Duo No. 1 (1992)

Per 12 Strumenti (9 Esecutori) (1992). Par GUARNIERI ADRIANO. / Musique contemporaine / Date parution : 1905-06-25/ Répertoire / Ensemble Mixte

A travers cette méthode d'apprentissage Clarinette vous aurez tous les éléments pour pouvoir maitriser votre instrument. Cet ouvrage L'ABC DU JEUNE CLARINETTISTE VOLUME 1 - TRILINGUE - REVISE 1992 a été écrit par Dangain Guy et éditée par les éditions Billaudot sous la référence GB1707 1. / Clarinette / niveau : Débutant

Par SANTANA CARLOS. Ce Best Of couvre les grandes chansons des années 1992 à 2006 de Carlos Santana extraites des albums 'Milagro', 'Surnaturel', 'le Shaman'. Toutes les chansons sont autentiquement transcrites pour guitare en notation standard et en tablature. / Rép International / Tablatures / Guitare Tablatures

John Lee Hooker is one of the few legendary bluesmen to crack the MTV barrier. He has recorded and performed with a host of contemporary pop stars. John Lee's music hasn't changed but the accompanying musicians have. This 58 minute video presents John Lee performing with many of his friends from 1984 to 1992. Ry Cooder duets on three tracks. Robert Cray burns up the fretboard on Mr. Lucky John Hammond plays slide behind Father Was a Jockey and Bonnie Raitt cajoles and teases on I'm In The Mood.

Par ARCENS GILLES. Diplômé du conservatoire de Toulouse de 1982 à 1985 (1er prix de saxophone, 1er prix de musique de chambre, prix de perfectionnement de saxophone, 1er prix d'harmonie, 1er prix de contrepoint, 2ème prix de solfège), il poursuit des études de composition de musique de films à l'Ecole Normale de Musique de Paris, avec Antoine Duhamel et Laurent Petitgirard, entre 1987 et 1988. De 1986 à 1992, il exerce en temps que professeur de saxophone, de musique de chambre, d'harmonie et de contrepoint au conservatoire d'Andorre la Vieille (Principauté d'Andorre). Il joue en parallèle dans le quatuor de saxophones Tetrasax de 1981 à 1990, puis de 1989 à 1993, avec le Jazz Time Big-Band, dirigé par Richard Calléja. Il rejoint le grand orchestre de René Coll en 1992, en temps que saxophoniste arrangeur, et compositeur. Il réalise des orchestrations pour de nombreuses émissions de télévision (Sacrée Soirée, les Années Tubes, FaSiLa Chanter, Vivement Dimanche, les 25 ans du Loto, Prima Dona, Le Plus Grand Cabaret du Monde, Music-hall et Compagnie, les émissions pour l'élection de Miss-France de 1996 à 2003), sur des compositions originales de Vladimir Cosma, Gérard Presgurvic, Richard Sanderson, Gilles Arcens, etc. Il travaille en étroite collaboration avec Patrick Sébastien depuis 1998 : co-compositions et arrangements de ses chansons, réalisation de tous ses albums, composition de ses génériques de ses émissions télévisées, mise en forme et orchestration de ses spectacles et tours de chants, accompagnement sur scène en tournée dans toute la France et dans les grandes salles parisiennes (Olympia, Palais des Congrès, etc.). Durant sa carrière, il a accompagné de nombreux artistes dont J. Hallyday, F. Pagny, Barry White, N. Croisille, S. Distel, H. Salvador, Maurane, V. Samson, S. Lama, C. Aznavour, G. Lenorman, D. Briand, Adamo, Dave, H. Léonard, L. Fabian, E. Macias, M. Delpech, J. Montagné, Garou, Nadya. Ses compositions regroupent de nombreuses musiques pour big-band, ballet, film, ensemble de clarinettes, orchestre d'harmonie, piano, clarinette et cordes, clarinette et orchestre d'harmonie, contes musicaux pour enfants, choeur mixte et orchestre d'harmonie, et pour ensemble de cuivres. / Niveau : Avancé / Répertoire / Trompette Solo et Orchestre d'Harmonie

