- Record Label: Sony
- Catalog#: 88697 720092
- Country Of Release: NLD
- Year Of Release: 2010
- Notes: 25 Original Albums In Noble Box

Par LEVINAS MICHAEL. Précédé de Je, tu, il, prologue à La Métamorphose sur un texte de Valère Novarina. Au sortir d'un rêve agité, Grégor Samsa s'éveille pour vivre un véritable cauchemar, celui de sa transformation en énorme cancrelat. Tout le monde connaît cette nouvelle de Kafka - elle appartient désormais à nos mythologies contemporaines. L'idée d'en faire un opéra est tellement excitante qu'on en serait presque à se demander pourquoi une telle adaptation n'a encore jamais été tentée. Peut-être parce que la perspective donne le vertige et que l'histoire elle-même semble veiller à sa propre irreprésentabilité ? Il aura fallu attendre près d'un siècle pour que le texte se métamorphose en opéra grâce à Michaël Levinas et à l'équipe artistique qu'il a réunie. Avec Valère Novarina et Emmanuel Moses, le compositeur opère un travail sur la langue pour révéler sa vocalité lyrique. Le chant du 'sopraniste' Fabrice Di Falco et des autres interprètes est ensuite traité par des techniques d'hybridation informatiques [réalisées à l'Ircam, NDLR]. Toujours en quête 'd'une suggestion d'ébranlement dramatique dans la vibration du son' comme s'il y avait un 'au-delà du son dans le son', la musique de Levinas s'ouvre au fantastique. Ce sentiment de l'extraordinaire sera rendu palpable par les instrumentistes d'Ictus, imbattables quand il s'agit de faire advenir des univers inouïs. L'adaptation scénique est confiée à Stanislas Nordey, homme de théâtre insatiable découvreur de textes contemporains. Il s'est également distingué à l'occasion de nombreuses collaborations avec les plus grands compositeurs de notre temps, parmi lesquels Michaël Levinas. C'est en effet lui qui a mis en scène son précédent opéra composé à partir des Nègres de Jean Genet. www.opera-lille.fr Vidéo : http://culturebox.france3.fr Du lyrique dans la musique de Michaël Levinas ou le spectre sur la scène 'L'instant du réveil est le moment risqué entre tous : c'est celui où l'on franchit la frontière. Qui devient-on la nuit ? Que s'est-il passé dans le sommeil de Gregor pour qu'il en sorte ainsi changé en monstre ? Le réveil, c'est toujours l'entrée dans un monde enchanté.' Yannick Haenel (1) Le monde enchanté de Michaël Levinas est celui de ce moment risqué où peut naître un drame et, c'est là la partie visible de l'enchantement, des personnages chantent, vivent et meurent. Nous sommes à l'opéra. Comment le compositeur parvient-il aujourd'hui à relever en musique le défi de la scène ? Quels moyens musicaux convoque-t-il ? Quel monde harmonique et lyrique bâtit-il ? Car pour sonner à ce point juste sur les planches, il faut que le style lyrique du créateur vienne de bien loin, de profond, non pas d'une circonstance, mais de ce qu'il est musicalement, depuis longtemps, de ce qu'il poursuit assidûment dans son oeuvre. En 2011, avec La Métamorphose, son troisième ouvrage lyrique, Michaël Levinas a montré une nouvelle fois la maîtrise qu'il avait des données de l'opéra : l'opéra comme théâtre, l'opéra comme lieu où l'est ému par le chant, l'opéra comme institution où la création a sa place. Quand les spectateurs découvrent à l'opéra le personnage de Gregor imaginé par Michaël Levinas, ils ont déjà entendu un prologue. Intitulé Je, tu, il et composé sur un texte somptueux de Valère Novarina, ce prologue se trouve, dans le temps du récit, en lieu et place de la nuit, d'un rêve sans doute, avant le réveil de Gregor. Les spectateurs assistent à une allégorie des énonciations (les pronoms personnels chantent : 'je', 'tu' et 'il' deviennent un instant des personnages), enlevée, très vive, baroque. Le compositeur (celui qui choisit la succession dans le temps des événements du récit lyrique - Michaël Levinas a largement adapté la nouvelle de Kafka) confie à trois sopranos ce prologue. Ainsi le récit de La Métamorphose débute-t-il par autre chose que lui-même, un autre lyrique qui n'est pas le récit, qui n'est pas même un récit, mais qui prépare à l'écoute de la Passion de Gregor qui suit - l'infra-récit est la préfiguration de l'infra-homonidée kafkaïenne mourante que montrera La Métamorphose - avec toute la résonance de ce parti-pris dramaturgique dans l'histoire politique de l'humanité. Ce geste est théâtral autant que musical. Il est très caractéristique de la sensibilité du compositeur pour ce qui, dans la musique, induit le lyrisme, le lyrisme étant entendu ici comme la mise en oeuvre de 'toutes les puissances que recèle le verbe soumis au rythme et à la mélodie' (2). En un mot, la dimension théâtrale de l'opéra n'est pas reniée par Michaël Levinas - au contraire : elle est exaltée. Toutes les puissances que recèle le verbe aident le compositeur dans son