| Jazz : La Discothèque
Idéale En 25 Albums
Originaux (Coffret 25 CD) CD [Coffret CDs]
- Record Label: Sony - Catalog#: 88697 720092 - Country Of Release:...(+)
- Record Label: Sony - Catalog#: 88697 720092 - Country Of Release: NLD - Year Of Release: 2010 - Notes: 25 Original Albums In Noble Box
104.00 EUR - vendu par Amazon Délais: En Stock | |
| The Real Book : Vol.II -
Second Edition - Bass
Clef Instruments Bass Clef Instruments Hal Leonard
Le Real Book est une alternative à la pléthore de mal conçus, les volumes ill...(+)
Le Real Book est une alternative à la pléthore de mal conçus, les volumes illisibles, inexactes et mal édités qui abondent sur ??le marché aujourd'hui. Claire et précise, la série Real Book vise à fournir une sélection de musique qui est à la fois facile à lire et agréable à réaliser. Arrangé pour instruments en clé de basse, cette édition de The Real Book: Volume II contient 400 chansons, dont Moon River, Georgia On My Mind, Fly Me To The Moon, Oye Como Va et de nombreux airs les plus connus. / Instruments En Clé de Fa
64.08 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| The Real Book : Vol.I -
Sixth Edition B Flat
Instruments - Mini
Edition Instruments en Sib [Fake Book] Hal Leonard
Le Real Book est une alternative à la pléthore de mal conçus, les volumes ill...(+)
Le Real Book est une alternative à la pléthore de mal conçus, les volumes illisibles, inexactes et mal édités qui abondent sur ??le marché aujourd'hui. Claire et précise, la série Real Book vise à fournir une sélection de musique qui est à la fois facile à lire et agréable à réaliser. Arrangé pour instruments bémol, ce mini édition (5.25 'x 8.5') de The Real Book: volume I contient 400 chansons, dont Hier, Somebody Loves Me, 'Round Midnight, avez You Met Miss Jones? et beaucoup plus des airs bien connus. / Instruments En Sib/Bb
57.68 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
| The Real Book : Vol.II -
Second Edition - E Flat
Instruments Instruments en Mib [Fake Book] Hal Leonard
Le Real Book est une alternative à la pléthore de mal conçus, les volumes ill...(+)
Le Real Book est une alternative à la pléthore de mal conçus, les volumes illisibles, inexactes et mal édités qui abondent sur ??le marché aujourd'hui. Claire et précise, la série Real Book vise à fournir une sélection de musique qui est à la fois facile à lire et agréable à réaliser. Arrangé pour E instruments plat, cette édition de The Real Book: Volume II contient 400 chansons, dont Moon River, Georgia On My Mind, Fly Me To The Moon, Oye Como Va et de nombreux airs les plus connus. / Instruments En Mib
64.08 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
| Mantovani Bruno -
L'autre Cote - Soli,
Choeur, Orchestre - Chant
and Piano Soli, choeur mixte et accompagnement Soli, chœur mixte et piano Lemoine, Henry
Commanditaire L'Etat et l'Opéra National du Rhin Notice Un opéra fantastique...(+)
Commanditaire L'Etat et l'Opéra National du Rhin Notice Un opéra fantastique d'après le roman d'Alfred Kubin, Die andere Seite Le livret a été tiré de L'Autre côté d'Alfred Kubin, traduction française de Robert Valençay revue par Christian Hubin (José Corti, 2000) Musique de Bruno Mantovani Livret de François Regnault (avec la collaboration de Bruno Mantovani) J'avais lu il y a longtemps L'Autre côté d'Alfred Kubin, dont le titre m'intriguait. J'avais dû voir des illustrations étranges, visiblement expressionnistes, audacieuses et cauchemardesques de l'artiste, et je m'étonnais qu'il eût écrit un roman. Le roman, assez vite, me saisit, puisqu'il racontait comment le héros, qui semble bien n'être autre que l'auteur, car il est comme lui dessinateur et a comme lui vécu à Salzbourg, se fait inviter par un ancien camarade de lycée dans un empire en lointaine Asie dont il est devenu le chef, et qu'il s'en va donc de l'Autre Côté, où commencent les aventures... On me fit rencontrer Bruno Mantovani, qui avait la commande d'un opéra, de la part de Nicholas Snowman, pour l'Opéra du Rhin. Nous nous sommes vus ensuite à plusieurs reprises, et je n'eus pas de mal à m'entendre avec ce compositeur moderne, dont les oeuvres que j'ai écoutées de lui me plaisent, qui connaît comme pas un - et de l'intérieur - toute l'histoire de l'opéra - et qui, en outre, comptait bien éviter quelques-uns des écueils sur lesquels nous tombions d'accord que l'opéra parfois s'échoue : sans mépris pour qui que ce soit, mais sans fausse modestie non plus. J'aimais l'opéra, depuis que j'avais vu Maria Callas en chanter deux, et depuis ma participation cinq ans comme dramaturge, ou ne je sais quoi, avec Patrice Chéreau à Bayreuth, et j'avais écrit un livret pour Georges Aperghis, avec qui j'ai eu le bonheur de travailler plusieurs fois. Sans parler d'un autre livret pour un autre opéra à venir. Mais étant essentiellement introduit dans le théâtre, je mesurai combien Mantovani sait que l'amour du théâtre, dont il est un excellent spectateur, est bien souvent le schibboleth qui départage les grands compositeurs d'opéra des autres. Le sujet On ne trouve pas forcément tout de suite un sujet de livret, et ensuite, on ne trouve pas forcément le livret de ce sujet. Nous envisagions quelques pistes, nous nous y engagions, et puis nous n'allions pas loin, ou c'était sans issue. D'entrée de jeu, nous étions convenus d'éviter la reprise d'un mythe ancien, fût-il grec ou amérindien, nous mesurions l'extrême difficulté de trouver un mythe moderne - cela ne s'invente pas - et nous répugnions aussi à prendre un sujet qui s'appliquât à l'actualité politique, faute de certitudes, ou plutôt par la conviction qu'on ne traite pas aisément des malheurs du monde, ou du moins, pas aussi frontalement que certains se l'imaginent. Les Soldats de Zimmermann, par exemple, parviennent à une telle portée esthétique et politique parce qu'il est passé par une pièce de Lenz, qui raconte des événements du XVIIIe siècle, Helmut Lachenmann est parvenu à une oeuvre poignante et d'une extrême beauté avec sa Petite Marchande d'allumettes pour parler du gauchisme, à partir d'un écrit de Gudrun Ensslin, parce qu'il est passé par un conte d'Andersen et par des textes de Léonard de Vinci. Je me suis alors souvenu de L'Autre côté, que j'ai relu, et Bruno et moi sommes vite tombés d'accord que cette oeuvre pouvait d'autant plus fortement nous inspirer que l'atmosphère d'inquiétante étrangeté, de fantastique et de décrépitude, très réussie, dans laquelle l'oeuvre est plongée, était au service d'une cause imaginaire, fabuleuse, invraisemblable, mais qui pouvait fonctionner comme une grande et terrible allégorie politique : l'Empire du Rêve, créé de toutes pièces par un richissime illuminé, Claus Patera, condisciple, donc, du dessinateur, constitué par des restes ramassés ou aux quatre coins du monde, dans une région nauséeuse et miasmatique, dont l'idéal promis au début se révèle vite une imposture, sans qu'on sache à qui la faute, car on apprendra que le dictateur lui-même, qu'on ne voit presque jamais, n'y croit plus guère, et combine dans sa personne les traits d'une adolescence angélique, d'une sénilité précoce et d'une espèce de déphasage complet d'avec ce qui se passe dans son Empire. Et pourtant, ce n'est pas faute qu'il n'ait des partisans fanatiques dans la population bizarre de la ville de Perle, capitale de l'Empire. Lorsqu'un Américain tout aussi richissime viendra prendre le défi de le renverser et de s'arroger le gouvernement de l'Empire, peut-être convient-il que vous n'y voyiez pas aussitôt quelque arrangement d'événements récents, non seulement parce que ce roman fut écrit en 1908, avant même ceux de Kafka (que Kubin rencontra d'ailleurs plusieurs fois, et qui restait perplexe devant L'Autre côté), mais aussi parce que l'imaginaire fantastique et la vision poétique de l'auteur viennent hanter le récit de formes et de couleurs venues d'un autre monde : des profondeurs de l'inconscient, sûrement, à une époque où on lui en supposait encore - du fond d'une Angoisse dont on devine que l'auteur est incessamment traversé - mais surtout d'une capacité plastique de rêverie qui franchit constamment la barrière supposée étanche entre l'écriture et le dessin - et si Kubin ne manque pas d'illustrer son propre livre, lui aussi, d'inquiétants dessins étranges, on admire d'autant plus sa virtuosité que les deux techniques qu'il pratique ici de conserve se défendent très bien chacune indépendamment l'une de l'autre. Comme Holbein illustrant Erasme, comme le Goethe du Voyage d'Italie, comme Kipling s'illustrant ses Histoires comme ça, rares exemples. Le livret Je me suis vite dit que ce serait évidemment à la musique de prendre en charge l'imaginaire et le fantastique, et que les indications scéniques du livret, issues toutes du livre, ne seraient là que pour suggérer ce que le compositeur pouvait lire aussi bien que moi dans l'ouvrage. Mais je me suis dit aussi que puisqu'il y aurait des personnages - nous en avons réduit le nombre - et qu'ils parleraient, c'est-à-dire chanteraient, il fallait prendre le plus grand soin qu'avec assez peu de paroles, on puisse suivre exactement l'histoire, la psychologie des personnages principaux (et ici j'utilise à dessein le vocabulaire le plus conventionnel, non pas pour rassurer le réactionnaire et inquiéter l'avant-gardiste, mais parce que chanter des paroles est la matière même de l'opéra), le cours des événements, en même temps que les transformations, métamorphoses, catastrophes et l'apocalypse d'un Empire démoniaque, suscitées sans doute, au-delà de son tyran, par des forces innommables. Si je lui faisais parfois part des représentations musicales ou rythmiques de certaines scènes qu'il avait la gentillesse d'écouter et de transposer dans son art, Bruno Mantovani était en retour plus qu'attentif à la moindre des répliques à mettre en musique, entendant d'une oreille de théâtre ce qui peut se dire, se chanter, se mi-dire, etc. (il y a bien des façons, depuis longtemps, dans l'opéra ou dans le théâtre musical, de dialectiser en musique la différence du parler et du chanter, opposition qui reste opératoire dans son principe, mais qui s'ouvre depuis au moins Schönberg à des variations infinies). Pour la composition d'ensemble, je sais combien l'harmonie, le contrepoint éventuel (il y a un choral !), le rythme, les timbres peuvent, chez un musicien exigeant, s'engendrer, sinon se déduire, à partir de structures simples ou complexes, de sorte que l'écriture, et, donc aussi la perception, consciente ou inconsciente, d'une oeuvre ne se fassent pas au seul fil du récit, ni en fonction du seul effet, même si, au dire de plusieurs compositeurs que j'admire, l'opéra, par sa nature théâtrale, sa spatialité et sa temporalité spécifiques, demande moins de rigueur apparente que d'autres formes d'écriture. Aussi n'ai-je pu m'empêcher, même dans ce qui n'est que le livret, de suivre ou de m'imposer des structures, elles, fort simples, dans l'organisation des scènes, de leurs rapports de ressemblance ou de dissemblance, de leurs correspondances thématiques, - contrastes, répétitions, citations, allusions - d'autant que la fable principale conte la substitution symétrique, jusque dans son affrontement corporel, entre le Maître de l'Empire et l'Américain qui le renverse. L'hybride Il était aisé, en ce sens, de diviser l'oeuvre en deux actes (même si le roman a davantage de parties et de nombreux chapitres), avec un Prologue et un Epilogue : grandeur et décadence de l'Empire du Rêve, conclura-t-on, même si l'intérêt de ce conte est justement de montrer que tout est déjà pourri dans le Royaume de Perle, et que le salut venu d'ailleurs ne fait que liquider la pourriture ! Oui, l'oeuvre de Kubin, aussi bien dessinée qu'écrite (il a écrit plusieurs autres nouvelles), est foncièrement pessimiste. Lorsqu'il a constaté, moins l'horreur du monde que la capacité qu'a le sommeil de la raison d'enfanter des monstres, pour reprendre la formule de Goya, un peintre qu'il aimait, il lui reste à les lâcher en les dessinant. Si Dieu a créé le monde, Claudel pensait qu'il fallait le lui restituer en louange et en poésie, ou en drames dans lesquels le pire ne fût pas toujours sûr. Si le Diable a fait le monde, dirai-je que Kubin pense qu'il faut lui restituer l'histoire de ses calamités et lui tendre le miroir de ses immondices ' La dernière phrase de L'Autre Côté nous donne une étrange réponse : Le démiurge est un être hybride. Tout un roman de quelques centaines de pages pour parvenir à cette phrase peu claire, digne des Gnostiques des premiers siècles du Christianisme ! Mais la phrase peut aussi bien s'éclairer de ce qu'on a dit : puisque le monde semble mauvais, il faut au moins, pour que le pire n'en soit pas toujours le plus sûr, muni de son carnet de croquis, en faire le relevé régulier, en tenant par l'art le malheur à distance, et en mesurant constamment que le démiurge qui a raté le monde, ne pouvait pas faire mieux, qu'il y a en lui du meilleur et du pire, en bref qu'il est hybride ! Mais hybride après tout comme l'homme lui-même, sa victime et son destinataire - ou plutôt, son dessinateur ! Claus Patera, est en effet un personnage dont on ne sait s'il a gardé son innocence ou s'il est déjà complètement abîmé, intrinsèquement, physiquement et spirituellement hybride, à mi-chemin entre le réel et l'irrationnel, habité de forces obscures ou de pulsions obscènes et morbides, mais l'Américain Hercule Bell, un peu décrit comme un Américain digne de Jules Verne, est pris lui aussi dans une dangereuse oscillation entre le philanthrope vantard et le tyran sanguinaire ! Si donc a lieu le Jugement dernier, car aucune apocalypse n'est à écarter, à défaut de nos fautes, nous montrerons nos pulsions, et pour défendre notre prochain ne sachant dessiner, nous arborerons les illustrations par nous de ce monde où nous avons été jetés. Et si le feu ou le déluge anéantissent toutes choses, peut-être restera-t-il au moins quelque part un trait sur le papier, carbonisé ou délavé. A l'ancien camarade de classe, au dictateur hybride, à cet Américain sauveur lui-même si douteux, et qui font couple à la fin dans une espèce de répugnant coït, s'ajoutent donc le couple principal, Kubin - nous l'avons appelé ainsi, bien que l'auteur de le nomme pas - et sa femme. Nous avons, autour d'eux, réduit à trois les personnages qui les entourent, le Coiffeur-philosophe, qui leur sous-loue un appartement, l'Editeur qui passe un contrat avec le dessinateur, et le médecin Lampenbogen, qui soignera Madame Kubin et accompagnera le mari veuf jusqu'à la fin. Les autres personnages sont des comparses, mais il y a le Choeur, qui a une grande importance, et qui compose le peuple entier de Perle, versatile, monstrueux, prêt à tout, morbide et orgiaque, auxquels s'ajoutent mammifères, serpents et insectes, qui sont peut-être des hallucinations, mais dans un monde fantastique, le cauchemar et la réalité se confondent. Le dessinateur La fin de l'aventure se solde pour Kubin par un rapatriement suivi d'un internement. Il serait alors aisé d'en conclure, comme on le fait souvent dans des cas semblables, que toute cette aventure n'aura été qu'une immense hallucination. Outre que ce n'est pas l'idée d'Alfred Kubin, l'auteur réel du livre, cela ne changerait guère la représentation qui en résulterait sur la scène d'un opéra, où ce qu'on voit, que ce soit la vision d'un Faust ou celle d'un Hoffmann, passe forcément pour réel. Le public ne croit que ce qu'il voit et ce qu'il entend, plus qu'ailleurs, il croit tout ce qu'il voit et tout ce qu'il entend, et c'est lui qui a raison. Surtout, j'aime fort que les dernières paroles de Kubin reviennent à dire que désormais, il passe ses meilleures heures avec du papier, des crayons et des bâtons d'encre de Chine... plus proche de l'artiste rêveur, du voyant... Et ce qu'il représentera désormais s'inspirera donc de cette espèce de cosmologie duelle qu'il évoque à propos de Patera : L'attraction et la répulsion... les pôles de la terre... le jours et la nuit... le blanc et le noir... Le blanc et le noir ! Voilà tout le manifeste esthétique de l'illustrateur expressionniste à qui nous devons, disséminées dans des musées et des livres, ces gravures, reconnaissables entre toutes, devant lesquelles nous nous défendons mal d'un malaise devant les souffrances aisément devinables d'un artiste plus écorché que les autres - la guérison par l'art ' Sa vie, racontée par Kubin lui-même ne nous incite pas à conclure ainsi. Là où nous sommes confrontés à la névrose étrangère et toute constituée, écrit Freud à peu près à l'époque même où Kubin écrit L'Autre côté, dans la vie nous appellerons le médecin et tiendrons la figure pour inapte à la scène. Pourtant, sans remontrer à Jérôme Bosch, à Goya, en tout cas à tous ceux que Kubin admira, jusqu'à Odilon Redon et James Ensor, une bonne partie des oeuvres offensives du XXe siècle n'ont-elles pas consisté, malgré les réticences de Freud, à tirer un peu de jouissance de beaucoup de souffrance, et sans réveiller en nous forcément sadisme et masochisme, à nous inviter, à défaut de pâmoisons devant la beauté, ou de complaisances avec la douleur, à de la compassion devant cette souffrance ' L'oeuvre de Kubin n'est pas exempte de bonté lorsqu'il prend pour finir pitié de son persécuteur moribond, et qu'il va jusqu'à trouver de la beauté à son cadavre : L'image d'un dieu antique ! Comme il est beau ! - mais il y a encore, dans cette oeuvre, une autre source de plaisir dont nous souhaitons que l'opéra la fasse aussi sourdre pour le spectateur, c'est une espèce d'humour rocambolesque et glauque qui rend souvent les pulsions des personnages burlesques, leur sexualité, franchement saugrenue, leurs extases, ridicules ! Telles sont quelques-unes des questions que le musicien et le librettiste se sont d'abord posées, avant le metteur en scène Emmanuel Demarcy-Mota, qui a si intimement adhéré au projet aussitôt qu'il l'a connu et qui y a fait entrer de plain pied ses collaborateurs - telle est cette étrange entreprise qu'il nous plaît à tous trois de regarder encore aujourd'hui comme risquée. Vérifier que le public voudra bien courir le risque avec nous est notre plus cher désir. François Regnault Presse Bruno Mantovani aborde, à bientôt trente-deux ans, son premier opéra avec l'ambition de rendre au fantastique du roman d'Alfred Kubin (1877-1959) sa force originale et son étrangeté narrative. L'Autre côté, fable sans morale, met en scène l'Empire du rêve, absurde refuge contre tout progrès, qui plonge dans le chaos après avoir été soustrait à la dictature de son chef Patéra. Récit admirable et visionnaire, accompagné par l'auteur d'effrayantes illustrations, il a marqué l'Europe centrale littéraire et artistique du début du XXe siècle. Bruno Mantovani, associé au dramaturge François Regnault et au metteur en scène Emmanuel Demarcy-Mota, cherche à rendre le mouvement perpétuel de cet effondrement. L'orchestre y est vaste et brillant, incluant six percussions dont le rôle est d'élargir l'espace sonore. Le choeur - cette masse grouillante proche des images apocalyptiques de Kubin - mobilise et anime la scène. Les rôles solistes enfin se répartissent autour du narrateur, Alfred Kubin lui-même, personnage central emporté dans ce drame sans fin. Cette création mondiale constitue l'élément fédérateur du portrait consacré au jeune compositeur français par Musica, en collaboration avec l'Opéra national du Rhin. Musica Antoine Gindt
71.00 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| La Métamorphose
(LEVINAS MICHAEL) En Français Soli, choeur mixte et accompagnement Soli, chœur mixte et orchestre [Partition] Lemoine, Henry
Par LEVINAS MICHAEL. Précédé de Je, tu, il, prologue à La Métamorphose sur ...(+)
Par LEVINAS MICHAEL. Précédé de Je, tu, il, prologue à La Métamorphose sur un texte de Valère Novarina.
Au sortir d'un rêve agité, Grégor Samsa s'éveille pour vivre un véritable cauchemar, celui de sa transformation en énorme cancrelat. Tout le monde connaît cette nouvelle de Kafka - elle appartient désormais à nos mythologies contemporaines. L'idée d'en faire un opéra est tellement excitante qu'on en serait presque à se demander pourquoi une telle adaptation n'a encore jamais été tentée. Peut-être parce que la perspective donne le vertige et que l'histoire elle-même semble veiller à sa propre irreprésentabilité ?
Il aura fallu attendre près d'un siècle pour que le texte se métamorphose en opéra grâce à Michaël Levinas et à l'équipe artistique qu'il a réunie. Avec Valère Novarina et Emmanuel Moses, le compositeur opère un travail sur la langue pour révéler sa vocalité lyrique. Le chant du 'sopraniste' Fabrice Di Falco et des autres interprètes est ensuite traité par des techniques d'hybridation informatiques [réalisées à l'Ircam, NDLR].
Toujours en quête 'd'une suggestion d'ébranlement dramatique dans la vibration du son' comme s'il y avait un 'au-delà du son dans le son', la musique de Levinas s'ouvre au fantastique. Ce sentiment de l'extraordinaire sera rendu palpable par les instrumentistes d'Ictus, imbattables quand il s'agit de faire advenir des univers inouïs. L'adaptation scénique est confiée à Stanislas Nordey, homme de théâtre insatiable découvreur de textes contemporains. Il s'est également distingué à l'occasion de nombreuses collaborations avec les plus grands compositeurs de notre temps, parmi lesquels Michaël Levinas. C'est en effet lui qui a mis en scène son précédent opéra composé à partir des Nègres de Jean Genet.
www.opera-lille.fr
Vidéo :
http://culturebox.france3.fr
Du lyrique dans la musique de Michaël Levinas
ou le spectre sur la scène
'L'instant du réveil est le moment risqué entre tous : c'est celui où l'on franchit la frontière. Qui devient-on la nuit ? Que s'est-il passé dans le sommeil de Gregor pour qu'il en sorte ainsi changé en monstre ?
Le réveil, c'est toujours l'entrée dans un monde enchanté.'
