Cette suite est une oeuvre de commande pour l?Orchestre d?Harmonie de la ville de Vivaro située au coeur de la région autonome du Frioul-Vénétie Julienne au nord-est de l?Italie. Pour composer cette suite Franco Cesarini s?est appuyé sur l?immense richesse du patrimoine musical traditionnel de cette région. L?identité frioulane est également associée à la forlane - une danse rapide généralement en 6/8 née au XVIe siècle - et à la musique vocale traditionnelle - dont la villotta est une forme typique. Piccola Suite Italiana est une suite aux couleurs d?une région à forte identité.

Par BEATLES THE. In over one thousand pages, the complete music and lyrics, in full 'rock score' transcriptions, of all the 203 songs they wrote and recorded as The Beatles, plus nine by others which they covered on their early albums. All transcribed with separate staves for vocals, each guitar (in tab and standard notation) and all other instruments...the essential Beatles collection. / Niveau : Intermédiaire / Rép International / Recueil / Conducteur

20 morceaux récréatifs extraits de la Méthode Rose et arrangés par Alfred Herzog pour diverses formations hétérogènes constituent ce recueil qui fait entrevoir aux jeunes musiciens du premier cycle quelques réalités de la pratique collective.

Le piano est toujours présent, entouré de la flûte, de la clarinette, du violon ou violoncelle et parfois d'une percussion, selon la nature de l'ensemble.

Une construction mélodique et rythmique stimulante de chaque partie favorise le travail individuel. A noter que le recueil ne contient pas de parties séparées afin que chaque instrumentiste puisse lire le texte musical dans sa globalité. / Classique / Partition CD /

From early in the 17th century until the form engaged the interest of Johann Sebastian Bach various notable German composers - including Rosenmüller Fischer Fasch and Telemann - had contributed to the development of the orchestral suite or 'Ouverture' whose name betrays its French theatrical origins. From Bach himself only four such suites have survived thanks to the diligence of C.F.Penzel a student at the Thomasschule from 1751 who made copies of Bach's MSS which he found there. Thus neither the dates nor the order of composition of the suites can be established with any certainty. As to the present suite in D major recent criticism suggests that it mayoriginally have been written for strings only and dates in its final form from around 1731. Penzel's copy of the suite includes significant variants to be played by a solo violin (marked Violino Concertato) which are included here in the Appendices.The score is newly-edited from the extant sources consisting of sets of parts (some in Bach's autograph) and copyist's scores are preserved in the Staastbibliothek zu Berlin - Preußischer Kulturbestitz Musikabteilung mit Mendelssohn-Archiv. This edition replaces the former Eulenburg miniature score edited by Wilhelm Altmann.

(An Overture)-L?objectif de cette composition n?est pas tant de brosser un portrait musical d?une ville à travers des images visuelles que de susciter des images émotionnelles émanant de ces innombrables atmosphères - énergiques dynamiques et intenses - qui rythment la vie quotidienne. Dans la première phase de l?œuvre on sent la ville vibrer de son énergie. Les rythmes sont frénétiques. L?auditeur est facilement immergé dans le chaos du trafic ; on voit des piétons absorbés par leurs tâches quotidiennes marcher prestement. Mais au cœur de chaque ville se trouve un espace préservé alliant calme et sérénité : un parc un jardin caché un petit coin oublié. L?imagination part envoyage et rêve de lointains ailleurs ; une courte pause avant de revenir à la vie chaotique de la ville. D?un point de vue musical la pièce est construite sur un seul thème qui se divise en deux ramifications distinctes et contrastantes. La première est fougueuse et rapide ; la seconde est fluide dans un style cantabile. Vers la fin de l?œuvre les deux ramifications se rejoignent et cheminent unifiées vers leur intensité maximale conclusion pétillante d?une composition brillante.

