« Fata Morgana » est le nom donné à un phénomène de mirage souvent observé au-dessus du détroit de Messine en Italie et que l'on attribuait à la fée (en italien fata) Morgane. Du mirage nous passons aux notes éthérées d?une rêverie qui se termine brutalement avec l?exposition d?un air de tango rythmé et endiablé. Et si la réalité nous avait rattrapés ?

To arrange one of the most beautiful organ fugues by the great classical composer Johann Sebastian Bach (1685-1750) for concert band is certainly a demanding task. Klaas van der Woude has however performed this feat to produce this excellent and exciting arrangement. Organ Fugue is suitable for any festive concert!

for Organ and Concert Band-Cette pièce a été composée en 2009 à la demande du Shinjuku Bunka Center à Tokyo pour marquer le trentième anniversaire de son ouverture. C?est une œuvre impressionnante combinant une fanfare éclatante et le son majestueux de l?orgue résonnant à travers la salle de concert. Elle a été créée par Hiroko Takahashi l?organiste du Centre et l?orchestre d?harmonie de Shinjuku City sous le bâton de Shigeto Ishizu. Les œuvres écrites pour orgue et orchestre d?harmonie sont rares. Fraîche et originale cette pièce d?ouverture sera suivie d?un solo d?orgue pouvant mener à une marche.

La Symphonie N? 0 a ?t? compos?e ? la demande de l?Harmonie Royale Sainte-C?cile de Zele (B) ? l?occasion de son 175?me anniversaire. ? Phoenix ex cinere suo renascitur ? (le ph?nix rena?tra de ses cendres) est la devise de l?orchestre. L?oiseau mythique figure fi?rement sur l?enseigne de l?association.Dans nombre de mythologies ? travers le monde on retrouve des histoires similaires sur le th?me du ph?nix renaissant de ses cendres. Dans cette ?uvre je me suis bas? sur les variantes ?gyptiennes et grecques tout en m?autorisant certaines libert?s. Dans l??gypte ancienne on retrouve le Ph?nix dans le rite de R? le dieu du Soleil.1?re partie : Fanfare pour R? dieu duSoleil :Apr?s une introduction myst?rieuse l?orchestre se donne une premi?re fois enti?rement avec des trompettes ?clatantes et des timbales pleines de virtuosit?. Il s?agit d?une ode festive au dieu du Soleil.2e partie : ? la source - Chant et danse du Ph?nixLe Ph?nix m?ne une vie solitaire pr?s d?une source quelque part en Perse. ? Son chant et sa danse sont d?une telle beaut? que R? le dieu du Soleil arr?te son char chaque jour ? midi pour admirer cet ?trange spectacle. ? Cette partie commence par une impression de la source avec une gamme de sonorit?s modale de clarinette et piano. L?air est m?lodieux et d?inspiration orientale. La danse est fantasque et pleine de virtuosit?.3e partie : Mort et renaissanceLorsque le ph?nix est devenu vieux il organise sa propre mort. Avec de l?encens et d?autres herbes aromatiques il se fait un nid dans le plus haut des arbres. Lorsqu?il y prend place le soleil br?le le nid. Le vieux ph?nix p?rit dans les flammes. Des cendres (re)na?t un ph?nix jeune et fort.4e partie : Vol vers Heliopolis - c?r?monie en l?honneur de R?Le jeune ph?nix enveloppe les restes du nid de son p?re dans un ?uf de myrrhe. D?s qu?il est assez fort pour le porter il s?envole avec vers H?liopolis (la ville de lumi?re qui existe toujours pr?s du Caire) o? il en fait offrande dans le temple de R?. L??uvre se termine par un chant

À l'aide de matériau thématique-motif et structures concerto Baroque, Stephan Adam a créé une oeuvre contemporaine avec nouveaux sons sans être d'avant-garde. Le travail est exigeant, particulièrement en ce qui concerne la technique et de la complexité rythmique. Ce travail a été commandé par la Bundesvereinigung Deutscher Blasmusikverbände (Fédération des Allemands vent musique Organisations) et a été une pièce dans les compétitions au plus niveau avancé. Stephan Adam étudie la musique d'église et de la Composition à Frankfurt am Main - Kurt Hessenberg était l'un de ses professeurs. Il enseigne depuis 1982 à la Berufsfachschule für Musik (Collège d'enseignement de la musique) de Bad Königshofen. / Orchestre D'Harmonie