projet lyrique. Si le chant naît du verbe chez Michaël Levinas, il faut considérer que les parties instrumentales aussi naissent du verbe. Aux parties instrumentales s'ajoutent les parties électroniques qui, dans La Métamorphose autant que dans Les Nègres, opéra de 2003 d'après la pièce éponyme de Jean Genêt, donnent au son ce statut irréel, magique nécessaire à tout lyrisme. Elles aussi sont pensées, écrites, composées comme un prolongement des données du langage. Dans La Métamorphose, la polyphonie vient essentiellement de la voix démultipliée de Gregor et cette démultiplication est autant instrumentale qu'électronique. Le chant - émouvant ô combien - de Gregor est un choral, sa voix est intermédiaire, ni la sienne seule, ni une pluralité identifiable. La voix de Gregor participe d'une singularité inaudible - un monstrueux bien au-delà de l'hybride - pour son entourage qui le conduit à mourir (par décence ? par abandon de ses proches ?). Il y eut dans Les Nègres 'un langage tambouriné tissant des liens entre les phonèmes de la langue et la percussion' (3) et dans cette veine, récemment, Le Poème battu - il y eut en 2008 les réussites madrigalistes de Le 'O' du haut et des Trois chansons pour la Loterie Pierrot et Jean Lagresle sur un texte de Valère Novarina - il y eut enfin, pour La Métamorphose, l'acmé (provisoire - telle est l'activité de création) de l'analyse et de la synthèse sonore par ordinateur de la voix parlée et chantée (4). Comment faire des mots eux-mêmes un chant, un drame, un opéra enfin ? C'est là tout l'enjeu de la poïétique de Michaël Levinas. Le poïen grec, c'est la réponse à la question du faire. Dès Go-Gol (1996) (5) -le titre, Go-Gol est déjà un jeu de décomposition / recomposition du nom de l'écrivain dont est tiré le livret, le compositeur fait du mot le ressort de sa dramaturgie musicale. Il est entré depuis dans le son du mot lui-même et applique au champ de la linguistique une démarche spectrale (6). Ainsi naît son matériau lyrique. Décortiquant les données des hauteurs, des syllabes, phonèmes et morphèmes, Michaël Levinas - avec l'aide d'un outil informatique de plus en plus puissant - en tire des tournoiements, des arabesques, des lignes qui entent une composition destinée à la scène. L'opéra est bien là un lieu de création. La pointe de ce qui constitue la création musicale - à la fois l'oeuvre d'un compositeur qui est la recherche d'une vie et les outils qu'il utilise en les faisant évoluer - est non seulement viable, mais éminemment émouvante à la scène : la palette que s'est constituée le musicien induit bel et bien cette vibration des affects que tout un chacun veut à l'opéra, toutes époques confondues. '(...) c'est à l'opéra que, paradoxalement, tend je dirais toute oeuvre instrumentale.' déclarait en 1982 le compositeur (7). En effet, l'oeuvre de Michaël Levinas offre de lire les étapes de cette conception et des recherches qu'elle appelle. Ancrée dans le langage, toute adonnée au théâtre, la lyre de Michaël Levinas allie l'exigence créatrice à la séduction parfois vénéneuse d'une émotion dramatisée avec art. Pour l'heure, le compositeur a fait de la syllabe son mystère. Du mystère naît le drame et, sur scène, d'une dramaturgie naît un mystère par lequel le compositeur nous impose son temps, non pas le temps d'un drame, mais le temps intérieur résonant - pour notre plus grand plaisir. Benoît Walther, novembre 2011 (1) Interview 'Yannick Haenel, pourquoi aimez-vous La Métamorphose ?', parue dans Kafka, La Métamorphose (page II), traduction et présentation par Bernard Lortholary, Garnier Flammarion, Paris, 2010, 103 pages. (2) Pierre Grimal, Le Lyrisme à Rome, Introduction (p.15), Presses Universitaires de France, Paris, 1978, 304 pages. (3) Notice de Michaël Levinas pour l'opéra Les Nègres, mai 2002. (4) Les parties électroniques de Les Nègres et de La Métamorphose ont été réalisées à l'Ircam. (5) Le compositeur parle alors de 'traitement animal' de la langue française (Autour de Go-Gol : forme, récit, textualité dans l'opéra contemporain, entretien avec Evelyne Andreani, in : cf note 7). (6) Est spectrale une musique fondée sur l'analyse du spectre du son : découle de cette analyse l'organisation des paramètres musicaux et, in fine, de toute la composition elle-même. Aujourd'hui, les sons analysés peuvent atteindre des degrés de complexité très grands : par exemple, dans le cas de Michaël Levinas, la pénétration du détail d'une énonciation chantée autant que parlée. (7) Michaël Levinas, 'Qu'est-ce que l'instrumental ?', texte prononcé à Darmstadt en juillet 1982, in Le Compositeur trouvère, Ecrits et entretiens (1982-2002), textes réunis et annotés par Pierre-Albert Castanet et Danielle Cohen-Levinas (p.33), L'Harmattan, Paris, 2002, 428 pages. / contemporain / Répertoire / Solistes, Choeur et Orchestre

