Premiere January 2011 by Marc-Andr? Hamelin Piano and the Indianapolis Symphony Orchestra Gilbert Varga conductor.

Musicians Wrestle Everywhereis a concerto scored for ten instruments Flute Oboe Clarinet Bass Clarinet Horn Trombone Percussion Piano Cello and Bass. The piece is a continuous thirteen minute movement withinfluence coming from the composer's experiences whilst walking around South-East London in an urban street environment. Sounds that influenced the piece include wind turbulence rain showers birds wind chimes and trafficnoise. Work commissioned by the Birmingham Contemporary Music Group first performance was given at the Adrian Boult Hall Birmingham on 5 March 1995.

Par RACHMANINOV SERGEI. Just as Serge Rachmaninoff ranked among the greatest pianists of the 20th century, his compositions for Piano and Orchestra won him an important position among modern composers. The major works that made his reputation include the first three Piano concertos, reprinted here in a single volume from authoritative full-score Russian editions./ Répertoire / Orchestre

Clara Wieck?s sincerest wish was that her future husband, Robert Schumann, turn his extraordinary genius toward the larger and more challenging task of composing orchestral music. Confiding in her diary in 1839, just one year before her marriage, she explained that ?it would be best if he composed for Orchestra: his imagination cannot find sufficient scope in the Piano?? In the years that followed their marriage Robert Schumann continued to devote much of his attention to Piano music, but he also found the time to comply with his beloved Clara?s wish by creating a number of musical pieces composed specifically for Piano and Orchestra. Although Schumann?s genius is most in evidence in his masterful solo Piano compositions and superb lieder, his lively and provocative imagination manifests itself with equal aplomb in the works composed for Piano and Orchestra. The same compelling romantic and lyrical qualities that captivate lovers of Schumann?s Piano music are evident in these compositions. Three of his finest are presented here in full score, including the A Minor Piano Concerto, one of the most popular and frequently performed concertos ever written. All demonstrate his remarkably innovative approach to music, diverting substantially from the classic models of the day, and display his immense creativity as well as his warmth and sensitivity. Included in this collection of Schumann?s compositions for Piano and Orchestra are: Piano Concerto In A minor, Op. 54 (published 1846) Concertstück, Op.92 (Introduction and Allegro appassionato; published 1852) Introduction and Allegro, Op. 134 (published 1855) These three works by one of the greatest masters of romanticism will delight musicians, music lovers and students, as well as devotees of Schumann. Pianists will be especially pleased to have these appealing Schumann works in one convenient edition available at an affordable price.