Three symphonic episodes for Concert Band-Ferrer Ferran a composé cette œuvre à la demande du Comité d?Organisation du Concours International pour Orchestres à Vent Villa de Altea 2005 (Espagne) pour servir de pièce imposée dans la catégorie « Sinfónica ». El Ingenioso Hidalgo (L?Ingénieux Hidalgo) a été récompensé du premier prix du Concours International de Composition pour Orchestre d?Harmonie « Romualdo Marenco » 2005 de Novi Ligure en Italie. Cette composition est dédiée à Luis Morote ardent défenseur et passionné de la musique pour Orchestre d?Harmonie.Don Quichotte de la Manche le chef-d?œuvre de Cervantes est une des créations les plus fascinantes de l?esprit humain : une parfaitecaricature de la matière romanesque et du roman de chevalerie. Les deux personnages principaux Don Quichotte et Sancho Panza représentent deux facettes de l?âme espagnole : l?un est un rêveur idéaliste qui oublie les biens matériels d?importance vitale et poursuit des rêves irréalisables l?autre est un personnage pragmatique et raisonnable.Après la suite espagnole En un Lugar de la Mancha et El Quijote une fantaisie symphonique pour Orchestre d?Harmonie et récitant [lisant des extraits des aventures et mésaventures du Chevalier à la Triste Figure] les trois esquisses symphoniques El Ingenioso Hidalgo (L?ingénieux hidalgo) constituent la dernière œuvre de la trilogie consacrée à Don Quichotte. Riche en sublimes mélodies et généreux en rythmes cette grande symphonie illustre trois épisodes du texte littéraire.I. De Alonso Quijano a Don Quijote de la Mancha (D?Alonso Quijano à Don Quichotte de la Manche)II. El Encantamiento de Dulcinea (L?enchantement de Dulcinée)III. Historias de Caballería (Histoires de chevalerie)Alonso Quijano a la passion des romans de chevalerie. Après avoir lu plus que de raison le malheureux ne parvient plus à faire la distinction entre la réalité et son imaginaire. Il décide de faire sien les idéaux des chevaliers errants sous le nom de Don Quichotte de la Manche.Comme

À partir de 776 avant J.-C. et pendant plus d?un millénaire les Jeux Olympiques antiques ont eu lieu dans le site sacré d?Olympie en Grèce. L?année 1896 voit la renaissance de l?olympisme. Le baron Pierre de Coubertin organise les premiers Jeux modernes à Athènes. En 1996 Atlanta célèbre avec faste le centenaire des Jeux. James Curnow compose à la demande du Comité Olympique d?Atlanta cette œuvre brillante idéale pour débuter un concert.

À partir de 776 avant J.-C. et pendant plus d?un millénaire les Jeux Olympiques antiques ont eu lieu dans le site sacré d?Olympie en Grèce. L?année 1896 voit la renaissance de l?olympisme. Le baron Pierre de Coubertin organise les premiers Jeux modernes à Athènes. En 1996 Atlanta célèbre avec faste le centenaire des Jeux. James Curnow compose à la demande du Comité Olympique d?Atlanta cette œuvre brillante idéale pour débuter un concert.

« Logos » qui a été composé pour le compte de la « Koninklijke Harmonie van Herent » à loccasion de son 150e anniversaire a été dédié au chef dorchestre Kris Stroobants. La première sest déroulée le 18 novembre 2006 au Lemmensinstituut de Leuven o? lorchestre jubilaire sest joint à un chur mixte de 200 chanteurs. Pour la naissance de la « Koninklijke Harmonie van Herent » « Logos » nous fait remonter au printemps 1856. Une dizaine damis de Herent passionnés de musique décident de fonder un orchestre baptisé « Fanfare de Hérent ». Tout spécialement pour loccasion un des membres fondateurs du groupe Paul Edward van Eycken organiste et ancien bourgmestre deHerent compose « Le Fondateur » un hymne qui va régulièrement parcourir « Logos » et dont les premières notes résonneront dans le registre de la fl?te et de la trompette. Une atmosphère impressionniste se crée en partant de rien et un solo de fl?te onirique nous emporte dans les premières années paisibles de lorchestre. Malgré son jeune âge lorchestre sera cependant en proie à des dissensions et à des mécontentements qui surgiront parmi les musiciens ; le rythme qui devient de plus en plus impétueux nous emporte vers un premier paroxysme : la « Fanfare de Hérent » se disloque Lorchestre est divisé en deux fanfares : les «Bois » et les « Cuivres ». Très rapidement les deux orchestres vont commencer à rivaliser et ils deviendront peu à peu des associations florissantes. Une mélodie festive nous entraîne dans une première période dâge dor. Lorsque la Première Guerre mondiale éclate en 1914 Herent est elle aussi durement touchée. Les cuivres et les percussions annoncent le désastre. Des centaines de bâtiments sont réduits en cendres et les locaux partitions et instruments des deux orchestres sont en grande partie dévorés par les flammes. Une mélodie chorale plaintive évoque une atmosphère résignée en guise de mémoire aux années de guerre les plus tristes. Mais au bout du compte cest justement ce revers de fortune qui rapproche les

