Tragédie in one Prologue and Five Acts. Par RAMEAU JEAN-PHILIPPE. Rameau Castor et Pollux RCT 32A-B (Versions from 1737 and 1754) Symphonies (Full Score) Symphonies / Versions from 1737 and 1754 This collection of all instrumental numbers from 'Castor et Pollux' (tragédie in a prologue and five acts) brings together the movements and dances of all versions based on the volumes of the ?Opera Omnia Rameau? IV.3 (version 1737, BA08874-01) and IV.23 (version 1754, BA08864-01). Orchestras can use this to compile a suite to meet their needs aided by a register which offers a separate overview sorted by key. The performance material of the 'Symphonies' is available on hire in the accustomed high quality of the ?Opera Omnia Rameau?. - Compilation of the instrumental numbers from all opera versions - Overview of the keys to enable a tailor-made compilation of orchestral suites - Based on the scholarly-critical new edition of all original versions - Performance material available for hire / Date parution : 2023-06-01/ Répertoire / Orchestre

Présentation de Pascal Duc : Historique, bibliographie - Index des pièces - Texte complet des Indes Galantes. Préface de RameauTrès belle gravure, extrêmement lisible et élégante. La préface est remarquablement bien documentée. Cette version est certainement due au grand succès que connut l'Opéra-ballet de Rameau.Pièces pour clavecinPour le détail de chaque Concert, nous consulter / Soli Choeurs Et Instruments / 257 pages / niveau : 1 / Fac-Similés - Format: 23.5 X 31.5

Comme à notre habitude, nous profitons d'une large distribution éditoriale pour mettre à la fois au programme de ce recueil des airs très connus de Lully, Rameau ou Charpentier, mais aussi révéler les talents de Boismortier, Mondonville, Collasse, etc. grâce à des compositions tout à fait remarquables et bien entendu à découvrir.
Un problème concernant le maintien de la tonalité originale s'est tout de suite posé. En effet, le diapason étant plus bas à l'époque d'un demi, voire d'un ton, devait-on garder la tonalité d'origine ?
Nous avons pris la décision de jouer la carte de la sécurité vocale et ainsi dans bon nombre de cas de transposer les airs lorsque ceux-ci sont trop tendus pour le diapason d'aujourd'hui (ce recueil étant avant tout destiné à un public le plus large possible).
Notons pour anecdote que l'air de Titon (et l'Aurore) de Mondonville n'a pas eu besoin d'être abaissé. En effet, le chanteur vedette de l'époque - Jélyotte -était en fin de carrière et ne possédait plus les superbes aigus* qu'il déployait auparavant dans les oeuvres de Rameau (Dardanus ou Platée).
Nous recommandons vivement aux interprètes avant de chanter, de déclamer le texte, dans les oeuvres du XVIIe siècle et les récitatifs des airs du XVIIIe afin de dégraisser la voix de l'emprise du son.
Le texte (et sa parfaite compréhension) est essentiel, il fait partie intégrante de la composition elle-même voulue par le compositeur.

Dr. Michel Verschaeve


* Avis très important :
- La voix de Haute-Contre à la Française est en fait une voix de Ténor léger qui mixe ses aigus et qui dans cette tessiture n'utilise absolument pas à l'époque son registre de poitrine. Le premier contre-ut (français) de poitrine sera poussé en 1831 par le grand ténor romantique Gilbert-Louis Duprez dans Guillaume Tell de Rossini...
- Nous avons respecté l'orthographe et la ponctuation originales des manuscrits et éditeurs de l'époque. / Partition /

