Par MONTES ALFONSO. Certains des rythmes latino-américains connus sont inclus dans cette collection soigneusement classée de débutant au niveau intermédiaire. Pour ce livre, Mel Bay a demandé un expert sur la musique d'Amérique latine, monde célèbre guitariste-compositeur Alfonso Montes, de mettre en place toute son expertise à venir avec des morceaux de consonance latine réel gardant les exigences techniques à la portée des débutants et des joueurs intermédiaires. ', en plus d'être plein de belles mélodies et captivant des rythmes, devrait agir comme une introduction pour guitariste de tous âges à cette musique fascinante. Notation standard. -New Latin American pièces à des fins pédagogiques - Picking études dans 7 clés - solos de nouveau dans la diversité des styles latins pour les concerts - commence study of Latin American folkloriques et populaires formes musicales - soigneusement classés déplacer à un utilisateur amical de l'APCE - inégalée en intégralité - CD compagnon inclus / Niveau : Intermédiaire / Latin American - Solos / Recueil / Guitare Classique

Par DIX BRUCE. Ce DVD enseigne tout ce que vous devez savoir sur l'utilisation de capo. Dix Bruce enseigne la théorie de la musique de base qui explique comment fonctionne le capo et pourquoi. Vous apprendrez tous les principes fondamentaux de placer les différents styles de capodastres sur les guitares acoustiques et électriques. Vous apprendrez comment la position de fret de la capo affecte ce que clé vous jouez dans et comment utiliser le capo comme un outil artistique. Dix montre plusieurs chansons avec des techniques spéciales capoing y compris comment utiliser capo partielle pour simuler un remplaçant de réglage, comment utiliser les deux capodastres sur une guitare et comment utiliser capodastres sur deux guitares différentes à des positions différentes lorsque vous jouez dans un duo ou un groupe. Parfait pour les guitaristes de tous les niveaux. Ce produit est maintenant disponible en téléchargement vidéo par le biais de Mel Bay sur demande. / Niveau : Débutant / Acoustic Music - Methods / Méthode / Guitare

Cette leçon par un gigure légendaire dans le monde du pays et de la musique old-time est parfaite pour le sélecteur d'intermédiaire qui veut explorer une grande variété de techniques de flatpicking. L'enseignement de Norman Blake est clair et concis, et son choix de chansons et instrus viennent d'au coeur de son répertoire. Vous apprendrez Whiskey Before Breakfast, Gray Coat soldats, plus jolie petite fille dans le comté, le naufrage du vieux 97, Ginseng Sullivan et Bonaparte traversant le Rhin. L'accent de Norman est sur flatpicking fondamentaux tels que : alternance de traits Flatpick rouleaux Cross-picking Single-chaîne/rythmique-corde combinaisons diapositives, pull-offs, les positions de corde de hammer-ons Melody jouant a rejoint par sa femme et son partenaire musical Nancy Blake à la seconde guitare, Norman Blake discute technique de back-up, ainsi que des conseils précieuses sur l'utilisation de la capo, obtenir le plus de chaînes ouvertes, des techniques spéciales de profil et beaucoup de plus. / Guitare / niveau : Débutant / Dvd

Accords sabrer chiffres de diapositives et de battre Bukka White sont capables de générer un niveau élevé d'excitation, capable de laisser joyeusement danseurs épuisés. Mais il ya aussi une sensibilité et un sens de la dynamique de sa musique. Paroles de Bukka couru toute la gamme de la perceptive au surréaliste. La combinaison de ces deux endroits voix Bukka parfaitement dans la tradition du blues et dans sa niche propre et unique.Dans cette leçon, Tom Feldmann vous emmène à travers 10 de mélodies Bukka White. En partant de réglage Vestapol vous obtiendrez sa main droite, en train battu ramasser le bout des doigts avec Special Streamline. Ensuite, vous devrez apprendre à maîtriser en jouant à Cross-Note tuning avec Swing Jitterbug, Aberdeen Mississippi Blues, Boogie mondiale et Sic chiens Em On.Bukka approche de Cross-tuning Notez le distinguait de ses contemporains et ajoutera une nouvelle dimension à votre propre jeu. Vous apprendrez truc Bukka de freiner la 3e corde, derrière la glissière ainsi que sa signature 'Spank the Baby' technique, un réel plaisir pour la foule. S'engager dans G Open Tuning vous apprendrez Poor Boy, Fixin 'To Die Blues et Gibson Hill. La leçon se termine par Quand puis-je changer mes vêtements et Strange Place Blues en accordage standard.Ces chansons triés sur le volet ont été choisis sur la base que Bukka utilisé des modèles similaires pour un grand nombre de ses chansons, et en apprenant ces 10 vous êtes vraiment apprendre la totalité de ses oeuvres enregistrées. Les enregistrements originaux vieux de tous les morceaux sont inclus.Les titres comprennent: OPEN TUNING D: Special Streamline CROIX-TUNING REMARQUE: Swing Jitterbug, Aberdeen Mississippi Blues, Boogie mondiale, Sic chiens Em Le G Open Tuning: Poor Boy, Fixin 'To Die Blues, Gibson Colline STANDARD TUNING: Quand puis-je changer mes vêtements, blues endroit étrange112 minutes - Niveau 2/3 - Détail de l'onglet / la musique au format PDF sur le DVD / Guitare

