This song by Josh Groban with Ladysmith Black Mambazo is absolutely breath-taking! Perform it accompanied or a cappella the rich harmonies will resound through your performance space and inspire your singers and audience!Available separately: SATB SSAA TTBB. Duration: ca. 2:35.

8h42 de concert! Ici sont rassemblés les images des festivals 'Modern Drummer' de 200 et 2003. Assistez à des performances incroyables de Don Brewer, Vinnie calaiuta, Horacio 'El Negro' Hernandez avec Marc Quinones, Akira Jimbo, Paul Leim, Hilary Jones, Dave Lombardo, Billy Ward, Louis Santiago, Jr. Hip Pickles, Nathaniel Townsley Trio, Matt Wilson, Steve Smith and Vital Information, Mike Portnoy, Drumbassadors. / Batterie Et Percussions

Tout d'abord, vous pensez jouer avec un choix de styles tels que le bluegrass , la musique traditionnelle du pays , jazz, blues ou du rock . Il a jouer la littérature classique à la guitare à cordes d'acier a déjà une longue tradition , on pense le plus créé dans les années 50 par de tels arrangements Harry Smith , Harry Volpe , Mel Bay ou Sal Salvador. Oliver Waitze prend cette tradition et nous offre avec cette question lors de certains travaux non coupés et bien édité de Bach en notes et tablature . Allegro Assai - Violin Sonata #3 , Courante de 3e Suite pour violoncelle , Goldberg Variations - Variation 1 , Prélude de la Suite pour violoncelle n o 2 plus 6 arrangements plus uniques pour guitare solo. Niveau d'exigence .Waitze Oliver joue de la guitare , de la mandoline et du banjo . Sa passion est les formes acoustiques de la musique moderne tels que le bluegrass, swing manouche , celtique , New Acoustic Music , la musique brésilienne et DAWG . Son jeu est puissant et mélodique à la fois , sa technique époustouflante. Oliver a la date du 3 CD sur lequel les autres de la célèbre mandoline virtuose David Grisman ( DAWG ) se fait entendre. David Grisman été tellement impressionné par la virtuosité de Oliver qu'il l'a invité à plusieurs reprises à jouer dans son Quintette avec Joe Craven, Matt Eakle , Enrique Coria and James Kerwin avec . En 2000, Oliver a fondé l' énergique duo Vibracao '. En Solingen , il dirige également l'exquise Gitarrengeschaft , New Acoustic Gallery '- trouver en plus de vendre des guitares et des accessoires ici à intervalles réguliers des concerts , des séminaires et l'enseignement à la place. Oliver détient Flatpicking - Histoire - Séminaires et présenté Shanti guitares de Michael Hornick au Festival Bluegrass de Telluride annuel dans le Colorado, USA . / Guitare

For Matt Haimovitz and the University of Wisconsin Symphony Orchestra James Smith Director. Supported by the Arts Institute UW-Madison. On Albany CD 3 Works for Solo Instruments and Orchestra.

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Menuet 1 (WSW 1.8)
Menuet 2 (WSW 1.9)
Gavotte (WSW 1.10)
Gavotte et Double (WSW 2.8/WSW 2.9)
Prélude (WSW 4.1)
Ouverture (WSW 4.2)
Courante (WSW 4.3)
Bourrée (WSW 4.4)
Allegro (WSW 1*)
Courante Royale (WSW 2*)
Prélude (WSW 10.1)
[Menuet '] (WSW 4*)
Fuga (WSW 6*)
Fuga (WSW 7*)
L'Amant malheureux (WSW 8*)
Fantasie (WSW 9*)
[Menuet] (WSW 10*)
Plainte (WSW 15.1)
Tombeau du Baron d'Hartig (WSW 11*)
[Bourrée '] (WSW 12*)
Menuet (WSW 13*)
Gavotte (WSW 14*)
Menuet (WSW 15*)
Praelude [and Fugue] (WSW 17*)
[Menuet] (WSW 18*)
Trio (WSW 19*)
Bourrée (WSW 31.7*)
Tombeau de Logy (WSW 20*)
Prélude de Weiss (WSW 21*)
Fantaisie (WSW 24*)
Menuet (WSW 22*)
Gavotte (WSW 23*)
Capricio (WSW 25*)
Menuet 1 (WSW 26*)
Menuet 2 (WSW 27*)
Mademoiselle Tiroloise (WSW 28*)
Bourrée (WSW 13.4) / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Sonata 18 (WSW 24) en do M
Sonata 19 (WSW 25) en sol m
Sonata 20 (WSW 26) en ré M
Sonata 21 (WSW 27) en ré m
Sonata 22 (WSW 28) en mi M
Sonata 23 (WSW 29) en la m
Sonata 24 (WSW 30) en mi M
Sonata 25 (WSW 31) en mi M
Sonata 26 (WSW 32) en mi M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN

Guitar Sherpa Presents-Designed to motivate and inspire students Guitar Sherpa's innovative learning systems employ a hands-on contextual format. Students 'play' their way through Guitar Sherpa curriculum rather than working through tedious examples and exercises.Ladd Smith winner of Guitar Player magazine's Guitar Superstar award delivers an extraordinary learning experience covering the essential improvisational theoretical and technical skills needed to perform and record in the modern Nashville electric Guitar style. You'll play your way through Monster Nashville Guitar in a cognitive manner - no tedious notation theory or exercises to bog you down. Ladd presents an extensive seriesof lessons based on his instrumental 'Outrun the Train' which earned him the Guitar Superstar competition's top spot. 'The tune is an ideal instructional tool because it features a ton of my favourite licks and covers a wide range of up-tempo 'Tele-melee' material in an ear-friendly way utilizing a common key tempo and theme for ease of reference.' Ladd teaches you the Nashville numbering system provides gear overviews with each lesson while drilling down on dozens of key skills including hybrid picking banjo rolls chicken pickin' chord solos 'butterfly' hammer-on/pull-offs unison and pedal-steel bends train beats open string pull-offs vibrato descending double-stop runs triad-based pedal-steel riffs sliding 4th intervals and bends arpeggiated rhythms contrary-motion/counter-point lead lines descending banjo effects open string utilization behind-the-nut bends and whole tone riffs. Whether or not you aspire to be a Nashville player Monster Nashville Guitar is a bottomless resource for players of any style providing ample instruction to feed your grey matter for a lifetime. Hands-On Learning Tools included with Monster Nashville Guitar: Text Lesson Guide Standard Notation Guitar Tab Power Tab Files Power Tab Software Practice Rhythm Tracks Bonus Material. Secure PIN enclosed in DVD package for quick and

A unique collection that celebrates one of the most distinctive voices in American songwriting. It is the first publication to include previously unavailable Newman classics such as 'Davy The Fat Boy' 'Political Science' and 'Burn On'. It also includes hits from such movies as Toy Story and Parenthood as well as 'I Love L.A' 'Mama Told Me Not to Come' 'Short People' 'Sail Away' 'You Can Leave Your Hat On' 'Bleeding All Over the Place' 'I Love to See You Smile' 'It's Money That I Love' 'Miami' and more.Full contents:Feels Like HomeGainesvilleGod's Song (That's Why I Love Mankind)GuiltyI Love L.A.I Love to See YouSmile (from 'Parenthood')I Think It's Going to Rain TodayI Want You to Hurt Like I DoIn Germany Before the WarIt's Lonely at the Top (a/k/a Lonely at the Top)It's Money That MattersLiving Without YouLouisiana 1927Mama Told Me Not to ComeMarieMiamiOld ManOne More Hour (from 'Ragtime')Political ScienceReal Emotional GirlRednecksSail AwaySame GirlSandman's Coming (from 'Cop Rock' and the Music/Theater Piece 'Randy Newman's Faust ')Short PeopleSimon Smith and the Amazing Dancing BearSong for the DeadYou Can Leave Your Hat OnYou've Got a Friend in Me (from 'Toy Story')CowboyDavy the Fat BoyDixie FlyerBaltimoreBleeding All Over the PlaceBurn On

Tudor and Stuart monarchs reigned during a period of political and ecclesiastical turmoil out of which occurred profound developments in musical style.Tudor Anthems (the term loosely applied to cover the years 1520 to 1640) anthologises some of the finest English musical works of that era. It includes sacred works of various lengths and standards of difficulty for mixed voice choir accompanied and unaccompanied by an array of composers including Byrd Dering Gibbons Morley Mundy Parsons Philips Smith Taverner and Tomkins.A comprehensive collection and indispensable resource for any choir's library prepared in an easilyunderstood performing edition by Lionel Pike.'This is an excellent book. It offers variety the familiar and the less so all levels of difficulty and excellent value. Choirs who invest in a set could cover this aspect of their repertoire for years to come.'Andrew Gant (Choir & Organ - March/April 2011) 'A new Tudor anthem anthology will inevitably invite comparison with the popular Oxford Book of Tudor Anthems but Lionel Pike's collection largely avoids overlap with the OUP book and its contents certainly do not disappoint.' Matthew O'Donovan (Early Music Today - March/May 2011)'For many choirs and choral societies the Oxford Book of Tudor Anthems has been a standard source for this wonderful repertoire since it was first published in 1978. This new edition from Novello is now a serious competitor (why have we had to wait so long!). At almost the same price as the OUP volume and with 50 anthems (OUP had 34) this anthology is remarkable value for money. Before considering the contents it is worth mentioning its weight. My choir complains at holding the New Church Anthem Book and this is the same weight as the NCAB paperback (i.e. over a kilogram) and almost A4 in size. Lionel Pike