Composed for Tapp Middle School in Powder Springs GA and premiered at the 2005 Midwest Clinic in Chicago Ascend is a driving and energetic work designed to sound great with younger bands. The combination of mixed meters andsyncopation gives the main theme a unique edge and there is a brief 3-part fugue woven into the texture of the piece. Sure to provide a rewarding and varied musical experience for your players. Dur: 3:05 (Includes FullPerformance CD)

Includes: ...Go Autumn on White Lake Arabesque Southern Hymn Today Is the Gift Hennepin County Dawn Rest Across the Halfpipe Our Yesterdays Lengthen Like Shadows We Meet Again Our Kingsland Spring Rivers and Ascend.

Par JEANBOURQUIN MARC. Pour marquer son centenaire, la « Musikgesellschaft Hinterkappelen-Wohlen » décide de commander une oeuvre légère constituée de différents styles, réunis dans un seul écrin. Marc Jeanbourquin compose alors une pièce avec un thème basé sur un court motif ascendant de 5 notes. Il le développe ainsi dans les styles funk, slow, celte et finalement rock. Tout se résout à la fin de la pièce avec ce motif « magique » ascendant. Les musiciennes et musiciens garderont-ils un esprit magique, plein de vivacité et d’énergie pour interpréter Magic Feeling? – certainement./ Répertoire / Concert Band/Harmonie

A Nottingham Festival débute par un motif ascendant qui contraste avec la fougueuse entrée des cuivres. Puis l?ambiance se fait sereine pour introduire une mélodie jouée par les clarinettes et accompagnée d?un motif rythmique à la caisse claire. Un crescendo mène à un passage puissant repris par l?orchestre entier qui réintroduit la trame initiale. Le tableau final est rehaussé par la reprise majestueuse du thème d?origine interprété cette fois par les cuivres où s?entrelacent les attrayantes répliques des bois. Une coda énergique met fin à cette somptueuse composition qui souligne la force créatrice du compositeur.

La Dent du Chat-Legend of a Mountain (Légende d?une montagne) raconte la légende de la Dent du Chat une montagne située sur la rive Ouest du lac du Bourget dans le département de la Savoie (France). L?imposante introduction préfigure l?histoire dramatique que raconte la légende.Au pied de la montagne non loin du lac vivait jadis un pêcheur avec sa femme et leurs cinq enfants.Un thème paisible (en 6/8) évoque le pêcheur assis dans sa frêle barque dansant au milieu des eaux ondulantes du lac.Un jour attendant en vain une prise le pêcheur promit de rejeter à l'eau le premier poisson qu'il attraperait dans l'espoir d'être récompensé pour son geste généreux. À peineavait-il fait cette promesse qu'il sentit mordre à son hameçon. Oubliant sa promesse il garda le poisson et relança sa ligne. À la troisième prise il sortit de l?eau un chat noir.Le thème paisible est soudainement interrompu par les timbales qui annoncent la prise imminente d?un gros poisson. C?est l?effervescence. Le gros poisson (ou plus précisément le chat) a mordu. Dès lors la musique devient plus turbulente.Le pêcheur rentra chez lui le chat sous son bras. Sa femme et ses enfants l?adoptèrent et en prirent soin.Un thème lyrique s?élève de plusieurs pupitres de l?orchestre. Il reflète l?harmonie qui règne dans la famille du pêcheur. Ce sentiment d?harmonie chemine vers un motif plus incisif suivi d?un coup de grosse caisse illustrant l?agressivité du chat. Au fil des mois le chat devint agressif allant jusqu?à mordre les enfants. Comme le pêcheur était superstitieux il n'osait tuer le chat par crainte de malédiction. Il mit l'animal dans un sac et l'emmena très loin dans la montagne.La marche en montagne est illustrée par un thème ascendant. Le motif plus agressif est ensuite réexposé.Là-haut le chat s'attaqua aux troupeaux aux chiens aux femmes et aux enfants. Le pêcheur n'attrapa jamais plus le moindre poisson. Il vendit sa barque et devint bûcheron. Le mauvais sort s'acharna sur lui. Il se blessa d'un coup de hache et