Par PAUSET BRICE. Die Tänzerin (Symphonie V), écrite pour orchestre, constitue le deuxième moment d'un triptyque entâmé avec Der Geograph (Symphonie IV) pour orchestre avec piano principal, et qui se clôra l'année prochaine avec Erstarrte Schatten (Symphonie VI) pour orchestre, six voix et électronique. Déjà à l'oeuvre dans quelques oeuvres précédentes (Vita Nova (sérénades) notamment), c'est la question de l'impossible qui constitue le centre du projet - un impossible pensé non pas comme mot d'ordre concret (produire une musique impossible ne revêt finalement que peu d'intérêt), mais comme expérence de pensée conduisant à la construction de dramaturgies musicales brisées, inconfortables, quelquefois insolubles, mais qu'il faudra pourtant traduire musicalement. L'expérience de pensée, dans la pièce, consiste à imaginer le sentiment esthétique produit par les évolutions d'une danseuse sur scène, non pas observée depuis l'emplacement normal du public, mais, moyennant des moyens visuels peu ordinaires, depuis quelque lointaine planète. Se mêlent alors les mouvements proprement chorégraphiques de la danseuse aux mouvements de rotation de la planète sur laquelle elle évolue, de la planète autour du soleil, du soleil lui-même, du système qui l'entoure et ainsi de suite. Les questions posées touchent à l'esthétique (à quel échelle le sentiment esthétique cède-t-il la place à l'observation de phénomènes), et à la notion de focalisation (la danseuse est le plus petit élément de l'ensemble constitué, et représente pourtant le point central de focalisation quant a l'expérience esthétique). La consécution de sujets liés d'abord à la topologie géographique, dans Der Geograph, puis à la chorégraphie dans Die Tänzerin n'est pas le fruit du hasard. Il existait dans la France du dix-septième siècle une littérature poético-technique établissant explicitement un rapport fonctionnel et structurel entre ces deux techniques du mouvement (analytique dans un cas, synthétique de l'autre), rapport dont je vise à tirer un troisième terme dans Erstarrte Schatten, celui de la matière et de son absence. La musique que j'ai tiré de ces réflexions pour Die Tänzerin est bien sûr une solution parmi d'autres, ne se pliant à aucune injonction scientiste, et se refusant tout autant au discours subjectiviste. Le détail entre en collistion permanente avec les plus longues évolutions au sein d'un discours convoquant, le cas échéant, des archétypes culturellement déterminés. C'est par inclination naturelle que je porte une attention particulière au détail, et même aux phénomènes secondaires, généralement laissés pour compte. Dans la danse, les bruits résiduels me fascinent autant que les évolutions géométriques et les charges affectives des corps - frottements et chocs se retrouveront transposés, composés et mis en scène dans ma musique. Plus généralement, être moderne ne m'intéresse pas en tant que tel : la modernité est essentiellement un jugement porté a posteriori sur un moment de l'histoire, en aucun cas une attitude personnelle d'ordre prédicatif. La question reste donc celle de l'histoire, celle dont nous héritons à travers différents filtres idéologiques - celle, présente, vis-à-vis de laquelle nous sommes, que nous le voulions ou non, acteurs - celle, enfin, que nous rêvons. Le capitalisme est par essence facteur d'encombrantes surproductions. La captation de nos désirs et la construction raisonnée de désirs nouveaux permet de transformer ces surproductions en nouvelles marchandises indispensables. La culture ne fait pas exception à cette règle. J'ai bien conscience que ma musique (et les arts en général) ne pourront opposer une force suffisante pour freiner ce phénomène mortifère. En revanche, poser inlassablement les questions judicieuse, avec mes propres moyens et dans le contexte social et politique qui est le notre, vis-à-vis de cette situation, remplira mon souhait bien modeste de ne pas être considéré comme une sorte de 'parasite acceptable'. Brice Pauset / contemporain / Répertoire / Grand Orchestre

Arrangement: Naulais Jérôme. Par NAULAIS JEROME. / Niveau : Elémentaire / Répertoire / Guitare et Orchestre à Vent

Vl Git. Par REITER ALBERT. Wie alle Musik, die Reiter geschrieben hat, aus den Instrumenten heraus musikantisch erfunden. Der 3. Satz greift die Thematik des 1. Satzes wieder auf und rundet die Form zu einer großen Dreiteiligkeit. ÖLP / Niveau : Assez Facile / Répertoire / Guitare et Musique de Chambre

Jéricho met en musique la célèbre histoire du livre de Josué qui décrit la prise de la ville de Jéricho par les Israélites.La première partie dépeint l?inexorable traversée du désert à destination de la terre promise la terre de Canaan. Une cantilène entraînante célèbre le mal du pays l?envie de mettre fin à une existence faite d?errance.La prise de Jéricho constitue le thème de la deuxième partie. La tâche s?avère difficile ; six jours durant une impressionnante armée commandée par Jéhovah encercle la ville. Le septième jour l?armée fait sept fois le tour de la ville. Les pr?tres soufflent dans leurs trompettes et le peuple crie à tel point que les murs de Jérichofinissent par s?effondrer. Les Juifs en profitent pour prendre la ville d?assaut et en chasser tous les habitants. D?un point de vue musical on reconnaît clairement les bruits de bottes d?une armée marchant au pas et les murs s?effondrer dans un fracas assourdissant et ce bien que l?histoire ne soit pas retracée littéralement.Une mélodie à la fois majestueuse et grandiose traduit le sentiment de victoire ressenti à la suite de la prise de la ville fortifiée (troisième partie).Une oeuvre romancée qui débouche finalement sur une f?te populaire juive (quatrième partie) o? les mélodies virtuoses des bois et les rythmes entraînants renvoient à la musique traditionnelle juive. Tous les thèmes reviennent sous différentes formes dans cette dernière partie souvent m?me tous ensemble dans un contrepoint de contrastes. Au final le thème principal de la première partie revient par bribes en majeur : le calme est retrouvé.

