Par PIAZZOLLA ASTOR. / Date parution : 2022-03-16/ Répertoire / Piano, Bandonéon, Violon, Guitare et Contrebasse

Par VIERA JULIO M.. / Niveau : Intermédiaire / classique / Répertoire / Saxophone, Bandonéon, Piano et Contrebasse

Par POLITI ADRIEN. / Niveau : Indéterminé / Moderne / Répertoire / Bandonéon, Guitare et Quintette à Cordes

Par VAZART CLAIRE. Lakimade a été composé en 2003 à la demande du pianiste Hakim Bentchouala-Golobitch qui venait de jouer avec le quintette Hora Cero une oeuvre de Claire VAZART et qui désirait une pièce originale pour son propre quatuor relevant du même esprit. La pièce mêle avec bonheur les influences du tango, du jazz et de la musique contemporaine. Tour à tour simple et complexe, rythmique et mélodique, nostalgique et pleine d'énergie, la musique se déroule dans une grande liberté où le plaisir de jouer devient une évidence. Une pièce métissée et originale, résolument ancrée dans le XXIème siècle. / Niveau : Moyen à Avancé / Moderne / Répertoire / Bandonéon, Violon, Piano et Contrebasse

Par BENSA OLIVIER. / Niveau : Elémentaire / classique / Répertoire / Violon, Bandonéon, Guitare et Piano

Par CLAMENS GILBERT. / Niveau : Intermédiaire / Répertoire / Guitare, Bandonéon et Violoncelle

Par VIERA JULIO M.. / Niveau : Intermédiaire / classique / Répertoire / Saxophone, Bandonéon, Piano et Contrebasse

18 Lieder U. Tänze Der Anden. Par SCHWERTBERGER GERALD. 1-2BlflS BlflT Git / Niveau : Assez Facile / Répertoire / Donde va mi Paloma (Chile) - San Juanito (Ecuador)

 Léo Marillier, jeune violoniste de grand talent, étudiant au Conservatoire de Paris mais déjà concertiste, manifeste également un vif intérêt pour l'écriture, Dans la ligne des paraphrases d'airs d'opéras qu'affectionnaient les virtuoses du 19ème siècle, il n'a pas craint de revisiter Don Giovanni et je peux témoigner du fait qu'il sait jouer lui-même sur scène les multiples difficultés techniques déposées sans prudence tout au long de la partition, C'est tout à l'honneur des éditions Delatour-France d'avoir accepté de publier cette première composition, en faisant le pari qu'elle sera suivie de beaucoup d'autres, Alexis Galpérine'Découvrant l'oeuvre de Liszt pendant l'été 2010, j'ai formé rapidement le projet d'en faire une transcription,Plutôt que de transporter les sortilèges du piano de cette oeuvre dans un duo violon-piano, j'ai essayé de donner un sens dramatique aux virtuosités : nervosité, excitation, humour, La version piano d'origine est d'une difficulté si magnifique qu'elle permet à très peu d'interprètes de laisser respirer leur jeu, notamment dans l'air du Champagne, Par conséquent, profitant de la nouvelle distribution violon-piano, j'ai multiplié les dialogues, les échanges qui aèrent la difficulté du jeu, tout en conservant, je l'espère, l'esprit lizstien, à savoir une alternance entre démonisme terrifiant et une simplicité d'évocation de messe de Mozart, Bien que ce soit une transcription, les rapports entre violon et piano sont finalement très rhapsodiques,Je me suis permis de faire des coupures par rapport à la version de piano uniquement quand les passages concernés servaient, dans la version originale, un but purement pianistique, Compte tenu du fait que la forme de l'oeuvre est unique - en fait un accelerando d'un quart d'heure -, et que j'ai cherché à lui donner un souffle différent des fantaisies opératiques déjà composées pour le violon, les parties violon et piano sont en symbiose, chacune participe du développement de l'autre,Pour ce faire, en termes de balance entre les deux instruments, il a fallu tout repenser que ce soit d'un point de vue dynamique, harmonique ou formel, Lors de la création en novembre 2011 pour le bicentenaire de la naissance de F, Liszt, au Ciurlionis Institut de Vilnius, à l'occasion d'une tournée en hommage au compositeur, je fus accompagné par la pianiste lituanienne Vaïva Purlyte,Et c'est, encouragé par mon professeur au CNSMDP, Alexis Galpérine, que j'ai présenté cette oeuvre aux Editions Delatour-France qui la fait paraître ce mois-ci,'Léo Marillier / Violon Et Piano