Par JARRELL MICHAEL. De la nature... du musical Michael Jarrell, né en 1958, est l'un des compositeurs les plus en vue de sa génération. Dans une démarche toute personnelle, qui ne s'est inféodée à aucun mouvement, et dans une quête intérieure inlassablement poursuivie, il a opéré une synthèse de l'héritage des musiques d'après-guerre dont il a extrait certaines caractéristiques techniques pour les mettre au service d'une véritable poétique musicale. En effet, contrairement à ses aînés, il explore moins le langage pour lui-même, faisant des nouvelles techniques le lieu d'une mutation dans la pensée musicale, qu'il ne cherche à le mettre au service de l'expression. Aussi se méfie-t-il d'une conceptualisation excessive, et de l'utopie dont l'oeuvre serait porteuse, préférant mettre en valeur les vertus d'un artisanat qu'il enseigne par ailleurs à Vienne et à Genève, ainsi que lors de nombreux séminaires à travers l'Europe. Ses oeuvres, facilement identifiables dans l'abondante production contemporaine, sont toutes liées les unes aux autres, non seulement par une certaine forme de sensibilité, leur tonalité propre, mais aussi par la récurrence de certains traits que Jarrell retravaille dans des contextes différents. Il s'est ainsi très tôt constitué un univers qu'il ne cesse de remodeler, visant moins l'originalité apparente de chacune des pièces qu'un déplacement constant des perspectives dans lesquelles les mêmes idées, en elles, peuvent être appréhendées. 'Cent fois sur le métier...' voilà quelle pourrait être sa devise. On trouve ainsi dans chacune de ses oeuvres quelque chose de familier qui acquiert en même temps une certaine étrangeté, sentiment qui constitue peut-être un élément essentiel de son expressivité. La musique de Jarrell arpente les régions du rêve et de l'irréalité, à la recherche de son moment de vérité, souvent situé dans les sonorités les plus graves et tes plus lentes, là où le temps, ailleurs agité, s'immobilise. C'est peut-être ce qui confère à sa musique une forme de tendresse inséparable de la beauté sonore, allant jusqu'à un esthétisme raffiné, loin des recherches extrêmes et des formulations autoritaires. Chez lui, même les techniques instrumentales les plus inhabituelles, ou les sonorités électroniques, auxquelles il a souvent recours, sont rapatriées dans un monde sensible emprunt de pureté où ce sont les qualités expressives qui dominent. Celles-ci ne renvoient pas forcément au moi du compositeur, qui tend au contraire à s'effacer, mais davantage à l'essence même du musical, au phénomène en soi, porteur d'une présence singulière au monde. On retrouve de telles qualités dans sa dernière oeuvre, ...Le ciel, tout à l'heure si limpide, soudain se trouble horriblement..., commandée par l'Orchestre de la Suisse Romande. Elle fait appel à un grand orchestre symphonique standard: 3 flûtes (dont alto et piccolo, 2 hautbois et cor anglais, 2 clarinettes et clarinette basse, 2 bassons et contrebasson, 4 cors, 3 trompettes, 3 trombones, tuba, harpe, timbales, 4 percussions (vibraphone, glockenspiel, cloches tubes, cymbales, bongos, tam-tam, grosse caisse, temple blocks, tom grave, spring coils, triangle, mark tree) et cordes. Malgré un titre qui pourrait sous-entendre un élément programmatique, l'oeuvre appartient à la catégorie de la musique pure. L'orchestre y est traité de façon conventionnelle, mais avec une virtuosité d'écriture, un raffinement dans la sonorité qui exige beaucoup de ses interprètes. D'un seul tenant, l'oeuvre se divise en quatre parties principales d'inégale longueur, les deux premières étant plus importantes que les deux suivantes: la première est constituée d'un continuum de notes rapides réparties entre les cordes et Les bois, tandis que les trompettes, doublées par différents instruments, lancent une figure d'appel incisive qui s'allonge progressivement. L'écriture est d'une grande virtuosité, les figurations en triples croches passant d'un instrument ou d'un groupe à un autre. Les notes rapides se figent une première fois dans des oscillations jouées notamment par les cordes divisées, puis à travers des notes répétées qui traversent toute la texture orchestrale. Après un passage intermédiaire privilégiant les sons graves, l'écriture vive reprend jusqu'à un sommet dramatique marqué par des trilles, aussitôt suivi d'une désintégration qui mène à la seconde partie. Celle-ci débute avec des quintes jouées par les cordes graves divisées et colorées par les percussions (les contrebasses, qui doivent modifier leur accord, jouent des sons harmoniques). La musique semble vouloir repartir d'un point originel, elle se réinvente à partir d'une structure élémentaire, dans une extrême douceur. L'impétuosité du début laisse place à une grande délicatesse des sonorités. C'est un trait que l'on retrouve dans de nombreuses pièces de Jarrell: après l'effervescence d'une écriture brillante, agitée, nerveuse, que l'auditeur suit dans sa course folle, vient un moment réflexif et profond, qui nécessite une réorientation de l'écoule, une plongée dans la nature même du phénomène sonore. La trame qui se déploie dans un tempo lent offre ainsi une autre image de la sonorité orchestrale, comme si une musique des origines, au caractère de litanie, était soudain dévoilée sous la couche éclatante du début. Elle donne le sentiment d'avoir commencé bien avant son moment d'apparition, comme si elle provenait des couches profondes de la conscience, d'une mémoire archaïque. D'ailleurs, Jarrell réélabore ici un passage d'une pièce antérieure, Music for a While, lui reprenant son matériau de base. Le sentiment de profondeur est dû au formidable ralentissement du temps, qui nous met soudainement en apesanteur, mais aussi à une forme en spirale, qui tranche avec la musique directionnelle qui précédait. L'effet que provoque la distance sensible entre de tels contrastes est onirique: on ne sait plus si la première partie, qui nous échappe en se projetant vers l'avant, n'était qu'une forme illusoire, ou si nous entrons, avec la partie lente, dans une sorte de rêve éveillé. Un passage central, dans cette seconde partie, s'organise autour de guirlandes sonores à la harpe et aux cloches que tout l'orchestre remplit de sonorités suaves. Les arpèges descendants des vents doublés par des pizzicatos de cordes, que transpercent des notes répétées aux trompettes et aux cors, dans un climat encore doux, annoncent la reprise du mouvement frénétique. Mais cette fois, ce sont moins des figures virevoltantes qui passent à travers les pupitres que des blocs de notes joués par la masse des instruments: des figures qui s'élancent vers le haut aboutissent à des notes répétées, en une forme d'antiphonie, et mènent à un sommet d'intensité. Après quoi, en guise de coda, une quatrième partie nous conduit à une fin mourante: l'harmonie se fige, les polyrythmes annulent toute sensation de mesure, les longues tenues des instruments graves chutent chromatiquement, les percussions jouant des figures rituelles, en résonance, jusqu'à l'immobilité finale. Le titre de la pièce provient de Lucrèce (De la nature). Il n'a pas de signification structurelle immédiate, comme souvent chez Jarrell, mais exprime en quelques mots l'idée qui avait présidé au morceau. Le trouble s'apparente ici à une forme d'étrangeté, à quelque chose d'inquiétant qui n'apparaît pas de façon narrative, tel un vent d'orage dans un ciel serein, mais comme l'essence même de l'articulation formelle entre deux types d'écriture, deux types d'expression qui exigent des temporalités opposées l'une à l'autre. La soudaineté, c'est le renversement entre les deux. Pourtant, on retrouve un même noyau entre les parties vives et les parties lentes, la quinte jouant dans les deux cas un rôle structurel, et le mib apparaissant comme une note polaire (toute la musique de Jarrell est aimantée par des pôles qui orientent l'écoute). Si le passage du limpide au trouble se traduit par la sonorité orchestrale, par le maniement très sensible des timbres qui provient en grande part de la tradition orchestrale française, il se manifeste aussi par des figures qui évitent tout profil thématique, toute forme mélodique au sens traditionnel du terme, et qui composent la texture. L'auditeur a directement à faire avec la matière sonore. Et celle-ci est composée de part en part. L'adjectif poétique vient à l'esprit pour définir une invention qui s'écarte aussi bien des formes illustratives que des constructions schématiques, et qui repose essentiellement sur l'organisation des hauteurs au détriment des effets, des sonorités bruiteuses ou des gestes iconoclastes. Et malgré les passages brillants, malgré les explosions sonores toujours maîtrisées et un maniement virtuose de l'orchestre, cette poétique révèle un caractère fondamental plutôt intimiste. Philippe Albèra / contemporain / Répertoire / Orchestre