Yannick Haenel (1)
Le monde enchanté de Michaël Levinas est celui de ce moment risqué où peut naître un drame et, c'est là la partie visible de l'enchantement, des personnages chantent, vivent et meurent. Nous sommes à l'opéra.
Comment le compositeur parvient-il aujourd'hui à relever en musique le défi de la scène ? Quels moyens musicaux convoque-t-il ? Quel monde harmonique et lyrique bâtit-il ? Car pour sonner à ce point juste sur les planches, il faut que le style lyrique du créateur vienne de bien loin, de profond, non pas d'une circonstance, mais de ce qu'il est musicalement, depuis longtemps, de ce qu'il poursuit assidûment dans son oeuvre.
En 2011, avec La Métamorphose, son troisième ouvrage lyrique, Michaël Levinas a montré une nouvelle fois la maîtrise qu'il avait des données de l'opéra : l'opéra comme théâtre, l'opéra comme lieu où l'est ému par le chant, l'opéra comme institution où la création a sa place.
Quand les spectateurs découvrent à l'opéra le personnage de Gregor imaginé par Michaël Levinas, ils ont déjà entendu un prologue. Intitulé Je, tu, il et composé sur un texte somptueux de Valère Novarina, ce prologue se trouve, dans le temps du récit, en lieu et place de la nuit, d'un rêve sans doute, avant le réveil de Gregor. Les spectateurs assistent à une allégorie des énonciations (les pronoms personnels chantent : 'je', 'tu' et 'il' deviennent un instant des personnages), enlevée, très vive, baroque. Le compositeur (celui qui choisit la succession dans le temps des événements du récit lyrique - Michaël Levinas a largement adapté la nouvelle de Kafka) confie à trois sopranos ce prologue. Ainsi le récit de La Métamorphose débute-t-il par autre chose que lui-même, un autre lyrique qui n'est pas le récit, qui n'est pas même un récit, mais qui prépare à l'écoute de la Passion de Gregor qui suit - l'infra-récit est la préfiguration de l'infra-homonidée kafkaïenne mourante que montrera La Métamorphose - avec toute la résonance de ce parti-pris dramaturgique dans l'histoire politique de l'humanité. Ce geste est théâtral autant que musical. Il est très caractéristique de la sensibilité du compositeur pour ce qui, dans la musique, induit le lyrisme, le lyrisme étant entendu ici comme la mise en oeuvre de 'toutes les puissances que recèle le verbe soumis au rythme et à la mélodie' (2). En un mot, la dimension théâtrale de l'opéra n'est pas reniée par Michaël Levinas - au contraire : elle est exaltée.
Toutes les puissances que recèle le verbe aident le compositeur dans son projet lyrique. Si le chant naît du verbe chez Michaël Levinas, il faut considérer que les parties instrumentales aussi naissent du verbe. Aux parties instrumentales s'ajoutent les parties électroniques qui, dans La Métamorphose autant que dans Les Nègres, opéra de 2003 d'après la pièce éponyme de Jean Genêt, donnent au son ce statut irréel, magique nécessaire à tout lyrisme. Elles aussi sont pensées, écrites, composées comme un prolongement des données du langage. Dans La Métamorphose, la polyphonie vient essentiellement de la voix démultipliée de Gregor et cette démultiplication est autant instrumentale qu'électronique. Le chant - émouvant ô combien - de Gregor est un choral, sa voix est intermédiaire, ni la sienne seule, ni une pluralité identifiable. La voix de Gregor participe d'une singularité inaudible - un monstrueux bien au-delà de l'hybride - pour son entourage qui le conduit à mourir (par décence ? par abandon de ses proches ?). Il y eut dans Les Nègres 'un langage tambouriné tissant des liens entre les phonèmes de la langue et la percussion' (3) et dans cette veine, récemment, Le Poème battu - il y eut en 2008 les réussites madrigalistes de Le 'O' du haut et des Trois chansons pour la Loterie Pierrot et Jean Lagresle sur un texte de Valère Novarina - il y eut enfin, pour La Métamorphose, l'acmé (provisoire - telle est l'activité de création) de l'analyse et de la synthèse sonore par ordinateur de la voix parlée et chantée (4).
Comment faire des mots eux-mêmes un chant, un drame, un opéra enfin ? C'est là tout l'enjeu de la poïétique de Michaël Levinas. Le poïen grec, c'est la réponse à la question du faire. Dès Go-Gol (1996) (5) -le titre, Go-Gol est déjà un jeu de décomposition / recomposition du nom de l'écrivain dont est tiré le livret, le compositeur fait du mot le ressort de sa dramaturgie musicale. Il est entré depuis dans le son du mot lui-même et applique au champ de la linguistique une démarche spectrale (6). Ainsi naît son matériau lyrique. Décortiquant les données des hauteurs, des syllabes, phonèmes et morphèmes, Michaël Levinas - avec l'aide d'un outil informatique de plus en plus puissant - en tire des tournoiements, des arabesques, des lignes qui entent une composition destinée à la scène. L'opéra est bien là un lieu de création. La pointe de ce qui constitue la création musicale - à la fois l'oeuvre d'un compositeur qui est la recherche d'une vie et les outils qu'il utilise en les faisant évoluer - est non seulement viable, mais éminemment émouvante à la scène : la palette que s'est constituée le musicien induit bel et bien cette vibration des affects que tout un chacun veut à l'opéra, toutes époques confondues.
'(...) c'est à l'opéra que, paradoxalement, tend je dirais toute oeuvre instrumentale.' déclarait en 1982 le compositeur (7). En effet, l'oeuvre de Michaël Levinas offre de lire les étapes de cette conception et des recherches qu'elle appelle. Ancrée dans le langage, toute adonnée au théâtre, la lyre de Michaël Levinas allie l'exigence créatrice à la séduction parfois vénéneuse d'une émotion dramatisée avec art. Pour l'heure, le compositeur a fait de la syllabe son mystère. Du mystère naît le drame et, sur scène, d'une dramaturgie naît un mystère par lequel le compositeur nous impose son temps, non pas le temps d'un drame, mais le temps intérieur résonant - pour notre plus grand plaisir.
Benoît Walther, novembre 2011
(1) Interview 'Yannick Haenel, pourquoi aimez-vous La Métamorphose ?', parue dans Kafka, La Métamorphose (page II), traduction et présentation par Bernard Lortholary, Garnier Flammarion, Paris, 2010, 103 pages.
(2) Pierre Grimal, Le Lyrisme à Rome, Introduction (p.15), Presses Universitaires de France, Paris, 1978, 304 pages.
(3) Notice de Michaël Levinas pour l'opéra Les Nègres, mai 2002.
(4) Les parties électroniques de Les Nègres et de La Métamorphose ont été réalisées à l'Ircam.
(5) Le compositeur parle alors de 'traitement animal' de la langue française (Autour de Go-Gol : forme, récit, textualité dans l'opéra contemporain, entretien avec Evelyne Andreani, in : cf note 7).
(6) Est spectrale une musique fondée sur l'analyse du spectre du son : découle de cette analyse l'organisation des paramètres musicaux et, in fine, de toute la composition elle-même. Aujourd'hui, les sons analysés peuvent atteindre des degrés de complexité très grands : par exemple, dans le cas de Michaël Levinas, la pénétration du détail d'une énonciation chantée autant que parlée.
(7) Michaël Levinas, 'Qu'est-ce que l'instrumental ?', texte prononcé à Darmstadt en juillet 1982, in Le Compositeur trouvère, Ecrits et entretiens (1982-2002), textes réunis et annotés par Pierre-Albert Castanet et Danielle Cohen-Levinas (p.33), L'Harmattan, Paris, 2002, 428 pages. / contemporain / Répertoire / Solistes, Choeur et Orchestre
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| Diapason Rouge Vol. 2 En Français Paroles et Accords Presses d'lle de France
400 chants de veillée et de variété française avec accords de guitare
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La sélection de ce second carnet, publiée en 1996, comprend des chants traditionnels et de veillées, cependant elle met davantage l?accent sur la variété interprétée par Bruel, Cabrel, Gainsbourg, Mitchell, Le Forestier ou les Beatles? Le classement des chansons est le même que celui du premier volume : 'Salut l?artiste' pour la variété française, 'Au rythme du monde' pour les chansons à thème, 'Racines et couleurs du temps' pour le folklore et le patrimoine des mouvements de jeunes, 'Fêtes et rencontres' pour les moments de fête, et une sélection de 'Canons et ritournelles' pour terminer le carnet.
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(JARRELL MICHAEL) En Français Orchestre [Partition] Lemoine, Henry
Par JARRELL MICHAEL. De la nature... du musical
Michael Jarrell, né en 1958, e...(+)
Par JARRELL MICHAEL. De la nature... du musical
Michael Jarrell, né en 1958, est l'un des compositeurs les plus en vue de sa génération. Dans une démarche toute personnelle, qui ne s'est inféodée à aucun mouvement, et dans une quête intérieure inlassablement poursuivie, il a opéré une synthèse de l'héritage des musiques d'après-guerre dont il a extrait certaines caractéristiques techniques pour les mettre au service d'une véritable poétique musicale. En effet, contrairement à ses aînés, il explore moins le langage pour lui-même, faisant des nouvelles techniques le lieu d'une mutation dans la pensée musicale, qu'il ne cherche à le mettre au service de l'expression. Aussi se méfie-t-il d'une conceptualisation excessive, et de l'utopie dont l'oeuvre serait porteuse, préférant mettre en valeur les vertus d'un artisanat qu'il enseigne par ailleurs à Vienne et à Genève, ainsi que lors de nombreux séminaires à travers l'Europe. Ses oeuvres, facilement identifiables dans l'abondante production contemporaine, sont toutes liées les unes aux autres, non seulement par une certaine forme de sensibilité, leur tonalité propre, mais aussi par la récurrence de certains traits que Jarrell retravaille dans des contextes différents. Il s'est ainsi très tôt constitué un univers qu'il ne cesse de remodeler, visant moins l'originalité apparente de chacune des pièces qu'un déplacement constant des perspectives dans lesquelles les mêmes idées, en elles, peuvent être appréhendées. 'Cent fois sur le métier...' voilà quelle pourrait être sa devise. On trouve ainsi dans chacune de ses oeuvres quelque chose de familier qui acquiert en même temps une certaine étrangeté, sentiment qui constitue peut-être un élément essentiel de son expressivité. La musique de Jarrell arpente les régions du rêve et de l'irréalité, à la recherche de son moment de vérité, souvent situé dans les sonorités les plus graves et tes plus lentes, là où le temps, ailleurs agité, s'immobilise. C'est peut-être ce qui confère à sa musique une forme de tendresse inséparable de la beauté sonore, allant jusqu'à un esthétisme raffiné, loin des recherches extrêmes et des formulations autoritaires. Chez lui, même les techniques instrumentales les plus inhabituelles, ou les sonorités électroniques, auxquelles il a souvent recours, sont rapatriées dans un monde sensible emprunt de pureté où ce sont les qualités expressives qui dominent. Celles-ci ne renvoient pas forcément au moi du compositeur, qui tend au contraire à s'effacer, mais davantage à l'essence même du musical, au phénomène en soi, porteur d'une présence singulière au monde.
On retrouve de telles qualités dans sa dernière oeuvre, ...Le ciel, tout à l'heure si limpide, soudain se trouble horriblement..., commandée par l'Orchestre de la Suisse Romande. Elle fait appel à un grand orchestre symphonique standard: 3 flûtes (dont alto et piccolo, 2 hautbois et cor anglais, 2 clarinettes et clarinette basse, 2 bassons et contrebasson, 4 cors, 3 trompettes, 3 trombones, tuba, harpe, timbales, 4 percussions (vibraphone, glockenspiel, cloches tubes, cymbales, bongos, tam-tam, grosse caisse, temple blocks, tom grave, spring coils, triangle, mark tree) et cordes. Malgré un titre qui pourrait sous-entendre un élément programmatique, l'oeuvre appartient à la catégorie de la musique pure. L'orchestre y est traité de façon conventionnelle, mais avec une virtuosité d'écriture, un raffinement dans la sonorité qui exige beaucoup de ses interprètes.
D'un seul tenant, l'oeuvre se divise en quatre parties principales d'inégale longueur, les deux premières étant plus importantes que les deux suivantes: la première est constituée d'un continuum de notes rapides réparties entre les cordes et Les bois, tandis que les trompettes, doublées par différents instruments, lancent une figure d'appel incisive qui s'allonge progressivement. L'écriture est d'une grande virtuosité, les figurations en triples croches passant d'un instrument ou d'un groupe à un autre. Les notes rapides se figent une première fois dans des oscillations jouées notamment par les cordes divisées, puis à travers des notes répétées qui traversent toute la texture orchestrale. Après un passage intermédiaire privilégiant les sons graves, l'écriture vive reprend jusqu'à un sommet dramatique marqué par des trilles, aussitôt suivi d'une désintégration qui mène à la seconde partie.
Celle-ci débute avec des quintes jouées par les cordes graves divisées et colorées par les percussions (les contrebasses, qui doivent modifier leur accord, jouent des sons harmoniques). La musique semble vouloir repartir d'un point originel, elle se réinvente à partir d'une structure élémentaire, dans une extrême douceur. L'impétuosité du début laisse place à une grande délicatesse des sonorités. C'est un trait que l'on retrouve dans de nombreuses pièces de Jarrell: après l'effervescence d'une écriture brillante, agitée, nerveuse, que l'auditeur suit dans sa course folle, vient un moment réflexif et profond, qui nécessite une réorientation de l'écoule, une plongée dans la nature même du phénomène sonore. La trame qui se déploie dans un tempo lent offre ainsi une autre image de la sonorité orchestrale, comme si une musique des origines, au caractère de litanie, était soudain dévoilée sous la couche éclatante du début. Elle donne le sentiment d'avoir commencé bien avant son moment d'apparition, comme si elle provenait des couches profondes de la conscience, d'une mémoire archaïque. D'ailleurs, Jarrell réélabore ici un passage d'une pièce antérieure, Music for a While, lui reprenant son matériau de base. Le sentiment de profondeur est dû au formidable ralentissement du temps, qui nous met soudainement en apesanteur, mais aussi à une forme en spirale, qui tranche avec la musique directionnelle qui précédait. L'effet que provoque la distance sensible entre de tels contrastes est onirique: on ne sait plus si la première partie, qui nous échappe en se projetant vers l'avant, n'était qu'une forme illusoire, ou si nous entrons, avec la partie lente, dans une sorte de rêve éveillé.
Un passage central, dans cette seconde partie, s'organise autour de guirlandes sonores à la harpe et aux cloches que tout l'orchestre remplit de sonorités suaves. Les arpèges descendants des vents doublés par des pizzicatos de cordes, que transpercent des notes répétées aux trompettes et aux cors, dans un climat encore doux, annoncent la reprise du mouvement frénétique. Mais cette fois, ce sont moins des figures virevoltantes qui passent à travers les pupitres que des blocs de notes joués par la masse des instruments: des figures qui s'élancent vers le haut aboutissent à des notes répétées, en une forme d'antiphonie, et mènent à un sommet d'intensité. Après quoi, en guise de coda, une quatrième partie nous conduit à une fin mourante: l'harmonie se fige, les polyrythmes annulent toute sensation de mesure, les longues tenues des instruments graves chutent chromatiquement, les percussions jouant des figures rituelles, en résonance, jusqu'à l'immobilité finale.
Le titre de la pièce provient de Lucrèce (De la nature). Il n'a pas de signification structurelle immédiate, comme souvent chez Jarrell, mais exprime en quelques mots l'idée qui avait présidé au morceau. Le trouble s'apparente ici à une forme d'étrangeté, à quelque chose d'inquiétant qui n'apparaît pas de façon narrative, tel un vent d'orage dans un ciel serein, mais comme l'essence même de l'articulation formelle entre deux types d'écriture, deux types d'expression qui exigent des temporalités opposées l'une à l'autre. La soudaineté, c'est le renversement entre les deux. Pourtant, on retrouve un même noyau entre les parties vives et les parties lentes, la quinte jouant dans les deux cas un rôle structurel, et le mib apparaissant comme une note polaire (toute la musique de Jarrell est aimantée par des pôles qui orientent l'écoute). Si le passage du limpide au trouble se traduit par la sonorité orchestrale, par le maniement très sensible des timbres qui provient en grande part de la tradition orchestrale française, il se manifeste aussi par des figures qui évitent tout profil thématique, toute forme mélodique au sens traditionnel du terme, et qui composent la texture. L'auditeur a directement à faire avec la matière sonore. Et celle-ci est composée de part en part.
L'adjectif poétique vient à l'esprit pour définir une invention qui s'écarte aussi bien des formes illustratives que des constructions schématiques, et qui repose essentiellement sur l'organisation des hauteurs au détriment des effets, des sonorités bruiteuses ou des gestes iconoclastes. Et malgré les passages brillants, malgré les explosions sonores toujours maîtrisées et un maniement virtuose de l'orchestre, cette poétique révèle un caractère fondamental plutôt intimiste.
Philippe Albèra / contemporain / Répertoire / Orchestre
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| Pianolude Volume 1 En Français Piano seul [Partition + CD] - Débutant Van de Velde
Apprendre à jouer du piano c'est apprendre à jouer avec le piano.
Piano...(+)
Apprendre à jouer du piano c'est apprendre à jouer avec le piano.
Pianolude aborde des aspects de l'enseignement du piano rarement évoqués côte à côte dans un même recueil: intégrer la musique de notre temps à l'enseignement traditionnel. Parallèlement à l'apprentissage traditionnel et progressif du jeu pianistique, Pianolude convie les enfants à jouer avec l'ensemble des ressources sonores de l'instrument. Le CD inclus dans l'ouvrage propose l'interprétation de l'ensemble du répertoire et fournit des exemples de réalisation des activités de création.
Presse : Apprendre à jouer du piano c'est apprendre à jouer avec le piano.
A lui seul, le titre de ce recueil est tout un programme. Pianolude associe l'instrument et le jeu, mêlant les aspects les plus traditionnels de l'apprentissage pianistique à une exploration ludique de l'instrument.
Comme un livre d'images. Sa présentation, très esthétique, regorge d'illustrations poétiques et humoristiques dignes des plus jolis albums pour enfants. Le graphisme clair, les caractères en lettres attachées, le papier légèrement glacé et la reliure à spirales en font un album agréable à feuilleter sur lequel on s'attarde volontiers. Les premières pages se parcourent comme un livre d'images. On y découvre quelques suggestions de jeu autour du piano. L'élève peut ainsi s'en inspirer pour explorer et découvrir de lui-même tout un monde sonore: timbres, intensités, durées, tessitures, modes de jeu... et s'approprier ainsi ce monstre sonore qu'est le piano.
L'enfant prenant graduellement possession de l'instrument, l'approche de la lecture se fait graduellement à partir du do central, mains alternées. On s'échappe assez vite de l'incontournable do majeur pour explorer des échelles plus colorées. Les notions musicales et solfégiques sont abordées de manière très progressive, associant chaque nouvel élément théorique à l'étude d'une pièce musicale. L'introduction des altérations se fait assez tôt et les mains se déplacent plutôt rapidement sur l'ensemble du clavier par le biais des 8va.
Jouer tout seul ou avec les autres. La plupart des pièces sont présentées avec un accompagnement du professeur - ou d'un élève plus avancé - dont les harmonies, enrichissant les mélodies jouées par l'élève, viennent parfois chatouiller l'oreille de légères dissonances et taquiner l'imaginaire de sonorités nouvelles. De nombreuses pièces sont écrites pour quatre, six ou huit mains. Conçues comme des pièces à géométrie variable, on peut n'en jouer que la partie principale - écrite en grosses notes - ou bien y associer les autres parties en les distribuant à d'autres élèves pour une version plus collective. Ces pièces, plus abordables que les pièces en solo, véritable intermède récréatif dans la progression de l'élève, constituent ainsi un bon outil pour la lecture à vue et la pratique collective.
Tout un monde sonore. Le répertoire très éclectique des pièces de Pianolude est constitué en grande majorité de compositions originales. On y trouve quelques arrangements de chansons du répertoire populaire traditionnel: Au clair de la lune, j'ai perdu mon âne, Ah vous dirai-je maman... quelques petites pièces un peu jazzy: New Orleans Parade, Comme un blues, Oh When the saints... D'autres, plus exotiques, comme La petite maison russe ou La poupée chinoise, invitent doucement au voyage musical.
Mais la plus grande originalité de cette méthode réside dans l'introduction d'un langage plus contemporain, incluant les codages non traditionnels et des modes de jeux spécifiques (clusters, glissandi, notes muettes, séquences aléatoires, écriture graphique. jeu dans les cordes...), mettant la musique contemporaine à la portée des plus réfractaires. La première pièce, intitulée En colère, écrite dans une alternance de notes traditionnelles (deux notes autour du do central), de clusters et de petites séquences d'improvisation guidées, regorge d'indications expressives: en colère, en se calmant, grosse colère, ...énorme colère, ...très calme. Sans efforts considérables et par le biais des humeurs et de leurs contrastes, l'élève aborde les rudiments du codage musical: aigu/grave, bas/haut, droite/gauche, fort/doux, long/court... Parmi les autres pièces utilisant un langage contemporain, on trouve l'irrésistible Chant des étoiles, qui recueille un succès certain auprès des élèves - et de leurs parents - mêlant clusters, notes aléatoires, glissando dans une ambiance délicieusement céleste, scintillante, toute faite de résonances entremêlées. Les ambiances proposées à travers ces courtes pièces rejoignent l'imaginaire de l'élève et permettent par ce biais de développer son sens de l'écoute et d'accroître sensiblement sa palette sonore.
Un CD, inclus dans l'ouvrage, présente l'enregistrement de la plupart des pièces de la méthode, interprétées sur un vrai piano avec beaucoup de finesse et de musicalité, ainsi que des exemples de réalisation de petites créations effectuées par des enfants. Celles-ci constituent des pistes pour l'improvisation et, pourquoi pas, pour l'élaboration d'un langage plus personnel.
Pédagogie du piano contemporain ou pédagogie contemporaine du piano? Cette méthode est le résultat d'une réflexion collective des auteurs, inspirée par l'expérience sur le terrain d'une pédagogie de la musique contemporaine. Sans que celle-ci soit assénée manière obsessive, Pianolude s'en inspire pour éveiller la curiosité de l'élève pour des sonorités moins conventionnelles que la plupart de celles des méthodes plus traditionnelles. Si cet ouvrage peut paraître au premier abord un peu dispendieux, la qualité de sa présentation et la richesse de son contenu dépassent de loin le prix qu'il en coûte.