Par SCHUBERT FRANZ. Le manuscrit autographe des 'Moments Musicaux' étant jusqu'à ce jour introuvable, la présente édition a été réalisée en partant de l'édition originale: (E.O.) M.J. Leidesdorf, datée du 11 Juillet 1828, parue en deux cahiers. Cependant le No3 (sous-titré 'Air russe') a été édité cinq années auparavant, le 12 Décembre 1823 dans l'Album Musical, Tome 1, chez Sauer et Leidesdorf. De même, le No6 (sous-titré 'Plainte d'un troubadour') est paru le 11 Décembre 1824 dans l'Album Musical, Tome 2, page 22/25. Seule reste accessible une copie du #3 (portant le titre 'Air russe') et faisant partie du fonds Albert Stadler U.B. Lund, Slg: Tausig. Schubert a rassemblé ces six pièces dans un cycle qui porte le titre 'Moments Musicaux' et qu'il aurait pu aussi intituler 'Lieder ohne Worte' (Romances sans paroles). Après un examen attentif et la comparaison des éditions originales, l' Editeur a porté un grand soin à la présentation du texte musical et aux doigtés. Les quelques problèmes spécifiques à l'interprétation de ces Moments Musicaux sont proposés en bas de page. Les ajouts indiqués entre parenthèses sont de l' Editeur. / Niveau : Elémentaire / classique / Répertoire / Piano