Inspiré par ascendance hongroise du compositeur, et qui rappelle de Brahms 'Danses hongroises', cette oeuvre majeure est très réalisable pour l'école intermédiaire avancé ou orchestre à cordes de haute école. Le solo de violon est plus difficile que les parties d'orchestre et offre une opportunité pour votre violoniste le plus remarquable de montrer son / sa compétence et le talent dans un travail en solo passionnant, avec de nombreuses techniques qui sont l'âme des passages mélodiques violon expressifs avec beaucoup de vibrato , gammes chromatiques et mineures, arpèges, triolets slurred et unslurred, trilles, appoggiatures, doubles cordes et diverses articulations de la proue. Le reste de l'orchestre a de belles contrechants et pièces jointes intéressants. Ecrit en ré mineur en 4/4 temps, il est assez simple, mais l'élément de jeu expressif est plus vital de créer les effets dramatiques que d'essayer d'exécuter à une vitesse vertigineuse. / Orchestre A Cordes

Le prologue dépeint l'excitation de cette foule impatiente d'embarquer sur le Titanic amarré dans le port de Southampton en Angleterre. Le motif principal de ce passage d?ouverture fait référence à Big Ben remarque touchante pour mieux installer le décor d'une scène typiquement britannique. L'agitation des futurs passagers s'exprime par des sections polyrythmiques. Le premier thème aux accents héroïques dérivé du motif Big Ben est exposé. La trame devient plus constante fluide répétitive symbole du doux départ du célèbre palais flottant. Le tableau suivant est une aquarelle riche en couleurs ; motifs ascendants et descendants rappellent le voyage en haute mer. On entend lesenfants jouer le Capitaine Smith donner des ordres. On perçoit aussi les différences d?atmosphère entre les ponts de première et deuxième classes ; la pression ronflante des moteurs. Tout est présent dans cette fresque musicale. On entend surtout l'accélération des moteurs suite à un ordre du Capitaine soumis à la pression de l'armateur. Faisant suite à un accelerando le piccolo et la percussion font écho d'un signal en morse provenant d'un autre bateau qui prévient d'un danger immédiat : la proximité d'un iceberg. Hélas ce message est ignoré et les moteurs continuent de tourner à plein régime jusqu'au moment fatidique où le Titanic heurte l'iceberg. Le motif plaintif du saxophone accompagné de trilles des clarinettes traduit l'arrêt des moteurs après la collision. La percussion marque le tristement célèbre S.O.S. en code morse : trois points trois traits trois points. Les passagers sont pris de panique. Finalement nous assistons au lent naufrage du paquebot. L'épilogue reprend le motif initial qui se métamorphose en une fin dramatique.

Le prologue dépeint l'excitation de cette foule impatiente d'embarquer sur le Titanic amarré dans le port de Southampton en Angleterre. Le motif principal de ce passage d?ouverture fait référence à Big Ben remarque touchante pour mieux installer le décor d'une scène typiquement britannique. L'agitation des futurs passagers s'exprime par des sections polyrythmiques. Le premier thème aux accents héroïques dérivé du motif Big Ben est exposé. La trame devient plus constante fluide répétitive symbole du doux départ du célèbre palais flottant. Le tableau suivant est une aquarelle riche en couleurs ; motifs ascendants et descendants rappellent le voyage en haute mer. On entend lesenfants jouer le Capitaine Smith donner des ordres. On perçoit aussi les différences d?atmosphère entre les ponts de première et deuxième classes ; la pression ronflante des moteurs. Tout est présent dans cette fresque musicale. On entend surtout l'accélération des moteurs suite à un ordre du Capitaine soumis à la pression de l'armateur. Faisant suite à un accelerando le piccolo et la percussion font écho d'un signal en morse provenant d'un autre bateau qui prévient d'un danger immédiat : la proximité d'un iceberg. Hélas ce message est ignoré et les moteurs continuent de tourner à plein régime jusqu'au moment fatidique où le Titanic heurte l'iceberg. Le motif plaintif du saxophone accompagné de trilles des clarinettes traduit l'arrêt des moteurs après la collision. La percussion marque le tristement célèbre S.O.S. en code morse : trois points trois traits trois points. Les passagers sont pris de panique. Finalement nous assistons au lent naufrage du paquebot. L'épilogue reprend le motif initial qui se métamorphose en une fin dramatique.