Le choix d'une méthode est souvent difficile, très personnel et toujours subjectif. On choisit une méthode parce qu'elle adhère aux principes de notre enseignement, qu'elle répond aux besoins du moment et traduit un certain état d'esprit. À moins qu'il ne s'agisse d'un état d'âme. On s'y essaye comme on essaye un nouveau vêtement. Avec le temps, on s'y sent parfois un peu à l'étroit, un peu mal à l'aise. Alors on en change. Pour avoir essayé Pianolude, l'avoir testé, expérimenté, pratiqué depuis sa parution en 2002 avec la plupart de mes élèves débutants, je peux dire que j'ai trouvé là vêtement à ma taille.
En résumé, c'est un support riche et éclectique pour la première année d étude du piano. À l'aide de son vaste choix de pièces, le professeur peut établir son propre parcours, en fonction de ses propres goûts et de ceux de ses élèves. Son approche ludique favorise la recherche et la créativité tout en intégrant une certaine exigence musicale et en incitant à une écoute active et à un jeu expressif.
Un petit avertissement cependant: certains jeux ou pièces musicales requièrent nécessairement l'utilisation d'un vrai piano (qui vibre et résonne de toutes ses cordes). / Méthodes and Etudes Instrumentales / Partition / Barkeshli, Pari / Chartreux, Annick / Guérin-Descouturelle, Valérie / Joste, Martine
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| Dancing Poems (PEPIN
CAMILLE) Mezzo-Soprano, Violoncelle et Piano Jobert
Par PEPIN CAMILLE. Il s'agit d'un cycle de mélodies pour mezzo-soprano, violonc...(+)
Par PEPIN CAMILLE. Il s'agit d'un cycle de mélodies pour mezzo-soprano, violoncelle et piano - commande de l'Association Olivier Messiaen au pays de la Meije - dédié à Anne Le Bozec, Yan Levionnois et Fiona McGown.
Ce choix autour de la danse m'est venu à la lecture de cette phrase du poète américain Ezra Pound (1885-1972) - chef de file du mouvement imagiste et moderniste - dans son ABC of Reading : 'Music begins to atrophy when it departs too far from the dance... poetry begins to atrophy when it goes too far from music ('La musique commence à s'atrophier lorsqu'elle s'éloigne trop de la danse... La poésie commence à s'atrophier lorsqu'elle s'éloigne trop de la musique'). C'est cette phrase qui m'a inspirée pour les Dancing Poems.
Les quatre mélodies de ce cycle ont été composées d'après les poèmes At the still-point de Thomas Stearns Eliot (1888-1965), Slow Movement de William Carlos Williams (1883-1963), To a child dancing in the wind et Those dancing days are gone de William Butler Yeats (1865-1939).
Véritablement pensée avec un rapport au corps, ma façon de concevoir le rythme est plus spontanée qu'intellectualisée. J'ai besoin de sentir intérieurement une rythmique - corporellement - avant de la coucher sur le papier. Musique et danse sont ainsi intimement liées. Pour moi, composer, c'est quelque part le point de rencontre entre la musique, la danse et la poésie - le point où chacune de ces disciplines est indissociable l'une de l'autre. Aussi, mon choix s'est porté sur la littérature anglo-saxonne, que Fiona McGown pratique à merveille et qui en fait ressortir toute la musique des mots. J'ai alors imaginé son timbre magnifique entremêlé à celui du violoncelle - instrument que j'aime tout particulièrement. Dans tout le cycle, l'enjeu a été de créer une ambiance intime et lumineuse. Les couleurs et les timbres se mélangent de manière à créer un halo sonore résonnant et flottant autour ces trois instruments. Ainsi, le halo contribue à recréer ce point particulier de rencontre entre la musique, la danse et la poésie - un point hors du temps libéré des tensions du monde. Le cycle est également imprégné de rythmes répétitifs et dansants, et les mélodies sont construites sur des formes simples utilisant des refrains. Cela confère à l'ensemble une couleur populaire, propre à l'expression de la danse.
La première mélodie, At the still-point, cherche à retranscrire cet état de transe par un accompagnement répétitif où piano et violoncelle se mélangent pour créer une texture planante. Il est conçu comme un moteur essentiel au sein duquel le mouvement est toujours présent. Sa répétition permet toutefois de conserver une immobilité apparente. La voix, sensuelle, se déploie sur ce tapis sonore brumeux et flottant. Point d'équilibre fragile, ce still point n'est donc ni en suspens, ni en mouvement : il est les deux à la fois. C'est le moment où le temps s'arrête et où nous nous retrouvons immergés dans nos propres mondes. J'ai imaginé certains vers comme un refrain, rappelant régulièrement l'équilibre subtil et délicat de ce still point.
La seconde mélodie, Slow Movement, est le mouvement lent du cycle et évoque les souvenirs - ces trésors que l'on peut enfermer une boîte. J'ai donc choisi d'utiliser la voix parlée. Seuls le début et la fin sont fredonnés (éteint, sans timbrer) comme un écho au thème de violoncelle. Violoncelle et piano prennent tour à tour la parole pour chanter l'expression des mots déclamés dans ce numéro.
Les deux dernières mélodies évoquent successivement l'enfance et la vieillesse. To a child dancing in the wind décrit un enfant dansant sur le rivage, insouciant des sons menaçants qui l'entourent. Le fracas incessant des vagues, les hurlements du vent, ou encore les gouttes d'eau salée qui perlent de ses cheveux sont autant d'images des évènements de la vie qui nous assaillent. Le rugissement du vent et le déferlement des vagues semblent être une allusion aux injustices et au désordre de la vie ('L'amour est perdu aussitôt qu'il est gagné et l'imbécile triomphe'). Toutefois, l'imbécile peut être une personne motivée par l'amour et ne se souciant pas du reste. 'Le meilleur ouvrier est mort', mais il était peut-être le meilleur parce qu'il a travaillé avec amour. Ce poème parle donc à la fois de l'insouciance de l'enfance, et de l'expérience de la maturité. J'ai choisi de transcrire en musique cette insouciance de l'enfant qui danse, cette incarnation de la vie dans le moment présent, en un véritable moment vif et dansant. De plus en plus apaisée, la danse s'achève et nous ramène à la réalité du monde adulte avec la dernière mélodie du cycle.
Ici, Yeats fait allusion aux moments heureux qui ont pris fin. Les jours dansants sont terminés. L'épouse et les enfants ont disparu. Un corps enveloppé dans un haillon sale évoque aussi bien la mort que l'éclat de vie perdu. La boucle rythmique utilisée traduit avec mélancolie et sensualité les heureux jours disparus. Les vers 'I carry the sun in a golden cup, the moon in a silver bag' à la fin de chaque strophe sont utilisés comme un refrain. Ils portent à la fois l'idée du rayonnement du soleil comme éclat de vie et de l'ombre de la lune qui tombe délicatement dessus comme un voile mystérieux. Mais peu importe que la mort arrive car l'on peut toujours danser et chanter. Jusqu'à notre dernier souffle. / Contemporain / Répertoire / Mezzo-Soprano, Violoncelle et Piano
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| Celtic Fake Book Over 400
Songs 'C' Instruments en Do [Fake Book] Hal Leonard
Edition c. La popularité de la musique celtique a explosé au cours des dix der...(+)
Edition c. La popularité de la musique celtique a explosé au cours des dix dernières années en raison de la recrudescence des instruments folk, danse celtique et la culture irlandaise globale. Cette étonnante collection réunit plus de 400 chansons d'Irlande, Ecosse et du pays de Galles - complet, avec des paroles gaéliques, le cas échéant - et un guide de prononciation. Titres comprennent: à travers l'ouest de l'océan o avec mon amour, j'irai o autel Isle o ' la mer o Auld Lang Syne o Avondale o The Band Played On o o Barbara Allen bénédiction de la route o o The Blue Bells of Scotland The Lass Bonniest o o A Bunch of thym The Chanty que captif le o de la sorcière Colomb était un irlandais o o Danny Boy de Duffy bourdes o Erin ! OH Erin ! o o de sillage du père Murphy o Finnegan Galway Piper o la fille j'ai laissé derrière moi o a quelqu'un ici vu Kelly o je sais où je suis Irish Rover Goin ' o o Loch Lomond o o Molly Malone My Bonnie trouve au-dessus de l'océan o mon o Rose irlandais sauvage les rives du Amerikay o The Sons of Liberty o qui est un o berceuse irlandais lorsque irlandais Ey... / Instruments En C / 256 pages / Partition
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| Gustave Vogt's Musical Album of Autographs Cor anglais, Piano Carl Fischer
Chamber Music English Horn, Oboe SKU: CF.WF229 15 Pieces for Oboe and ...(+)
Chamber Music English
Horn, Oboe SKU:
CF.WF229 15 Pieces
for Oboe and English
Horn. Composed by
Gustave Vogt. Edited by
Kristin Jean Leitterman.
Collection - Performance.
32+8 pages. Carl Fischer
Music #WF229. Published
by Carl Fischer Music
(CF.WF229). ISBN
9781491153789. UPC:
680160911288. Intro
duction Gustave Vogt's
Musical Paris Gustave
Vogt (1781-1870) was born
into the Age of
Enlightenment, at the
apex of the
Enlightenment's outreach.
During his lifetime he
would observe its effect
on the world. Over the
course of his life he
lived through many
changes in musical style.
When he was born,
composers such as Mozart
and Haydn were still
writing masterworks
revered today, and
eighty-nine years later,
as he departed the world,
the new realm of
Romanticism was beginning
to emerge with Mahler,
Richard Strauss and
Debussy, who were soon to
make their respective
marks on the musical
world. Vogt himself left
a huge mark on the
musical world, with
critics referring to him
as the grandfather of the
modern oboe and the
premier oboist of Europe.
Through his eighty-nine
years, Vogt would live
through what was perhaps
the most turbulent period
of French history. He
witnessed the French
Revolution of 1789,
followed by the many
newly established
governments, only to die
just months before the
establishment of the
Third Republic in 1870,
which would be the
longest lasting
government since the
beginning of the
revolution. He also
witnessed the
transformation of the
French musical world from
one in which opera
reigned supreme, to one
in which virtuosi,
chamber music, and
symphonic music ruled.
Additionally, he
experienced the
development of the oboe
right before his eyes.
When he began playing in
the late eighteenth
century, the standard
oboe had two keys (E and
Eb) and at the time of
his death in 1870, the
System Six Triebert oboe
(the instrument adopted
by Conservatoire
professor, Georges
Gillet, in 1882) was only
five years from being
developed. Vogt was born
March 18, 1781 in the
ancient town of
Strasbourg, part of the
Alsace region along the
German border. At the
time of his birth,
Strasbourg had been
annexed by Louis XIV, and
while heavily influenced
by Germanic culture, had
been loosely governed by
the French for a hundred
years. Although it is
unclear when Vogt began
studying the oboe and
when his family made its
move to the French
capital, the Vogts may
have fled Strasbourg in
1792 after much of the
city was destroyed during
the French Revolution. He
was without question
living in Paris by 1798,
as he enrolled on June 8
at the newly established
Conservatoire national de
Musique to study oboe
with the school's first
oboe professor,
Alexandre-Antoine
Sallantin (1775-1830).
Vogt's relationship with
the Conservatoire would
span over half a century,
moving seamlessly from
the role of student to
professor. In 1799, just
a year after enrolling,
he was awarded the
premier prix, becoming
the fourth oboist to
achieve this award. By
1802 he had been
appointed repetiteur,
which involved teaching
the younger students and
filling in for Sallantin
in exchange for a free
education. He maintained
this rank until 1809,
when he was promoted to
professor adjoint and
finally to professor
titulaire in 1816 when
Sallantin retired. This
was a position he held
for thirty-seven years,
retiring in 1853, making
him the longest serving
oboe professor in the
school's history. During
his tenure, he became the
most influential oboist
in France, teaching
eighty-nine students,
plus sixteen he taught
while he was professor
adjoint and professor
titulaire. Many of these
students went on to be
famous in their own
right, such as Henri Brod
(1799-1839), Apollon
Marie-Rose Barret
(1804-1879), Charles
Triebert (1810-1867),
Stanislas Verroust
(1814-1863), and Charles
Colin (1832-1881). His
influence stretches from
French to American oboe
playing in a direct line
from Charles Colin to
Georges Gillet
(1854-1920), and then to
Marcel Tabuteau
(1887-1966), the oboist
Americans lovingly
describe as the father of
American oboe playing.
Opera was an important
part of Vogt's life. His
first performing position
was with the
Theatre-Montansier while
he was still studying at
the Conservatoire.
Shortly after, he moved
to the Ambigu-Comique
and, in 1801 was
appointed as first oboist
with the Theatre-Italien
in Paris. He had been in
this position for only a
year, when he began
playing first oboe at the
Opera-Comique. He
remained there until
1814, when he succeeded
his teacher,
Alexandre-Antoine
Sallantin, as soloist
with the Paris Opera, the
top orchestra in Paris at
the time. He played with
the Paris Opera until
1834, all the while
bringing in his current
and past students to fill
out the section. In this
position, he began to
make a name for himself;
so much so that specific
performances were
immortalized in memoirs
and letters. One comes
from a young Hector
Berlioz (1803-1865) after
having just arrived in
Paris in 1822 and
attended the Paris
Opera's performance of
Mehul's Stratonice and
Persuis' ballet Nina. It
was in response to the
song Quand le bien-amie
reviendra that Berlioz
wrote: I find it
difficult to believe that
that song as sung by her
could ever have made as
true and touching an
effect as the combination
of Vogt's instrument...
Shortly after this,
Berlioz gave up studying
medicine and focused on
music. Vogt frequently
made solo and chamber
appearances throughout
Europe. His busiest
period of solo work was
during the 1820s. In 1825
and 1828 he went to
London to perform as a
soloist with the London
Philharmonic Society.
Vogt also traveled to
Northern France in 1826
for concerts, and then in
1830 traveled to Munich
and Stuttgart, visiting
his hometown of
Strasbourg on the way.
While on tour, Vogt
performed Luigi
Cherubini's (1760-1842)
Ave Maria, with soprano
Anna (Nanette) Schechner
(1806-1860), and a
Concertino, presumably
written by himself. As a
virtuoso performer in
pursuit of repertoire to
play, Vogt found himself
writing much of his own
music. His catalog
includes chamber music,
variation sets, vocal
music, concerted works,
religious music, wind
band arrangements, and
pedagogical material. He
most frequently performed
his variation sets, which
were largely based on
themes from popular
operas he had, presumably
played while he was at
the Opera. He made his
final tour in 1839,
traveling to Tours and
Bordeaux. During this
tour he appeared with the
singer Caroline Naldi,
Countess de Sparre, and
the violinist Joseph
Artot (1815-1845). This
ended his active career
as a soloist. His
performance was described
in the Revue et gazette
musicale de Paris as
having lost none of his
superiority over the
oboe.... It's always the
same grace, the same
sweetness. We made a trip
to Switzerland, just by
closing your eyes and
listening to Vogt's oboe.
Vogt was also active
performing in Paris as a
chamber and orchestral
musician. He was one of
the founding members of
the Societe des Concerts
du Conservatoire, a group
established in 1828 by
violinist and conductor
Francois-Antoine Habeneck
(1781-1849). The group
featured faculty and
students performing
alongside each other and
works such as Beethoven
symphonies, which had
never been heard in
France. He also premiered
the groundbreaking
woodwind quintets of
Antonin Reicha
(1770-1836). After his
retirement from the Opera
in 1834 and from the
Societe des Concerts du
Conservatoire in 1842,
Vogt began to slow down.
His final known
performance was of
Cherubini's Ave Maria on
English horn with tenor
Alexis Dupont (1796-1874)
in 1843. He then began to
reflect on his life and
the people he had known.
When he reached his 60s,
he began gathering
entries for his Musical
Album of Autographs.
Autograph Albums Vogt's
Musical Album of
Autographs is part of a
larger practice of
keeping autograph albums,
also commonly known as
Stammbuch or Album
Amicorum (meaning book of
friendship or friendship
book), which date back to
the time of the
Reformation and the
University of Wittenberg.
It was during the
mid-sixteenth century
that students at the
University of Wittenberg
began passing around
bibles for their fellow
students and professors
to sign, leaving messages
to remember them by as
they moved on to the next
part of their lives. The
things people wrote were
mottos, quotes, and even
drawings of their family
coat of arms or some
other scene that meant
something to the owner.
These albums became the
way these young students
remembered their school
family once they had
moved on to another
school or town. It was
also common for the
entrants to comment on
other entries and for the
owner to amend entries
when they learned of
important life details
such as marriage or
death. As the practice
continued, bibles were
set aside for emblem
books, which was a
popular book genre that
featured allegorical
illustrations (emblems)
in a tripartite form:
image, motto, epigram.
The first emblem book
used for autographs was
published in 1531 by
Andrea Alciato
(1492-1550), a collection
of 212 Latin emblem
poems. In 1558, the first
book conceived for the
purpose of the album
amicorum was published by
Lyon de Tournes
(1504-1564) called the
Thesaurus Amicorum. These
books continued to
evolve, and spread to
wider circles away from
universities. Albums
could be found being kept
by noblemen, physicians,
lawyers, teachers,
painters, musicians, and
artisans. The albums
eventually became more
specialized, leading to
Musical Autograph Albums
(or Notestammbucher).
Before this
specialization, musicians
contributed in one form
or another, but our
knowledge of them in
these albums is mostly
limited to individual
people or events. Some
would simply sign their
name while others would
insert a fragment of
music, usually a canon
(titled fuga) with text
in Latin. Canons were
popular because they
displayed the
craftsmanship of the
composer in a limited
space. Composers
well-known today,
including J. S. Bach,
Telemann, Mozart,
Beethoven, Dowland, and
Brahms, all participated
in the practice, with
Beethoven being the first
to indicate an interest
in creating an album only
of music. This interest
came around 1815. In an
1845 letter from Johann
Friedrich Naue to
Heinrich Carl
Breidenstein, Naue
recalled an 1813 visit
with Beethoven, who
presented a book
suggesting Naue to
collect entries from
celebrated musicians as
he traveled. Shortly
after we find Louis Spohr
speaking about leaving on
his grand tour through
Europe in 1815 and of his
desire to carry an album
with entries from the
many artists he would
come across. He wrote in
his autobiography that
his most valuable
contribution came from
Beethoven in 1815.
Spohr's Notenstammbuch,
comprised only of musical
entries, is
groundbreaking because it
was coupled with a
concert tour, allowing
him to reach beyond the
Germanic world, where the
creation of these books
had been nearly
exclusive. Spohr brought
the practice of
Notenstammbucher to
France, and in turn
indirectly inspired Vogt
to create a book of his
own some fifteen years
later. Vogt's Musical
Album of Autographs
Vogt's Musical Album of
Autographs acts as a form
of a memoir, displaying
mementos of musicians who
held special meaning in
his life as well as
showing those with whom
he was enamored from the
younger generation. The
anonymous Pie Jesu
submitted to Vogt in 1831
marks the beginning of an
album that would span
nearly three decades by
the time the final entry,
an excerpt from Charles
Gounod's (1818-1893)
Faust, which premiered in
1859, was submitted.
Within this album we find
sixty-two entries from
musicians whom he must
have known very well
because they were
colleagues at the
Conservatoire, or
composers of opera whose
works he was performing
with the Paris Opera.
Other entries came from
performers with whom he
had performed and some
who were simply passing
through Paris, such as
Joseph Joachim
(1831-1907). Of the
sixty-three total
entries, some are
original, unpublished
works, while others came
from well-known existing
works. Nineteen of these
works are for solo piano,
sixteen utilize the oboe
or English horn, thirteen
feature the voice (in
many different
combinations, including
vocal solos with piano,
and small choral settings
up to one with double
choir), two feature
violin as a solo
instrument, and one even
features the now obscure
ophicleide. The
connections among the
sixty-two contributors to
Vogt's album are
virtually never-ending.
All were acquainted with
Vogt in some capacity,
from long-time
friendships to
relationships that were
created when Vogt
requested their entry.
Thus, while Vogt is the
person who is central to
each of these musicians,
the web can be greatly
expanded. In general, the
connections are centered
around the Conservatoire,
teacher lineages, the
Opera, and performing
circles. The
relationships between all
the contributors in the
album parallel the
current musical world, as
many of these kinds of
relationships still
exist, and permit us to
fantasize who might be
found in an album created
today by a musician of
the same standing. Also
important, is what sort
of entries the
contributors chose to
pen. The sixty-three
entries are varied, but
can be divided into
published and unpublished
works. Within the
published works, we find
opera excerpts, symphony
excerpts, mass excerpts,
and canons, while the
unpublished works include
music for solo piano,
oboe or English horn,
string instruments
(violin and cello), and
voice (voice with piano
and choral). The music
for oboe and English horn
works largely belong in
the unpublished works of
the album. These entries
were most likely written
to honor Vogt. Seven are
for oboe and piano and
were contributed by
Joseph Joachim, Pauline
Garcia Viardot
(1821-1910), Joseph
Artot, Anton Bohrer
(1783-1852), Georges
Onslow (1784-1853),
Desire Beaulieu
(1791-1863), and Narcisse
Girard (1797-1860). The
common thread between
these entries is the
simplicity of the melody
and structure. Many are
repetitive, especially
Beaulieu's entry, which
features a two-note
ostinato throughout the
work, which he even
included in his
signature. Two composers
contributed pieces for
English horn and piano,
and like the previous
oboe entries, are simple
and repetitive. These
were written by Michele
Carafa (1787-1872) and
Louis Clapisson
(1808-1866). There are
two other entries that
were unpublished works
and are chamber music.
One is an oboe trio by
Jacques Halevy
(1799-1862) and the other
is for oboe and strings
(string trio) by J. B.
Cramer (1771-1858). There
are five published works
in the album for oboe and
English horn. There are
three from operas and the
other two from symphonic
works. Ambroise Thomas
(1811-1896) contributed
an excerpt from the
Entr'acte of his opera La
Guerillero, and was
likely chosen because the
oboe was featured at this
moment. Hippolyte Chelard
(1789-1861) also chose to
honor Vogt by writing for
English horn. His entry,
for English horn and
piano, is taken from his
biggest success, Macbeth.
The English horn part was
actually taken from Lady
Macbeth's solo in the
sleepwalking scene.