Score-This work 3 Amplified Women's Voices 2 Pianos Percussion Wind and Brass was premiered by the San Fransico Symphony in February 1982. Grand Pianola Music recalls the music of Charles Ives in its creative synthesis ofvarious musical styles. The listener is greeted with a wide spectrum of sonic allusions ranging from band marches to gospel tunes from Beethoven's sonatas to melodramatic movie-hall stylings. The result is a work that walks theline between sincerity and irony.

Per Orchestra (1989) - Partitura. Par GUARNIERI ADRIANO. Langue: English(UK)/Deutsch/Français/Nederlands / Musique contemporaine / Répertoire / Orchestre

Dvorák, Antonín Concerto for Violin and Orchestra A minor op. 53 This study score is based on our recently published new scholarly-critical edition (BA 10422) of Dvorák's op. 53, his only violin concerto. Besides the original print, the edition takes into account Dvorák's autograph, which served as a model for the engraving. A fresh evaluation of the autograph has made it possible to reconstruct several variants ignored in the first and subsequent editions and to clarify ambiguities in notation and articulation. ' Study score based on the new Bärenreiter Urtext edition ' Variants in the solo part as ossia passages ' Foreword by the editor on the work's genesis (Ger/Cz/Eng)

In 1832 the Royal Philharmonic Society of London honoured the young German composer Felix Mendelssohn Bartholdy with several commissions. One of the works composed as a result was the A major symphony the ?Italian? based on Mendelssohn?s experiences in Italy in 1830 and 1831. The work was premiered in 1833 conducted by the composer.Today the Italian Symphony has a firm place in the canon of classical masterworks though at its premiere and both the following performances the work was not entirely positively received.Mendelssohn himself was unhappy with it. In 1834 he revised the last three movements but didnot complete this revision. To this day the early version of the ?Italian? is the one played everywhere whilst the revised version has remained to a large extent unknown. Bärenreiter?s critical new edition edited by Christopher Hogwood includes all the performance material for the complete version of 1833 together with the last three movements in the composer?s revised version. Conductors can now choose between the early and revised versions; the revised one includes the first movement from the early version.- A famous work for the Mendelssohn anniversary year in a new Urtext edition.- With the well-known early version and the composer?s revised version.- Includes an informative foreword in English and German.- With facsimile pages.- Full score & performance material (BA9094) available for sale.

The one-act ballet Job has been described as one of Vaughan Williams's mightiest achievements. It is a work which in a full production combines painting literature music and dance. The work was inspired by William Blake's Illustrations of the Book of Job and includes quotations from the King James Bible.The result is a musical masterpiece combining the ancient and the modern: Vaughan Williams's earlier style is in evidence including tranquil pastoral melodies but the work also anticipates the composer's later style. This new scholarly edition edited by Julian Rushton will replace the existing OUP edition from 1934 and will includedetailed preliminary matter comprising a preface sources and editorial method and detailed textual notes.

