Par . Over the past decade, Off the Record has been one of Modern Drummer magazine's most popular columns. Each month it focuses on a well-known drummer through detailed transcriptions and analysis of recordings. Here for the first time is a collection of the best of these articles, highlighting outstanding performances in modern rock, metal, punk, classic rock, funk, and progressive music. Also features several new, never-before-published articles and a disc with over 175 MP3 examples! Drummers included are John Bonham, Ringo Starr, Keith Moon, Neil Peart, Phil Collins, Carter Beauford, Chad Smith, Lars Ulrich, Dave Grohl, Matt Sorum, Taylor Hawkins, Dennis Chambers, Alex Van Halen, Stewart Copeland, and many, many more. / Date parution : 2022-05-31/ Etude / Batterie

For Matt Haimovitz and the University of Wisconsin Symphony Orchestra James Smith Director. Supported by the Arts Institute UW-Madison. On Albany CD 3 Works for Solo Instruments and Orchestra.

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Menuet 1 (WSW 1.8)
Menuet 2 (WSW 1.9)
Gavotte (WSW 1.10)
Gavotte et Double (WSW 2.8/WSW 2.9)
Prélude (WSW 4.1)
Ouverture (WSW 4.2)
Courante (WSW 4.3)
Bourrée (WSW 4.4)
Allegro (WSW 1*)
Courante Royale (WSW 2*)
Prélude (WSW 10.1)
[Menuet '] (WSW 4*)
Fuga (WSW 6*)
Fuga (WSW 7*)
L'Amant malheureux (WSW 8*)
Fantasie (WSW 9*)
[Menuet] (WSW 10*)
Plainte (WSW 15.1)
Tombeau du Baron d'Hartig (WSW 11*)
[Bourrée '] (WSW 12*)
Menuet (WSW 13*)
Gavotte (WSW 14*)
Menuet (WSW 15*)
Praelude [and Fugue] (WSW 17*)
[Menuet] (WSW 18*)
Trio (WSW 19*)
Bourrée (WSW 31.7*)
Tombeau de Logy (WSW 20*)
Prélude de Weiss (WSW 21*)
Fantaisie (WSW 24*)
Menuet (WSW 22*)
Gavotte (WSW 23*)
Capricio (WSW 25*)
Menuet 1 (WSW 26*)
Menuet 2 (WSW 27*)
Mademoiselle Tiroloise (WSW 28*)
Bourrée (WSW 13.4) / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Sonata 18 (WSW 24) en do M
Sonata 19 (WSW 25) en sol m
Sonata 20 (WSW 26) en ré M
Sonata 21 (WSW 27) en ré m
Sonata 22 (WSW 28) en mi M
Sonata 23 (WSW 29) en la m
Sonata 24 (WSW 30) en mi M
Sonata 25 (WSW 31) en mi M
Sonata 26 (WSW 32) en mi M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN

The Country Blues guitar duet tradition is rich and varied but it has been relatively unexplored by present day blues players. This is a shame for a couple of reasons there are a lot of great duets that merit being worked out and played for today's audiences preserving the music but there's also just the sheer enjoyment and fun involved in playing this music with a kindred spirit someone who hears and responds to this music as you do yourself.In Legendary Country Blues Duets Frank and John have selected some of the really prime guitar duets in the Country Blues tradition to teach you. The songs they've chosen for the lesson have beenpicked to provide you with a variety of different duet approaches sounds and techniques. In several instances the two guitar parts are played out of different tunings or positions. In the course of the lesson you'll work through and learn Kansas Joe & Memphis Minnie's Pile Drivin' Blues Walter Beasley and Sylvester Weaver's Toad Frog Blues Will Batts and Dan Sane's Country Woman Yank Rachell and Dan Smith's Squeaky Work Bench Blues and Frank Stokes and Dan Sane's What's The Matter Blues.For each one of the songs in the lesson John and Frank take turns teaching their parts which are then shown in slowed-down split-screen versions of each duet part followed by the two guitars together. TAB and standard notation of the guitar parts and the song lyrics are included as a PDF file on the DVD as are the original recordings of the songs. You can choose to learn one or the other of the parts or learn both parts and teach one to a friend. There is a richness in shared musical performance that is yours for the taking here. Learn Legendary Country Blues Duets and find out just how rewarding playing Country Blues with another guitarist can be.