Vogt's own entry also
falls into this category,
as he entered an excerpt
from Donizetti's Maria di
Rohan. The excerpt he
chose is a duet between
soprano and English horn.
There are two entries
featuring oboe that are
excerpted from symphonic
repertoire. One is a
familiar oboe melody from
Beethoven's Pastoral
Symphony entered by his
first biographer, Anton
Schindler (1796-1864).
The other is an excerpt
from Berlioz's choral
symphony, Romeo et
Juliette. He entered an
oboe solo from the Grand
Fete section of the
piece. Pedagogical
benefit All of these
works are lovely, and fit
within the album
wonderfully, but these
works also are great oboe
and English horn music
for young students. The
common thread between
these entries is the
simplicity of the melody
and structure. Many are
repetitive, especially
Beaulieu's entry, which
features a two-note
ostinato throughout the
work in the piano. This
repetitive structure is
beneficial for young
students for searching
for a short solo to
present at a studio
recital, or simply to
learn. They also work
many technical issues a
young player may
encounter, such as
mastering the rolling
finger to uncover and
recover the half hole.
This is true of Bealieu's
Pensee as well as
Onslow's Andantino.
Berlioz's entry from
Romeo et Juliette
features very long
phrases, which helps with
endurance and helps keep
the air spinning through
the oboe. Some of the
pieces also use various
levels of ornamentation,
from trills to grace
notes, and short
cadenzas. This allows the
student to learn
appropriate ways to
phrase with these added
notes. The chamber music
is a valuable way to
start younger students
with chamber music,
especially the short
quartet by Cramer for
oboe and string trio. All
of these pieces will not
tax the student to learn
a work that is more
advanced, as well as give
them a full piece that
they can work on from
beginning to end in a
couple weeks, instead of
months. Editorial Policy
The works found in this
edition are based on the
manuscript housed at the
Morgan Library in New
York City (call number
Cary 348, V886. A3). When
possible, published
scores were consulted and
compared to clarify pitch
and text. The general
difficulties in creating
an edition of these works
stem from entries that
appear to be hastily
written, and thus omit
complete articulations
and dynamic indications
for all passages and
parts. The manuscript has
been modernized into a
performance edition. The
score order from the
manuscript has been
retained. If an entry
also exists in a
published work, and this
was not indicated on the
manuscript, appropriate
titles and subtitles have
been added tacitly. For
entries that were
untitled, the beginning
tempo marking or
expressive directive has
been added as its title
tacitly. Part names have
been changed from the
original language to
English. If no part name
was present, it was added
tacitly. All scores are
transposing where
applicable. Measure
numbers have been added
at the beginning of every
system. Written
directives have been
retained in the original
language and are placed
relative to where they
appear in the manuscript.
Tempo markings from the
manuscript have been
retained, even if they
were abbreviated, i.e.,
Andte. The barlines,
braces, brackets, and
clefs are modernized. The
beaming and stem
direction has been
modernized. Key
signatures have been
modernized as some of the
flats/sharps do not
appear on the correct
lines or spaces. Time
signatures have been
modernized. In a few
cases, when a time
signature was missing in
the manuscript, it has
been added tacitly.
Triplet and rhythmic
groupings have been
modernized. Slurs, ties,
and articulations
(staccato and accent)
have been modernized.
Slurs, ties, and
articulations have been
added to parallel
passages tacitly.
Courtesy accidentals
found in the manuscript
have been removed, unless
it appeared to be helpful
to the performer. Dynamic
indications from the
manuscript have been
retained, except where
noted. --Kristin
Leitterman. Introducti
onGustave Vogt’s
Musical ParisGustave Vogt
(1781–1870) was
born into the “Age
of Enlightenment,â€
at the apex of the
Enlightenment’s
outreach. During his
lifetime he would observe
its effect on the world.
Over the course of his
life he lived through
many changes in musical
style. When he was born,
composers such as Mozart
and Haydn were still
writing masterworks
revered today, and
eighty-nine years later,
as he departed the world,
the new realm of
Romanticism was beginning
to emerge with Mahler,
Richard Strauss and
Debussy, who were soon to
make their respective
marks on the musical
world. Vogt himself left
a huge mark on the
musical world, with
critics referring to him
as the “grandfather
of the modern oboeâ€
and the “premier
oboist of
Europe.â€Through his
eighty-nine years, Vogt
would live through what
was perhaps the most
turbulent period of
French history. He
witnessed the French
Revolution of 1789,
followed by the many
newly established
governments, only to die
just months before the
establishment of the
Third Republic in 1870,
which would be the
longest lasting
government since the
beginning of the
revolution. He also
witnessed the
transformation of the
French musical world from
one in which opera
reigned supreme, to one
in which virtuosi,
chamber music, and
symphonic music ruled.
Additionally, he
experienced the
development of the oboe
right before his eyes.
When he began playing in
the late eighteenth
century, the standard
oboe had two keys (E and
Eb) and at the time of
his death in 1870, the
“System Sixâ€
Triébert oboe (the
instrument adopted by
Conservatoire professor,
Georges Gillet, in 1882)
was only five years from
being developed.Vogt was
born March 18, 1781 in
the ancient town of
Strasbourg, part of the
Alsace region along the
German border. At the
time of his birth,
Strasbourg had been
annexed by Louis XIV, and
while heavily influenced
by Germanic culture, had
been loosely governed by
the French for a hundred
years. Although it is
unclear when Vogt began
studying the oboe and
when his family made its
move to the French
capital, the Vogts may
have fled Strasbourg in
1792 after much of the
city was destroyed during
the French Revolution. He
was without question
living in Paris by 1798,
as he enrolled on June 8
at the newly established
Conservatoire national de
Musique to study oboe
with the school’s
first oboe professor,
Alexandre-Antoine
Sallantin
(1775–1830).Vogtâ
€™s relationship with
the Conservatoire would
span over half a century,
moving seamlessly from
the role of student to
professor. In 1799, just
a year after enrolling,
he was awarded the
premier prix, becoming
the fourth oboist to
achieve this award. By
1802 he had been
appointed
répétiteur, which
involved teaching the
younger students and
filling in for Sallantin
in exchange for a free
education. He maintained
this rank until 1809,
when he was promoted to
professor adjoint and
finally to professor
titulaire in 1816 when
Sallantin retired. This
was a position he held
for thirty-seven years,
retiring in 1853, making
him the longest serving
oboe professor in the
school’s history.
During his tenure, he
became the most
influential oboist in
France, teaching
eighty-nine students,
plus sixteen he taught
while he was professor
adjoint and professor
titulaire. Many of these
students went on to be
famous in their own
right, such as Henri Brod
(1799–1839),
Apollon Marie-Rose Barret
(1804–1879),
Charles Triebert
(1810–1867),
Stanislas Verroust
(1814–1863), and
Charles Colin
(1832–1881). His
influence stretches from
French to American oboe
playing in a direct line
from Charles Colin to
Georges Gillet
(1854–1920), and
then to Marcel Tabuteau
(1887–1966), the
oboist Americans lovingly
describe as the
“father of American
oboe playing.â€Opera
was an important part of
Vogt’s life. His
first performing position
was with the
Théâtre-Montansier
while he was still
studying at the
Conservatoire. Shortly
after, he moved to the
Ambigu-Comique and, in
1801 was appointed as
first oboist with the
Théâtre-Italien in
Paris. He had been in
this position for only a
year, when he began
playing first oboe at the
Opéra-Comique. He
remained there until
1814, when he succeeded
his teacher,
Alexandre-Antoine
Sallantin, as soloist
with the Paris Opéra,
the top orchestra in
Paris at the time. He
played with the Paris
Opéra until 1834, all
the while bringing in his
current and past students
to fill out the section.
In this position, he
began to make a name for
himself; so much so that
specific performances
were immortalized in
memoirs and letters. One
comes from a young Hector
Berlioz
(1803–1865) after
having just arrived in
Paris in 1822 and
attended the Paris
Opéra’s
performance of
Mehul’s Stratonice
and Persuis’
ballet Nina. It was in
response to the song
Quand le bien-amié
reviendra that Berlioz
wrote: “I find it
difficult to believe that
that song as sung by her
could ever have made as
true and touching an
effect as the combination
of Vogt’s
instrument…â€
Shortly after this,
Berlioz gave up studying
medicine and focused on
music.Vogt frequently
made solo and chamber
appearances throughout
Europe. His busiest
period of solo work was
during the 1820s. In 1825
and 1828 he went to
London to perform as a
soloist with the London
Philharmonic Society.
Vogt also traveled to
Northern France in 1826
for concerts, and then in
1830 traveled to Munich
and Stuttgart, visiting
his hometown of
Strasbourg on the way.
While on tour, Vogt
performed Luigi
Cherubini’s
(1760–1842) Ave
Maria, with soprano Anna
(Nanette) Schechner
(1806–1860), and a
Concertino, presumably
written by himself. As a
virtuoso performer in
pursuit of repertoire to
play, Vogt found himself
writing much of his own
music. His catalog
includes chamber music,
variation sets, vocal
music, concerted works,
religious music, wind
band arrangements, and
pedagogical material. He
most frequently performed
his variation sets, which
were largely based on
themes from popular
operas he had, presumably
played while he was at
the Opéra.He made his
final tour in 1839,
traveling to Tours and
Bordeaux. During this
tour he appeared with the
singer Caroline Naldi,
Countess de Sparre, and
the violinist Joseph
Artôt
(1815–1845). This
ended his active career
as a soloist. His
performance was described
in the Revue et gazette
musicale de Paris as
having “lost none
of his superiority over
the oboe….
It’s always the
same grace, the same
sweetness. We made a trip
to Switzerland, just by
closing your eyes and
listening to
Vogt’s
oboe.â€Vogt was also
active performing in
Paris as a chamber and
orchestral musician. He
was one of the founding
members of the
Société des
Concerts du
Conservatoire, a group
established in 1828 by
violinist and conductor
François-Antoine
Habeneck
(1781–1849). The
group featured faculty
and students performing
alongside each other and
works such as Beethoven
symphonies, which had
never been heard in
France. He also premiered
the groundbreaking
woodwind quintets of
Antonin Reicha
(1770–1836).After
his retirement from the
Opéra in 1834 and from
the Société des
Concerts du Conservatoire
in 1842, Vogt began to
slow down. His final
known performance was of
Cherubini’s Ave
Maria on English horn
with tenor Alexis Dupont
(1796–1874) in
1843. He then began to
reflect on his life and
the people he had known.
When he reached his 60s,
he began gathering
entries for his Musical
Album of
Autographs.Autograph
AlbumsVogt’s
Musical Album of
Autographs is part of a
larger practice of
keeping autograph albums,
also commonly known as
Stammbuch or Album
Amicorum (meaning book of
friendship or friendship
book), which date back to
the time of the
Reformation and the
University of Wittenberg.
It was during the
mid-sixteenth century
that students at the
University of Wittenberg
began passing around
bibles for their fellow
students and professors
to sign, leaving messages
to remember them by as
they moved on to the next
part of their lives. The
things people wrote were
mottos, quotes, and even
drawings of their family
coat of arms or some
other scene that meant
something to the owner.
These albums became the
way these young students
remembered their school
family once they had
moved on to another
school or town. It was
also common for the
entrants to comment on
other entries and for the
owner to amend entries
when they learned of
important life details
such as marriage or
death.As the practice
continued, bibles were
set aside for emblem
books, which was a
popular book genre that
featured allegorical
illustrations (emblems)
in a tripartite form:
image, motto, epigram.
The first emblem book
used for autographs was
published in 1531 by
Andrea Alciato
(1492–1550), a
collection of 212 Latin
emblem poems. In 1558,
the first book conceived
for the purpose of the
album amicorum was
published by Lyon de
Tournes
(1504–1564) called
the Thesaurus Amicorum.
These books continued to
evolve, and spread to
wider circles away from
universities. Albums
could be found being kept
by noblemen, physicians,
lawyers, teachers,
painters, musicians, and
artisans.The albums
eventually became more
specialized, leading to
Musical Autograph Albums
(or Notestammbücher).
Before this
specialization, musicians
contributed in one form
or another, but our
knowledge of them in
these albums is mostly
limited to individual
people or events. Some
would simply sign their
name while others would
insert a fragment of
music, usually a canon
(titled fuga) with text
in Latin. Canons were
popular because they
displayed the
craftsmanship of the
composer in a limited
space. Composers
well-known today,
including J. S. Bach,
Telemann, Mozart,
Beethoven, Dowland, and
Brahms, all participated
in the practice, with
Beethoven being the first
to indicate an interest
in creating an album only
of music.This interest
came around 1815. In an
1845 letter from Johann
Friedrich Naue to
Heinrich Carl
Breidenstein, Naue
recalled an 1813 visit
with Beethoven, who
presented a book
suggesting Naue to
collect entries from
celebrated musicians as
he traveled. Shortly
after we find Louis Spohr
speaking about leaving on
his “grand
tour†through
Europe in 1815 and of his
desire to carry an album
with entries from the
many artists he would
come across. He wrote in
his autobiography that
his “most valuable
contribution†came
from Beethoven in 1815.
Spohr’s
Notenstammbuch, comprised
only of musical entries,
is groundbreaking because
it was coupled with a
concert tour, allowing
him to reach beyond the
Germanic world, where the
creation of these books
had been nearly
exclusive. Spohr brought
the practice of
Notenstammbücher to
France, and in turn
indirectly inspired Vogt
to create a book of his
own some fifteen years
later.Vogt’s
Musical Album of
AutographsVogt’s
Musical Album of
Autographs acts as a form
of a memoir, displaying
mementos of musicians who
held special meaning in
his life as well as
showing those with whom
he was enamored from the
younger generation. The
anonymous Pie Jesu
submitted to Vogt in 1831
marks the beginning of an
album that would span
nearly three decades by
the time the final entry,
an excerpt from Charles
Gounod’s
(1818–1893) Faust,
which premiered in 1859,
was submitted.Within this
album ... $16.99 - Voir plus => AcheterDélais: 1 to 2 weeks | | |
| Concerto In C For Piano And Symphonic Wind Orch. Orchestre d'harmonie Beriato Music
Concert Band/Harmonie and Piano SKU: BT.BMP8095417 Composed by Leroy Ande...(+)
Concert Band/Harmonie and
Piano SKU:
BT.BMP8095417
Composed by Leroy
Anderson. Arranged by
Jörg Murschinski.
Score Only. Composed
2008. Beriato Music
#BMP8095417. Published by
Beriato Music
(BT.BMP8095417).
A lot is known
about the American
composer Leroy Anderson.
This son of Swedish
immigrants played the
piano, organ, accordion,
trombone, tuba and double
bass. He spoke several
languages fluently and
graduated from Harvard
with first-class
honours.While on military
service, the army also
commissioned him to write
a manual on Icelandic
grammar.He already
started writing musical
arrangements as a
student, and from his
30th year arranged and
composed for the Boston
Pops Orchestra. Such
melodiesas Serenata, The
Typewriter, Sleigh Ride
and Bugler�s
Holiday made him world
famous. His best-known
work, Blue Tango, reached
number one in the US
charts in 1952, and it
sold more than a million
copies. In 1975, a year
after hisdeath, he was
given a star at the Walk
of Fame in Hollywood.Most
of his works last no
longer than three
minutes, about the
maximum length of a
single at that time. One
work that lasts longer is
his 1953 Piano Concerto
in C for piano and
orchestra.The first
performance was in
Chicago, conducted by the
composer and with Eugene
List at the piano.
However, after three
performances he was no
longer happy with the
work and withdrew it. He
always intended to revise
it, but never got round
to it. Itwas only in 1989
that the Anderson family
decided to republish the
work.This three-part
composition is on the one
hand characterised by a
careless elegance, but on
the other one can hear
the influence of
Rachmaninoff, Copland,
Gershwin, and
evenBeethoven and Mozart,
as well as the Viennese
classics.Anderson used
the sonata form for the
first movement. It ends
with a cadenza that
carries us on into the
second part (in e minor).
The third part is a
typically cheerful
American folk dance in2/4
time, a so-called Hoe
Down, with a lilting,
lyrical passage as its
middle section. At the
end comes a solo passage
followed by a rapid
close.In this piano
concerto, Anderson
combines a rigidly
classical form of
composition with simple
andappealing themes and
elements from light
music. So this work is a
perfect synthesis of
light music and what is
called serious music, in
the same way as
Gershwin�s
Rhapsody in Blue. A work
that can be played
equally well in a
concerthall, at an
open-air concert or even
a pop
concert.
Over de
Amerikaanse componist
Leroy Anderson is veel
bekend. Deze zoon van
Zweedse immigranten
speelde piano, orgel,
accordeon, trombone, tuba
en contrabas. Hij sprak
vloeiend verschillende
talen en studeerde met
grote onderscheidingaf
aan Harvard en schreef
tijdens zijn legerdienst
in opdracht van het leger
een handboek grammatica
Ijslands.Al in zijn
studententijd begon hij
met het maken van
arrangementen, en vanaf
zijn 30ste arrangeerde en
componeerde hijvoor het
Boston Pops Orchestra.
Melodieën zoals
Serenata, The Typewriter,
Sleigh Ride en Bugler's
Holiday maakte hem
wereldberoemd. Zijn
bekendste werk Blue Tango
stond in 1952 op nummer
één in de VS
Charts, ener werden meer
dan een miljoen
exemplaren van verkocht.
Een jaar na zijn dood in
1975 kreeg hij een ster
op de Walk of Fame in
Hollywood.Zijn meeste
werken duren niet langer
dan drie minuten,
ongeveer de maximumduur
van een singletoen. Een
werk dat wel langer
duurt, is het
pianoconcerto in C voor
piano en orkest uit 1953.
Het werd in Chicago
gecreëerd onder zijn
leiding met Eugene List
aan de piano. Na drie
uitvoeringen echter, was
hij niet meer
tevredenover zijn werk en
trok dit terug. Hij had
zijn leven lang de
intentie het te herwerken
doch kwam er niet meer
toe. Pas in 1989 besliste
de Anderson Familie zijn
pianoconcerto toch
opnieuw uit te geven.Dit
driedelige werk
wordtenerzijds getypeerd
door een zorgeloze
elegantie, maar
anderzijds zijn invloeden
van Rachmaninoff,
Copland, Gerschwin en
zelfs Beethoven en Mozart
alsook de Weense
klassiekers te horen.Voor
de eerste beweging, past
Anderson de
sonatevormtoe. Op het
einde volgt een cadenza
die ons in het tweede
deel (in mi klein) voert.
Het derde deel is een
typische Amerikaanse,
vrolijke volksdans in
2/4, een zogenaamde Hoe
Down met als
middengedeelte een
zangerige,
lyrische
Ãœber
den amerikanischen
Komponisten Leroy
Anderson lässt sich
vieles berichten: Der
Sohn schwedischer
Immigranten spielte
Klavier, Orgel,
Akkordeon, Posaune, Tuba
und Kontrabass, sprach
neun Sprachen
fließend, absolvierte
mit
einemMagna-cum-laude-Absc
hluss die Harvard
Universität und
verfasste während
seiner Militärzeit im
Zweiten Weltkrieg für
die amerikanische Armee
eine Grammatik des
Isländischen. Schon
während seiner
Studentenzeit begann er
zu arrangieren, ab Mitte
der30er Jahre des letzten
Jahrhunderts arrangierte
und komponierte er für
das Boston Pops
Orchestra. Aus seiner
Feder stammen so bekannte
Werke der leichten Muse
wie Serenata, The
Typewriter, Sleigh Ride
oder Bugler�s
Holiday. Sein
wohlbekanntestes
Stück, Blue Tango,
wurde als erste
Instrumentalkomposition
über eine Million Mal
verkauft und belegte im
Jahr 1952 Platz 1 der
US-Charts. Für seine
Verdienste um die
Schallplattenindustrie
erhielt er ein Jahr nach
seinem Tod einenStern auf
dem Walk of Fame in
Hollywood.Charakteristisc
h für seine Werke ist
die Dauer: die meisten
sind rund drei Minuten
lang � mehr passte
nicht auf den damals
gebräuchlichen
Tonträger, eine
Singleschallplatte. Nur
wenige
seinerKompositionen
sprengen diesen
Zeitrahmen. Dazu
gehört sein Konzert
C-Dur für Klavier und
Orchester. Er komponierte
es 1953, die
Uraufführung fand
unter seiner Leitung und
mit Eugene List am
Klavier im selben Jahr in
Chicago statt. Da
Anderson mit demWerk aber
nicht zufrieden war, zog
er es im Sommer 1954,
nach nur drei
Aufführungen, wieder
ein. Er hatte zeitlebens
die Absicht, es zu
überarbeiten, allein,
es kam nicht mehr dazu.
Erst 1989 entschied sich
die Anderson-Familie
dazu, dasKlavierkonzert
wieder zu
veröffentlichen.Das
dreisätzige Werk zeigt
die Unbeschwertheit und
Eleganz, die Andersons
sämtliche
Kompositionen
auszeichnen. Dennoch
findet man darin auch
Anklänge an
Komponisten wie
Rachmaninoff, Copland,
Gershwin, undeben
Beethoven und Mozart,
sowie die Wiener
Klassiker. Der erste Satz
folgt der
Sonatenhauptsatzform. An
seinem Ende steht eine
Klavierkadenz, die direkt
in den langsamen zweiten
Satz (in e-Moll)
überleitet. Der dritte
Satz schließlich ist
einwaschechter Hoe Down,
ein fröhlicher
amerikanischer Volkstanz
im 2/4-Takt, in dessen
Zentrum aber eine
lyrisch-gesangliche
Passage steht. Eine
weitere Solo-Kadenz
führt das Werk in
einen spritzigen
Schlussabschnitt.In
seinem
Klavierkonzertvereinigt
Anderson einen
klassisch-traditionellen
Form- und
Kompositionsstil mit
Elementen der
Unterhaltungsmusik und
eingängigen Melodien,
die schon immer sein
Markenzeichen waren.
