Jealousy. Par DE HAAN JACOB. Elegy I: Jealousy (Élégie 1 : La Jalousie) a emprunté son nom au poème éponyme de John Donne. La jalousie peut déclencher de nombreuses émotions qui vont de la déception, de la peine et du regret à la colère ou à la folie. Toutes ces émotions ont trouvé leur place dans cette composition, inspirée de trois formes d’art différentes : la poésie ( Elegy I ), la peinture ( La Jalousie - Edvard Munch) ; la chanson ( Je ne l’ose dire - Pierre Certon). La résonance affective et émotionnelle est forte. En un instant, l’auditeur est touché par ce qu'il entend. / Niveau : 5 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Par VAN DER ROOST JAN. Sinfonia Hungarica est une oeuvre de commande pour l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze en Hongrie. Elle est dédiée à Ferenc Jankovski (Directeur de l’Orchestre d’Harmonie), Jozsef Ficsor (Maire de la ville de Kiskunfelegyhaze) et Gabriella Kiss. Cette symphonie en trois mouvements retrace l’histoire de la Hongrie. L’ensemble des trois mouvements s’inspire de la vie de personnages historiques clés, de guerres et d’autres événements de grande importance qui ont marqué l’histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l’État hongrois (1001-2001). L’oeuvre a été donnée en création mondiale, le 31 mars 2001 à Budapest, par l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze placé sous la direction du compositeur. ATTILA, roi des Huns, surnommé “le Fléau de Dieu”, est le personnage central du premier mouvement où règne une atmosphère de peur, de menace, d’agression et de cruauté. Bléda, le frère d’Attila, est associé à un thème aux accents plus héroïques, tandis que Kerka, l’épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidante de ce mouvement d’ouverture illustre l’effroyable rapidité avec laquelle les troupes d’Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes. Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de l’État hongrois. Un passage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Émèse, la grand-mère d’Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l’un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et l’avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag. Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Étienne Ier ( ISTVAN ), sacré roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d’ouverture, solennelles et majestueuses, mènent à un passage dont l’atmosphère belliqueuse s’intensifie pour s’achever en de violents fracas symbolisant la mort / Niveau : 6 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Par VAN DER ROOST JAN. Sinfonia Hungarica est une oeuvre de commande pour l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze en Hongrie. Elle est dédiée à Ferenc Jankovski (Directeur de l’Orchestre d’Harmonie), Jozsef Ficsor (Maire de la ville de Kiskunfelegyhaze) et Gabriella Kiss. Cette symphonie en trois mouvements retrace l’histoire de la Hongrie. L’ensemble des trois mouvements s’inspire de la vie de personnages historiques clés, de guerres et d’autres événements de grande importance qui ont marqué l’histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l’État hongrois (1001-2001). L’oeuvre a été donnée en création mondiale, le 31 mars 2001 à Budapest, par l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze placé sous la direction du compositeur. ATTILA, roi des Huns, surnommé “le Fléau de Dieu”, est le personnage central du premier mouvement où règne une atmosphère de peur, de menace, d’agression et de cruauté. Bléda, le frère d’Attila, est associé à un thème aux accents plus héroïques, tandis que Kerka, l’épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidante de ce mouvement d’ouverture illustre l’effroyable rapidité avec laquelle les troupes d’Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes. Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de l’État hongrois. Un passage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Émèse, la grand-mère d’Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l’un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et l’avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag. Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Étienne Ier ( ISTVAN ), sacré roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d’ouverture, solennelles et majestueuses, mènent à un passage dont l’atmosphère belliqueuse s’intensifie pour s’achever en de violents fracas symbolisant la mort / Niveau : 6 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Par VAN DER ROOST JAN. Sinfonia Hungarica est une oeuvre de commande pour l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze en Hongrie. Elle est dédiée à Ferenc Jankovski (Directeur de l’Orchestre d’Harmonie), Jozsef Ficsor (Maire de la ville de Kiskunfelegyhaze) et Gabriella Kiss. Cette symphonie en trois mouvements retrace l’histoire de la Hongrie. L’ensemble des trois mouvements s’inspire de la vie de personnages historiques clés, de guerres et d’autres événements de grande importance qui ont marqué l’histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l’État hongrois (1001-2001). L’oeuvre a été donnée en création mondiale, le 31 mars 2001 à Budapest, par l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze placé sous la direction du compositeur. ATTILA, roi des Huns, surnommé “le Fléau de Dieu”, est le personnage central du premier mouvement où règne une atmosphère de peur, de menace, d’agression et de cruauté. Bléda, le frère d’Attila, est associé à un thème aux accents plus héroïques, tandis que Kerka, l’épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidante de ce mouvement d’ouverture illustre l’effroyable rapidité avec laquelle les troupes d’Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes. Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de l’État hongrois. Un passage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Émèse, la grand-mère d’Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l’un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et l’avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag. Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Étienne Ier ( ISTVAN ), sacré roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d’ouverture, solennelles et majestueuses, mènent à un passage dont l’atmosphère belliqueuse s’intensifie pour s’achever en de violents fracas symbolisant la mort / Niveau : 6 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Elegy For Band. Par SPARKE PHILIP. The initial idea was for a millennium piece, which it is, but rather than add to the many celebratory pieces that have understandably been written to salute the 3rd millennium, Philip Sparke thought it would perhaps be appropriate to think about the aspects of life that are constantly with us (such as faith and philosophy) rather than the exciting changes that the year 2000 has undeniably wrought. This calm meditative work will bring a moment of serenity and reflection to any concert. / Niveau : 4 / Musique pour célébration / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Score-Commissioned by the Michigan State University Alumni Band this three movement work by Pulitzer Prize-winning composer Karel Husa was the winner of the first Louis Sudler International Wind Band Composition Competition in 1983.Previously available only in rental we are proud to offer this important work for publication.A note from the composer: Divided into three movements this work is a display of virtuoso passages given to solo instrumentsas well as to the groups of the ensemble. In the Fanfare of the first movement the brass section “concertizes” in groups of four brass quintets (2 trumpets horn trombone and tuba or baritone) spread from left toright in back. The saxophones (S A T B) are placed in front of the brass quintets and the woodwinds occupy the front of the stage with percussion on the left and right side. These groups like the brass quintets play in theconcertante style particularly in the first and last movements. At the same time each movement contains individual solo passages (for example timpani and flute in Movement I – “Drum Ceremony” andEnglish horn and other low woodwinds in Movement II – “Elegy”). The composition of this piece was prompted by the excellence of wind and percussion players today and by the incredible growth of wind ensembles orchestras and bands in the last 25 years. It is intended for their enjoyment.

Par SPARKE PHILIP. MASQUERADE was commissioned by Stadtmusik Willisau from Switzerland (Reto Güdel, conductor) to celebrate their 175th anniversary in 2003 and first performed by them in November that year. 1. OvertureThe first movement opens with a fanfare-like figure, featuring the brass, before the main them is introduced over staccato chords. After a short, syncopated interlude a legato theme is introduced in the tenor register and material is developed until the music slows temporarily. The opening theme returns and the ‘tenor’ tune is taken up by the whole band until the opening fanfare returns to close the movement. 2. ElegyThe slow movement opens intensely with a bare two-part theme, whichleads to a passionate chorale-style melody. A second theme is introduced and leads to a climax, a return of the chorale theme and a pianissimo repeat which again leads to a full-band climax. The two-part theme returns quietly to create a peaceful close. 3 InterludeA short movement which changes the mood to introduce:- 4 FinaleThree violent chords preface a lively syncopated opening theme. The trumpets introduce a second idea, which is treated fugally, and this in turn leads to the main melodic idea of the movement, over staccato chords. A contrasting subject is then introduced in the middle of the band, followed by echoes of the first movement fanfare. The opening theme returns and material is revisited until the opening fanfare returns in full to end the work triumphantly. / Niveau : 4 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Par BULLA STEPHEN. / Niveau : 4 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Par BULLA STEPHEN. / Niveau : 4 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band

Par SHELTON MELVIN L.. / Niveau : 4 / Musique pour célébration / Répertoire / Concert Band