Four Hundred Years Of Music In The Classical Guitar. Par PEREZ CARLOS. Célèbre guitariste chilien Carlos Perez effectue la musique de la renaissance à l'époque contemporaine, y compris ses arrangements captivants sur des pièces selon chiliens de Dowland, Bach, Mertz, Barrios et Brouwer. Ce récital enchanteur a été enregistré à la paroisse historique de Saint Filomena à Santiago du Chili. Durée 75 min. / Classic - Concert/Documentary / Accessoire / Guitare Classique

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Menuet 1 (WSW 1.8)
Menuet 2 (WSW 1.9)
Gavotte (WSW 1.10)
Gavotte et Double (WSW 2.8/WSW 2.9)
Prélude (WSW 4.1)
Ouverture (WSW 4.2)
Courante (WSW 4.3)
Bourrée (WSW 4.4)
Allegro (WSW 1*)
Courante Royale (WSW 2*)
Prélude (WSW 10.1)
[Menuet '] (WSW 4*)
Fuga (WSW 6*)
Fuga (WSW 7*)
L'Amant malheureux (WSW 8*)
Fantasie (WSW 9*)
[Menuet] (WSW 10*)
Plainte (WSW 15.1)
Tombeau du Baron d'Hartig (WSW 11*)
[Bourrée '] (WSW 12*)
Menuet (WSW 13*)
Gavotte (WSW 14*)
Menuet (WSW 15*)
Praelude [and Fugue] (WSW 17*)
[Menuet] (WSW 18*)
Trio (WSW 19*)
Bourrée (WSW 31.7*)
Tombeau de Logy (WSW 20*)
Prélude de Weiss (WSW 21*)
Fantaisie (WSW 24*)
Menuet (WSW 22*)
Gavotte (WSW 23*)
Capricio (WSW 25*)
Menuet 1 (WSW 26*)
Menuet 2 (WSW 27*)
Mademoiselle Tiroloise (WSW 28*)
Bourrée (WSW 13.4) / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Sonata 10 (WSW 15) en la M
Sonata 11 (WSW 16) en sol M
Sonata 12 (WSW 17) en do M
Sonata 13 (WSW 18) en ré M
Sonata 14 (WSW 19) en mi M
Sonata 15 (WSW 21) en mi m
Sonata 16 (WSW 22) en sol M
Sonata 17 (WSW 23) en la M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Sonata 18 (WSW 24) en do M
Sonata 19 (WSW 25) en sol m
Sonata 20 (WSW 26) en ré M
Sonata 21 (WSW 27) en ré m
Sonata 22 (WSW 28) en mi M
Sonata 23 (WSW 29) en la m
Sonata 24 (WSW 30) en mi M
Sonata 25 (WSW 31) en mi M
Sonata 26 (WSW 32) en mi M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN

Par GILLET R / GUILLEM P. L'idée de cette méthode pour guitare est née du désir de réunir et de partager toutes les musiques rencontrées sur les chemins de traverses, depuis nos études de guitare classique et de composition. Ces chemins nous ont fait croiser les musiques improvisées, musique indienne, arabo-andalouse, blues, pop-rock, funk, jazz, mais aussi la chanson française, sud-américaine, des Iles du Cap-Vert et des Caraïbes. En élaborant cette méthode, nous avons constamment cherché à respecter les styles des musiques abordées. Un accent tout particulier a été donné à la place prépondérente que joue le rythme dans la musique, et ce, quel que soit le style. Ceci nous a naturellement amené à inclure des parties de guitare, dites rythmiques, ou d'accompagnement et donc à parler des accords et de l'harmonie. Toutes les pièces sont composées d'une mélodies principale, jouée par la première guitare, d'une seconde guitare qui joue en arpège l'harmonie, et parfois nous avons adjoint une troisième, voire même une quatrième guitare, afin de vous initier à un jeu d'ensemble de guitares. Pour rendre le propos de l'harmonie plus clair, nous avons adjoint aux sept notes, ou degrés de la gamme, les sept couleurs de l'arc-en-ciel. Et pour ne pas rester en panne de créativité, nous vous proposons quelques idées pour que vous osiez improviser avec enthousiasme. / méthode - études / Méthode / Guitare