Daher bildet dieses Werk
eine perfekte Synthese
von ernster undleichter
Musik. Es passt �
wie beispielsweise auch
George Gershwins Rhapsody
in Blue �
gleichermaßen in einen
vornehmen Konzertsaal,
wie auch zur
zwanglos-lockeren
Atmosphäre einer
sommerlichen
Open-Air-Veranstaltung
oder
einesPops-Konzertes. <
br>Nous savons beaucoup
de choses sur le
compositeur américain
Leroy Anderson. Ce fils
dimmigrants suédois
jouait du piano, de
lorgue, de laccordéon,
du trombone, du tuba et
de la contrebasse. Il
parlait couramment
plusieurs langues et
était diplômé
avec grande distinction
de Harvard. Pendant son
service militaire, il
écrivit un manuel de
grammaire islandaise
commandé par
larmée.Étudiant,
il avait déj
commencé faire des
arrangements et dès l
ge de 30 ans, il
arrangeait et composait
pour le Boston Pops
Orchestra. Des
mélodies telles que
Serenata, The Typewriter,
Sleigh Ride et Buglers
Holiday lui valurent une
renommée mondiale. Son
uvre phare, Blue Tango,
fut numéro un
descharts américains
en 1952 et se vendit plus
dun million dexemplaires.
Un an après sa mort en
1975, il eut droit son
étoile sur le Walk of
Fame Hollywood.La plupart
de ses uvres nexcèdent
pas trois minutes, soit
peu près la durée
maximale dun single
lépoque. Son concerto
en ut pour piano et
orchestre de 1953 est
quant lui plus long. Il
fut créé Chicago
sous sa direction avec
Eugene List au piano.
Après trois
exécutions, Anderson
nétait toutefois plus
satisfait de son travail
et le retira. Toute sa
vie, il eut lintention de
le remanier mais ne le
fit pas. Ce nest quen
1989 que la famille
Anderson décida de
tout de m?me
rééditer son
concerto pour piano.Cette
uvre en trois parties se
caractérise par son
élégance
nonchalante mais aussi
par linfluence de
Rachmaninoff, Copland,
Gershwin et m?me de
Beethoven et Mozart,
ainsi que des classiques
viennois.Pour le premier
mouvement, Anderson opte
pour une sonate. la fin,
une cadence nous conduit
la deuxième partie (en
mi mineur). La
troisième partie est
une danse populaire
joyeuse et typiquement
américaine en 2/4, une
Hoe Down avec un passage
lyrique et mélodieux
en son milieu. la fin, un
solo est suivi par une
clôture rapide.Dans
son concerto pour piano,
Anderson unit une
composition pure et
classique des thèmes
beaux et simples, sans
oublier des
éléments de la
musique légère.
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| Concerto In C For Piano And Symphonic Wind Orch. Orchestre d'harmonie Beriato Music
Concert Band/Harmonie and Piano SKU: BT.BMP8091417 Composed by Leroy Ande...(+)
Concert Band/Harmonie and
Piano SKU:
BT.BMP8091417
Composed by Leroy
Anderson. Arranged by
Jörg Murschinski. Set
(Score & Parts). Composed
2008. Beriato Music
#BMP8091417. Published by
Beriato Music
(BT.BMP8091417).
A lot is known
about the American
composer Leroy Anderson.
This son of Swedish
immigrants played the
piano, organ, accordion,
trombone, tuba and double
bass. He spoke several
languages fluently and
graduated from Harvard
with first-class
honours.While on military
service, the army also
commissioned him to write
a manual on Icelandic
grammar.He already
started writing musical
arrangements as a
student, and from his
30th year arranged and
composed for the Boston
Pops Orchestra. Such
melodiesas Serenata, The
Typewriter, Sleigh Ride
and Bugler�s
Holiday made him world
famous. His best-known
work, Blue Tango, reached
number one in the US
charts in 1952, and it
sold more than a million
copies. In 1975, a year
after hisdeath, he was
given a star at the Walk
of Fame in Hollywood.Most
of his works last no
longer than three
minutes, about the
maximum length of a
single at that time. One
work that lasts longer is
his 1953 Piano Concerto
in C for piano and
orchestra.The first
performance was in
Chicago, conducted by the
composer and with Eugene
List at the piano.
However, after three
performances he was no
longer happy with the
work and withdrew it. He
always intended to revise
it, but never got round
to it. Itwas only in 1989
that the Anderson family
decided to republish the
work.This three-part
composition is on the one
hand characterised by a
careless elegance, but on
the other one can hear
the influence of
Rachmaninoff, Copland,
Gershwin, and
evenBeethoven and Mozart,
as well as the Viennese
classics.Anderson used
the sonata form for the
first movement. It ends
with a cadenza that
carries us on into the
second part (in e minor).
The third part is a
typically cheerful
American folk dance in2/4
time, a so-called Hoe
Down, with a lilting,
lyrical passage as its
middle section. At the
end comes a solo passage
followed by a rapid
close.In this piano
concerto, Anderson
combines a rigidly
classical form of
composition with simple
andappealing themes and
elements from light
music. So this work is a
perfect synthesis of
light music and what is
called serious music, in
the same way as
Gershwin�s
Rhapsody in Blue. A work
that can be played
equally well in a
concerthall, at an
open-air concert or even
a pop
concert.
Over de
Amerikaanse componist
Leroy Anderson is veel
bekend. Deze zoon van
Zweedse immigranten
speelde piano, orgel,
accordeon, trombone, tuba
en contrabas. Hij sprak
vloeiend verschillende
talen en studeerde met
grote onderscheidingaf
aan Harvard en schreef
tijdens zijn legerdienst
in opdracht van het leger
een handboek grammatica
Ijslands.Al in zijn
studententijd begon hij
met het maken van
arrangementen, en vanaf
zijn 30ste arrangeerde en
componeerde hijvoor het
Boston Pops Orchestra.
Melodieën zoals
Serenata, The Typewriter,
Sleigh Ride en Bugler's
Holiday maakte hem
wereldberoemd. Zijn
bekendste werk Blue Tango
stond in 1952 op nummer
één in de VS
Charts, ener werden meer
dan een miljoen
exemplaren van verkocht.
Een jaar na zijn dood in
1975 kreeg hij een ster
op de Walk of Fame in
Hollywood.Zijn meeste
werken duren niet langer
dan drie minuten,
ongeveer de maximumduur
van een singletoen. Een
werk dat wel langer
duurt, is het
pianoconcerto in C voor
piano en orkest uit 1953.
Het werd in Chicago
gecreëerd onder zijn
leiding met Eugene List
aan de piano. Na drie
uitvoeringen echter, was
hij niet meer
tevredenover zijn werk en
trok dit terug. Hij had
zijn leven lang de
intentie het te herwerken
doch kwam er niet meer
toe. Pas in 1989 besliste
de Anderson Familie zijn
pianoconcerto toch
opnieuw uit te geven.Dit
driedelige werk
wordtenerzijds getypeerd
door een zorgeloze
elegantie, maar
anderzijds zijn invloeden
van Rachmaninoff,
Copland, Gerschwin en
zelfs Beethoven en Mozart
alsook de Weense
klassiekers te horen.Voor
de eerste beweging, past
Anderson de
sonatevormtoe. Op het
einde volgt een cadenza
die ons in het tweede
deel (in mi klein) voert.
Het derde deel is een
typische Amerikaanse,
vrolijke volksdans in
2/4, een zogenaamde Hoe
Down met als
middengedeelte een
zangerige,
lyrische
Ãœber
den amerikanischen
Komponisten Leroy
Anderson lässt sich
vieles berichten: Der
Sohn schwedischer
Immigranten spielte
Klavier, Orgel,
Akkordeon, Posaune, Tuba
und Kontrabass, sprach
neun Sprachen
fließend, absolvierte
mit
einemMagna-cum-laude-Absc
hluss die Harvard
Universität und
verfasste während
seiner Militärzeit im
Zweiten Weltkrieg für
die amerikanische Armee
eine Grammatik des
Isländischen. Schon
während seiner
Studentenzeit begann er
zu arrangieren, ab Mitte
der30er Jahre des letzten
Jahrhunderts arrangierte
und komponierte er für
das Boston Pops
Orchestra. Aus seiner
Feder stammen so bekannte
Werke der leichten Muse
wie Serenata, The
Typewriter, Sleigh Ride
oder Bugler�s
Holiday. Sein
wohlbekanntestes
Stück, Blue Tango,
wurde als erste
Instrumentalkomposition
über eine Million Mal
verkauft und belegte im
Jahr 1952 Platz 1 der
US-Charts. Für seine
Verdienste um die
Schallplattenindustrie
erhielt er ein Jahr nach
seinem Tod einenStern auf
dem Walk of Fame in
Hollywood.Charakteristisc
h für seine Werke ist
die Dauer: die meisten
sind rund drei Minuten
lang � mehr passte
nicht auf den damals
gebräuchlichen
Tonträger, eine
Singleschallplatte. Nur
wenige
seinerKompositionen
sprengen diesen
Zeitrahmen. Dazu
gehört sein Konzert
C-Dur für Klavier und
Orchester. Er komponierte
es 1953, die
Uraufführung fand
unter seiner Leitung und
mit Eugene List am
Klavier im selben Jahr in
Chicago statt. Da
Anderson mit demWerk aber
nicht zufrieden war, zog
er es im Sommer 1954,
nach nur drei
Aufführungen, wieder
ein. Er hatte zeitlebens
die Absicht, es zu
überarbeiten, allein,
es kam nicht mehr dazu.
Erst 1989 entschied sich
die Anderson-Familie
dazu, dasKlavierkonzert
wieder zu
veröffentlichen.Das
dreisätzige Werk zeigt
die Unbeschwertheit und
Eleganz, die Andersons
sämtliche
Kompositionen
auszeichnen. Dennoch
findet man darin auch
Anklänge an
Komponisten wie
Rachmaninoff, Copland,
Gershwin, undeben
Beethoven und Mozart,
sowie die Wiener
Klassiker. Der erste Satz
folgt der
Sonatenhauptsatzform. An
seinem Ende steht eine
Klavierkadenz, die direkt
in den langsamen zweiten
Satz (in e-Moll)
überleitet. Der dritte
Satz schließlich ist
einwaschechter Hoe Down,
ein fröhlicher
amerikanischer Volkstanz
im 2/4-Takt, in dessen
Zentrum aber eine
lyrisch-gesangliche
Passage steht. Eine
weitere Solo-Kadenz
führt das Werk in
einen spritzigen
Schlussabschnitt.In
seinem
Klavierkonzertvereinigt
Anderson einen
klassisch-traditionellen
Form- und
Kompositionsstil mit
Elementen der
Unterhaltungsmusik und
eingängigen Melodien,
die schon immer sein
Markenzeichen waren.
Daher bildet dieses Werk
eine perfekte Synthese
von ernster undleichter
Musik. Es passt �
wie beispielsweise auch
George Gershwins Rhapsody
in Blue �
gleichermaßen in einen
vornehmen Konzertsaal,
wie auch zur
zwanglos-lockeren
Atmosphäre einer
sommerlichen
Open-Air-Veranstaltung
oder
einesPops-Konzertes. <
br>Nous savons beaucoup
de choses sur le
compositeur américain
Leroy Anderson. Ce fils
dimmigrants suédois
jouait du piano, de
lorgue, de laccordéon,
du trombone, du tuba et
de la contrebasse. Il
parlait couramment
plusieurs langues et
était diplômé
avec grande distinction
de Harvard. Pendant son
service militaire, il
écrivit un manuel de
grammaire islandaise
commandé par
larmée.Étudiant,
il avait déj
commencé faire des
arrangements et dès l
ge de 30 ans, il
arrangeait et composait
pour le Boston Pops
Orchestra. Des
mélodies telles que
Serenata, The Typewriter,
Sleigh Ride et Buglers
Holiday lui valurent une
renommée mondiale. Son
uvre phare, Blue Tango,
fut numéro un
descharts américains
en 1952 et se vendit plus
dun million dexemplaires.
Un an après sa mort en
1975, il eut droit son
étoile sur le Walk of
Fame Hollywood.La plupart
de ses uvres nexcèdent
pas trois minutes, soit
peu près la durée
maximale dun single
lépoque. Son concerto
en ut pour piano et
orchestre de 1953 est
quant lui plus long. Il
fut créé Chicago
sous sa direction avec
Eugene List au piano.
Après trois
exécutions, Anderson
nétait toutefois plus
satisfait de son travail
et le retira. Toute sa
vie, il eut lintention de
le remanier mais ne le
fit pas. Ce nest quen
1989 que la famille
Anderson décida de
tout de m?me
rééditer son
concerto pour piano.Cette
uvre en trois parties se
caractérise par son
élégance
nonchalante mais aussi
par linfluence de
Rachmaninoff, Copland,
Gershwin et m?me de
Beethoven et Mozart,
ainsi que des classiques
viennois.Pour le premier
mouvement, Anderson opte
pour une sonate. la fin,
une cadence nous conduit
la deuxième partie (en
mi mineur). La
troisième partie est
une danse populaire
joyeuse et typiquement
américaine en 2/4, une
Hoe Down avec un passage
lyrique et mélodieux
en son milieu. la fin, un
solo est suivi par une
clôture rapide.Dans
son concerto pour piano,
Anderson unit une
composition pure et
classique des thèmes
beaux et simples, sans
oublier des
éléments de la
musique légère.
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| Souvenirs Violoncelle, Piano - Intermédiaire Salabert
Cello and Piano - intermediate SKU: BT.SLB-00595900 Extrait de la musi...(+)
Cello and Piano -
intermediate SKU:
BT.SLB-00595900
Extrait de la musique
de scène pour « Le
Voyageur sans bagages
». Composed by
Francis Poulenc.
Classical. Book and
Part(s). Composed 2016. 5
pages. Editions Salabert
#SLB 00595900. Published
by Editions Salabert
(BT.SLB-00595900).
INSSTR inches.
French. A
previously unreleased
piece by Francis Poulenc,
published with permission
from the Bibliothèque
Historique de la Ville de
Paris and Benoît
Seringe, secretary of the
Association des amis
de Francis Poulenc
[Association of the
Friends ofFrancis
Poulenc]. Le Voyageur
sans bagage [The
Traveller Without
Luggage], which had been
premiered in 1937 with
music by Darius Milhaud,
was reprised on 1 April
1944 at the Thé tre de
la Michodière; Francis
Poulenc was asked to
compose new stage music.
Theentire unpublished
score lay undiscovered
until Bérengère de
l’Épine, a
librarian at the
Bibliothèque
Historique de la Ville de
Paris, announced the
existence of a manuscript
in the Association de la
Régie Thé trale
collection.Poulenc
finalised the score
between 19 and 21 March
1944. It contains nine
songs, all written for a
small instrumental
ensemble including oboe,
clarinet, cello and
piano. However, at the
end of the manuscript,
the composer echoes the
second song Lent
[Slow] and creates
another version for cello
and piano; curiously, the
original version of the
song has not been erased
in the manuscript.
Poulenc seems to suggest
that we consider the
piece for cello and
piano, that we have
publishedhere, as a
different piece of music.
It was premiered on
Wednesday 23 January 2013
by Marc Coppey,
accompanied by
Jean-François Heisser,
in the organ auditorium
of the Conservatoire
National Supérieur de
Musique et Danse de Paris
(CNSMDP), during
thesymposium for the
fiftieth anniversary of
Poulenc’s
death.Given in a dramatic
context, some elements
allow us to get an idea
of the character of the
piece, which Benoît
Seringe, Poulenc’s
beneficiary, judiciously
chose to name
Souvenirs.The main
character of
Anouilh’s play,
Gaston, is suffering from
amnesia at the end of
World War One. Several
families try to claim
him; they want him to be
their missing relative.
The Renaud family prove
to be particularly
stubborn, but Gaston
doesnot recognize himself
in the child and young
man they depict: a
ruthless and violent
person. In Act 1 Scene 3,
left alone for a moment,
overwhelmed by the story
of the “old
Gaston†that is
gradually coming to
light, and outraged by
the desire ofthose around
him to appropriate him
(to the detriment of the
person he would like to
be from now on), he
whispers these words:
“You all have
proof, photographs that
look like me, memories as
clear as day…
I’ve listened to
you all and it’s
slowlycausing a hybrid
person to rise up in me;
a person in which there
is a piece of each of
your sons and nothing of
me.†Poulenc chose
to place the second piece
from his stage music
score as these words are
spoken.He borrowed part
of the material, as he
often did, from an
earlier composition. In
this particular case, the
beginning is a recycled
version of the
“slow and
melancholicâ€
section from
L’Histoire de
Babar , composed
between 1940 and 1945,
andpremiered in 1946
(unless it is Babar
that reuses the
musical idea from
Voyageur ).The
eponymous elephant
decides to leave in
search of the great
forest. He embraces the
old lady, promises her he
will return and reassures
her that he will never
forget her. Left alone,
the old lady, feeling sad
and pensive, wonders when
she’ll seeher
friend Babar again. The
situation is similar to
that in Voyageur sans
bagage: solitude,
sadness, a distressing
and introspective time,
fear of oblivion, the
presence of
memories…
Pi
èce inédite de
Francis Poulenc,
publiée avec
l’autorisation de
la Bibliothèque
historique de la ville de
Paris et de Benoît
Seringe, secrétaire de
l’Association des
Amis de Francis
Poulenc.Le 1er avril
1944, Le Voyageur sans
bagage d’Anouilh,
qui avait été
créé en 1937 avec
de la musique de Darius
Milhaud, est repris au
Thé tre de la
Michodière. Francis
Poulenc a été
sollicité afin
d’écrire une
nouvelle musique de
scène. On ignoraittout
de cette partition
inédite,
jusqu’au jour
où Bérengère de
l’Épine,
conservateur la
Bibliothèque
historique de la ville de
Paris, nous signala
l’existence
d’un manuscrit
dans le fonds de
l’Association de
la Régie thé
trale.Poulenc mit au
point sa partition entre
le 19 et le 21 mars 1944.
Elle comprend neuf
numéros, tous
écrits pour un petit
effectif instrumental
réunissant un
hautbois, une clarinette,
un violoncelle et un
piano.Cependant, la fin
de son manuscrit, le
compositeur reprend le no
2 Lent et en donne une
seconde version, pour
violoncelle et piano.
Curieusement, la version
originale de ce numéro
n’est pas
biffée dans le
manuscrit.Poulenc semble
nous inviter
considérer comme un
morceau distinct cette
pièce pour violoncelle
et piano dont nous
proposons ici
l’édition. Elle
a été créée
par Marc Coppey,
accompagné de
Jean-François Heisser,
lors du concert donné
durant lecolloque
organisé pour le
cinquantenaire du
décès de Poulenc,
le mercredi 23 janvier
2013, salle
d’orgue du
Conservatoire National
Supérieur de Musique
et de Danse de Paris
(CNSMDP).Quelques
éléments sur le
contexte dramatique
permettront de se faire
une idée du
caractère du morceau,
que Benoît Seringe,
ayant droit Poulenc, a
judicieusement choisi
d’intituler
Souvenirs.Le personnage
principal de la pièce
d’Anouilh, Gaston,
a été retrouvé
amnésique la fin de la
Première Guerre
Mondiale. Plusieurs
familles le réclament.
On veut voir en lui un
parent disparu. Les
Renaud se montrent
particulièrement
tenaces ; maisGaston ne
parvient se
reconnaître dans
l’enfant et le
jeune homme dont on lui
trace le portrait : un
être violent et sans
scrupule. Au tableau 3 de
l’acte I, resté
seul un moment,
écrasé par
l’histoire de cet
autre lui-même
qu’il découvre
peu peu, indigné par
le désir des personnes
qui l’entourent de
le ramener elles au
détriment de celui
qu’il voudrait
être désormais, il
se murmure ces paroles :
« Vous avez tous des
preuves, des
photographies
ressemblantes, des
souvenirs précis
commedes crimes… je
vous écoute tous et je
sens surgir peu peu
derrière moi un
être hybride où il
y a un peu de chacun de
vos fils et rien de moi
»…C’est
sur ces mots que Poulenc
a choisi de placer le no
2 de sa partition de
musique de scène.Comme
il le fait souvent, il
emprunte une composition
antérieure une part de
son matériau. Dans ce
cas précis, il
réutilise pour le
début du morceau la
section « Lent et
mélancolique » de
l’Histoire de
Babar, composée entre
1940 et 1945, créée
en1946 ( moins que ce ne
soit Babar qui
réutilise
l’idée musicale
du Voyageur). Le
héros-éléphant
s’est décidé
partir pour retrouver la
grande forêt. Il a
embrassé la vieille
dame, lui a promis de
revenir, l’a
rassurée : jamais il
ne
l’oubliera.RestÃ
e seule, la vieille
dame, triste et pensive,
se demande quand elle
reverra son ami Babar. La
situation est similaire
celle du Voyageur sans
bagage : solitude,
tristesse, instantde
trouble et de retour sur
soi, crainte de
l’oubli,
présence des
souvenirs…. $11.95 - Voir plus => AcheterDélais: 4 to 6 weeks | | |
| Power Of Pop - Soprano/Tenor Sax, Easy Level (Book/CD) Saxophone Tenor [Partition + CD] - Débutant Hal Leonard
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Concert Band/Harmonie -
Grade 3 SKU:
BT.DHP-1216342-140
The Last Queen of
Egypt. Composed by
Thierry Deleruyelle.
Concert and Contest
Collection CBHA. Concert
Piece. Score Only.
Composed 2021. 39 pages.
De Haske Publications
#DHP 1216342-140.
Published by De Haske
Publications
(BT.DHP-1216342-140).
English-German-French-
Dutch. Queen
Cleopatra ruled Egypt for
over 20 years. She is one
of antiquity’s
best-known women, in
particular because of her
relationships with Julius
Caesar and, above all,
Mark-Anthony, but also
because the cause of her
death remainsa mystery.
The work is split into
three parts and performed
without breaks. The first
section begins with a
bright introduction
representing
Mark-Anthony. Dynamic in
nature and reminiscent of
military music, this
characterises theRoman
general. But soon after,
another theme emerges,
softer and more melodic,
symbolising
Cleopatra’s
femininity. The two
characters then combine
on a faster tempo. The
middle section of the
work depicts the love
thatMark-Anthony and
Cleopatra feel for each
other. This passionate
relationship lasted ten
years and produced three
children. This is
expressed by a warm and
intense theme, just like
the beauty of the
Egyptian queen. The third
andlast section opens in
a determined and military
mood. Mark-Anthony and
Cleopatra were often
apart, the Roman general
was often away on a
campaign. They met up in
Alexandria to celebrate
their triumph. But, as
the targets of
thejealousy and ambition
of Octavius, Julius
Caesar’s son, the
lovers are trapped and
await the inevitable
conquest of Egypt by the
Romans. When Mark-Anthony
heard the false news that
Cleopatra had committed
suicide, he ended his
ownlife. The Queen of
Egypt, for her part, was
imprisoned shortly
afterwards. The two
lovers remain one of
History’s most
famous couples. This
piece was commissioned by
the Wind Orchestra of the
town of Antony, near
Paris, directedby
Philippe Rossignol, to
mark its 90th
anniversary.
