Grande Sonate op. 29 op. 29

Opus 13 - Grande Sonate Pathetique. Par BEETHOVEN LUDWIG VAN. In a span of only eight years, between 1794–1802, Beethoven composed twenty Piano sonatas, among them his so-called “Grande Sonate Pathétique” op. 13. It marks the consummation of his Classical style, yet also already alludes to his Heroic Period with its intensely Romantic characteristics. Composed in the “tragic” key of C minor, it foreshadows the expressive drama of later masterworks such as the Fifth Symphony or the Coriolan Overture. Of the famous sonatas, this one is the most technically manageable and thus proves immensely popular with advanced Piano students. The new Urtext edition from G. Henle Publishers hails from the successful Beethoven collaboration between Norbert Gertsch and Murray Perahia, as usual with fingering and interpretive suggestions from the great pianist. / Gertsch, Norbert / Perahia, Murray / Répertoire / Piano

Par BACH JOHANN SEBASTIAN. Transcription pour alto et piano par Bruno Monsaingeon et Antoine Joly On ne saurait affirmer que le répertoire original de concert de l'alto, en tant qu'instrument soliste, soit richement pourvu en chefs-d'oeuvre. Au mieux, et encore si on inclut les sonates de Brahms, elles-mêmes transcrites de la clarinette, deux programmes de récital et on a fait le tour de la question. Avec le présent recueil, nous n'avons d'autre ambition que de contribuer à élargir cet éventail. Les six sonates - dites en trio - pour orgue de Johann Sebastian Bach, figurent parmi les oeuvres les plus rigoureuses du compositeur. A l'inverse d'autres compositions pour orgue de Bach, ses grandes Fantaisies et Toccatas, dans lesquelles abondent de luxuriantes formules virtuoses de nature indubitablement instrumentale, les sonates relèvent d'une stricte écriture à trois voix, sans que jamais le moindre ajout harmonique, la moindre tentation exhibitionniste, viennent troubler leur parfaite pureté polyphonique. Il nous est apparu que leur facture fondamentalement a-instrumentale était telle que ces sonates se prêtaient sans doute mieux que toutes autres à la transcription. De surcroît, il était clair qu'il existait une évidente adéquation entre leur écriture et celle destinée à un instrument à archet, et que la vocalité intensément expressive de leurs mouvements lents, comme la sobre alacrité de leurs mouvements rapides, conviendraient à merveille aux couleurs sonores très spécifiques de l'alto. Restait à faire en sorte que la transcription pour cet instrument crée l'illusion qu'elles avaient été originellement conçues pour lui. A cet égard, deux types de problèmes étaient à résoudre. Le choix des tonalités. Bach lui-même, lorsqu'il adaptait pour le clavier ses concertos originellement écrits pour le violon, recourait toujours à un changement de tonalité, en transposant systématiquement ces oeuvres d'un ton vers le bas. Passer du clavier de l'orgue à l'alto requérait de procéder à un traitement analogue, pour faire en sorte que l'instrument à cordes soit exposé dans le registre qui lui serait le plus favorable, tout en tenant compte de ses propres limites. Dans notre recherche des tonalités les mieux adaptées à chacune des sonates, nous avons été guidés par le souci de contourner deux écueils celui qui contraindrait l'alto à jouer dans un registre trop aigu, où sa sonorité a tendance à se faire claironnante - et à éviter parallèlement de l'emmener trop souvent vers son registre grave, magnifique pour les notes tenues et chantantes, mais qui sied mal aux notes rapides, telles que les doubles croches, dont les Allegros de Bach font une allègre consommation. Du fait de l'épaisseur des cordes graves de l'alto, leur émission y est quelque peu confuse, et elles y prennent presque inévitablement une sonorité pelucheuse qui rend l'équilibre acoustique de la souveraine polyphonie de Bach peu perceptible. C'est ainsi qu'après bien des essais et tâtonnements, nous sommes arrêtés aux transpositions suivantes: de Mi bémol majeur à Sol majeur pour la 1e sonate, d'Ut mineur à Sol mineur pour la 2e, de Mi mineur à Ré mineur pour la 3e, et ainsi de suite. Dans l'édition, nous indiquons à chaque fois la tonalité d'origine. Pour finaliser nos choix, nous avons d'ailleurs dû jouer avec un paramètre supplémentaire, car il va sans dire qu'une fois décidée la tonalité d'ensemble de telle ou telle sonate, nous nous sommes fixé pour règle de respecter les relations de tonalité adoptées par Bach entre les mouvements rapides et lents de ses oeuvres. La distribution des voix entre les deux instruments. Bach ayant naturellement réparti les deux voix de 'dessus' et la voix de basse de ses sonates entre les deux mains et le pédalier de l'organiste, la solution qui apparaissait à première vue s'imposer pour notre transcription, consistait à attribuer la voix supérieure à l'alto, tandis que les deux mains de l'instrument à clavier se chargeraient de la voix médiane et de la basse. Et de fait, c'est ainsi que nous procédâmes pour l'essentiel. Néanmoins, en de nombreuses occasions, nous avons jugé bon de faire exception à ce principe trop simple. Deux types de raisons nous ont ainsi conduits à recourir ici ou là à une redistribution des parties d'un instrument à l'autre. Le souci là encore de ne jamais placer l'alto dans une tessiture extrême, et surtout d'éviter d'aboutir à une confusion des entrées et des réponses fuguées. Ce faisant, nous croyons être parvenus par la même occasion à créer des échanges d'une grande vitalité entre les deux instruments. En publiant ici le résultat du travail prodigieusement stimulant qui fut le nôtre - accompagné de propositions de coups d'archet soigneusement étudiées (mais évidemment révisables selon les choix interprétatifs de chacun), destinées à en rendre clairs le phrasé, l'expression et la facture - nous avons la conviction de pourvoir à l'enrichissement du répertoire des altistes sous la forme de six chefs-d'oeuvre de tout premier ordre, sans que la transcription les ait d'aucune manière dénaturés. Nous sommes également persuadés que le soi-disant 'parent pauvre' de la famille des cordes ne le cédera en rien au 'roi des instruments' dans l'expression du sublime lyrisme constamment présent dans ces oeuvres de Johann Sebastian Bach. / classique / Répertoire / Alto et Piano

