Les ouvrages écrits par Jean-Marc Allerme procèdent de l'évolution actuelle de la Formation Musicale. Ils permettent d'appréhender de manière efficace le nécessaire apprentissage des disciplines de l'?il (lecture et rythme) et de l'Oreille (chant et dictées), tout en gardant le lien avec la musique, indispensable à la formation des jeunes musiciens. En 21 leçons progressives pour les premiers, ou en 12 leçons pour les derniers, les volumes de la série Lecture/Rythme regroupent des ordonnances, lecture des notes, lectures rythmiques (et dictées dans la version professeur); de même, chaque volume de la série chant/audition/analyse regroupe des lectures chantées originales, des dépistages de fautes, des excercices d'analyse (et des dictées dans la version professeur). Les deux séries utilisées conjointement pour chaque niveau constituent un matériel pédagogique musical et technique, efficace et complet.

Cette nouvelle méthode d'une présentation claire et vivante, variée dans les styles d'exercices, est construite autour de chansons, musique traditionelles ou des extraits d'oeuvres classiques... Elle suit le programme d'un premier cycle de formation musicale en 4 ans, et s'adresse aux enfants comme aux adultes. Pour chaque niveau, le contenu pédagogique est réparti en deux volumes : - un volume pour l'oral : chant, commentaire d'écoute, théorie, lectures de notes, lectures de rythmes..., - un volume pour l'écrit : écriture, dictée de notes et de rythmes, exercices de théorie...

Cette nouvelle méthode d'une présentation claire et vivante, variée dans les styles d'exercices, est construite autour de chansons, musique traditionelles ou des extraits d'oeuvres classiques... Elle suit le programme d'un premier cycle de formation musicale en 4 ans, et s'adresse aux enfants comme aux adultes. Pour chaque niveau, le contenu pédagogique est réparti en deux volumes : - un volume pour l'oral : chant, commentaire d'écoute, théorie, lectures de notes, lectures de rythmes..., - un volume pour l'écrit : écriture, dictée de notes et de rythmes, exercices de théorie...

Enfin une méthode de piano qui fait jouer deux à trois élèves, simultanément, dans le même cours ! Pensée pour le cours collectif, progressive, ludique, cette méthode emmène les élèves tous ensemble jusqu'à un niveau de maîtrise des acquis similaire à une méthode de cours individuel. Si le jeu collectif est au centre du manuel, le travail individuel n'est pourtant pas oublié : chaque élève travaille des morceaux à plusieurs mais aussi des morceaux et des exercices seul au clavier, qui jalonnent la progression. Que ce soit par choix ou par besoin, voilà un outil indispensable à tous les enseignants qui souhaitent faire travailler deux à trois élèves devant un même clavier. / Piano / Billaudot

Samson François crée son concerto le 24 juillet 1951 au Festival d'Aix-en-Provence*, avec l'orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire, sous la direction d'Ernest Bour. La même année à Paris, il le joue avec le même orchestre, dirigé par Georges Tzipine, à qui il écrit : « Je vous dois un des plus beaux souvenirs de ma vie d'artiste ... »*Œuvre majeure de Samson François, composée de deux parties enchaînées, elle se développe selon une esthétique très personnelle qui n'est pas celle du concerto classique. « La véritable influence concernant son écriture est celle du jazz. Il n'a pas une forme de concerto à proprement dit, c'est une sorte d'improvisation à la fois du piano et de l'orchestre. »*L'écriture pianistique, en fusion avec les couleurs de l'orchestre, exploite au maximum les possibilités sonores et techniques de l'instrument. On ressent la griffe d'un musicien en pleine maturité, qui nous plonge dans une alchimie sonore. Elle laisse à l'interprète une grande liberté d'expression. Pour Samson François : « Le piano n'est pas ! 'instrument le plus noble du monde, mais le plus essentiel. » Ici, il devient exutoire; le compositeur dialogue avec lui-même et nous dévoile ses états d'âmes.Ce concerto pour piano n'a pas été redonné en concert depuis 1951. Le seul enregistrement pour le disque est celui de Samson François et Georges Tzipine en 1953. À ce titre, la présente édition revêt un caractère historique. Je suis particulièrement heureux de la soutenir pour porter l'œuvre à la connaissance du plus grand nombre.Frédéric Demoulin* Livre de Maximilien François : Samson François, Histoires de ... Mille Vies, Éditions Bleu Nuit Éditeur, France, 2002.Toutes les citations sont de Samson François.Partition et matériel d'orchestre en location. / Piano / Billaudot