Konin
gin Cleopatra heerste
meer dan twintig jaar
lang over Egypte. Ze is
een van de bekendste
vrouwen uit de oudheid,
vanwege haar relatie met
Julius Caesar en vooral
die met Marcus Antonius,
maar ook omdat de oorzaak
van haardood altijd een
mysterie is gebleven. Dit
werk bestaat uit drie in
elkaar overlopende delen.
Het eerste deel begint
met de levendige
introductie van Marcus
Antonius. Met het
dynamische en enigszins
militaire karakter van de
muziekwordt de Romeinse
generaal krachtig
neergezet. Snel daarna
doemt een zachter en
melodieuzer thema op een
weerspiegeling van
Cleopatra’s
vrouwelijkheid. De twee
persoonlijkheden gaan
vervolgens samen verder
in een vlotter tempo.Het
middelste deel beschrijft
de liefde die Marcus
Antonius en Cleopatra
voor elkaar voelden. Hun
hartstochtelijke relatie
duurde tien jaar en
bracht drie kinderen
voort. Dit wordt
uitgedrukt in een warm en
intens thema waarintevens
de schoonheid van de
Egyptische koningin
doorschemert. Het derde
en laatste deel opent
vastberaden en in
militaire sfeer. Marcus
Antonius en Cleopatra
waren vaak bij elkaar
vandaan: de generaal was
geregeld weg om strijd
tevoeren. In
Alexandrië vierden ze
samen hun triomf, maar de
jaloezie en ambitie van
Octavius, de zoon van
Julius Caesar, gooide
roet in het eten. De
geliefden werden in de
val gelokt en de
onvermijdelijke
verovering van Egypte
doorde Romeinen volgde al
snel. Toen Marcus
Antonius het onjuiste
bericht kreeg dat
Cleopatra zelfmoord had
gepleegd, maakte hij een
eind aan zijn eigen
leven: de koningin van
Egypte werd op haar beurt
kort daarna
gevangengezet. Detwee
geliefden behoren tot de
beroemdste stellen uit de
wereldgeschiedenis.
Cleopatra werd in
opdracht geschreven om
het negentigjarig bestaan
van het blaasorkest uit
de gemeente Antony dicht
bij Parijs te markeren.
Dat orkestbracht het
onder leiding van
Philippe Rossignol in
première.
Kö
nigin Kleopatra regierte
über 20 Jahre lang
Ägypten. Sie ist eine
der bekanntesten Frauen
der Antike, insbesondere
aufgrund ihrer
Beziehungen zu Julius
Cäsar und vor allem zu
Marcus Antonius aber auch
aufgrund
ihrerrätselhaften
Todesursache. Das Werk
besteht aus drei
Abschnitten, die ohne
Unterbrechung gespielt
werden. Der erste
Abschnitt beginnt mit
einer strahlenden
Einleitung, die Marcus
Antonius darstellt. Die
martialische und
dynamischeMusik
beschreibt den
römischen Feldherrn.
Doch bald darauf erklingt
ein neues Thema, das
sanfter und melodischer
ist und Kleopatras
Weiblichkeit
symbolisiert. Die beiden
Charaktere verschmelzen
schließlich in einem
schnellerenTempo. Der
Mittelteil des Werkes
beschreibt die Liebe, die
Marcus Antonius und
Kleopatra füreinander
empfinden. Die
leidenschaftliche
Beziehung der beiden
dauerte zehn Jahre lang
und aus ihr gingen drei
Kinder hervor. Dafür
stehtein warmes und
intensives Thema, das
auch die Schönheit der
ägyptischen Königin
beschreibt. Der dritte
und letzte Abschnitt
beginnt mit einer
entschlossenen und
kriegerischen Stimmung.
Marcus Antonius und
Kleopatra waren
oftmalsgetrennt, wenn
sich der römische
Feldherr auf Feldzügen
befand. In Alexandria
trafen sie sich, um ihren
Sieg zu feiern. Doch sie
waren Opfer der
Eifersucht und der
ehrgeizigen Ambitionen
von Octavius, Julius
Cäsars Sohn, wurden
ineine Falle gelockt und
mussten auf die
bevorstehende Eroberung
Ägyptens durch die
Römer warten. Als
Marcus Antonius die
Nachricht vom
vermeintlichen Selbstmord
Kleopatras erhielt, nahm
er sich selbst das Leben.
Die Königin
vonÄgypten wurde
ihrerseits kurz darauf
inhaftiert. Die beiden
zählen zu den
berühmtesten
Liebespaaren der
Geschichte. Dieses
Stück wurde vom
Orchestre
d’Harmonie de la
Ville d’Antony aus
der Nähe von Paris,
das von PhilippeRossignol
geleitet wird,
anlässlich seines
90-jährigen
Jubiläums in Auftrag
gegeben.
La Reine
Cléop tre règne sur
l’Égypte
pendant plus de 20 ans.
Elle est l’une des
femmes les plus connues
de l’Antiquité,
notamment gr ce ses
relations avec Jules
César et surtout avec
Marc-Antoine (Antony),
mais aussi par
lemystère
qu’entoure sa
disparition.
L’œuvre est
écrite en trois
parties enchaînées.
La première commence
par une brillante
introduction qui
représente
Marc-Antoine. A la fois
martiale et dynamique,
cette musique
caractérise
legénéral romain.
Mais très vite, un
nouveau thème
apparaît, plus
mélodique et plus
doux, il symbolise la
féminité que
représente Cléop
tre. Les deux
caractères vont
ensuite
s’assembler dans
un tempo plus rapide. La
partie centralede
l’œuvre
dépeint l’amour
que Marc-Antoine et
Cléop tre ressentent
l’un pour
l’autre. Cette
relation passionnée
durera 10 ans et donnera
naissance 3 enfants. Il
en résulte un thème
chaleureux et intense,
l’image de la
beautéde la reine
d’Égypte.
Enfin, c’est sur
un caractère
décidé et guerrier
que la troisième
partie débute.
Marc-Antoine et Cléop
tre sont souvent
séparés, le
général romain est
souvent en campagne. Ils
se retrouvent Alexandrie
pourfêter leur
triomphe. Mais, victimes
de la jalousie et de
l’ambition
terrifiante
d’Octave, fils de
Jules César, les
amants sont piégés
et attendent
inexorablement que
l’Égypte soit
conquise par les Romains.
A la fausse annonce
dusuicide de Cléop
tre, Marc-Antoine met fin
ses jours. La Reine
d’Egypte sera
quant elle emprisonnée
peu de temps après.
Les deux amants resteront
l’un des couples
les plus célèbres
de l’Histoire.
L’œuvre a
été commandée
parl’Orchestre
d’Harmonie de la
ville d’Antony
l’occasion de ses
90 ans :
l’orchestre est
placé sous la
direction de Philippe
Rossignol. $31.95 - Voir plus => AcheterDélais: 2 to 3 weeks | | |
| Cleopatra Orchestre d'harmonie - Intermédiaire De Haske Publications
Concert Band/Harmonie - Grade 3 SKU: BT.DHP-1216342-010 The Last Queen...(+)
Concert Band/Harmonie -
Grade 3 SKU:
BT.DHP-1216342-010
The Last Queen of
Egypt. Composed by
Thierry Deleruyelle.
Concert and Contest
Collection CBHA. Concert
Piece. Set (Score &
Parts). Composed 2021. De
Haske Publications #DHP
1216342-010. Published by
De Haske Publications
(BT.DHP-1216342-010).
English-German-French-
Dutch. Queen
Cleopatra ruled Egypt for
over 20 years. She is one
of antiquity’s
best-known women, in
particular because of her
relationships with Julius
Caesar and, above all,
Mark-Anthony, but also
because the cause of her
death remainsa mystery.
The work is split into
three parts and performed
without breaks. The first
section begins with a
bright introduction
representing
Mark-Anthony. Dynamic in
nature and reminiscent of
military music, this
characterises theRoman
general. But soon after,
another theme emerges,
softer and more melodic,
symbolising
Cleopatra’s
femininity. The two
characters then combine
on a faster tempo. The
middle section of the
work depicts the love
thatMark-Anthony and
Cleopatra feel for each
other. This passionate
relationship lasted ten
years and produced three
children. This is
expressed by a warm and
intense theme, just like
the beauty of the
Egyptian queen. The third
andlast section opens in
a determined and military
mood. Mark-Anthony and
Cleopatra were often
apart, the Roman general
was often away on a
campaign. They met up in
Alexandria to celebrate
their triumph. But, as
the targets of
thejealousy and ambition
of Octavius, Julius
Caesar’s son, the
lovers are trapped and
await the inevitable
conquest of Egypt by the
Romans. When Mark-Anthony
heard the false news that
Cleopatra had committed
suicide, he ended his
ownlife. The Queen of
Egypt, for her part, was
imprisoned shortly
afterwards. The two
lovers remain one of
History’s most
famous couples. This
piece was commissioned by
the Wind Orchestra of the
town of Antony, near
Paris, directedby
Philippe Rossignol, to
mark its 90th
anniversary.
Konin
gin Cleopatra heerste
meer dan twintig jaar
lang over Egypte. Ze is
een van de bekendste
vrouwen uit de oudheid,
vanwege haar relatie met
Julius Caesar en vooral
die met Marcus Antonius,
maar ook omdat de oorzaak
van haardood altijd een
mysterie is gebleven. Dit
werk bestaat uit drie in
elkaar overlopende delen.
Het eerste deel begint
met de levendige
introductie van Marcus
Antonius. Met het
dynamische en enigszins
militaire karakter van de
muziekwordt de Romeinse
generaal krachtig
neergezet. Snel daarna
doemt een zachter en
melodieuzer thema op een
weerspiegeling van
Cleopatra’s
vrouwelijkheid. De twee
persoonlijkheden gaan
vervolgens samen verder
in een vlotter tempo.Het
middelste deel beschrijft
de liefde die Marcus
Antonius en Cleopatra
voor elkaar voelden. Hun
hartstochtelijke relatie
duurde tien jaar en
bracht drie kinderen
voort. Dit wordt
uitgedrukt in een warm en
intens thema waarintevens
de schoonheid van de
Egyptische koningin
doorschemert. Het derde
en laatste deel opent
vastberaden en in
militaire sfeer. Marcus
Antonius en Cleopatra
waren vaak bij elkaar
vandaan: de generaal was
geregeld weg om strijd
tevoeren. In
Alexandrië vierden ze
samen hun triomf, maar de
jaloezie en ambitie van
Octavius, de zoon van
Julius Caesar, gooide
roet in het eten. De
geliefden werden in de
val gelokt en de
onvermijdelijke
verovering van Egypte
doorde Romeinen volgde al
snel. Toen Marcus
Antonius het onjuiste
bericht kreeg dat
Cleopatra zelfmoord had
gepleegd, maakte hij een
eind aan zijn eigen
leven: de koningin van
Egypte werd op haar beurt
kort daarna
gevangengezet. Detwee
geliefden behoren tot de
beroemdste stellen uit de
wereldgeschiedenis.
Cleopatra werd in
opdracht geschreven om
het negentigjarig bestaan
van het blaasorkest uit
de gemeente Antony dicht
bij Parijs te markeren.
Dat orkestbracht het
onder leiding van
Philippe Rossignol in
première.
Kö
nigin Kleopatra regierte
über 20 Jahre lang
Ägypten. Sie ist eine
der bekanntesten Frauen
der Antike, insbesondere
aufgrund ihrer
Beziehungen zu Julius
Cäsar und vor allem zu
Marcus Antonius aber auch
aufgrund
ihrerrätselhaften
Todesursache. Das Werk
besteht aus drei
Abschnitten, die ohne
Unterbrechung gespielt
werden. Der erste
Abschnitt beginnt mit
einer strahlenden
Einleitung, die Marcus
Antonius darstellt. Die
martialische und
dynamischeMusik
beschreibt den
römischen Feldherrn.
Doch bald darauf erklingt
ein neues Thema, das
sanfter und melodischer
ist und Kleopatras
Weiblichkeit
symbolisiert. Die beiden
Charaktere verschmelzen
schließlich in einem
schnellerenTempo. Der
Mittelteil des Werkes
beschreibt die Liebe, die
Marcus Antonius und
Kleopatra füreinander
empfinden. Die
leidenschaftliche
Beziehung der beiden
dauerte zehn Jahre lang
und aus ihr gingen drei
Kinder hervor. Dafür
stehtein warmes und
intensives Thema, das
auch die Schönheit der
ägyptischen Königin
beschreibt. Der dritte
und letzte Abschnitt
beginnt mit einer
entschlossenen und
kriegerischen Stimmung.
Marcus Antonius und
Kleopatra waren
oftmalsgetrennt, wenn
sich der römische
Feldherr auf Feldzügen
befand. In Alexandria
trafen sie sich, um ihren
Sieg zu feiern. Doch sie
waren Opfer der
Eifersucht und der
ehrgeizigen Ambitionen
von Octavius, Julius
Cäsars Sohn, wurden
ineine Falle gelockt und
mussten auf die
bevorstehende Eroberung
Ägyptens durch die
Römer warten. Als
Marcus Antonius die
Nachricht vom
vermeintlichen Selbstmord
Kleopatras erhielt, nahm
er sich selbst das Leben.
Die Königin
vonÄgypten wurde
ihrerseits kurz darauf
inhaftiert. Die beiden
zählen zu den
berühmtesten
Liebespaaren der
Geschichte. Dieses
Stück wurde vom
Orchestre
d’Harmonie de la
Ville d’Antony aus
der Nähe von Paris,
das von PhilippeRossignol
geleitet wird,
anlässlich seines
90-jährigen
Jubiläums in Auftrag
gegeben.
La Reine
Cléop tre règne sur
l’Égypte
pendant plus de 20 ans.
Elle est l’une des
femmes les plus connues
de l’Antiquité,
notamment gr ce ses
relations avec Jules
César et surtout avec
Marc-Antoine (Antony),
mais aussi par
lemystère
qu’entoure sa
disparition.
L’œuvre est
écrite en trois
parties enchaînées.
La première commence
par une brillante
introduction qui
représente
Marc-Antoine. A la fois
martiale et dynamique,
cette musique
caractérise
legénéral romain.
Mais très vite, un
nouveau thème
apparaît, plus
mélodique et plus
doux, il symbolise la
féminité que
représente Cléop
tre. Les deux
caractères vont
ensuite
s’assembler dans
un tempo plus rapide. La
partie centralede
l’œuvre
dépeint l’amour
que Marc-Antoine et
Cléop tre ressentent
l’un pour
l’autre. Cette
relation passionnée
durera 10 ans et donnera
naissance 3 enfants. Il
en résulte un thème
chaleureux et intense,
l’image de la
beautéde la reine
d’Égypte.
Enfin, c’est sur
un caractère
décidé et guerrier
que la troisième
partie débute.
Marc-Antoine et Cléop
tre sont souvent
séparés, le
général romain est
souvent en campagne. Ils
se retrouvent Alexandrie
pourfêter leur
triomphe. Mais, victimes
de la jalousie et de
l’ambition
terrifiante
d’Octave, fils de
Jules César, les
amants sont piégés
et attendent
inexorablement que
l’Égypte soit
conquise par les Romains.
A la fausse annonce
dusuicide de Cléop
tre, Marc-Antoine met fin
ses jours. La Reine
d’Egypte sera
quant elle emprisonnée
peu de temps après.
Les deux amants resteront
l’un des couples
les plus célèbres
de l’Histoire.
L’œuvre a
été commandée
parl’Orchestre
d’Harmonie de la
ville d’Antony
l’occasion de ses
90 ans :
l’orchestre est
placé sous la
direction de Philippe
Rossignol. $176.95 - Voir plus => AcheterDélais: 2 to 3 weeks | | |
| Four Earth Songs Orchestre d'harmonie - Avancé De Haske Publications
Concert Band and Vocal Solo - Grade 5 SKU: BT.DHP-1094768-140 Poems by...(+)
Concert Band and Vocal
Solo - Grade 5 SKU:
BT.DHP-1094768-140
Poems by Graeme
King. Composed by
Marco Putz. Concert and
Contest Collection CBHA.
Concert Piece. Score
Only. Composed 2010. 84
pages. De Haske
Publications #DHP
1094768-140. Published by
De Haske Publications
(BT.DHP-1094768-140).
9x12 inches.
English-German-French-Dut
ch. The hymn Nun
ruhen alle Wälder (Now
All Forests Rest),
arranged by J.S. Bach
(No. 6, So sei nun,
Seele, deine, from
Cantata BWV 13), is a
guiding light throughout
this four-movement
composition. Pütz
wrote this work as a
musical outcry against
the wilful, profit-driven
destruction of our
environment. When Bach
used the word
“ruhen†(to
rest) over 350 years ago,
it probably had a
different nuance from the
meaning it has today. At
the beginning of the 21st
century - the so-called
age of progress -
“nun ruhen alle
Wälder†should
mean “now all
forests die†.
Massive industrialization
and globalization,
coupled with pure greed,
corruption, political
scandals, an
ever-wideninggap between
the rich and poor, and
other such senseless
human actions, are
pushing our blue planet
closer and closer to the
point of no return. This
work is not intended to
be a ranting accusation.
It should remind us of
the beauty and harmony
that can exist all around
us in nature, if we take
care of it. Pütz
hopes that this will, one
day, help put a greater
emphasis on
humanity’s
survival, and coexistence
with nature rather than
the exploitation
described earlier. All
four texts were created
by Australian poet Graeme
King, whose works were
discovered by Pütz,
by chance on the
internet. Pütz was
especially captivated by
King’s clarity,
and intrigued by the
possibilities of adapting
and melding the strong
rhythmical structure of
King’s writing
with his own musical
language. The four
movements are as follows:
1. Tears of Nature 2.
Grrrevolution 3. Stand
up! 4. Tomorrow The world
première of Four Earth
Songs took place on 7
July 2009 at the 14th
WASBE-Conference in
Cincinnati (USA). This
work is dedicated in
friendship to Jouke
Hoekstra, conductor, and
the Frysk Fanfare Orkest
(the Frisian
Fanfare-Orchestra).
De hymne Nun
ruhen alle Wälder,
gearrangeerd door J.S.
Bach (nr. 6, So sei nun,
Seele, deine, uit cantate
BWV 13), is de leidraad
in deze vierdelige
compositie. Pütz
schreef het werk als een
muzikaal protest tegen de
moedwillige,op winstbejag
gebaseerde vernietiging
van ons milieu. Toen Bach
het woord
‘ruhen’
(rusten) meer dan 350
jaar geleden gebruikte,
lag er waarschijnlijk een
andere nuance in dan
tegenwoordig. Aan het
begin van de 21e eeuw -
dezogenaamde eeuw van de
vooruitgang - zou
‘nun ruhen alle
Wälder’ zelfs
kunnen betekenen:
‘nu sterven alle
bossen’. De
grootschalige
industrialisatie en
globalisering, in
combinatie met pure
hebzucht, corruptie,
politieke schandalen,een
groeiende kloof tussen
arm en rijk, en andere
dwaze menselijke
verrichtingen, brengen
onze blauwe planeet
steeds verder in de
problemen, tot er
misschien geen weg terug
meer is. Dit werk is niet
bedoeld als een
beschuldigendetirade. Het
moet ons wijzen op de
schoonheid en harmonie
die in de natuur om ons
heen kan bestaan, als we
er goed voor zorgen.
Pütz hoopt dat er op
een dag meer nadruk
gelegd zal worden op het
overleven van de mensheid
invreedzame co-existentie
met de natuur, zonder de
eerdergenoemde
uitbuiting. Alle vier de
teksten zijn geschreven
door de Australische
dichter Graeme King,
wiens werk Pütz bij
toeval tegenkwam op het
internet. Hij werd
getroffendoor Kings
helderheid en raakte ge
ntrigeerd door de
mogelijkheid de sterke
ritmische structuur van
Kings teksten om te
zetten in zijn eigen
muzikale taal. De vier
delen zijn de volgende:
1. Tears of Nature 2.
Grrrevolution 3.Stand up!
4. Tomorrow De
wereldpremière van
Four Earth Songs vond
plaats op 7 juli 2009
tijdens de 14e WASBE
Conference in Cincinnati
(VS). Dit werk is in
vriendschap opgedragen
aan dirigent Jouke
Hoekstra en zijn Fryskt
Fanfare
Der Choral
Nun ruhen alle Wälder,
hier in einer Bearbeitung
von J.S. Bach (Nr. 6 So
sei nun, Seele, deine aus
der Kantate BWV 13),
zieht sich wie ein roter
Faden durch diese
viersätzige
Komposition, die als
musikalischer Aufschrei
(Anfang!) gegen die
mutwillige,
profitgesteuerte
Zerstörung unserer
Umwelt gedacht ist.
Sicher hatte das Wort
ruhen“ vor
über 350 Jahren,
als der Liedtext
entstand, eine andere
Bedeutung als heute. Zu
Beginn des 21.
Jahrhunderts, im
sogenannten Zeitalter des
Fortschritts,
müsste es leider
wohl eher heißen: Nun
sterben alle
Wälder“...
Massive
Industrialisierung,
Globalisierung, aber auch
Profitgier, Korruption,
politische
Unfähigkeit,krasse
Unterschiede zwischen arm
und reich, und
schlussendlich die
Uneinsichtigkeit des
einzelnen Menschen haben
dazu geführt, dass
der Blaue Planet“
heute kurz vor dem
Kollaps steht. Dieses
Werk soll jedoch nicht
nur anklagen, es soll
auch die verbliebenen
Schönheiten unserer
Natur aufzeigen, in der
Hoffnung, dass es einmal
gelingen wird, die
Rettung der Natur und den
Schutz der Umwelt
über die oben
genannten Interessen zu
stellen. Alle vier Texte
stammen aus der Feder des
australischen Dichters
Graeme King, dessen Werk
der Komponist durch einen
glücklichen Zufall
im Internet entdeckte.
Besonders inspirierend
war die Direktheit von
Graemes Aussagen, aber
auch die kraftvolle
Rhythmik seiner Verse mit
den daraus resultierenden
Möglichkeiten der
musikalischen Umsetzung.
Die vier Sätze sind
wie folgt
überschrieben: 1.
Tears of Nature 2.
Grrrevolution 3. Stand
up! 4. Tomorrow Die
offizielle
Uraufführung von
Four Earth Songs fand am
7. Juli 2009 statt,
anlässlich der 14.