Die Violoncello-Sonate im 19. Jahrhundert. Par WIESENFELDT CHRISTIANE. / Livre / Livre

Par HAYDN FRANZ JOSEF. 55 sonates, 55 pianistes – Édition en 3 volumes: HN 1337 (volume I), HN 1339 (volume II), HN 1341 (volume III) 55 pianistes internationaux célèbres ont pu être convaincus de choisir chacun une sonate pour piano de Haydn, afin de la parrainer en lui conférant ses doigtés personnels – une sorte de «Who’s who» du monde contemporain du piano. Les Éditions G. Henle proposent ici ce classique dans une édition revue, et habillée de neuf pour tous les pianistes, et nous sommes ainsi sûrs d’assurer aux sonates de Haydn leur place dans la vie musicale actuelle et future. Avec les œuvres les plus tardives, le volume III offre le couronnement des Sonates pour piano composées par Haydn. Il contient des œuvres aussi célèbres que la tempétueuse Sonate en mi mineur Hob. XVI:34, ou la «grande» Sonate en Mi bémol majeur Hob. XVI:52. Toute une œuvre pianistique se trouve ici magnifiquement mise en valeur dans une immense force expressive, et c’est pourquoi ces sonates ont jusqu’à nos jours encore toute leur place dans les programmes de concerts. Doigtés: Andreas Staier (Hob. XVI:33 Ré majeur) Murray Perahia (Hob. XVI:34 mi mineur) Angela Hewitt (Hob. XVI:40 Sol majeur) Tom Beghin (Hob. XVI:41 Si bémol majeur) Daniil Trifonov (Hob. XVI:42 Ré majeur) Marc-André Hamelin (Hob. XVI:43 La bémol majeur) Piotr Anderszewski (Hob. XVI:48 Ut majeur) Evgeny Kissin (Hob. XVI:49 Mi bémol majeur) Christian Zacharias (Hob. XVI:50 Ut majeur) Alexander Lonquich (Hob. XVI:51 Ré majeur) András Schiff (Hob. XVI:52 Mi bémol majeur)/ Répertoire / Piano