2ème édition' prix à la baisse! Plus de 150 chansons, transcriptions note-pour-note pour Guitare tablatures avec les paroles complètes. Titres : Aerials [System Of A Down] All Apologies [Nirvana] All Day And All Of The Night [Kinks, The] All The Small Things [blink-182] All Your Love (I Miss Loving) [Rush, Otis] American Woman [Kravitz, Lenny] Badge [Cream] Best Of You [Foo Fighters] Birthday [Beatles, The] Blue Suede Shoes [Presley, Elvis] Brass In Pocket [Pretenders] Brick House [Commodores] Bulls On Parade [Rage Against The Machine] Can't You See [Marshall Tucker Band] Caught Up In You [.38 Special] Centerfold [J. Geils Band] Change The World [Clapton, Eric] Chinatown, My Chinatown [Atkins, Chet] Cliffs Of Dover [Johnson, Eric] Close My Eyes Forever [Osbourne, Ozzy] [Ford, Lita] Couldn't Stand the Weather [Vaughan, Stevie Ray] Cradle Of Love [Idol, Billy] Crush 'Em [Megadeth] Cult Of Personality [Living Colour] Dani California [Red Hot Chili Peppers] Day Tripper [Beatles, The] Dissident [Pearl Jam] Divorce Me C.O.D. [Travis, Merle] Don't Fear The Reaper [Blue Oyster Cult] Drive My Car [Beatles, The] Dust In The Wind [Kansas] Eye Of The Tiger [Survivor] Fly Like An Eagle [Steve Miller Band] For Your Love [Yardbirds, The] Fortunate Son [Creedence Clearwater Revival] Free Ride [Edgar Winter Group] Full House [Montgomery, Wes] Give Me One Reason [Chapman, Tracy] Gloria [Van Morrison] Godzilla [Blue Oyster Cult] Green-eyed Lady [Sugarloaf] Hair Of The Dog [Nazareth] Heartache Tonight [Eagles] Heaven Beside You [Alice In Chains] Hey Joe [Hendrix, Jimi] Hit Me With Your Best Shot [Benatar, Pat] Hold My Hand [Hootie and The Blowfish] Honeysuckle Rose [Reinhardt, Django] Hot Blooded [Foreigner] I Just Want To Celebrate [Rare Earth] I Love Rock 'N Roll [Joan Jett and The Blackhearts] I Stand Alone [Godsmack] I'm Your Hoochie Coochie Man [Muddy Waters] Iron Man [Black Sabbath] It Hurts Me Too [James, Elmore] Jessica [Allman Brothers Band, The] Jesus Is Just Alright [Doobie Brothers, The] Kind Hearted Woman Blues [Johnson, Robert] Landslide [Fleetwood Mac] Layla [Derek And The Dominos] Learn To Fly [Foo Fighters] Learning To Fly [Petty, Tom] Let It Ride [Bachman-turner Overdrive] Lit Up [Buckcherry] Living After Midnight [Judas Priest] Longer [Fogelberg, Dan] Loser [Beck] Mama Kin [Aerosmith] Mannish Boy [Hendrix, Jimi] Mary Had A Little Lamb [Guy, Buddy] Mississippi Queen [Mountain] Misty [Kessel, Barney] Moonlight In Vermont [Smith, Johnny] Mr. Jones [Counting Crows] My Girl [Temptations, The] Name [Goo Goo Dolls] No One Like You [Scorpions] No Particular Place To Go [Berry, Chuck] Oh, Pretty Woman [Van Halen] Oleo [Martino, Pat] Owner Of A Lonely Heart [Yes] Papa's Got a Brand New Bag [Brown, James] Paperback Writer [Beatles, The] Paranoid [Black Sabbath] Piece Of My Heart [Joplin, Janis] Pretty Fly (For A White Guy) [Offspring, The] Radar Love [Golden Earring] Ramblin' Man [Allman Brothers Band, The] Ramrod [Eddy, Duane] Rebel, Rebel [Bowie, David] Rhiannon [Fleetwood Mac] Ridin' the Storm Out [REO Speedwagon] Rock And Roll Hoochie Koo [Derringer, Rick] Rock and Roll Never Forgets [Bob Seger and The Silver Bullet Band] Rock Around The Clock [Bill Haley and His Comets] Run To The Hills [Iron Maiden] Satin Doll [Joe Pass] School's Out [Cooper, Alice] Seven Come Eleven [Christian, Charlie] Shake Me [Cinderella] Shining Star [Earth, Wind and Fire] Shout It Out Loud [Kiss] Signs [Tesla] Sir Duke [Wonder, Stevie] Sleepwalk [Santo and Johnny] Slither [Velvet Revolver] Smoke On The Water [Deep Purple] Snortin' Whiskey [Travers, Pat] Something to Talk About (Let's Give Them Something to Talk About) [Raitt, Bonnie] Southern Cross [Crosby, Stills and Nash] Start Me Up [Rolling Stones, The] Statesboro Blues [Allman Brothers Band, The] Stray Cat Strut [Stray Cats] Sunday Bloody Sunday [U2] Sunshine Of Your Love [Cream] Susie-Q [Creedence Clearwater Revival] Sweet Child o' Mine [Guns N' Roses] Sweet Emotion [Aerosmith] Sweet Little Angel [King, B.B.] Take A Picture [Filter] Takin' Care of Business [Bachman-Turner Overdrive] Teach Your Children [Crosby, Stills, Nash and Young] Tears In Heaven [Clapton, Eric] The Impression That I Get [Mighty Mighty Bosstones, The] The Man Who Sold The World [Nirvana] The Space Between [Dave Matthews Band] The Stumble [King, Freddie] This Masquerade [Benson, George] Til I Hear It from You [Gin Blossoms] Time [Pink Floyd] Time For Me To Fly [Reo Speedwagon] Time In A Bottle [Croce, Jim] Today [Smashing Pumpkins] Tube Snake Boogie [ZZ Top] Turn! Turn! Turn! (To Everything There Is a Season) [Byrds, The] Two Princes [Spin Doctors] Unchained [Van Halen] Unskinny Bop [Poison] Wait And Bleed [Slipknot] Wake Up Little Susie [Everly Brothers, The] Walk This Way [Aerosmith] What I Like About You [Romantics, The] What's Your Name [Lynyrd Skynyrd] When The Children Cry [White Lion] Wild Thing [Troggs, The] Wonderwall [Oasis] You Give Love A Bad Name [Bon Jovi] You Shook Me [Led Zeppelin] You Were Meant For Me [Jewel] You've Got a Friend [Taylor, James]