WASBE-Konferenz in
Cincinnati (USA). Das
Werk ist dem Dirigenten
Jouke Hoekstra und dem
Frysk Fanfare Orkest
(Friesischen
Fanfareorchester) in
aller Freundschaft
gewidmet.
Le
cantique Nun ruhen alle
Wälder, dont la ligne
mélodique fut reprise
par Jean-Sébastien
Bach pour son choral So
sein nun, Seele, deine
(Choral n°6 - Cantate
BWV 13), est le fil
conducteur de cette
oeuvre en quatre
mouvements conçue
comme un cri contre la
destruction volontaire de
la nature pour le profit.
Plus de trois siècles
nous séparent du temps
de Bach. Si les mots sont
restés les mêmes,
leur sens primitif
connaît cependant
quelques nuances. Ainsi,
au XXIe siècle -
considéré comme le
« siècle du
progrès », il
conviendrait de traduire
Nun ruhen alle Wälder
(“les forêts se
reposent “) par
“Les forêts se
meurentâ€. La
mondialisation et
l’industrialisatio
n massiveassociées
l’avidité
prédatrice, la
corruption politique, aux
actions humaines
irrationnelles et au
fossé grandissant
entre riches et pauvres
conduisent notre
planète bleue se
rapprocher chaque jour un
peu plus du point de non
retour. Cette composition
n’est pas une
accusation acerbe, mais
plutôt une exhortation
prendre soin de cette
beauté si harmonieuse
que nous offre la nature.
Et peut-être,
prendrons-nous enfin
conscience de
l’importance
d’une situation de
coexistence avec la
nature, nécessaire
pour la survie de
l’espèce
humaine, et non
d’exploitation qui
conduit la destruction.
Un jour, alors
qu’il naviguait
sur Internet, Marco
Pütz découvrit
l’oeuvre du
poète australien
Graeme King. Fasciné
par la clarté de
l’écriture et
le rythme des vers, Marco
Pütz imagina les
multiples possibilités
d’adaptation et de
mise en musique
qu’offrent les
poèmes de King. Il
choisit quatre poèmes
sur la nature pour
créer son oeuvre Four
Earth Songs (Quatre
chants de la terre). 1.
Tears of Nature (Les
larmes de la Nature) 2.
Grrrevolution 3. Stand
up! (Levez-vous !) 4.
Tomorrow (Demain) Four
Earth Songs est
dédié amicalement
l’Orchestre de
Fanfare de Frise (Frysk
Fanfare Orkest) et son
chef, Jouke Hoekstra.
L’oeuvre a
été donnée en
création mondiale par
l’orchestre
dédicataire
l’occasion de la
14ème Convention de la
WASBE Cincinnati aux. $115.95 - Voir plus => AcheterDélais: 2 to 3 weeks | | |
| Skilful Solos Saxophone Tenor et Piano [Partition + CD] - Intermédiaire Anglo Music
Tenor Saxophone and Piano - intermediate SKU: BT.AMP-368-400 20 Progre...(+)
Tenor Saxophone and Piano
- intermediate SKU:
BT.AMP-368-400 20
Progressive Pieces with
Piano Accompaniment.
Composed by Philip
Sparke. Tuition. Book
with CD. Composed 2013.
44 pages. Anglo Music
Press #AMP 368-400.
Published by Anglo Music
Press (BT.AMP-368-400).
ISBN 9789043138871.
9x12 inches.
English-German-French-Dut
ch. Philip
Sparke’s
Skilful Solos is
the second volume of a
progressive series of
solo books that takes the
young wind player from
beginner to accomplished
musician. Following on
from the first book in
the series Starter
Solos this collection
generally contains longer
pieces suitable for the
developing young
musician. Specifically
tailored for each
instrument, Skilful
Solos introduces the
concept of phrasing by
suggesting suitable
breathing points and
takes the player into new
keys with extended
instrumental ranges, new
notes being introduced in
a gradual and logical
manner.Skilful
Solos comes with a
play-along CD. The
advantages of playing
eitherwith piano or CD
accompaniment are that
the beginning player can
now experience the
important aspects of
ensemble playing from
their earliest lessons,
thus developing the
essential skills of
listening while they play
and maintaining strict
tempo, which is not
always achieved when
playing alone.
Skilful
Solos past in het
rijtje Starter
Studies, Skilful
Studies, Super
Studies en Starter
Solos, een succesvolle
reeks van Philip Sparke.
Net als de eerdergenoemde
uitgaven bevat Skilful
Solos
waardevol,motiverend
speelmateriaal dat de
keuze voor een methode
aanvult. Nieuwe muzikale
elementen komen in een
logische volgorde aan de
orde - om de ontwikkeling
van de complete muzikant
te bevorderen. Uitgave
met cd: De voordelen van
het spelen metbegeleiding
- hetzij op de piano,
hetzij op de cd - zijn
dat de beginnende speler
de belangrijke aspecten
van het ensemblespel kan
ervaren vanaf de eerste
lessen en essentiële
vaardigheden kan
aanleren: het luisteren
tijdens het spelen en
hethandhaven van een
strak tempo. Bij het
alleen spelen komen deze
factoren minder aan de
orde.
Das frühe
Lernstadium ist, neben
einem guten Lehrer im
Unterricht, für jedes
Instrument zweifellos das
Wichtigste. Von großer
Bedeutung ist aber auch
motivierendes
Lehrmaterial. Für
diese zwei Solobücher
beriet sich Philip Sparke
mit vielen Lehrern, wie
man am besten neue Noten
einführt und zugleich
einen Rahmen schafft, in
den sich neue
musikalische Elemente in
sinnvoller Reihenfolge
einfügen lassen.
Unterstützt von
diesenSoli und Etüden
in drei verschiedenen
Schwierigkeitsstufen
können
Instrumentalschüler
schnell zu richtigen
Musikern heranreifen.
Jedes Buch ist genau auf
die Bedürfnisse und
Anforderungen des
einzelnen Instrumentes
zugeschnitten. STARTER
SOLOS und SKILFUL SOLOS
können dank der im
Buch und auf der CD
enthaltenen Begleitungen
auch gut alleine oder mit
einem Pianisten
einstudiert und
aufgeführt werden. Der
Vorteil dabei ist, dass
Anfänger so nicht nur
die wichtigsten Aspekte
desEnsemblespiels
erfahren sondern auch von
Anfang an die
Fähigkeit entwickeln,
zu hören während
sie spielen und das Tempo
zu halten. Inhalt:
Nice to See You Again
-Pony and Trap -Summer
Siesta -Spring (Vivaldi)
-A Victorian Ballad
-Trumpet Tune -Promenade
-Greensleeves -Could You
Repeat That? -Alladale
Aria -Scales of Justice
-Largo from Winter
(Vivaldi) -Waltz with
Variations -Atthe Circus
- Adagio (Mozart) -
Marche Militaire
(Schubert) - Thinking of
You - Fives and Threes -
Daydream - Rhode Island
Rag Suivant
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Skilful Solos est
le nouveau recueil
motivant offrant une
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trouverez une version
intégrale de chaque
pièce ainsi
qu’une version
où ne subsiste que
l’accompagnement ;
la version papier des
accompagnements de piano
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recueil. Skilfu
l Solos può essere
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Starter Solos.
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Skilful Solos è
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| Four Earth Songs Orchestre d'harmonie - Avancé De Haske Publications
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Concert Band and Vocal
Solo - Grade 5 SKU:
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Poems by Graeme
King. Composed by
Marco Putz. Concert and
Contest Collection CBHA.
Concert Piece. Set (Score
& Parts). Composed 2010.
De Haske Publications
#DHP 1094768-010.
Published by De Haske
Publications
(BT.DHP-1094768-010).
9x12 inches.
English-German-French-Dut
ch. The hymn Nun
ruhen alle Wälder (Now
All Forests Rest),
arranged by J.S. Bach
(No. 6, So sei nun,
Seele, deine, from
Cantata BWV 13), is a
guiding light throughout
this four-movement
composition. Pütz
wrote this work as a
musical outcry against
the wilful, profit-driven
destruction of our
environment. When Bach
used the word
“ruhen†(to
rest) over 350 years ago,
it probably had a
different nuance from the
meaning it has today. At
the beginning of the 21st
century - the so-called
age of progress -
“nun ruhen alle
Wälder†should
mean “now all
forests die†.
Massive industrialization
and globalization,
coupled with pure greed,
corruption, political
scandals, an
ever-wideninggap between
the rich and poor, and
other such senseless
human actions, are
pushing our blue planet
closer and closer to the
point of no return. This
work is not intended to
be a ranting accusation.
It should remind us of
the beauty and harmony
that can exist all around
us in nature, if we take
care of it. Pütz
hopes that this will, one
day, help put a greater
emphasis on
humanity’s
survival, and coexistence
with nature rather than
the exploitation
described earlier. All
four texts were created
by Australian poet Graeme
King, whose works were
discovered by Pütz,
by chance on the
internet. Pütz was
especially captivated by
King’s clarity,
and intrigued by the
possibilities of adapting
and melding the strong
rhythmical structure of
King’s writing
with his own musical
language. The four
movements are as follows:
1. Tears of Nature 2.
Grrrevolution 3. Stand
up! 4. Tomorrow The world
première of Four Earth
Songs took place on 7
July 2009 at the 14th
WASBE-Conference in
Cincinnati (USA). This
work is dedicated in
friendship to Jouke
Hoekstra, conductor, and
the Frysk Fanfare Orkest
(the Frisian
Fanfare-Orchestra).
De hymne Nun
ruhen alle Wälder,
gearrangeerd door J.S.
Bach (nr. 6, So sei nun,
Seele, deine, uit cantate
BWV 13), is de leidraad
in deze vierdelige
compositie. Pütz
schreef het werk als een
muzikaal protest tegen de
moedwillige,op winstbejag
gebaseerde vernietiging
van ons milieu. Toen Bach
het woord
‘ruhen’
(rusten) meer dan 350
jaar geleden gebruikte,
lag er waarschijnlijk een
andere nuance in dan
tegenwoordig. Aan het
begin van de 21e eeuw -
dezogenaamde eeuw van de
vooruitgang - zou
‘nun ruhen alle
Wälder’ zelfs
kunnen betekenen:
‘nu sterven alle
bossen’. De
grootschalige
industrialisatie en
globalisering, in
combinatie met pure
hebzucht, corruptie,
politieke schandalen,een
groeiende kloof tussen
arm en rijk, en andere
dwaze menselijke
verrichtingen, brengen
onze blauwe planeet
steeds verder in de
problemen, tot er
misschien geen weg terug
meer is. Dit werk is niet
bedoeld als een
beschuldigendetirade. Het
moet ons wijzen op de
schoonheid en harmonie
die in de natuur om ons
heen kan bestaan, als we
er goed voor zorgen.
Pütz hoopt dat er op
een dag meer nadruk
gelegd zal worden op het
overleven van de mensheid
invreedzame co-existentie
met de natuur, zonder de
eerdergenoemde
uitbuiting. Alle vier de
teksten zijn geschreven
door de Australische
dichter Graeme King,
wiens werk Pütz bij
toeval tegenkwam op het
internet. Hij werd
getroffendoor Kings
helderheid en raakte ge
ntrigeerd door de
mogelijkheid de sterke
ritmische structuur van
Kings teksten om te
zetten in zijn eigen
muzikale taal. De vier
delen zijn de volgende:
1. Tears of Nature 2.
Grrrevolution 3.Stand up!
4. Tomorrow De
wereldpremière van
Four Earth Songs vond
plaats op 7 juli 2009
tijdens de 14e WASBE
Conference in Cincinnati
(VS). Dit werk is in
vriendschap opgedragen
aan dirigent Jouke
Hoekstra en zijn Fryskt
Fanfare
Der Choral
Nun ruhen alle Wälder,
hier in einer Bearbeitung
von J.S. Bach (Nr. 6 So
sei nun, Seele, deine aus
der Kantate BWV 13),
zieht sich wie ein roter
Faden durch diese
viersätzige
Komposition, die als
musikalischer Aufschrei
(Anfang!) gegen die
mutwillige,
profitgesteuerte
Zerstörung unserer
Umwelt gedacht ist.
Sicher hatte das Wort
ruhen“ vor
über 350 Jahren,
als der Liedtext
entstand, eine andere
Bedeutung als heute. Zu
Beginn des 21.
Jahrhunderts, im
sogenannten Zeitalter des
Fortschritts,
müsste es leider
wohl eher heißen: Nun
sterben alle
Wälder“...
Massive
Industrialisierung,
Globalisierung, aber auch
Profitgier, Korruption,
politische
Unfähigkeit,krasse
Unterschiede zwischen arm
und reich, und
schlussendlich die
Uneinsichtigkeit des
einzelnen Menschen haben
dazu geführt, dass
der Blaue Planet“
heute kurz vor dem
Kollaps steht. Dieses
Werk soll jedoch nicht
nur anklagen, es soll
auch die verbliebenen
Schönheiten unserer
Natur aufzeigen, in der
Hoffnung, dass es einmal
gelingen wird, die
Rettung der Natur und den
Schutz der Umwelt
über die oben
genannten Interessen zu
stellen. Alle vier Texte
stammen aus der Feder des
australischen Dichters
Graeme King, dessen Werk
der Komponist durch einen
glücklichen Zufall
im Internet entdeckte.
Besonders inspirierend
war die Direktheit von
Graemes Aussagen, aber
auch die kraftvolle
Rhythmik seiner Verse mit
den daraus resultierenden
Möglichkeiten der
musikalischen Umsetzung.
Die vier Sätze sind
wie folgt
überschrieben: 1.
Tears of Nature 2.
Grrrevolution 3. Stand
up! 4. Tomorrow Die
offizielle
Uraufführung von
Four Earth Songs fand am
7. Juli 2009 statt,
anlässlich der 14.
WASBE-Konferenz in
Cincinnati (USA). Das
Werk ist dem Dirigenten
Jouke Hoekstra und dem
Frysk Fanfare Orkest
(Friesischen
Fanfareorchester) in
aller Freundschaft
gewidmet.
Le
cantique Nun ruhen alle
Wälder, dont la ligne
mélodique fut reprise
par Jean-Sébastien
Bach pour son choral So
sein nun, Seele, deine
(Choral n°6 - Cantate
BWV 13), est le fil
conducteur de cette
oeuvre en quatre
mouvements conçue
comme un cri contre la
destruction volontaire de
la nature pour le profit.
Plus de trois siècles
nous séparent du temps
de Bach. Si les mots sont
restés les mêmes,
leur sens primitif
connaît cependant
quelques nuances. Ainsi,
au XXIe siècle -
considéré comme le
« siècle du
progrès », il
conviendrait de traduire
Nun ruhen alle Wälder
(“les forêts se
reposent “) par
“Les forêts se
meurentâ€. La
mondialisation et
l’industrialisatio
n massiveassociées
l’avidité
prédatrice, la
corruption politique, aux
actions humaines
irrationnelles et au
fossé grandissant
entre riches et pauvres
conduisent notre
planète bleue se
rapprocher chaque jour un
peu plus du point de non
retour. Cette composition
n’est pas une
accusation acerbe, mais
plutôt une exhortation
prendre soin de cette
beauté si harmonieuse
que nous offre la nature.
Et peut-être,
prendrons-nous enfin
conscience de
l’importance
d’une situation de
coexistence avec la
nature, nécessaire
pour la survie de
l’espèce
humaine, et non
d’exploitation qui
conduit la destruction.
Un jour, alors
qu’il naviguait
sur Internet, Marco
Pütz découvrit
l’oeuvre du
poète australien
Graeme King. Fasciné
par la clarté de
l’écriture et
le rythme des vers, Marco
Pütz imagina les
multiples possibilités
d’adaptation et de
mise en musique
qu’offrent les
poèmes de King. Il
choisit quatre poèmes
sur la nature pour
créer son oeuvre Four
Earth Songs (Quatre
chants de la terre). 1.
Tears of Nature (Les
larmes de la Nature) 2.
Grrrevolution 3. Stand
up! (Levez-vous !) 4.
Tomorrow (Demain) Four
Earth Songs est
dédié amicalement
l’Orchestre de
Fanfare de Frise (Frysk
Fanfare Orkest) et son
chef, Jouke Hoekstra.
L’oeuvre a
été donnée en
création mondiale par
l’orchestre
dédicataire
l’occasion de la
14ème Convention de la
WASBE Cincinnati aux. $553.95 - Voir plus => AcheterDélais: 2 to 3 weeks | | |
| Trio Sonata 2 Flûtes traversières, Piano [Partition + CD] Fentone Music
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2 Flutes and Continuo -
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HL.44005641 For
two flutes and basso
continuo. Composed by
Georg Philipp Telemann.
Fentone Instrumental
Books. Transcription.
Book with CD. Composed
2005. Fentone Music #F
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Music (HL.44005641).
UPC: 884088041113.
9x12 inches.
International (more than
one language). This
beautiful trio sonata in
F major by Georg Philipp
Telemann was originally
composed for two
recorders and basso
continuo. For this
edition in The Platinum
Series it has been
adapted for two flutes.
On the CD you will first
hear all the
accompaniments on the
harpsichord - which you
can use if no accompanist
is available - and next
the demo tracks with two
flutes and harpsichord.
The piano part can be
used by pianists as well
as harpsichordists and
with the instrumental
parts (a first and second
flute and a cello part)
you can also play this
beautiful music with your
own chamber ensemble.CD
contains accompaniments
and demonstrations of
sections from Telemann's
sonata.
Telemann
schreef deze prachtige
triosonate in F majeur
voor twee blokfluiten en
basso continuo. Speciaal
voor The Platinum
Series is hiervan een
bewerking voor twee
dwarsfluiten gemaakt. Op
de geweldige cd hoor je
eerst allebegeleidingen
(klavecimbel en fluit 2)
- erg handig als er geen
begeleider in de buurt is
- en vervolgens de
voorbeeldtracks met twee
fluiten en klavecimbel.
De basso continuo is
bruikbaar voor zowel
pianisten als
klavecinisten;en met de
bijlagen (een eerste en
tweede fluitpartij en een
cellopartij) is deze
mooie muziek ook
speelbaar met een eigen
ensemble
Die
Triosonate in F-Dur von
Telemann wurde
ursprunglich fur zwei
Blockfloten und Basso
continuo komponiert. Fur
die neue Platinum-Serie
wurde sie fur zwei Floten
bearbeitet. Auf der CD
erklingen zunachst alle
Begleitungen auf dem
Cembalo - diese konnen
verwendet werden, wenn
kein Begleiter zur Stelle
ist. Darauf folgen
Demoversionen mit zwei
Floten und Cembalo. Der
enthaltene Basso continuo
kann auf dem Klavier und
auf dem Cembalo gespielt
werden. Diese schone
Musik auch von einem
Ensemble (2 Floten and
Cello) aufgefuhrt
werden.Die Reihe The
Platinum Series
enthalt bekannte
klassische Werke fur
verschiedene Instrumente,
die nun verschiedenen
Holzblasern
zuganglichgemacht wurden
und sich in ihrer neuen
Form wunderbar als
Konzertstucke eignen. Die
CDs der Platinum
Series bieten Ihnen
die Gelegenheit, zu einer
schonen Begleitung, die
live mit Klavier,
Cembalo, Kammerensemble
oder gar
Sinfonieorchester
eingespielt wurde, zu
spielen. Auf der CD
erklingen jeweils alle
Begleitungen und
Demo-Versionen. Die
Stucke mit Basso
continuo, der auf dem
Klavier oder
Cembalogespielt werden
kann, enthalten jeweils
eine separate Solo- und
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Alle sechs Ausgaben sind
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La collection
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| La Belle Hélène Orchestre d'harmonie - Intermédiaire/avancé De Haske Publications
Concert Band/Harmonie - Grade 4 SKU: BT.DHP-1125039-140 Arranged by Wil v...(+)
Concert Band/Harmonie -
Grade 4 SKU:
BT.DHP-1125039-140
Arranged by Wil van der
Beek. Great Classics.
Score Only. Composed
2012. 44 pages. De Haske
Publications #DHP
1125039-140. Published by
De Haske Publications
(BT.DHP-1125039-140).
9x12 inches.
English-German-French-Dut
ch. Offenbach (1819
- 1880), who was born in
Germany, moved to Paris
when he was a teenage boy
and remained there for
much of his life. He
became especially famous
as a composer of numerous
operettas. and of one
famous opera: Les
Contes
d’Hoffmann
(The Tales of Hoffmann).
His operettas (or
‘musiquettesâ€
) were often based on
comical, or satirical
librettos. He makes fun
of Parisian daily life,
dignitaries, the
military, the
pretentiousness of the
Grand Opéra, and so
on. In that respect,
Offenbach’s
operettas are not really
comparable with those of
his German-speaking
contemporaries, for
example, Franz Lehár
and Johann Strauss the
Younger. Musically
speaking, we could
callOffenbach’s
operettas lively, funny,
melodious and catchy.For
La Belle
Hélène,
Offenbach drew from Greek
mythology. The story is
based on that of Helen of
Troy, but is set in
France, halfway through
the 19th century; it has
been turned into a satire
on the élite of that
time.The overture to
La Belle
Hélène was (and
still is) very
successful. Offenbach
combined a number of
arias and choruses from
the operetta to give a
taste of what is to
follow. Many overtures
which follow this form
lack unity and structure.
However, in this case the
composition has been well
thought-out.
Offenbach
(1819-1880), Duitser van
geboorte, verhuisde als
jongeman naar Parijs,
waar hij een groot deel
van zijn leven verbleef.
Hij werd vooral beroemd
als componist van
talrijke operettes en een
beroemde opera: Les
Contes
d’Hoffmann.
Zijn operettes (of
‘musiquettesâ€
) zijn qua libretto vaak
komisch en hilarisch, ja
zelfs satirisch. Hij
steekt hierin de draak
met het Parijse mondaine
leven, met
hoogwaardigheidsbekleders
, met militairen, met de
bombast van de Grand
Opéra, enzovoort. In
dat opzicht zijn
Offenbachs operettes
nauwelijks te vergelijken
met die in Duitsland van
bijvoorbeeld Franz
Lehár en Johann
Strauss jr. Muzikaal
gezien kunnen we zijn
operettes
levendig,geestig,
melodieus en goed in het
gehoor liggend
noemen.Voor La Belle
Hélène putte
Offenbach uit de Griekse
mythologie. Het verhaal
draait om Helena van
Troje, maar is verplaatst
naar Frankrijk,
halverwege de negentiende
eeuw; het is uitgewerkt
tot een satire op de
heersende elite.De
ouverture van La Belle
Hélène was (en
is nog altijd) zeer
succesvol. Offenbach
heeft hierin een aantal
aria’s en koren
uit de operette
samengevoegd - een
voorproefje dus op wat
komen gaat. Veel
ouvertures die zo zijn
gemaakt, missen eenheid
en structuur. In dit
geval is er echter sprake
van een goed doordachte
opbouw.
