Notre fac-similé donne toutes les différentes sources de ces deux remarquables pièces, que l'on peut jouer en trio ou en orchestre de chambre.Les sources sont regroupées : Caprice et Boutade, Paris, Leclerc, s.d. - Caprice, Paris, Ballard, 1711 - Boutade, Paris, l'auteur, Foucault, 1712 - Caprice, parties séparées manuscrites. Présentation de Catherine Cessac.1 - Caprice et Boutade, Paris, Leclerc, s.d. - Partition gravée2 - Caprice, Paris, Ballard, 1711. Partition imprimée3 - Boutade, Paris, l'auteur, Foucault, 1712. Partition gravée4 - Caprice : Parties séparées manuscrites : premier violon (en double) - deuxième violon (en double) - Basse de violon sans chiffrage - Basse de violon avec chiffrage (en double) / Violon Et Basse Continue, 2 Violons Et Basse Continue, Musique De Chambre / 63 pages / niveau : 1 / Fac-Similés - Format: 24 X 33

Sonates en trio pour deux flûtes traversières, avec la basse continue. Ces sonates peuvent se jouer aussi avec des violons et des hautbois - Premier Oeuvre Edition : Paris, Boivin, 1727.Ces sonates en trio sont parmi les plus belles de toutes celles publiées durant la première moitié du XVIIIe siècle. Ces sonates en trio peuvent se jouer à 2 flûtes, ou 2 hautbois, ou 2 violons et basse continue. L'exécution hautbois, violon et continuo à l'orgue sonne particulièrement bien.Publication en parties séparées : premier dessus - second dessus - basse continue.A la fin de la partie de basse continue : ' avertissement pour le chiffre ' signification des chiffrages employés. / 2 Flûtes Traversières Et Basse Continue / 84 pages / niveau : 1 / Fac-Similés - Format: 21 X 29.7

Partition pour Violon et basse continue ou 2 violons et basse continue. X Sonate, VI à violino solo è basso, è IV a trè. Opera Ottava.
Edition : Amsterdam, l?Auteur, s.d. (=1744) Présentation de Nicolas Fromageot : Bibliographie ? Comparaison des première et seconde éditions ? Lecture de la partition. Exemplaire déposé par le compositeur à l'Université de Leiden. La préface apporte la comparaison avec la seconde édition hollandaise et avec l'édition française. Fac-similé de l'exemplaire conservé à la bibliothèque de l'université de Leiden. Edition en parties séparées : partie de premier violon, avec la basse, en partition, pour les six premières sonates et sans la basse pour les sonates VII à X ? partie de second violon (sonates VII à X) ? basse continue (sonates VII à X) Compositeur : LOCATELLI Pietro Antonio
Auteur : FROMAGEOT Nicolas
Collection : Dominantes Titres :
Sonata I, en Fa Majeur : largo ? allegro ? allegro - Sonata II, en Ré Majeur : adagio ? allegro ? presto - Sonata III, en sol mineur : adagio ? allegro ? vivace ? allegro - Sonata IV, en Ut Majeur : cantabile ? allegro ? vivace ? allegro molto - Sonate V, en Sol Majeur : largo ? allegro ? andante ? allegro - Sonata VI, en Mi b Majeur : adagio ? allegro ? aria di minuetto (avec 8 variations) - Sonata VII (à 3), en La Majeur : andante ? [C barré] ? adagio ? cantabile ? allegro - Sonata VIII (à 3), en Ré Majeur : largo andante ? vivace ? cantabile ? allegro molto - Sonata IX (à 3), en fa mineur : largo andante ? [C barré] ? grave ? allegro - Sonata X (à 3), en la mineur : cantabile ? allegro ? vivace Nombre de pages : 84
Format : 24 x 33
Parution : 06/1997

Sei Sonate à trè, o due violini, o due flauti traversieri, è basso per il cembalo. Opera Quinta. Edition : Amsterdam, l'Auteur, (s.d. = 1736).Sonates à l'écriture parfaite, à l'harmonie intéressante. Cette Oeuvre est d'une difficulté limitée.Publication en 3 parties séparées : violino o flauto traversiere primo (partie signée par le compositeur) - violino o flauto traversiere secondo - basso per il cembalo. / 2 Violons Et Basse Continue, 2 Flûtes Traversières Et Basse Continue / 64 pages / niveau : 1 / Fac-Similés - Format: 21 X 29.7

Partition pour 2 Violons et basse continue Edition : Paris, l'Auteur, Boivin, Leclerc, Castagnery, Roussel, 1753 Ce recueil contient certainement les plus belles sonates en trio du répertoire Français, aux côtés des oeuvres en trio de François Couperin. Présentation de Philippe Lescat et Jean Saint-Arroman : Biographie de Jean-Marie Leclair
Trois parties instrumentales séparées. Compositeur : LECLAIR Jean-Marie
Auteur : LESCAT Philippe - SAINT-ARROMAN Jean
Collection : Musique Française classique de 1650 A 1800 Contenu :
Avertissement de J.M. Leclair - Ouvertura I en sol majeur : Grave ? Allegro ? Andante ? Minuetto, non troppo allegro ? Altro, dolce - Sonata I en ré majeur : Adagio ? Allegro ? Sarabanda, largo ? Allegro assai - Ouvertura II en ré majeur : Grave ? Allegro ? Andante, dolce ? Allegro - Sonata II en si mineur : Largo ? Allegro ma non troppo ? Largo ? Allegro - Ouvertura III en la majeur : Grave ? Allegro ? Largo, dolce ? Allegro assai - Sonata III sol mineur : Adagio ? Allegro ma non troppo ? Aria, gratioso ? Altro ? Allegro. Format : 24 x 33
Nombre de pages : 84
Date de parution : 01/2000

Par ALBINONI TOMASO. Editeur(s) d'origine: Lutz, Martin/ Répertoire / 2 Violons et Basse Continue

Clog Dances Fom The Lanca-Clog Dances from the Lancashire Cotton Mills arranged for Two Violins (or Violin & Viola) with optional Cello. Clog dancing originated in the North of England over 200 years ago. It is thought to have developed in the Lancashire Cotton Mills where wooden-soled clogs were preferred to leather soles because the floors were kept wet to help keep the humidity high an important feature in cotton spinning as the nails in leather soles could cause sparks which could result in the risk of explosion.The Clog dance steps were inspired by the rhythmic sounds of the textile machinery and it is said to have first been danced by girls working in the cotton mills. Theywould beat out a rhythm with their wooden clogs to keep in time with the shuttle flying backwards and forwards across the loom. They would also sing choruses whilst stepping to the rhythm of their machines.There were a variety of machines in the many mills of the Midlands and North West each machine built for a specific function. There were many rhythms and as the girls clog danced it is said that those watching the dancers could tell which machines they worked at and from which mill.Clog dancers were also a common sight not only at the mill's lunch breaks but also at competitions in towns and in Music Halls throughout the 19^th and 20th centuries.