Cette œuvre pour accordéon seul a été créée à l’Opéra de Lille le 15 octobre 2014 par Vincent Lhermet dans le cadre du 250ème anniversaire de la mort de Jean-Philippe Rameau. Elle s’inspire librement d’une pièce pour clavecin, Le rappel des Oiseaux. Au début, un fragment y est exposé dont la tessiture a été dilatée. Ce fragment réapparaîtra à la fin de l’œuvre, dans une présentation se rapprochant de plus en plus de l’original. La note-pôle de cette œuvre est le Mi, autour duquel s’organise la trame harmonique (évoquant ainsi mi mineur, tonalité principale de la partition de Rameau). Dans la partie centrale, la note-pôle évolue vers le Sol (lointaine réminiscence de Sol Majeur, tonalité relative utilisée par Rameau). Enfin, elle retourne vers la note Mi (suivant ainsi le parcours tonal de l’œuvre originale). La trame harmonique s’élabore autour d’échelles mélodiques, ayant un ambitus de quinte et superposées l’une sur l’autre (en une sorte de « cycle des quintes », cher à Rameau). L’ornementation s’inspire ici également de celle exploitée par Rameau. L’idée principale de cette pièce est celle d’une progression des tempi et des nuances. La pièce part d’un tempo modéré, pour accélérer de plus en plus et atteindre peu à peu un tempo deux fois plus rapide. La dernière section tend à retrouver le caractère modéré du début, en une sorte de dernier rappel. Concernant les nuances, on retrouve cette même évolution : la pièce débute pianissimo et aboutit progressivement à fortissimo, point culminant de l’œuvre. On retrouvera, à la fin, les couleurs et les nuances du début. Cette progression s’accompagne d’une évolution parallèle des registres. Au début de l’œuvre, des registres extrêmes sont utilisés, ceux-ci vont se resserrer peu à peu, puis aboutir à une descente très progressive, présentant ainsi tout le spectre sonore de l’instrument. Enfin, cette pièce est une succession de sections développant chacune un caractère particulier et contrasté : dolce e lontano, legato e cantabile, rubato e flessibile, regolare e continuo, leggero e vivo, intenso e sostenuto, dolce e lontano. Florent Motsch Durée : 6'30

Arrangeur: Bergler. Par RAMEAU JEAN-PHILIPPE / BERGLER. / Répertoire / Brass Quintette

Par RAMEAU JEAN-PHILIPPE. Jean Claude AMIOT (Arr. ) / Niveau : Facile / Musique classique / Répertoire / Parties Supplémentaires

La fin de l'époque préclassique est illuminée par un groupe prestigieux de musiciens: Jean-Philippe Rameau, François Couperin, Domenico Scarlatti mais aussi Haendel et Bach. En ce début du XVIII° siècle, l'écriture change. Couperin, grand méthodiste, fait ressortir une profonde poésie avec charme et profondeur. Il utilise généralement deux voix dans un registre assez restreint où les mains sont rapprochées sur le clavier. Scarlatti est considéré comme l'un des plus grands compositeurs pianistiques de l'histoire de la musique. Il tisse des sons volubiles et transparents avec une grande virtuosité. Rameau est incisif et impétueux. Avec une grande souplesse rythmique, il utilise des écarts allant jusqu'à la 13e. Ses pièces dépassent souvent ce qu'on avait coutume de demander au clavecin. Toutes ces adaptations pour deux saxophones identiques permettent d'aborder un riche répertoire, absent bien souvent de l'univers familier des saxophonistes. On pourra s'initier à l'art de l'ornementation notamment dans les pièces de Couperin ou Rameau. Nuances et articulations constituent simplement une proposition de ma part. Ce recueil s'adresse aux saxophonistes de fin de 2e cycle et 3e cycle. Contenu : COUPERIN: Menuets croisés - Le Petit Deuil - Les Bergeries - La Bersan - RAMEAU: Rigaudon I et II - Sarabande I et II - Gigue en rondeau - SCARLATTI: Sonate n°5 - Sonate n°7 - Sonate n°23 - Sonate n°35 Compositeur/Auteur : BOIS Christophe Discipline/Instrument : 2 saxophones Support : Partition Style/Genre : classique Date de parution : sept.-04 Nombre de pages : 28

Par RAMEAU JEAN-PHILIPPE. Pierre FAURE (Arr. ) - Durée: 2'00 / Niveau : Facile / Musique classique / Répertoire / Parties Supplémentaires