The Edition Peters Grade 8 Piano Anthology has long been a popular resource for anyone approaching this important milestone examination. In September 2022 Edition Peters will release a new Grade 8 Anthology to support the new (2023/2024) Syllabus and, for the first time, will issue new anthologies to support pianists studying at or preparing for Grades 5, 6 and 7. Also new for this year: a selection of lesser-known additional repertoire suitable for the own-choice piece in the new Performance Exams. The four new Piano Anthologies for Grades 5, 6, 7 and 8 2023/2024 comprise a broad selection of examination pieces from lists A, B and C of the Associated Board syllabus. The anthologies support students preparing for the Practical Exam or for the new Performance Exam. Those preparing for the Performance Exams are aided by Performance Notes by Norman Beedie (Lecturer in Classical Improvisation, Piano and Conducting at the Royal Conservatoire of Scotland), which give advice on technique and interpretation for each piece, and guidance on preparing an effective programme. The pieces in this volume are drawn from the extensive range of piano music in the Edition Peters catalogue ? one of the widest available. With candidates able to offer a free choice work in the Performance Exam, each Anthology contains additional lesser-known repertoire suitable for the exam.

Examination Pieces. The Edition Peters Grade 8 Piano Anthology has long been a popular resource for anyone approaching this important milestone examination. In September 2022 Edition Peters will release a new Grade 8 Anthology to support the new (2023/2024) Syllabus and, for the first time, will issue new anthologies to support pianists studying at or preparing for Grades 5, 6 and 7. Also new for this year: a selection of lesser-known additional repertoire suitable for the own-choice piece in the new Performance Exams. The four new Piano Anthologies for Grades 5, 6, 7 and 8 2023/2024 comprise a broad selection of examination pieces from lists A, B and C of the Associated Board syllabus. The anthologies support students preparing for the Practical Exam or for the new Performance Exam. Those preparing for the Performance Exams are aided by Performance Notes by Norman Beedie (Lecturer in Classical Improvisation, Piano and Conducting at the Royal Conservatoire of Scotland), which give advice on technique and interpretation for each piece, and guidance on preparing an effective programme. The pieces in this volume are drawn from the extensive range of piano music in the Edition Peters catalogue ? one of the widest available. With candidates able to offer a free choice work in the Performance Exam, each Anthology contains additional lesser-known repertoire suitable for the exam.

The piano collection contains a wealth of wonderful pieces: 50 of the finest classical piano pieces written by 22 composers from the Baroque, Classical, Romantic and Modern eras. These perennial favourites, which are all of medium difficulty, are ideally suited for advanced pupils, students, adults returning to the instrument, and all lovers of great piano music. This is a 'treasure trove' for piano tuition and recreational music-making.

This album represents astonishing value for money! / Partition /

A sumptuous selection of the very best Keyboard music of the early Romantic era by composers ranging from Schubert to Chopin and beyond, all presented in one superb volume for the solo Piano. The music of the Romantic era is characterised by progressive innovations in both tonal and formal expression, both in the compositions of the salons and concert halls, and of the church. The works of Chopin, Liszt and Schubert have become absolutely essential repertoire for any serious Piano student, forever pushing the boundaries of diatonic harmony, timing and texture into evermore complex worlds of emotion. Every piece in this anthology is rich in heritage, and familiar to the ears of music lovers the world over. Take this opportunity to transform your repertoire - the music has been expertly adapted to appeal to the intermediate soloist whilst retaining all the beauty and character of the original works. There's simply no better way to discover the music of the masters. / Piano