«Cat twist» est une figure au trampoline. Elle demande agilité et maîtrise.Ici, le musicien s'appropriera la musique pour qu'elle soit toujours souple et paraisse facile, en tenant compte des articulations proposées. Le jeu utilisé doit rester léger. / Trombone / Billaudot

DANIEL-LESUR - STELE A LA MEMOIRE D'UNE JEUNE FILLE / Flûte traversière / Billaudot

Commande de Grégoire Girard et César Birschner qui en sont les dédicataires, Un Français à Rio est un recueil de cinq pièces pour violon et piano pouvant être jouées indépendamment. Chacune se présente comme un hommage à un compositeur emblématique des années 1920.La première « En hommage à Poulenc » et la quatrième « En hommage à Honegger » se font écho l'une à l'autre par leurs balancements harmoniques et leurs déhanchements rythmiques qui dessinent une chorégraphie imaginaire. Dans la deuxième « En hommage à Villa-Lobos », qui se veut toute en effleurements, seuls les crépitements des trilles du violon viennent rompre par instants le murmure des bariolages. De Milhaud, la troisième pièce retient l'esprit espiègle, taquin, avec ses rencontres de notes épicées sur un ostinato de croches. Quant à l'« En hommage à Auric », il déroule une série de variations, tantôt nerveuses tantôt consolatrices, sur un thème qui s'apparente à une berceuse. / Violon / Billaudot

?Monochromes vient de l'intérêt de la compositrice pour la couleur, associée depuis son enfance à la lumière. La lumière devenant lumière musicale.Ce sont les différentes sensations que les couleurs lui évoquent qu'elle a souhaité transposer dans trois couleurs-atmosphères variées, imaginant chaque mouvement auréolé d'une lumière, d'une texture propre.Le premier Monochrome, lyrique, fait apparaître les formes d'un paysage imaginaire et sonore au fur et à mesure de l'évolution du rythme. Les contours de la mélodie, s'apparentant à des formes ou des objets, s'articulent de plus en plus précisément, se façonnant depuis la noire jusqu'aux triples croches dans une ascension progressive avant de redescendre vers des blanches. Serait-ce la couleur blanche ?C'est ce que le deuxième Monochrome suggère, brumeux et atmosphérique. Les effets de vent, d'ultrason, de perte de la notion de temps, d'élargissement de l'ambitus, évoquent la couleur gris perle.Contrastant par son tempo, son caractère et sa fougue, le dernier Monochrome est l'accumulation des textures des deux autres mouvements, l'explosion d'une multitude de couleurs, créant l'illusion d'une seule et même couleur multiple, à la manière d'un kaléidoscope irisé. / Flûte traversière / Billaudot

Ravel a 30 ans en 1905 lorsqu'il compose cette oeuvre qui suscite dès sa création un grand enthousiasme. Par sa concision, elle prend le contrepied des oeuvres pour piano contemporaines toutes empreintes encore du post-romantisme germanique (Dukas, d'Indy, Franck). Véritablement moderne, bien que de forme classique, elle participe à cette renaissance pour les formes du passé (le mouvement central est un menuet !), que Claude Debussy va sublimer à son tour quelques années plus tard avec ses trois dernières sonates (1915-1917). / Flûte traversière / Billaudot