Op. 2 No. 3. Par BEETHOVEN LUDWIG VAN. remplace HN 622. Les trois sonates pour piano op. 2 sont les premières oeuvres de ce genre que Beethoven ait composées et dotées d'un numéro d'opus, les offrant ainsi au monde musical comme des compositions particulièrement précieuses. Elles virent le jour au cours des premières années viennoises de Beethoven et l'établirent - de même que ses Trios avec piano op. 1 - comme l'un des compositeurs les plus importants de son temps. Chacune de ces sonates est un petit chef d'oeuvre, qui rivalise en matière d'exécution et de bravoure. Cette grande sonate est surtout marquée par la vivacité du premier et du dernier mouvement qui avec leur Allegro con brio et Allegro assai exigent de la part d'un pianiste bien en selle de véritables prouesses de virtuosité - à la grande stupeur du public ... si tout se passe bien !/ Répertoire / Piano

Par BEETHOVEN LUDWIG VAN. Après les trois Sonates pour piano op. 2 datant des années 1794/1795, Beethoven projetait probablement rapidement la composition d’un nouveau groupe de trois sonates. La Grande Sonate op. 7 fut, en raison de ses vastes dimensions, dissociée de ce projet et publiée à part. Et pourtant, avec les Sonates en ut mineur, Fa majeur et Ré majeur, la prochaine triade fut prête début 1798 et imprimée et publiée à Vienne encore la même année en tant qu’op. 10. Comme déjà la Sonate en ut mineur op. 10 n° 1, celle en Fa majeur, ne comporte que trois mouvements et se distingue du modèle en quatre mouvements établi par les opus 2 et 7 - résultat d’une expérimentation intensive avec différentes variantes de menuets, qui furent d’ailleurs finalement toutes rejetées. Les manuscrits de Beethoven de l’opus 10 n’ont pas été conservés, si bien que cette édition Urtext en provenance de l’atelier Perahia/Gertsch se base elle aussi essentiellement à l’édition originale, largement commentée comme toujours, et complétée par les précieux doigtés de Murray Perahia./ Répertoire / Piano

Kurfürstensonaten. Par BEETHOVEN LUDWIG VAN. Ludwig van Beethoven left us 35 piano sonatas actually. The three sonatas from his days in Bonn, published in 1783, do not have an opus number and therefore do not appear in the canon of 32 sonatas. However, these demanding early works are not to be underestimated. Their piano technique is challenging, particularly because of their differentiated articulation while their compositional technique points far ahead into his Viennese days. The main theme of the Second Sonata in F minor (1st movement) already presages the allegro theme of the Grande Sonate pathétique. The present edition draws on the first edition and an extant composer's copy of the first edition with Beethoven's corrections as well as on the reprint in Haslinger's complete edition in which the sonatas are numbered as Nos. 1-3 of all piano sonatas by Beethoven, as if it were the most natural thing in the world./ Recueil / Piano

If the nickname 'Appassionata? was appropriate for one of Beethoven's Sonatas, it would be for his E-flat major Sonata op. 7 rather than his famous work in F minor op. 57. This was Carl Czerny's opinion who felt that op. 7 was written in a rather passionate state of mind. It was not only Beethoven's first 'Grande Sonate? but also his first work of this genre which he had published individually.The earliest sketches for Beethoven's Grande Sonate op. 7 date from 1796 and the first edition was issued in October 1797. This work is one of the longest and most demanding of Beethoven's piano sonatas. Its four movements cover a wide range of emotions - a challenge that may well have overtaxed the dedicatee, Beethoven's then 16 year old pupil Anna Luise Barbara (Babette) Countess Keglevicz.The worldwide renowned Beethoven specialist Jonathan Del Mar draws on all available sources for his scholarly-critical Urtext edition. The result of his thorough research is a reliable musical text accompanied by a detailed Critical Commentary. The elegant engraving with practical page turns and an optimal layout for this complex music meet the needs of performers. Indispensable information on performance-related issues (the use of the pedal, articulation, ornaments) adds to the value of this edition. / Piano