Cantata for string orchestra and chorus. Triptych represents the concatenation and re-orchestration of two extant works. Movement I was commissioned with funds from The RVW Trust for the inaugural concert of the Choir of London conducted by Jeremy Summerly in Christ Church, Spitalfields on 18th December, 2004 - the work, premièred as Threnody, was subsequently toured by the Choir to Jerusalem and the West Bank from 19th-26th December, 2004. Movements II and III, commissioned by Portsmouth Grammar School with financial support from the PRS Foundation, were premièred as And There Was a Great Calm in a contiguous version for lower strings and upper voices by the Portsmouth Grammar School Chamber Choir and the London Mozart Players in a concert at Portsmouth Anglican Cathedral on 13th November, 2005 conducted by Nicolae Moldoveanu. The title of this latter section is taken from Thomas Hardy's poem of the same name, written at the signing of the Armistice on 11th November, 1918 - a couplet from which is set, in a moment of tranquillity, in the final movement. Relatively new to living in New York, I am much more aware of the independent, vibrant cultural plurality that exists today - it's probably the single most dazzling facet of the City and is largely responsible for the infamous 'edginess' that pervades daily life there. With this in mind, I set to work on Threnody (movement I here) in 2004 - I wanted to write something that was relevant to the Israeli/Palestinian issue without losing that City 'edge'. The texts, in English, are excerpted from a variety of sources: William Penn, William Blake, the Psalms of David and Muhammad Rajab Al-Bayoumi, an Egyptian poet of the early twentieth-century. Fast and rhythmically influenced by the music of North Africa in its syncopations, this movement was the first composition that evolved entirely from my New York perspective. From the moment that the commission for And There Was a Great Calm (movements II and amp - III here) was offered, I knew the piece I was about to embark upon would end up being linked with Threnody in some way. I realized that what I had been aiming for in Threnody served as a template for this new piece, originally composed for a Remembrance Sunday concert. Musical works connected with commemoration or memorials are often suitably pensive and slow - I wanted to start with that concept, but to bring in some of the relentless urban rhythms that had been such a large influence on my life in the preceding two years. The result is that that the second movement is quiet and gentle (a moment of recollection), while the final movement is much faster and vibrant, returning to a more openly elated rendering of the start of Triptych (the texts here dealing with transmigration and the future). and nbsp - I gratefully acknowledge the assistance of Bruce Ruben and Judith Clurman, as well as that of my parents, with the collation of the texts. Tarik O'Regan New York, February 2006 / Soprano, SATB Et Orchestre De Cordes

Par YEO HELEN. This book is a compilation of timeless classics, simplified and aimed to build the skills, agility and tonal control of early intermediate pianists, in order to assist the transition into intermediate level. Theory exercises are included after each song, for the pianist to make a practical/theory connection. / Methods and Tutors / Recueil / Piano

Piano Album. First publication of all the extant manuscript solo piano works (miniatures and collections of short pieces). Edited and with a preface (E/G/F) by Anna Górecka, Professor at the Katowice Music Academy and daughter of the composer.

Score and Parts.Commissioned by the Chamber Music Society of Lincoln Centre. First performance 19 May 1998 Merkin Concert Hall New York City.Quoting Weir: 'In my previous work I have often enjoyed inventing titles whichattempt to encapsulate the particular world of each composition but this fifteen minutes piece for violin cello and piano is simply entitled Piano Trio . What is the reason for this unusually abstract description? I thinkperhaps that in this piece the many external impressions which habitually make up my musical world have become too numerous and too personal to be pinned down in the space of few words that a composition title allows.The firstmovement began in my mind with impressions of Venice as relayed in Schubert's song Gondelfahrer; the crisp midnight air the dark choppy water the bells tolling the gondolier alone in emotional turmoil. Schubert's world is aplace where I can find constant inspiration and strength.The second movement recalls a time when I was called from a phone box in Africa. At one moment I was alone in my room the next (or so it seemed in my imagination)surrounded by light heat and sudden energy and activity. The movement is not however an evocation of African music; it takes the form of a scherzo and trio which collide with each other at the movement's conclusion.Thethird movement formed in my mind whilst I was reading some Gaelic poetry from the Hebridean island of Lewis on Scotland 's far flung Atlantic fringe. I was thinking of the bleached white beaches in that part of the world whereevery object lying on the sand - a washed-up bottle or a bird's skeleton - is a major event in a deserted landscape. The same might be said of this short set of musical variations where melodic fragments are laid out with plentyof space around them clear and plain for everyone to hear.