Anton Bruckner (1824-1896). Par BRUCKNER ANTON / DOSS THOMAS (Arr.). Anton Bruckner (b. 4.9.1824, Ansfelden, d. 11.10.1896, Vienna) didn?t have it easy. Throughout his life, the Austrian composer was plagued by self-doubt. Anton Bruckner came from a simple, rural background. After the death of his father, he was accepted as a choirboy at the monastery of Sankt Florian in 1837. After several years as a school assistant and his own organ and piano studies, he first worked as organist in St. Florian, then from 1855 as cathedral organist in Linz. Introduced to music theory and instrumentation by Simon Sechter and Otto Kitzler, he discovered Richard Wagner as an artistic role model, whom he admired throughout his life and also visited several times in Bayreuth. In 1868 Anton Bruckner became professor of basso continuo, counterpoint and organ at the Vienna Conservatory; ten years later court organist; and in 1891 finally honorary doctor of the University of Vienna. He was considered an important organ virtuoso of his era, but had to wait a long time for recognition as a composer. It was not until Symphony No.7 in E major, composed between 1881 and 1883, with the famous Adagio written under the effects of Wagner's death, that he achieved the recognition he had hoped for, even if he was reluctant to accept it given his inclination towards scepticism and self-criticism. Anton Bruckner was a loner who did not want to follow a particular school or doctrine. He composed numerous sacred vocal works, such as his three masses, the Missa Solemnis in B flat minor (1854), the Te Deum (1881-84) and numerous motets. As a symphonic composer, he wrote a total of nine symphonies and many symphonic studies from 1863 onwards, tending to revise completed versions several times over. Bruckner's orchestral works were long considered unplayable, but in fact were merely exceptionally bold for the tonal language of their time, uniting traditions from Beethoven through Wagner to folk music, on the threshold between late Romanticism and Modernism. Anton Bruckner composed about 40 motets during his lifetime, the earliest a setting of Pange lingua around 1835, and the last, Vexilla regis, in 1892. Thomas Doss has compiled some of these motets in this volume for symphonic wind orchestra. These motets show many characteristics of personal expression, especially Bruckner's colourful harmony in the earlier works, which is in places aligned with Franz Schubert (changes between major and minor; and movements in thirds). Later works are characterised by many components which, in addition to the expanded stature of the movements, include above all a sense of the instrumentation as an outward phenomenon and the harmony as a compositional feature that works more internally. Some aspects of Bruckner's work are the result of his long period of study, which familiarised him not only with the tradition of his craft, but also gave him insights into the 'modernity' of his time in such composers as Wagner, Liszt and Berlioz. From this developed his personal standpoint, which always pursues the connection between the old and the new. / Date parution : 2023-08-12/ Répertoire / Concert Band/Harmonie

Ce célèbre chant de Noël anglo-saxon (dont la mélodie est également connue sous le nom d?Humility) a été composé en 1771 par John Goss (1800-1880) sur un texte d?Edward Caswall (1841-1878). John Goss est né à Fareham dans le Comté du Hampshire en Angleterre. En 1811 il est admis comme choriste à la Chapelle Royale où il étudie auprès de John Stafford Smith et de Thomas Attwood organiste à la cathédrale Saint-Paul de Londres. En 1824 il est nommé organiste à l?église Saint-Luc de Chelsea. À la mort de Thomas Attwood en 1838 John Goss lui succède comme organiste à la cathédrale Saint-Paul. Il compose de nombreux motets et odes pour divers services religieuxexceptionnels célébrés en la cathédrale. En 1872 il quitte son poste à Saint-Paul et est fait chevalier par la reine Victoria. Parallèlement à ses fonctions d?organiste à l?église Saint-Luc et à la cathédrale Saint-Paul John Goss a enseigné l?harmonie à l?Académie Royale de Musique de Londres pendant quarante-sept ans. Parmi ses nombreuses odes encore chantées on peut citer Infant Holy Infant Lowly Praise My Soul et See Amid the Winter's Snow.

Chaque année la ville de Yokohama célèbre une fête particulière le ?Yokohama Kaikosai? la date anniversaire de l?ouverture du port maritime qui permit le développement de la ville. L?Orchestre d?Harmonie de Yokohama (Yokohama Wind Symphony) fut spécialement créé en 2006 pour participer au Concert de Bienfaisance « Autour du Brass Band » organisé par l?Association The Brass Cruise. L?objectif de cette formation ad hoc est d?encourager et de soutenir l?activité culturelle de la population et de promouvoir la musique japonaise pour formations à vent ayant ses racines à Yokohama. Le Yokohama Wind Symphony est devenu un élément essentiel du festival. Il est constitué de plus de200 musiciens tous recrutés publiquement. En 2007 le compositeur Satoshi Yagisawa répondit favorablement à l?invitation de l?orchestre dont il fut le chef invité. À cet effet le comité de l?Association The Brass Cruise lui commanda une œuvre de circonstance. Satoshi Yagisawa composa une fanfare brillante qu?il intitula Fanfare Mi-Chi-Bi-Ki(d?après le nom d?une statue en bronze de Yokohama). L?œuvre fut donnée en création mondiale en ouverture du concert 2007. À l?instar de la statue qui l?a inspirée la fanfare exprime le désir d?un monde meilleur un monde de paix.