Par PEPIN CAMILLE. Ce nonette s'inspire de la série Énergie blanche de Fabienne Verdier. Sur le fond lisse et bleu nuit des toiles viennent contraster des traits de peinture blanche, comme une force opposée. Au fil des tableaux, cette énergie évolue en ondulations nocturnes fluides ou rugueuses, en scintillements légers, en nuages vaporeux ou encore en crépitements. Les toiles semblent emplies de matière en apesanteur et c'est pourquoi j'ai imaginé une musique planante, cherchant un équilibre entre mouvement et immobilité. Pour moi, il se dégage de cette série bicolore l'idée d'une vitalité, d'une force, d'une lumière qui habite le vide infini et lointain du ciel. J'ai recréé cette énergie blanche en aspérités (grains de matière ou frêles touches de lumière) venant perturber ces nappes de bleu vibrant et mystérieux aux valeurs longues et étirées. Mon travail a été d'imaginer des variations de ces deux matière-couleurs grâce à la palette de textures extraordinaire qu'offrent les instruments à cordes. La pièce est ainsi conçue comme un voyage coloré et hypnotique en sept tableaux correspondant chacun à une toile de la série de Verdier. Hors champ est un épisode froid et nocturne au sein duquel de faibles lueurs de lumière tentent à peine de percer l'obscurité de la nuit. Des glissandi inquiétants naissent aux altos et violoncelles en stéréo et présentent le motif qui irriguera toute l'œuvre. La contrebasse émet une pulsation irrégulière et mystérieuse, au loin. Une ondulation douce puis majestueuse s'élève dans Ascendance. Avec l'arrivée des violons, elle traverse la matière sombre en répandant ses faisceaux brillants et lumineux. Turbulence est le lieu des perturbations. L'énergie blanche constituée ici de particules vives et chaotiques se dérègle sans cesse et envahit l'espace. Dans Synchronie I, les violoncelles se partagent le motif fondateur de l'ouvrage en un seul et même souffle, pur et suspendu. Puis, ils s'unissent pour ne former qu'une seule voix et un chant de violon les rejoint. Ce dernier se fait l'annonciateur de lumière durant cette brève accalmie. Mémoires du vent rappelle le début de l'œuvre avec cette palpitation irrégulière de la contrebasse et les glissandi inquiétants des cordes graves. Mais ces mémoires sont aussi l'écho des Turbulences qui se transforment ici en Vortex, dans lequel l'énergie blanche et chaotique devient un véritable tourbillon de lumière liquide. Pour clore la pièce, Synchronie II reprend Synchronie I avec la couleur plus froide et mystérieuse des altos, toujours en stéréo. Les touches de lumière des cordes aiguës s'affaiblissent avant de s'éteindre complètement, au loin. Cette pièce appartient au même cycle que mon quatuor à cordes Feuilles d'eau de Silvacane inspiré par la série du même nom de Fabienne Verdier. Camille Pépin / Date parution : 2022-06-08/ Répertoire / Orchestre à Cordes