Par JARRELL MICHAEL. La série des 'Assonances' de Michael Jarrell représente comme les 'Sequenze' de Berio l'idée de cycle, bien qu'elles ne soient pas forcément écrites pour instrument seul. Le compositeur les considère comme ses 'cahiers d'esquisses', 'comme un droit: celui de me concentrer sur une idée et de m'y sentir libre'*. Assonance pour clarinette solo - créé le 22 août 1984 à l'Aspen Festival (Colorado) par Nicholas Cox - est la première de cette série, elle illustre parfaitement l'idée exprimée par le compositeur. On ressent la limitation des moyens musicaux, bien que la virtuosité instrumentale ne soit quant à elle pas vraiment limitée... Michael Jarrell part de quelques éléments de base, telle cette première cellule que l'on va retrouver (au même titre que les autres éléments initiaux) sous différentes présentations: à un tempo plus lent, avec des trilles et des notes intercalées régulièrement ou encore sous la forme d'une reprise variée, très peu de temps avant la fin de l'oeuvre. L'ensemble de la pièce repose sur un réseau très précis de relations entre différents éléments musicaux relevant soit de phénomènes difficilement perceptibles consciemment (comme les précédents), soit, au contraire, de sections bien distinctes les unes des autres que l'auditeur perçoit facilement de par leurs relations d'opposition, de contraste ou de complémentarité. Le retour varié du début fait finalement place à une coda essentiellement fondée sur la dimension polyphonique de l'instrument, qui était sous-jacente depuis le début. L'oeuvre présenta ainsi deux 'parcours' simultanés: l'un, plutôt circulaire, qui revient finalement aux éléments du début après avoir suivi une certaine trajectoire, l'autre qui fait aboutir une idée musicale (la polyphonie) développée régulièrement et progressivement. Assonance illustre bien l'idée de son titre - une forme de rime ancestrale -, mais sa richesse, sa rigueur et sa poésie vont bien au-delà d'un procédé ! Pierre Michel, extrait du livret du disque Solos (aeon). * Danielle Cohen-Lévinas: 'Entretien avec Michael Jarrell', in Les Cahiers de l'Ircam, coll. 'Compositeurs d'aujourd'hui', 1992, p.11. Dans Assonance, pour clarinette (1983), Jarrell, à la manière des Sequenza de Luciano Berio, écrit des états instrumentaux qui laissent supposer qu'une seule clarinette suffit à en dévoiler plusieurs. Parti comme souvent d'un motif aux contours sériels, il décline, comme des planches d'architecte ou des esquisses de peintre - idée gouvernant toute la série des Assonances -, des situations amorcées mais jamais terminées où alternent une vision du son qui transite par la virtuosité de l'instrumentiste et une sophistication de l'écriture, plus proche d'une rhétorique de l'ornementation que d'une syntaxe. Mais au lieu d'expérimenter, comme Berio dans la Sequenza pour clarinette, toutes les ressources de l'instrument, Michael Jarrell travaille avec ses virtualités, sans nous montrer ses fonctionnements, occupant l'espace de la partition en se laissant guider par la contrainte du dessin à inventer pour que la clarinette sonne au-delà de sa reconnaissance effective. Jarrell restreint le projet musical il se fixe des règles. En revanche, il multiplie les difficultés techniques, estimant qu'il est inutile de proposer de nouveaux effets si les musiciens ne peuvent les réaliser. L'utopie du timbre s'arrête là où commencent les contraintes de l'instrumentiste. A ce titre, il mélange les catégories: le précis et l'imprécis, le décisif et l'indécis, le fiable et le douteux. Michael Jarrell insiste sur le fait qu'il existe, par exemple, deux genres de sons multiphoniques: ceux entre parenthèses à caractère imprécis, ceux sans parenthèse qu'il faut jouer avec une grande exactitude. La question du même et du différent trouve avec le timbre un écho particulièrement éloquent. Si un mode de jeu, un énoncé rythmique ou une cellule mélodique peuvent signifier tout à la fois une volonté sonore et son contraire, c'est que la syntaxe qui charpente cette esthétique du simulacre est à la fois souple et rigoureuse, intuitive et cérébrale, improvisée et écrite, harmonique et sérielle, etc. Assonance pour clarinette seule est une pièce emblématique, elle représente en raccourci ce mélange de contraintes et de libertés où se façonne l'oeuvre de Jarrell. Danielle Cohen-Lévinas, Extrait du livre monographique Les Cahiers de l'Ircam, coll. 'Compositeurs d'aujourd'hui, 1992 / Niveau : Difficile / contemporain / Répertoire / Clarinette

For solo Cello and Orchestra.Published in 1992.3(3rd+picc).3(3rd+ca).3(3rd+bcl).3(3rd+cbn) / 4.4.3.1 / hp.4perc / strCommisioned by the Australian Broadcasting Corporation.First performed by DavidPereira and the Sydney Symphony Orchestra condcted by Iroyuki Iwaki Sydney November 1992.Score.

Michael Nyman was inspired to write this single-movement piece Self Laudatory Hymn Of Inanna And Her Omnipotence in 1992 after having discovered the text in the library of a friend. The words belong to Inanna the Queen of theHeavens in the Sumerian religion who proclaims audaciously all that her father Enil has bestowed upon her. Nyman composed the piece for counterTenor James Bowman and recorded it on his eighteenth album Time Will Pronounce:The 1992 Commissions. Unlike many of Nyman’s other albums this one features only one member of the Michael Nyman Band.Nyman is a contemporary British composer of richly layered modular minimalist pieces often incorporatingperiod instruments or instrumentation outside the normal Orchestral offerings. He is particularly well known for his film scores including The Piano The Cook The Thief His Wife and Her Lover Prospero’s Books and The Claim among many others. His work is widely performed.

Player's Score-Tjampuan (1992) - ´Where the Rivers meet´ - 6 Movements for Violin and Cello by Per Nørgård. Programme Note: Any nature phenomenon with a character of its own - a bat cave a very old banja tree etc is by the balinese regarded as holy (for which reason very often a temple is placed close to it !) Thus also the place where two rivers meet (called ´tjampuan´in Indonesian this also the name of a valley ´where the rivers meet´near Ubud Bali). The connection to a duo for violin and cello is hardly difficult to understand: Two individualities integrate their soloistic expressions to one the rivers meet. The 5th movement however is a thorough contrast movement (more ´brook like´!) as is also the 6th movement which with its whirling figurations rather associate to kataracts or fountains.Per Nørgård (1992)