Der
gebürtige Deutsche
Jacques Offenbach
(1819-1880) zog im
Jugendalter nach Paris,
wo er den größten
Teil seines Lebens
verbrachte. Bekannt wurde
er vor allem als
Komponist zahlreicher
Operetten und einer
berühmten Oper: Les
Contes
d’Hoffmann
(Hoffmanns
Erzählungen). Seine
Operetten (oder
Musiquettes“)
basierte er häufig auf
komischen oder gar
satirischen Libretti.
Darin wird das mondäne
Pariser Leben karikiert
mit seinen
Würdenträgern,
Militärs, dem Pomp der
Grand Opéra und
dergleichen mehr. In
dieser Hinsicht sind
Offenbachs Operetten
vergleichbar mit den
deutschen Werken eines
Franz Lehár oder
Johann Strauss (Sohn).
Musikalisch betrachtet
können Offenbachs
Operetten alslebendig,
amüsant, melodiös
und eingängig
beschrieben werden.
Für La Belle
Hélène bediente
sich Offenbach der
griechischen Mythologie.
Die Handlung beruht auf
Helena von Troja, wurde
aber ins Frankreich der
Mitte des 19.
Jahrhunderts versetzt und
in eine Satire auf die
damals herrschende Elite
verwandelt.Die
Ouvertüre von La
Belle Hélène
war und ist sehr
erfolgreich. Offenbach
kombinierte darin eine
Reihe von Arien und
Chorstellen aus der
Operette und lieferte so
quasi einen Vorgeschmack
auf das Folgende. Vielen
auf diese Weise
entstandene Ouvertüren
mangelt es an
Einheitlichkeit und
Struktur. Diese
Ouvertüre zeugt jedoch
von einem gut
durchdachten Aufbau.
Jacques Offenbach
est né en Allemagne en
1819. Sa famille
s’installe Paris
alors qu’il est
encore adolescent et
c’est l
qu’il passe la
plus grande partie de sa
vie. Il devient
particulièrement
célèbre pour la
composition de nombreuses
opérettes et
d’un opéra
légendaire, Les
Contes
d’Hoffmann.
Ses opéras-bouffes (ou
« musiquettes »)
s’inspirent
souvent de livrets
comiques ou satiriques.
Il parodie la vie
quotidienne Paris, se
moque des dignitaires, de
l’armée, de la
prétention du grand
opéra, et ainsi de
suite. cet égard, les
œuvres
d’Offenbach ne
sont pas vraiment
comparables aux
opérettes de ses
contemporains
germanophones tels que
Franz Lehár ou
encoreJohann Strauss le
jeune. Musicalement
parlant, on peut dire que
les opéras-bouffes
d’Offenbach sont
entraînants,
spirituels, mélodieux
et mémorables.Jacques
Offenbach s’est
inspiré de la
mythologie pour composer
La Belle
Hélène, dont le
livret brosse
l’histoire
d’Hélène de
Troie. Mais parodiant
l’une des
légendes grecques des
plus illustres, cette
opérette se veut
être une satire sur
l’élite de
l’époque.Lâ€
™ouverture de La
Belle Hélène a
toujours été
très populaire.
Offenbach y glisse
plusieurs arias et
chœurs repris
ensuite dans l’un
ou l’autre acte de
l’opérette,
afin d’en offrir
un avant-go t
l’auditoire. De
nombreux compositeurs
écrivirent par la
suite des ouvertures de
canevas identique. Bien
qu’un grand nombre
d’entre elles
manquent
d’unité et de
structure,
l’ouverture de La
Belle Hélène en est
une exception
notoire. $45.95 - Voir plus => AcheterDélais: 2 to 3 weeks | | |
| A Tribute to Ray Charles Orchestre d'harmonie - Intermédiaire Music Sales
Concert Band/Harmonie - Grade 3 SKU: BT.1267-05-140-MS Arranged by Peter ...(+)
Concert Band/Harmonie -
Grade 3 SKU:
BT.1267-05-140-MS
Arranged by Peter Kleine
Schaars. Peter's Popular
Collection. Pop & Rock.
Score Only. Composed
2005. 36 pages. Music
Sales #1267-05-140 MS.
Published by Music Sales
(BT.1267-05-140-MS).
9x12 inches.
English-German-French-Dut
ch. Ray Charles
(1930-2004) was a
multitalented and
pioneering American
pianist and soul singer
who became very popular
in the late fifties, and
remained respected for
his music in the decades
that followed. By
incorporating gospel,
jazz, blues, and big band
elements, he helped shape
the sound of rhythm and
blues, and brought a
soulful sound to
everything from country
music to pop standards.
Ray Charles embodied the
American dream, starting
out a poor, blind boy
from the southern United
States and becoming an
international music
phenomenon; his nickname
was “the
Genius†for a good
reasonIn this arrangement
for concert band, Peter
Kleine Schaars presents
five of the songs
thatcontributed to Ray
Charles’ fame: I
Can’t Stop Loving
You, Hit the Road Jack,
Georgia on My Mind,
Hallelujah I Love Her So,
and Unchain My Heart.
Ray Charles
(1930-2004) was een
vernieuwend Amerikaans
pianist en soulzanger die
populair werd in de jaren
vijftig en geliefd bleef
in de decennia die
volgden. Hij gaf mede
vorm aan de sound van de
rhythm & blues en hij gaf
een soulachtigeklank aan
alle muziek van country
tot aan popstandards -
waarin hij gospel, jazz,
blues en
bigband-elementen
verwerkte. Dit
arrangement bevat vijf
van de songs die
bijdroegen aan de roem
van Ray Charles: I
Can’t StopLoving
You, Hit the Road Jack,
Georgia on My Mind,
Hallelujah I Love Her
So en Unchain My
Heart.
Ray
Charles, dem Hollywood
jüngst mit einer Oscar
preisgekrönten
Filmproduktion huldigte,
ist die Verkörperung
des amerikanischen
Traums: Vom armen,
blinden Jungen aus den
Südstaaten wurde er
zum internationalen
musikalischen
Phänomen; seinen
Spitznamen Genie trug er
völlig zu Recht. In
dieser Bearbeitung für
Blasorchester
präsentiert Peter
Kleine Schaars fünf
der Lieder, die zu Ray
Charles' Ruhm beitrugen.
RRay Charles
(1930-2004) était un
pianiste et un chanteur
de soul américain
l’esprit novateur
et aux multiples talents.
Il connut le succès
dès la fin des
années 1950 et son
immense notoriété
ne le quittera plus. En
intégrant dans son jeu
des éléments venus
du gospel, du jazz, du
blues et du big band, il
a contribué la
naissance et au
développement du
rhythm and blues et
apporté une
sonorité pleine de
sensibilité tous les
styles musicaux, de la
musique country aux
grands classiques de la
musique pop. Ray Charles
incarnait le rêve
américain : musicien
noir, aveugle, issu du
milieu défavorisé
du Sud des
États-Unis, il
accède au statut de
phénomène musical
dans le mondeentier. On
ne l’a pas
surnommé “the
Genius†par hasard.
Dans cet arrangement pour
Orchestre
d’Harmonie, Peter
Kleine Schaars a
rassemblé cinq titres
emblématiques de Ray
Charles : I
Can’t Stop Loving
You, Hit the Road Jack,
Georgia on My Mind,
Hallelujah I Love Her
So et Unchain My
Heart.
Ray
Charles è un vero
mito: cinque decenni di
successi, una carriera
eccezionale ricca di
decine di successi che
hanno fatto il giro del
mondo diventando fonte di
ispirazione per intere
generazioni di giovani
artisti. Soprannominato
“The Geniusâ€,
questo pioniere del R&B e
della soul music, cieco
dall’et di sette
anni, ha composto alcune
delle canzoni memorabili
della musica nera
americana tra cui I
Can’t Stop Loving
You, Hit the Road Jack,
Georgia on My Mind,
Hallelujah I Love Her
so e Unchain My
Heart. $27.95 - Voir plus => AcheterDélais: 2 to 3 weeks | | |
| A Tribute to Ray Charles Orchestre d'harmonie - Intermédiaire Music Sales
Concert Band/Harmonie - Grade 3 SKU: BT.1267-05-010-MS Arranged by Peter ...(+)
Concert Band/Harmonie -
Grade 3 SKU:
BT.1267-05-010-MS
Arranged by Peter Kleine
Schaars. Peter's Popular
Collection. Pop & Rock.
Set (Score & Parts).
Composed 2005. Music
Sales #1267-05-010 MS.
Published by Music Sales
(BT.1267-05-010-MS).
9x12 inches.
English-German-French-Dut
ch. Ray Charles
(1930-2004) was a
multitalented and
pioneering American
pianist and soul singer
who became very popular
in the late fifties, and
remained respected for
his music in the decades
that followed. By
incorporating gospel,
jazz, blues, and big band
elements, he helped shape
the sound of rhythm and
blues, and brought a
soulful sound to
everything from country
music to pop standards.
Ray Charles embodied the
American dream, starting
out a poor, blind boy
from the southern United
States and becoming an
international music
phenomenon; his nickname
was “the
Genius†for a good
reasonIn this arrangement
for concert band, Peter
Kleine Schaars presents
five of the songs
thatcontributed to Ray
Charles’ fame: I
Can’t Stop Loving
You, Hit the Road Jack,
Georgia on My Mind,
Hallelujah I Love Her So,
and Unchain My Heart.
Ray Charles
(1930-2004) was een
vernieuwend Amerikaans
pianist en soulzanger die
populair werd in de jaren
vijftig en geliefd bleef
in de decennia die
volgden. Hij gaf mede
vorm aan de sound van de
rhythm & blues en hij gaf
een soulachtigeklank aan
alle muziek van country
tot aan popstandards -
waarin hij gospel, jazz,
blues en
bigband-elementen
verwerkte. Dit
arrangement bevat vijf
van de songs die
bijdroegen aan de roem
van Ray Charles: I
Can’t StopLoving
You, Hit the Road Jack,
Georgia on My Mind,
Hallelujah I Love Her
So en Unchain My
Heart.
In den
fünfziger Jahren
erlangte der Pianist und
Soulsänger Ray Charles
große, bis heute
ungebrochene
Popularität. In dieser
Bearbeitung für
Blasorchester
präsentiert Peter
Kleine Schaars fünf
der Lieder, die
wesentlich zu Ray
Charles’ Ruhm
beitrugen und auch heute
noch ein hoch
ansteckendes Soul-Fieber
unter Musikern und
Zuhörern auslösen
können.
Ray
Charles (1930-2004)
était un pianiste et
un chanteur de soul
américain
l’esprit novateur
et aux multiples talents.
Il connut le succès
dès la fin des
années 1950 et son
immense notoriété
ne le quittera plus. En
intégrant dans son jeu
des éléments venus
du gospel, du jazz, du
blues et du big band, il
a contribué la
naissance et au
développement du
rhythm and blues et
apporté une
sonorité pleine de
sensibilité tous les
styles musicaux, de la
musique country aux
grands classiques de la
musique pop. Ray Charles
incarnait le rêve
américain : musicien
noir, aveugle, issu du
milieu défavorisé
du Sud des
États-Unis, il
accède au statut de
phénomène musical
dans le mondeentier. On
ne l’a pas
surnommé “the
Genius†par hasard.
Dans cet arrangement pour
Orchestre
d’Harmonie, Peter
Kleine Schaars a
rassemblé cinq titres
emblématiques de Ray
Charles : I
Can’t Stop Loving
You, Hit the Road Jack,
Georgia on My Mind,
Hallelujah I Love Her
So et Unchain My
Heart.
Ray
Charles è un vero
mito: cinque decenni di
successi, una carriera
eccezionale ricca di
decine di successi che
hanno fatto il giro del
mondo diventando fonte di
ispirazione per intere
generazioni di giovani
artisti. Soprannominato
“The Geniusâ€,
questo pioniere del R&B e
della soul music, cieco
dall’et di sette
anni, ha composto alcune
delle canzoni memorabili
della musica nera
americana tra cui I
Can’t Stop Loving
You, Hit the Road Jack,
Georgia on My Mind,
Hallelujah I Love Her
so e Unchain My
Heart. $186.95 - Voir plus => AcheterDélais: 2 to 3 weeks | | |
| Trio Sonata [Partition + CD] Fentone Music
2 Flutes and Basso Continuo - intermediate-adv SKU: HL.44005642 For tw...(+)
2 Flutes and Basso
Continuo -
intermediate-adv SKU:
HL.44005642 For
two flutes and basso
continuo. Composed by
Jacques-Martin
Hotteterre. Fentone
Instrumental Books.
Transcription. Book with
CD. Composed 2005.
Fentone Music #F 891.
Published by Fentone
Music (HL.44005642).
UPC: 884088041120.
9x12 inches.
English-German-French-Dut
ch. The Trio Sonata
for two recorders and
Basso continuo is one of
many successful works
from the pen of Jacques
Hotteterre, a French 17th
century composer. For The
Platinum Series, this
sonata has been adapted
for two flutes. On the CD
you will first hear all
the accompaniments on the
harpsichord, which you
can use if no accompanist
is available, followed by
demo tracks with two
flutes and harpsichord.
This beautiful piece can
also by performed by 2
flutes and cello with the
supplied cello
part.
De
triosonate voor twee
blokfluiten en basso
continuo is een van de
vele succesvolle werken
die Jacques Martin
Hotteterre heeft
geschreven. Voor The
Platinum Series is
deze sonate voor twee
dwarsfluiten bewerkt. Op
de geweldigecd hoor je
eerst alle begeleidingen
(klavecimbel en fluit 2)
- erg handig als er geen
begeleider in de buurt is
- en vervolgens de
voorbeeldtracks met twee
fluiten en klavecimbel.
De basso continuo is
bruikbaar voor zowel
pianistenals
klavecinisten; en met de
bijlagen (een eerste en
tweede fluitpartij en een
cellopartij) is deze
mooie muziek ook
speelbaar met een eigen
ensemble.
Die
Triosonate fur zwei
Blockfloten und Basso
continuo stammt von
Jacques Hotteterre, einem
franzosischen Komponisten
des 17. Jahrhunderts. Fur
die Platinum-Serie wurde
diese Sonate fur zwei
Floten bearbeitet. Auf
der CD erklingen zunachst
alle Begleitungen auf dem
Cembalo - diese konnen,
wenn kein Begleiter zur
Stelle ist, verwendet
werden. Darauf folgen
Demoversionen mit zwei
Floten und Cembalo. Der
enthaltene Basso continuo
kann sowohl auf dem
Klavier als auch auf dem
Cembalo gespielt werden.
Diese schone Musik kann
auch von einem Ensemble
(2 Floten & Cello)
aufgefuhrt werden. Die
Reihe The Platinum
Series enthalt
bekannte klassische Werke
fur
verschiedeneInstrumente,
die nun verschiedenen
Holzblasern zuganglich
gemacht wurden und sich
in ihrer neuen Form
wunderbar als
Konzertstucke eignen. Die
CDs der Platinum
Series bieten Ihnen
die Gelegenheit, zu einer
schonen Begleitung, die
live mit Klavier,
Cembalo, Kammerensemble
oder gar
Sinfonieorchester
eingespielt wurde, zu
spielen. Auf der CD
erklingen jeweils alle
Begleitungen und
Demo-Versionen. Die
Stucke mit Basso
continuo, der auf dem
Klavier oder
Cembalogespielt werden
kann, enthalten jeweils
eine separate Solo- und
Cellostimme, sodass sie
auch von einem Ensemble
aufgefuhrt werden konnen.
Alle sechs Ausgaben sind
im Schwierigkeitsgrad
mittelschwer - schwer.
La collection
Platinum Series
rassemble des œuvres
classiques composees a
l'origine pour divers
instrument et idealement
adaptees pour des
instruments a vent de la
famille des bois. Chaque
ouvrage de cette
collection est enrichi
d'un compact disc
(version integrale +
accompagnement) d'une
grande qualite musicale.
Pour vous offrir un
excellent confort de jeu,
les accompagnements ont
ete confies au piano, au
clavecin, a un ensemble
de musique de chambre et
quelquefois meme a un
Orchestre Symphonique.
Les oeuvres avec basse
continue (adaptee pour le
piano ou le clavecin)
disposent d'une partie
soliste et d'une partie
pour violoncelle separees
afin de pouvoir
constituer unensemble
instrumental.
La
collezione >The
Platinum Series e
sinonimo di alta qualita.
Troverete le piu
importanti pagine di
musica trascritte per
strumenti a fiato. Sul CD
sono registrati dapprima
l'intero brano col
solista, e poi le sole
basi musicali
d'accompagnamento,
realizzate con strumenti
autentici che realizzano
il basso continuo al
clavicembalo. Da oggi
potrete interpretare col
saxofono le musiche di
grandi compositori come
Benedetto Marcello,
oppure suonare al
clarinetto la
trascrizione del Concerto
n.1 di Breval per
violoncello. Per le
composizioni da suonare
in duo, troverete sul CD
sia l'incisione completa
del brano, che la sola
seconda voce o il solo
Basso continuo, cosi da
potersuonare sia da soli
che assieme ad un vostro
amico. $23.00 - Voir plus => AcheterDélais: 2 to 3 weeks | | |
| Skilful Solos Violon et Piano [Partition + CD] - Intermédiaire Anglo Music
Violin and Piano - intermediate SKU: BT.AMP-348-400 20 Progressive Pie...(+)
Violin and Piano -
intermediate SKU:
BT.AMP-348-400 20
Progressive Pieces with
Piano Accompaniment.
Composed by Philip
Sparke. Tuition. Book
with CD. Composed 2013.
44 pages. Anglo Music
Press #AMP 348-400.
Published by Anglo Music
Press (BT.AMP-348-400).
ISBN 9789043138666.
9x12 inches.
English-German-French-Dut
ch. Philip
Sparke’s
Skilful Solos is
the second volume of a
progressive series of
solo books that takes the
young wind player from
beginner to accomplished
musician. Following on
from the first book in
the series Starter
Solos this collection
generally contains longer
pieces suitable for the
developing young
musician. Specifically
tailored for each
instrument, Skilful
Solos introduces the
concept of phrasing by
suggesting suitable
breathing points and
takes the player into new
keys with extended
instrumental ranges, new
notes being introduced in
a gradual and logical
manner.Skilful
Solos comes with a
play-along CD. The
advantages of playing
eitherwith piano or CD
accompaniment are that
the beginning player can
now experience the
important aspects of
ensemble playing from
their earliest lessons,
thus developing the
essential skills of
listening while they play
and maintaining strict
tempo, which is not
always achieved when
playing alone.
Skilful
Solos past in het
rijtje Starter
Studies, Skilful
Studies, Super
Studies en Starter
Solos, een succesvolle
reeks van Philip Sparke.
Net als de eerdergenoemde
uitgaven bevat Skilful
Solos
waardevol,motiverend
speelmateriaal dat de
keuze voor een methode
aanvult. Nieuwe muzikale
elementen komen in een
logische volgorde aan de
orde - om de ontwikkeling
van de complete muzikant
te bevorderen. Uitgave
met cd: De voordelen van
het spelen metbegeleiding
- hetzij op de piano,
hetzij op de cd - zijn
dat de beginnende speler
de belangrijke aspecten
van het ensemblespel kan
ervaren vanaf de eerste
lessen en essentiële
vaardigheden kan
aanleren: het luisteren
tijdens het spelen en
hethandhaven van een
strak tempo. Bij het
alleen spelen komen deze
factoren minder aan de
orde.
Das frühe
Lernstadium ist, neben
einem guten Lehrer im
Unterricht, für jedes
Instrument zweifellos das
Wichtigste. Von großer
Bedeutung ist aber auch
motivierendes
Lehrmaterial. Für
diese zwei Solobücher
beriet sich Philip Sparke
mit vielen Lehrern, wie
man am besten neue Noten
einführt und zugleich
einen Rahmen schafft, in
den sich neue
musikalische Elemente in
sinnvoller Reihenfolge
einfügen lassen.
Unterstützt von
diesenSoli und Etüden
in drei verschiedenen
Schwierigkeitsstufen
können
Instrumentalschüler
schnell zu richtigen
Musikern heranreifen.
Jedes Buch ist genau auf
die Bedürfnisse und
Anforderungen des
einzelnen Instrumentes
zugeschnitten. STARTER
SOLOS und SKILFUL SOLOS
können dank der im
Buch und auf der CD
enthaltenen Begleitungen
auch gut alleine oder mit
einem Pianisten
einstudiert und
aufgeführt werden. Der
Vorteil dabei ist, dass
Anfänger so nicht nur
die wichtigsten Aspekte
desEnsemblespiels
erfahren sondern auch von
Anfang an die
Fähigkeit entwickeln,
zu hören während
sie spielen und das Tempo
zu halten. Inhalt:
Nice to See You Again
•Pony and Trap
•Summer Siesta
•Spring (Vivaldi)
•A Victorian Ballad
•Trumpet Tune
•Promenade
•Greensleeves
•Could You Repeat
That? •Alladale
Aria •Scales of
Justice •Largo from
Winter (Vivaldi)
•Waltz with
Variations •Atthe
Circus - Adagio (Mozart)
- Marche Militaire
(Schubert) - Thinking of
You - Fives and Threes -
Daydream - Rhode Island
Rag Suivant
Starter Solos,
Skilful Solos est
le nouveau recueil
motivant offrant une
présentation
structurée des
techniques de jeu et
d’apprentissage.
Les solos composés par
Philip Sparke constituent
les premiers pas
plaisants de votre
entrée dans le
formidable monde de la
musique ! Sur le compact
disc inclus, vous
trouverez une version
intégrale de chaque
pièce ainsi
qu’une version
où ne subsiste que
l’accompagnement ;
la version papier des
accompagnements de piano
est jointe au
recueil. Skilfu
l Solos può essere
considerato il seguito di
Starter Solos.
Suonare con
l’accompagnamento
è un lavoro di squadra
che sviluppa la capacit
di ascolto e di reazione.
Skilful Solos è
indispensabile per
progredire nel mondodella
musica. $22.95 - Voir plus => AcheterDélais: 2 to 3 weeks | | |
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