Par CANAT DE CHIZY EDITH. Pour poursuivre ma collaboration avec Emmanuelle Bertrand, j'ai eu envie d'écrire ce quintette pour quatuor à cordes et violoncelle principal, parti pris qui élude ainsi toute référence au quintette à deux violoncelles de Schubert. L'idée de falaise évoque l'abîme, le vertige, l'horizontal et le vertical, l'abrupt, la faille, la rupture, images importantes dans l'élaboration de cette pièce où j'ai joué avec les tessitures, les oppositions grave-aigu, les mouvements ascendants et descendants, les brusques interruptions du discours, et aussi ce que j'appelle le 'mouvement immobile', opposant le vol planant du goéland à la chute fulgurante du fou de Bassan. Ainsi, l'écriture traduit cette multiplicité de mouvements contraires, prolongeant mon travail sur une extrême mobilité du discours qui ouvre sur cette perspective de l'ailleurs dont la falaise est à la fois la limite et la lisière. Edith Canat de Chizy / contemporain / Répertoire / Quatuor à Cordes et Violoncelle Principal

A Nottingham Festival débute par un motif ascendant qui contraste avec la fougueuse entrée des cuivres. Puis l?ambiance se fait sereine pour introduire une mélodie jouée par les clarinettes et accompagnée d?un motif rythmique à la caisse claire. Un crescendo mène à un passage puissant repris par l?orchestre entier qui réintroduit la trame initiale. Le tableau final est rehaussé par la reprise majestueuse du thème d?origine interprété cette fois par les cuivres où s?entrelacent les attrayantes répliques des bois. Une coda énergique met fin à cette somptueuse composition qui souligne la force créatrice du compositeur.

En Russie le festival de Maslenitsa a une double ascendance d?une part celle de fête païenne signifiant la fin de l?hiver d?autre part celle de fête chrétienne annonçant l?entrée en période de Carême. Autrefois les célébrations de Maslenitsa étaient toujours menacées soit par l?église soit par le régime soviétique. Aujourd?hui reconnu comme une fête officielle ce festival est célébré dans toutes les grandes villes de Russie. Illuminez votre concert grâce à Sven Van Calster et sa composition aux accents de bals masqués de batailles de boules de neiges et de balades en troïka !

Hymnus was commissioned by the Wilhelmina Easterein Fanfare Orchestra in the Autumn of 1999 for their performance at the World Music Contest Kerkrade. The commission was the result of a collaboration between the composer and the thenmusical director Marten van der Wal. The exact meaning of the word Hymnus is not known but it is taken in this presentation to mean hymn or hymn-like. The melodic material is organic and grows from an initial unison tone. Thisinterval is gradually expanded to form the cell F E C F a semitone third fifth. The only other melodic motif is the ascending three-note pattern spanning a major third. This is the second of his compositions to use this ascending motif theother being Fanfare for a Bright New Age for Brass Band and Organ also of 2000. These characteristic intervals appear in many contrasting moods and guises throughout the piece. The opening unison notes are intended to convey as sense ofpower and magnificence like the first sounds at the dawning of the universe. After the immense power a period of stunned silence and reverence. The evolution of the hymn melody incorporates a variety of moods and atmospheres sometimes expressing much joy and celebration whilst also suggesting periods of intense savagery or prayerful contemplation. The hymn builds as the piece progresses and is finally stated in its complete form at letter W. The official worldpremiere of the work was given by Wilhelmina Easterein at the World Music Contest 2001. Whilst the composer was unable to attend in person he was able to enjoy the premier simultaneously transmitted via a mobile phone from the audience! Conductors Note The tempo indications are to be viewed as a guide rather than a literal instruction. Within the music there is an innate sense of pulse and metre lending itself to considerable rubato. Melody is king and all else is mere support and decoration careful attention must therefore be given to balance.

To mark its centenary, the ?Musikgesellschaft Hinterkappelen-Wohlen? decided to commission a light-hearted work comprising different styles brought together in one setting. With this in mind, Marc Jeanbourquin composed a piece with a theme based on a short 5-note ascending motif. He developed this theme in various styles ? funk, ballad, Celtic and, finally, rock. Everything comes together at the end of the piece with this ?magical? ascending motif. Will the musicians conjure and retain a magical spirit full of energy and vitality through playing Magic Feeling' ? most certainly!