joseph Haydn. Son style est indéniablement apparenté à ce dernier mais aussi à celui de Mozart. Franz Krommer a composé de nombreuses symphonies des concertos (essentiellement pour instruments à vent solistes) des duos pour violons des quatuors à cordes de la musique de chambre et des œuvres sacrées. Le Concerto pour Clarinette Opus 36 de Krommer a été publié pour la première fois en 1803 chez l?éditeur allemand Johann Anton André.

Aram Iljitsj Khatchaturian de nationalité arménienne naît en 1903 à Tiflis dans une famille pauvre de relieurs. Il débute sa formation musicale en 1922 à la Gnessin Music School de Moscou avec Mikhail Gnessis comme professeur de composition. Il achève ses études au Conservatoire de Moscou o? il suit les cours de Nikolai Miaskovsky célèbre compositeur et pédagogue soviétique. Khatchaturian composera entre autres deux symphonies trois concertos (pour piano pour violon et pour violoncelle) les musiques de trois ballets (Happiness Gayane Spartacus) ainsi que de nombreuses uvres de musique de chambre instrumentale et vocale. En 1959 sa dernière composition - le balletSpartacus - remporte le Prix Lénine la plus haute distinction de lépoque. Le livret de N. Volkov pour le ballet Spartacus est basé sur des faits historiques réels : la grande révolte des esclaves à Rome en 74-71 av. J.-C. dont Spartacus était le chef. Malgré ce fondement historique Spartacus est toujours resté dactualité. Khatchaturian écrit dailleurs : Je pense quà bien des égards la personnalité héro?que de Spartacus se retrouve dans la lutte que mènent aujourdhui les peuples opprimés pour leurs droits. Spartacus comprend trois suites. Chacune est une composition autonome complète et possédant sa propre structure logique et son propre développement.