Jéricho met en musique la célèbre histoire du livre de Josué qui décrit la prise de la ville de Jéricho par les Israélites.La première partie dépeint linexorable traversée du désert à destination de la terre promise la terre de Canaan. Une cantilène entraînante célèbre le mal du pays lenvie de mettre fin à une existence faite derrance.La prise de Jéricho constitue le thème de la deuxième partie. La tâche savère difficile ; six jours durant une impressionnante armée commandée par Jéhovah encercle la ville. Le septième jour larmée fait sept fois le tour de la ville. Les pr?tres soufflent dans leurs trompettes et le peuple crie à tel point que les murs de Jérichofinissent par seffondrer. Les Juifs en profitent pour prendre la ville dassaut et en chasser tous les habitants. Dun point de vue musical on reconnaît clairement les bruits de bottes dune armée marchant au pas et les murs seffondrer dans un fracas assourdissant et ce bien que lhistoire ne soit pas retracée littéralement.Une mélodie à la fois majestueuse et grandiose traduit le sentiment de victoire ressenti à la suite de la prise de la ville fortifiée (troisième partie).Une oeuvre romancée qui débouche finalement sur une f?te populaire juive (quatrième partie) o? les mélodies virtuoses des bois et les rythmes entraînants renvoient à la musique traditionnelle juive. Tous les thèmes reviennent sous différentes formes dans cette dernière partie souvent m?me tous ensemble dans un contrepoint de contrastes. Au final le thème principal de la première partie revient par bribes en majeur : le calme est retrouvé.

Für Flöte Und Gitarre (Basso Continuo). Par VIVALDI ANTONIO. Fl Git/ Répertoire / Guitare et Musique de Chambre

Die Legende von der weißen Jungfrau zur Kugelsburg-Of Castles and Legends (?Châteaux et légendes?) est une œuvre à programme inspirée de la légende de La demoiselle blanche du château du Kugelsburg.Près de la ville de Volkmarsen en Allemagne se dresse au sommet d?une colline l?impressionnant château du Kugelsburg. Jadis des murs épais et des tours solides garantissaient une excellente protection aux familles pieuses qui y vivaient servant l?Église avec fidélité. Mais les temps changèrent. Des chevaliers terribles prirent possession du château. Un jour ils enlevèrent une ravissante jeune fille qui voyageait avec son père un riche marchand alors qu?ils passaient tous deux sur le chemin en contrebas duchâteau. La jeune fille était pieuse et dévote. Elle pria le Seigneur de lui venir en aide. Mais les chevaliers ne modifièrent en rien leur comportement. La jeune fille dut assister à leurs fêtes excessives.Un soir pourtant face aux comportements grossiers des chevaliers elle éleva la voix et demanda à se retirer dans sa chambre. Dans le brouhaha de la fête elle réussit à gagner l?escalier en colimaçon avec l?aide d?un garde bienveillant. Lorsqu?enfin elle trouva la paix et la tranquillité un chevalier mal intentionné pénétra dans sa chambre. Prise de panique elle grimpa sur le rebord de la fenêtre et menaça de se jeter dans le vide. Ivre de vin l?homme s?avança vers elle. La jeune fille se mit à prier et à supplier en vain. Terrifiée elle remit son esprit entre les mains de Dieu et sauta dans les profondeurs de l?abîme.Dès lors elle apparut de temps à autre vêtue d?une robe d?une blancheur éclatante symbole de la joie éternelle et divine. C?est pourquoi on l?appella la « demoiselle blanche ». Chacune de ses apparitions était synonyme de bienfait si bien que personne ne la craignait. Les gens lui accordait même le pouvoir de tenir la mort et la destruction à distance.La légende dit aussi qu?elle serait la gardienne du trésor que les terribles chevaliers auraient enfoui sous le château. Et selon certaines rumeurs la demoiselle blanche

Le terme ?Renaissance? (rinascimiento) est utilisé pour la première fois en 1550 par le peintre architecte et historien florentin Giorgio Vasari. Mais ce n?est qu?à partir de 1860 qu?il sert à définir l?art italien des XVe et XVIe siècles. La Renaissance est une période où s?est manifesté un intérêt renouvelé pour l?art classique fusionnant avec un point de vue plus moderne. Cette composition en quatre tableaux réunit quatre œuvres anonymes de la Renaissance. En exploitant les couleurs actuelles de l?Orchestre d?Harmonie Franco Cesarini recrée l?atmosphère fascinante des fastes de la Renaissance. Le premier mouvement est une pavane intitulée Vive Henri IV(vers 1590). Le second mouvement plus rapide est basé sur la pièce Kemp?s Jig datée vers 1600. Le troisième tableau Canario (vers 1500) débute sereinement puis évolue vers un 6/8 pétillant. Le Bransle de chevaux (vers 1590) quatrième et dernier tableau offre une conclusion résolument spectaculaire.