The New Decade Series provides great synopses of the musical decades, including the most iconic songs from each era presented for Piano, Vocal and Guitar. Songs of the 1950s includes hits from Elvis Presley, Perry Como, Cliff Richard and many more! 1. Ain’t That a Shame [Pat Boone] 2. All I Have to Do Is Dream [Everly Brothers] 3. All Shook Up [Elvis Presley] 4. At the Hop [Danny and the Juniors] 5. Blue Suede Shoes [Elvis Presley] 6. Bo Diddley [Buddy Holly] 7. Bye Bye Love [Everly Brothers] 8. Cara, Mia [David Whitfield] 9. Chantilly Lace [Big Bopper] 10. Diana [Paul Anka] 11. Dream Lover [Bobby Darin] 12. Earth Angel [Crew Cuts] 13. The Garden of Eden [Frankie Vaughan] 14. Give Me Your Word [Tennessee Ernie Ford] 15. Great balls of fire [Jerry Lee Lewis] 16. The Great Pretender [The Platters] 17. The Happy Wanderer (Val-De-Ri Val-De-Ra) [Obernkirchen Children's Choir] 18. Heartbreak Hotel [Elvis Presley] 19. Here In My Heart [Al Martino] 20. Hold My Hand [Don Cornell] 21. Hound Dog [Elvis Presley] 22. I Believe [Frankie Laine] 23. I Need Your Love Tonight [Elvis Presley] 24. I’ll Be Home [Pat Boone] 25. It Doesn’t Matter Anymore [Buddy Holly] 26. It’s All In the Game [Tommy Edwards] 27. It’s Only Make Believe [Conway Twitty] 28. Jailhouse Rock [Elvis Presley] 29. Just Walking In the Rain [Johnnie Ray] 30. Lipstick On Your Collar [Connie Francis] 31. Little Darlin’ [Diamonds] 32. Little Things Mean a Lot [Kitty Kallen] 33. Living Doll [Cliff Richard and the Shadows] 34. Magic Moments [Perry Como ] 35. Mambo Italiano [Rosemary Clooney and The Mellomen] 36. Maybe Baby [Crickets] 37. Memories Are Made Of This [Dean Martin] 38. Mona Lisa [Conway Twitty] 39. My Prayer [The Platters] 40. No Other Love [Ronnie Hilton] 41. Oh! My Pa-pa (Oh Mein Papa) [Eddie Calvert] 42. Peggy Sue [Buddy Holly] 43. (You’ve Got) Personality [Anthony Newley] 44. Peter Gunn [Duane Eddy] 45. Pretend [Nat King Cole] 46. Put your head on my shoulder [Paul Anka] 47. Que Sera, Sera (Whatever Will Be, Will Be) [Doris Day] 48. Rose-Marie [Slim Whitman] 49. Sea of Love [Marty Wilde] 50. See You Later, Alligator [Bill Haley and His Comets] 51. Shake, Rattle and Roll [Bill Haley and His Comets] 52. Singing the Blues [Guy Mitchell] 53. Sixteen Tons [Tennessee Ernie Ford] 54. Smoke gets in your eyes [The Platters] 55. Splish Splash [Charlie Drake] 56. Stupid Cupid [Connie Francis] 57. Such a Night [Johnnie Ray] 58. Tammy [Debbie Reynolds] 59. Teddy Bear [Elvis Presley] 60. Tequila [The Champs] 61. That’ll Be the Day [The Crickets] 62. That’s Amore (That’s Love) [Dean Martin] 63. Three Coins In the Fountain [Frank Sinatra] 64. Volare (Parish Version) [Dean Martin] 65. Wake Up Little Susie [Everley Brothers] 66. Wear My Ring Around Your Neck [Elvis Presley] 67. What Do You Want to Make those Eyes At Me For [Emile Ford and the Checkmates] 68. Where Is Your Heart (The Song from Moulin Rouge) [Mantovani] 69. A White Sport Coat (And a Pink Carnation) [King Brothers] 70. Who’s Sorry Now [Connie Francis] 71. Why Do Fools Fall In Love [Frankie Lymon and The Teenagers] 72. A Woman In Love [Frankie Laine] 73. You Belong to Me [Jo Stafford] 74. Young Love [Tab Hunter] / Piano voix guitare / Hal Leonard