Par REED PRESTON. Preston Reed a développé un style de guitare c'est tout son propre. En combinant la polyvalence de fingerstyle avec une remarquable bibliothèque ont percutant et inhabituelle de trucs, ses arrangements et compositions la complexité fo une performance pleine bande, tous joué sur une guitare unique ! Son énergie physique et complexes inventions rythmiques et mélodiques tout en exécutant ambidextrously sur le cou, haut, corps, côtés et idéogramme de sa musique de guitare visibles en croit. Ce DVD puissant vous offre une chance très spéciale pour assister le style de guitare magique de Preston Reed dans une performance live débordant de ses techniques et de sons de la marque de commerce. Comme un traitement supplémentaire, Laurence Juber rejoint Preston pour deux duos dynamiques ! / Concert/Doc anglais / Date parution : 2006-05-10/ Accessoire / Guitare

Comment jouer des accompagnements et des solos de guitare dans les styles Jazz et Swing ' Avec cet ouvrage bien sûr... Dâ??un côté les rythmiques, avec un panel dâ??accompagnements reprenant les principales techniques et harmonies propres aux standards de Jazz. Pompe, technique de ligne de basse/accord, réharmonisation et chord melody sont abordés sur des grilles de type Blues/Jazz, Anatole, Jazz/Bossa... De lâ??autre, les solos, basés sur les principales progressions harmoniques pratiquées sur les standards de jazz (blues/jazz, rhythm changes, minor blues...). Les effets de jeu techniques, mélodiques et rythmiques propres au son â??jazzâ? y sont largement illustrés. De John Scofield et Pat Metheny à Charlie Christian et Freddie Green, en passant par Wes Montgomery et Joe Pass... les sources dâ??inspiration ne manquent pas pour évoquer ces styles ! Pour chaque accompagnement et solo, sont disponibles cinq enregistrements différents sur le CD?MP3 joint, répartis de la façon suivante : la guitare seule, au tempo normal puis ralenti, la même partie de guitare jouée cette fois sur son playback, et enfin le playback seul, là encore au tempo normal puis ralenti... pour permettre à chacun dâ??apprendre et de jouer à son rythme, selon son niveau et ses capacités. Soit près de 4 heures de musique en tout !
? / Méthodes et pédagogie / Guitare / Guitare acoustique / PLAY MUSIC PUBLISHING

Acquérir la maîtrise de la touche et d'améliorer considérablement votre capacité à improviser librement à la guitare. Sur ce DVD accessible et engageant, guitare jazz grand John Abercrombie fournit les outils que vous devez jouer avec plus de confiance, plus clairement et avec une plus grande créativité. John illustre les bases de l'improvisation technique de l'époque avec une série unique d'exercice-jouant sur une chaîne, création de moitié et des phrases de quart-note, à l'aide de seulement deux notes par mesure et bien plus encore. Il vous permet de jouer avec des limitations qui vous forcent à penser différemment à votre musique. You?ll, ralentissez et vraiment écouter, qui aidera votre développement comme un improvisateur. John?s propres compositions, avec la belle Stella standard par Starlight démontrent le large éventail de possibilités qui existent pour le guitariste d'improvisation. Dans le cadre de ces pièces vous donnera des idées puissantes sur développement mélodique, les polychording, les changements dynamiques, rythmiques et les autres compétences essentielles. John?s animé et informer... / Guitare

Technique de guitare. Cet atelier de Berklee, mettant en vedette plus de 20 solos et duos de Bach, Carcassi, Paganini, DORS et d'autres compositeurs de renommés, est conçu pour familiariser les intermédiaires de guitaristes pick-style avancées avec certains de l'excellente musique classique qui peut s'adapte à la guitare pick-style. Avec l'étude et la pratique, cet atelier augmentera les connaissances et des compétences sur cet formidable instrument du joueur. / Guitare

Un combiné concert et un autoportrait de Vishwa Mohan Bhatt, le maître de la guitare de Mohan Vina unique et la musique de la tradition classique indienne. L'artiste Grammy Award-winning Vishwa Mohan Bhatt est un exemple rare d'un artiste si original que le reste d'entre nous sont obligés de réexaminer exactement ce que la guitare est capable de. En concert, Bhatt effectue loyaux de la musique classique indienne sur une guitare de lapstyle à table voutée modifiée qui intègre de nombreux éléments du Sitar avec tous les chaînes résonante et diapositives vocalement fluides. Comme artiste, il a enregistré et a collaboré avec Ry Cooder, Taj Mahal, Jerry Douglas et Béla Fleck, combinant les sons de l'Inde avec les racines de nous folk et le blues. Cette intmate vitrine caractéristiques Bhatt accompagné de maître tabla Sukhvinder Singh Namadhari, effectuer quatre ragas et une musique folk - y compris le majestueux Yaman, pierre angulaire de la musique classique Hindustani. Guitaristes et les aficionados de la musique indienne alike seront beaucoup à admirer, apprécier... / Guitare