In the year 1368 a rapacious character takes up residence in the castle of Rijnesteyn at Cothen. He is Johan bastard son of the Bishop of Utrecht.Round this now so peaceful castle eventful matters are enacted. In part one Johan and Willem Gulik of Guelders set out to do battle against King Charles of France. On their return in part two Johan captures two French goldsmiths in Hainault and incarcerates them at Castle Rijnesteyn. Part three is a musical representation of a courtly ballet in medieval style. The final part relates how Jan van Rijnesteyn goes to war against Hendrik van Vianen and Lord of 'Goy Viscount of Utrecht.Jan loots hispossessions and threathens to conquer all. In het jaar 1368 betrekt een roofzuchtig heerschap het kasteel Reijnestein te Cothen.Het is Johan de bastaardzoon van de Utrechtse bisschop. Rond dit nu zo vredig gelegen ridderslot hebben zich toen geruchtmakende taferelen afgespeeld. In het eerste deel trekt Johan met Willem Gullik de hertog van Gelre ten strijde tegen koning Karel van Frankrijk. De terugreis speelt zich af in het tweede deel. Tijdens deze reis neemt Johan in Henegouwen twee Franse goudsmeden gevangen en sluit ze op in de kerker van slot Rijnesteyn. Deel 3 is de muzikale weergave van een hoofs ballet in middeleeuwse stijl. In het laatste deel wordt verteld hoe Jan van Rijnesteyn in 1396 ten strijde trekt tegen Hendrik van Vianen en de heer van't Goy burggraaf van Utrecht. Jan plundert diens goederen en dreigt diens bezittingen te veroveren.

In the year 1368 a rapacious character takes up residence in the castle of Rijnesteyn at Cothen. He is Johan bastard son of the Bishop of Utrecht.Round this now so peaceful castle eventful matters are enacted. In part one Johan and Willem Gulik of Guelders set out to do battle against King Charles of France. On their return in part two Johan captures two French goldsmiths in Hainault and incarcerates them at Castle Rijnesteyn. Part three is a musical representation of a courtly ballet in medieval style. The final part relates how Jan van Rijnesteyn goes to war against Hendrik van Vianen and Lord of 'Goy Viscount of Utrecht.Jan loots hispossessions and threathens to conquer all. In het jaar 1368 betrekt een roofzuchtig heerschap het kasteel Reijnestein te Cothen.Het is Johan de bastaardzoon van de Utrechtse bisschop. Rond dit nu zo vredig gelegen ridderslot hebben zich toen geruchtmakende taferelen afgespeeld. In het eerste deel trekt Johan met Willem Gullik de hertog van Gelre ten strijde tegen koning Karel van Frankrijk. De terugreis speelt zich af in het tweede deel. Tijdens deze reis neemt Johan in Henegouwen twee Franse goudsmeden gevangen en sluit ze op in de kerker van slot Rijnesteyn. Deel 3 is de muzikale weergave van een hoofs ballet in middeleeuwse stijl. In het laatste deel wordt verteld hoe Jan van Rijnesteyn in 1396 ten strijde trekt tegen Hendrik van Vianen en de heer van't Goy burggraaf van Utrecht. Jan plundert diens goederen en dreigt diens bezittingen te veroveren.