Le Sacrifice est mon deuxième opéra, écrit pour WNO et a été créée en 2007. Il est basé sur l'une des histoires Mabinogian, une collection d'anciens mythes du Pays de Galles. C'est une histoire d'amour au milieu d'un conflit civil ou clanique, et déboucher sur un acte suprême de l'auto-sacrifice qui guérit finalement la haine communautaire et apporte la paix et d'espoir renouvelé. Dans sa première production qui a placé l'action dans un proche avenir, plutôt que d'un passé mythique.Il ya un certain nombre d'interludes orchestraux qui relient les scènes dans un flux continu dans chacun des trois actes. Trois sont extraits ici pour faire une suite de concert.1) The PartingAprès une assignation finale secret, les deux amants, Sian et Evan se séparent, avant le mariage qui apportera les deux tribus ensemble. Il a été convenu que Sian veut se marier une fois, le chef de l'autre côté. Les deux ont le coeur brisé, mais se sont engagés à faire leur devoir pour sceller la trêve.2) PassacagliaLes clients des deux groupes de belligérants se réunissent pour la fête de mariage. Elle mettra fin à la violence.3) L'investitureSept ans plus tard, une autre tentative est faite pour rapprocher les deux communautés. Gwyn, le jeune fils de Sian et de Mal, est d'être 'couronné', comme un symbole de l'unité souhaitée. Les foules se rassemblent au cours de cette musique. La scène se termine dans les assassiner de l'enfant, par Evan. / Orchestre

Par SPOLIANSKY MISCHA. Spoliansky worked on Symphony over the course of three decades, from 1941 to 1969. It proves to be a very interesting historical document. Some passages are harbingers of orchestral composition techniques now well known in film music, while others evoke the music of the heyday of revue theatres. In his oeuvre Symphony counts as the only symphonic work and can be considered a programmatic symphony or, perhaps more appropriately, music for an imaginary film. / Date parution : 2022-04-05/ Répertoire / Orchestre

Joseph Martin gives you the world in his new cantata that celebrates the carols and traditions of Christmas. Like a seasonal travelogue this work tells the story of Christ's birth with great color and variety. Pamela Martin'sthoughtful narration allows for several performance options and the glorious orchestrations by Brant Adams and Stan Pethel capture perfectly the spirit and joy of this festive work. Observe our unity in Christ with the mostexciting Martin cantata yet! Carols include: Joy to the World ? Angels from the Realms of Glory ? Silent Night ? Infant Holy Infant Lowly ? Niño Lindo ? Italian Pipers Carol ? Love Came Downat Christmas ? Go Tell It on the Mountain ? The Virgin Mary Had a Baby Boy ? Everywhere Christmas Tonight ? and many more. Perf. Time: Approx. 40 minutes.

5 Study scores in a boxed set-Now that all the scores Critical Commentaries and complete performance materials have been published for Beethoven?s five Piano Concertos (BA 9021-9025) Bärenreiter is now presenting the five study score editions in a boxed set. The musical text reflects a judicious study of every surviving source producing an Urtext edition at the very highest level. This is the standard edition of these Beethoven?study scores beautifully engraved and collected in a lavish box set.Rounding off the edition is an informative introduction by Beethoven scholar Barry Cooper on the genesis of the works and a foreword by the renownededitor Jonathan Del Mar describing the sources and the editorial approach.Bärenreiter Urtext editions are at the cutting edge of scholarship presenting wonderfully scholarly editions of masterpieces by masters at affordable prices.The standard edition for pianists students conductors and libraries.

To najdoskonalsze w ród chopinowskich rond przynosi prób my lenia nie samym tylko brzmieniem fortepianu. Orkiestra sta a si tu dla solisty partnerem wyrazistym i istotnym którego pomini cie nie by oby mo liwe bez utraty pi knej i oryginalnej faktury d wi kowej utworu. Wydanie ród owo-krytyczne zredagowane przez Jana Ekiera i Paw a Kami skiego na podstawie r kopisów kopii zatwierdzonych przez samego Chopina i pierwszych wyda . Jego celem jest przedstawienie twórczo ci Chopina w autentycznym kszta cie. Krakowiak w uk adzie na jeden fortepian znajduje si w tomie 15 A XIVa a wersja z wyci giem fortepianowym wtomie ''Utwory koncertowe'' 32 B VII G osy orkiestrowe s dost pne do wypo yczenia w Bibliotece Materia ów Orkiestrowych PWM w Warszawie.