Par DUFOURT HUGUES. Dawn Flight est le titre d'une toile que le graveur et peintre britannique Stanley William Hayter (1901-1988) réalisa en 1959. Sa formation scientifique - chimie, géologie - son habileté mathématique furent un atout considérable dans ses recherches de matières et de couleurs, qui peuvent atteindre des tons fluorescents. Hayter, qui fut l'une des premières figures du mouvement surréaliste, s'engagea à New York sur les voies de l'abstraction, aux côtés de Pollock, Rothko, Baziotes, Matta, Motherwell, De Kooning, Riopelle. Il est reconnu comme celui qui a révolutionné les techniques de la gravure au cours du XXe siècle. Il inventa le procédé qui permet d'obtenir plusieurs couleurs sur une même plaque en un seul passage. Rentré en 1950 à Paris, il expérimente de nouvelles techniques de gravure: empreintes, utilisation de l'acide sur le métal et surtout le burin multipointe. Il poursuit une recherche sur l'émergence des formes, sur la transparence, l'interférence, la vibration, les moires. Ses toiles intensifient la couleur, le dynamisme gestuel, et s'attachent sur la fin à capter les jeux de lumière à la surface de l'eau. Dawn Flight est construit sur un éventail d'obliques divergentes, remontant la diagonale, illustrant ainsi le paradoxe d'un flux ascendant, aspiré par le haut. La forme étirée et allongée des stries, la torsion intime de la trame, la tension paradoxale des entrelacs donnent le sentiment d'une réalité élémentaire, de l'aurore d'un monde. La production de Hayter à cette époque - Perseïdes, Poissons volants, Vague, Ixion, Cascade, Mérou, Méduse, Night - montre d'étranges associations de bleu et de noir, d'orange, de jaune transparent, de bleu et de vert. Frank Stella et Donald Judd comptent parmi les artistes qui ont le plus radicalement récusé l'idée d'un procès formateur de l'art, évacuant l'idée même de nécessité intérieure, voire de composition formelle. Transparence, profondeur, épaisseur, rayonnement ne seraient que des catégories factices tirées d'une illusion d'intériorité et l'idée même de progression structurée ne serait que l'effet d'une tyrannie du dedans. Qu'en est-il du quatuor qui fut la construction par excellence de l'intériorité, l'exemple même d'une logique compositionnelle épurée et réduite à la forme essentielle d'un développement ? Ecrire un quatuor après Donald Judd est-il encore possible ? Car il ne suffit pas de se confronter à l'histoire d'un genre, mais à la question de sa possibilité. L'idée même d'un dynamisme des voix a-t-elle encore un sens ? Et celle d'un tout dont les parties sont solidaires ? On n'osera même plus parler de texture, car il s'agit encore d'une forme interne, de l'expression d'une cohérence intérieure. Ecrire un quatuor pourrait signifier le retour à une réflexion sur les formes fondamentales du mouvement - comme l'attraction, la répulsion, l'inclusion ou la pénétration. Ou encore sur ce que signifient des gestes comme briser, couper, déchirer ou fendre. Ce serait aussi revenir sur ce qu'est une interférence de fluctuations, sur la plasticité, ou au contraire la tension désordonnée. A moins de supprimer le quatuor, il faut bien convenir qu'il est à l'image du tissu, d'une continuité ininterrompue, d'un entrelacs de fils et qu'il s'agit de l'oeuvre humaine par excellence: écrire un quatuor c'est renouer le fil. Froisser, tordre, déplier, déployer, dérouler, tels sont les exigences primordiales du quatuor, que l'on dit parfois soyeux ou moiré. Judd et ses contemporains ont rendu caduque l'idée qu'une oeuvre puisse formuler et suivre des règles explicites, assurer la conservation d'une forme dans une certaine série de transformations. Dans cette vue, la pensée musicale serait alors rendue à un état d'instabilité, de glissement perpétuel. Mais elle pourrait alors trouver peut-être de nouveaux schémas de connexion, et attribuer un sens original à l'idée de processus orienté, en lui donnant la forme d'un devenir global et unique, sans répétitions. La musique récente sait susciter l'émergence de propriétés inédites et s'absorber dans la réalité supérieure qu'elle suscite: elle n'est pas tant l'imagination des possibles que l'articulation des moments de l'expérience. Revenir à Hayter, ce serait se concentrer sur une topologie concrète d'intervalles et de liaisons, penser la musique comme flux, modulation, émergence perpétuelle, lumière illocalisable, masse en essor ou tournoiement sans prise. Ce sont là quelques bonnes raisons d'écrire un quatuor. Hugues Dufourt / contemporain / Date parution : 2008-06-24/ Répertoire / Quatuor à Cordes

Set of Parts for Nyman's 'In Re Don Giovanni' for amplified string quartet. The arrangement for string quartet was made at the request of Alexander Balanescu for the Bicentenary of Mozart's death in 1991. It was first performedby the Balanescu Quartet at the Queen Elizabeth Hall London 1991. Duration 3 minutes. Full score also available on sale.

Seule partition au monde à porter le numéro ISBN 73999490152 cette partition dont le titre est Webber Andrew Lloyd Best Of Violin comporte des morceaux regroupés et composés par le compositeur Lloyd Webber Andrew.Son instrumentation exacte est Violon. Amateur ou passionné de Musiques De Films et Comédies musicales vous trouverez inévitablement votre bonheur dans la version papier de cette oeuvre. / Violon / Partition

The 11th volume in the Pop for Violin series presents more classic rock songs, current pop hits and some oldies. Including 10 popular tracks with playalongs, from The streets of London to Hallelujah and Every Breath You Take to the chart topper Shallow which all shine on the violin in these easy to play arrangements for 1-2 players. A great, fun addition for lessons or enjoying at home. / Niveau : Facile / Recueil / Violon

Revisiting The Don is a piece of music composed by Michael Nyman for the album 'Mozart 252' a celebration of the 250th anniversary of Mozart's birth. Revisiting The Don is one of the twonewly-composed works on this album and is arranged here as a full score for String Quintet. Nyman himself states that 'as the title suggests I revisit the same harmonicmaterial that makes 'In Re Don Giovanni' so powerful and come up with more lyrical 'solutions'.' The result is a wonderful piece beginning with a smooth staccato that lays the foundations for wonderful lilting melodies. Thepiece gradually progresses to widen out the warm strings making this piece a real joy to play.