Sonate #8. Par BEETHOVEN LUDWIG VAN. 'This sonata is easier to study than any of the earlier ones, and has therefore always been extremely popular.' (Carl Czerny). Indeed, the Grande Sonate pathétique is the one with the most moderate demands in terms of playing technique among Beethoven's famous piano sonatas. But it is also popular for its pathetic expression, which captivates the listener from the very first chords. The new edition is published as a single edition following the revised new edition of all Beethoven's piano sonatas published in 2018/19. The edition is based on the first edition published in 1799, the second edition by the original publisher published soon afterwards and some early reprints. The latter are particularly important as supplementary sources, since neither the autograph nor copies of them have survived. The Critical Report (in German and English) informs about the importance of the sources and the editorial decisions. The trilingual preface provides historical background information. In addition, the performance-practical remarks by Beethoven's pupil Carl Czerny offer first-hand interpretative advice./ Répertoire / Piano

La référence GB2232 de l'éditeur Billaudot dont l'auteur célèbre est Moscheles Ignaz, qui a pour titre GRANDE SONATE CONCERTANTE OPUS 44, a été écrite et composée pour Flûte Traversière et plus particulièrement pour Flûte Et Piano. Cette partition musicale appartient à la catégorie Classique. / Flûte Et Piano / Partition

Beethoven's four-movement Sonata in A-flat major op. 26 belongs to his most popular works. It is dedicated to Prince Lichnowsky, one of his most generous patrons and the dedicatee of, for example, the Grande Sonate pathétique op. 13 and Symphony No. 2 op. 35. The work's initial drafts date from 1800-01 - it was first published in March 1802. This demanding sonata is highly varied in its form: it begins with a set of variations and contains the famous Marcia funebre sulla morte d'un Eroe as its third movement, earning it the nickname 'Sonata with the Funeral March?. The identity of the title's eroe (hero) remains unknown to the present day. The march was performed at Beethoven's funeral on 29 March 1827 in an arrangement for orchestra.For this Bärenreiter edition Jonathan Del Mar, possibly as one of the first editors of a modern edition, consulted the composer's autograph in the original. This enabled him to decipher details of Beethoven's handwriting in particular with regard to the exact notation of doubtful slurs. The result is a most reliable and thoroughly-researched musical text. Differing readings and editorial decisions are documented in the Critical Commentary. The edition has been finely engraved and includes practical page turns. Information on central issues of historical performance practice (pedalling, ornaments, tempo, dynamics, articulation) is provided in a detailed chapter. - Scholarly-critical Urtext edition based on most recent Beethoven research - Evaluation of Beethoven's autograph in the original - Elegant engraving with practical page turns - Informative Introduction (Eng / Ger) - Discussion of central performance practice issues (Eng / Ger) - Detailed Critical Commentary (Eng) / Piano

Op. 22. Par BEETHOVEN LUDWIG VAN. Composed in 1800 and published as a 'Grande Sonate”, Beethoven's Piano Sonata in B-flat major op. 22 marks the end of his first creative period. The only surviving handwritten source is a copyist's manuscript that served as an engraver's copy but which conflicts in many details with the original print. Beethoven held this sonata in especially high regard, proudly calling it 'a real challenge” in a letter of 15 January 1801 to his publisher Franz Anton Hoffmeister. Indeed, it manifests the quintessence of classical formal principles: its proportions are balanced, its four-movement structure consummately designed. It poses high demands on flawless technical brilliance and lightness of execution./ Répertoire / Piano

Beethoven's Grande Sonate in C major op. 53 (1803-04) marks his turn towards large-scale symphonic influenced piano works. Since its first publication this highly virtuosic piece, dedicated to Beethoven's friend and patron Ferdinand, Count Waldstein, has lost none of its magnetism. To this day it remains a pianistic challenge and a musical touchstone for every performer. Jonathan Del Mar, currently one of the most renowned Beethoven scholars, stands for a meticulously edited Urtext edition on the basis of an intensive study of all sources. Performers can look forward to a musical text which is based on the latest research findings and where the fine engraving as well as practical page turns will facilitate the study of this demanding work. This Urtext edition includes an informative Introduction and valuable notes on historical performance practice. Information regarding source discrepancies and editorial principles are presented in the detailed Critical Commentary which contains facsimile pages. / Piano

Référence unique par son ISBN 9790043013501 cette partition musique de Kuhlau Friedrich n'est autre que GRANDE SONATE CONCERTANTE EN LA MINEUR OPUS 85 qui a été composée pour Flûte Et Piano. Les droits d'auteur de cette partition de musique de style Classique se trouvent chez les éditions Billaudot. La référence catalogue de cette oeuvre est MRB1350. / Flûte Et Piano / Partition