Arranged by Mikhail Ignatieff. Featuring the works of Rimsky-Korssakoff Balakireff Liadoff and Liapunoff.

5 Continents. Cette collection par Gwyn Arch de dix chansons folkloriques peut-être petit, mais cinq continents sont représentés au sein de ces 76 pages, et chaque continent.Du Mexique (Amérique du Sud) vient de La Cucaracha (le cafard), une chanson populaire en langue espagnole avec une mélodie mémorable et Cielito Lindo qui est tré par les Mexicains comme une sorte d'hymne national alternative. Le continent africain est représenté par une chanson à partir de la Tanzanie, Malaika, et une autre Afrique de l'Ouest se réjouir dans le titre Jikela Emaweni hamba sia. Les deux chansons ont été associés à la célèbre chanteuse sud-africaine et militant des droits civiques Miriam Makeba, et de nouvelles paroles (en anglais) ont été fournis par Stuart Smith. En Russie (Europe) musique folklorique est étroitement liée à la vie du village et ses traditions. Kalinka est la rêverie d'un jeune homme sous un pin, tandis que le bouleau Little était un symbole de la beauté en Russie soviétique. Le quatrième continent est l'Asie. S'il ya une chanson juive connue par les Juifs et non-Juifs, il doit être Hava Nagilah. Tum Balalaika est également un traditionnel yiddish, mais il est d'origine juive russe. Le Folkmusic des Maoris de Nouvelle-Zélande (Océanie) est principalement associée à la guerre chants appelé Haka, mais Hine e Hine et Pokarekare Ana révèlent l'influence des colons milieu du 19e siècle britanniques. / Voix Elevée(s) Et Piano

5 Continents. Cette collection par Gwyn Arch de dix chansons folkloriques peut-être petit, mais cinq continents sont représentés au sein de ces 76 pages, et chaque continent.Du Mexique (Amérique du Sud) vient de La Cucaracha (le cafard), une chanson populaire en langue espagnole avec une mélodie mémorable et Cielito Lindo qui est tré par les Mexicains comme une sorte d'hymne national alternative. Le continent africain est représenté par une chanson à partir de la Tanzanie, Malaika, et une autre Afrique de l'Ouest se réjouir dans le titre Jikela Emaweni hamba sia. Les deux chansons ont été associés à la célèbre chanteuse sud-africaine et militant des droits civiques Miriam Makeba, et de nouvelles paroles (en anglais) ont été fournis par Stuart Smith. En Russie (Europe) musique folklorique est étroitement liée à la vie du village et ses traditions. Kalinka est la rêverie d'un jeune homme sous un pin, tandis que le bouleau Little était un symbole de la beauté en Russie soviétique. Le quatrième continent est l'Asie. S'il ya une chanson juive connue par les Juifs et non-Juifs, il doit être Hava Nagilah. Tum Balalaika est également un traditionnel yiddish, mais il est d'origine juive russe. Le Folkmusic des Maoris de Nouvelle-Zélande (Océanie) est principalement associée à la guerre chants appelé Haka, mais Hine e Hine et Pokarekare Ana révèlent l'influence des colons milieu du 19e siècle britanniques. / Choeur Mixte (SATB) Et Piano

What can age yet never grow old, and grip yet always pursue? The very popular Tum Balalaika, a traditional Yiddish riddle song with deep Russian roots, contains the answer: a haunting melody. This arrangement combines that mesmerizing melody with rich harmonies to produce a lushness that will encourage and inspire your students to play with passion and purpose. Beware! It may haunt you all of your days. (2:30) / Orchestre A Cordes

Michail Ignatieff's 3 Concert Pieces for Balalaika or Violin and Piano. Includes: Romanze Valse Mazurka

5 Continents. Cette collection par Gwyn Arch de dix chansons folkloriques peut-être petit, mais cinq continents sont représentés au sein de ces 76 pages, et chaque continent.Du Mexique (Amérique du Sud) vient de La Cucaracha (le cafard), une chanson populaire en langue espagnole avec une mélodie mémorable et Cielito Lindo qui est tré par les Mexicains comme une sorte d'hymne national alternative. Le continent africain est représenté par une chanson à partir de la Tanzanie, Malaika, et une autre Afrique de l'Ouest se réjouir dans le titre Jikela Emaweni hamba sia. Les deux chansons ont été associés à la célèbre chanteuse sud-africaine et militant des droits civiques Miriam Makeba, et de nouvelles paroles (en anglais) ont été fournis par Stuart Smith. En Russie (Europe) musique folklorique est étroitement liée à la vie du village et ses traditions. Kalinka est la rêverie d'un jeune homme sous un pin, tandis que le bouleau Little était un symbole de la beauté en Russie soviétique. Le quatrième continent est l'Asie. S'il ya une chanson juive connue par les Juifs et non-Juifs, il doit être Hava Nagilah. Tum Balalaika est également un traditionnel yiddish, mais il est d'origine juive russe. Le Folkmusic des Maoris de Nouvelle-Zélande (Océanie) est principalement associée à la guerre chants appelé Haka, mais Hine e Hine et Pokarekare Ana révèlent l'influence des colons milieu du 19e siècle britanniques. / Voix Elevée(s) Et Piano

Händel, Georg Friedrich
La Bellezza ravveduta nel trionfo del Tempo e del Disinganno HWV 46a
Oratorio in two Parts
Rome 1707
- Urtext edition based on the “Halle Handel Edition” (HHA)
- With literal German and English translations
- Comprehensive Foreword (Ger/Eng)
- Idiomatic uncluttered piano reduction
Handel composed his first Italian oratorio “La Bellezza ravveduta nel trionfo del Tempo e del Disinganno” in 1707. It is based on an allegorical moral libretto written by Cardinal Benedetto Pamphili who also commissioned this work.
Disinganno (Illumination) and Tempo (Time) try to get the young, beautiful and frivolous Bellezza (Beauty) to recognise the true values of life and to act accordingly. The audience accompanies Bellezza in her spiritual development, in which she increasingly distances herself from Piacere (Pleasure) and listens more and more to Tempo and Disinganno.
The oratorio contains some of the most beautiful music Handel ever composed. This includes the enchanting aria “Lascia la spina”, in which he uses the music of the sarabande from the opera “Almira”, composed in Hamburg in 1704, and which then achieved immortal fame in “Rinaldo” (1711) as “Lascia ch’io pianga”. / Partitions classique / Vocale - chorale / Choeur et ensemble vocal / BARENREITER