Poems for Piano

The Coole Pianoalbum contains 30 beginner to intermediate original pieces and arrangements from a number of styles including pop, rock, minimalism and new age, which are all united by being hugely fun pieces to play.Some of the pieces in the songbook are taken from well-known and well-loved films, that have become so popular that the music has become famous in its own right. Including pieces from 'Amélie', 'Twilight', 'Forrest Gump' and 'The Intouchables', and of course Yiruma's famous piece River Flows In You. Many other wonderful pieces are included here, in romantic, minimalist and meditative styles.Das Coole Pianoalbum is a welcome change in contemporary piano lessons, and ideal for auditions, concerts, or simply calming practice. / Piano

This collection features piano works by prominent G. Schirmer composers including: Adams Barber Cowell Dello Joio Harbison Kabalevsky Khachaturian Prokofiev Shostakovich Tan Dun and others. Includes previouslyunpublished first editions by John Corigliano and Gabriela Lena Frank. Suitable for advanced high school and college-level pianists.

12 Poems by Judith G. Wolf for Countertenor, Cello, and Orchestra. Par FUCHS KENNETH. This piece, along with three others, earned the composer a Grammy for the 2018 Best Classical Compendium. Composer's program note excerpt: Judith G. Wolf's expressive poems take us on a memorable journey through everyday life, the support of family and friends, the joy of love, and the pain of grief and loss. I was moved by her work to compose Poems of Life, an orchestral song cycle that sets to music twelve poems from Wolf's most recent volume of poetry, Otherwise. The poems weave a narrative of eternal love, the pain of loss through death, emotional transformation through grief, and spiritual enlightenment. CONTENTS: Prologue 1. Ethereal 2. Time Slips Away Movement 1 3. Gary Died 4. Just Like That 5. Watching for Death 6. Face Movement 2 7. Sisters 8. Forever Gone 9. The Retreat Movement 3 10. The Dream Epilogue 11. Conversation 12. Epiphany. Orchestra accompaniment rental item is available separately from the publisher./ Répertoire / Chant et Piano

The Nursery Rhyme Songbook is a charming collection of children's poems stories and nursery rhymes that perfectly capture the essence of childhood. Children will love this book it's guaranteed to keep themoccupied with different creative outlets. The book features sheet music for nursery rhymes that are universally loved by children and adults alike. With their simple melodies memorable lyrics and enjoyablestories these nursery rhymes will plant the seed of musicality into children. Beloved rhymes like Baa Baa Black Sheep Humpty Dumpty Jack And Jill Oranges And Lemons and Twinkle Twinkle Little Star will getyour child singing and playing along while you can enjoy the nostalgia for when you first learned them since these nursery rhymes are truly timeless. The Nursery Rhyme Songbook isnot just a collection of songs however it's also packed full of stories poems and beautiful illustrations that will thrill and enthral any child. Creativity is essential to any child's development so these exciting stories andother artistic treats will be something that both you and your child or pupil can enjoy together. For a great little book that contains a wealth of nursery rhymes fairy tales stories and poems theNursery Rhyme Songbook is a brilliant deal. You and your child will love it!

Song cycle for double chorus and piano. Text: Poems by William Blake, Emily Dickinson, George Peele, Thomas Nash, Alfred Lord Tennyson / Travaux Pour Choeurs

Par TAILLEFERRE GERMAINE. A cycle of songs from the Les Six composer setting French texts from the fifteenth and seventeenth centuries. This version for voice and piano from 1930 follows the version for voice and orchestra from 1929. This is regarded as Tailleferre's most feminist work, the poems addressing the difficulties experienced by women, especially marital and affairs of the heart, and perhaps draws on her personal experiences of her turbulent relationship at the time with the American caricaturist Ralph Barton. A cycle of songs from the Les Six composer setting French texts from the fifteenth and seventeenth centuries. This version for voice and piano from 1930 follows the version for voice and orchestra from 1929. This is regarded as Tailleferre's most feminist work, the poems addressing the difficulties experienced by women, especially marital and affairs of the heart, and perhaps draws on her personal experiences of her turbulent relationship at the time with the American caricaturist Ralph Barton./ Répertoire / Chant et Piano

Here's a feel-good assortment of music stories recipes and poems that perfectly captures the traditional spirit of Christmas and the season of goodwill. Includes:Includes Yule long DVD and accompanying music to turn your TVscreen into a blazing log fire!Magical stories from the likes of Dickens and Hans Christian Anderson.Recipes of good cheer and Christmas dishes with a difference.Yuletide poems by Tennyson Hardy Shakespeare and much more.All seasonal songs and carols are arranged for piano and voice there is enough here to occupy any Christmas time for children and adults of all ages!Dimensions: 17cm x 25cm

Par PEPIN CAMILLE. Il s'agit d'un cycle de mélodies pour mezzo-soprano, violoncelle et piano - commande de l'Association Olivier Messiaen au pays de la Meije - dédié à Anne Le Bozec, Yan Levionnois et Fiona McGown. Ce choix autour de la danse m'est venu à la lecture de cette phrase du poète américain Ezra Pound (1885-1972) - chef de file du mouvement imagiste et moderniste - dans son ABC of Reading : 'Music begins to atrophy when it departs too far from the dance... poetry begins to atrophy when it goes too far from music ('La musique commence à s'atrophier lorsqu'elle s'éloigne trop de la danse... La poésie commence à s'atrophier lorsqu'elle s'éloigne trop de la musique'). C'est cette phrase qui m'a inspirée pour les Dancing Poems. Les quatre mélodies de ce cycle ont été composées d'après les poèmes At the still-point de Thomas Stearns Eliot (1888-1965), Slow Movement de William Carlos Williams (1883-1963), To a child dancing in the wind et Those dancing days are gone de William Butler Yeats (1865-1939). Véritablement pensée avec un rapport au corps, ma façon de concevoir le rythme est plus spontanée qu'intellectualisée. J'ai besoin de sentir intérieurement une rythmique - corporellement - avant de la coucher sur le papier. Musique et danse sont ainsi intimement liées. Pour moi, composer, c'est quelque part le point de rencontre entre la musique, la danse et la poésie - le point où chacune de ces disciplines est indissociable l'une de l'autre. Aussi, mon choix s'est porté sur la littérature anglo-saxonne, que Fiona McGown pratique à merveille et qui en fait ressortir toute la musique des mots. J'ai alors imaginé son timbre magnifique entremêlé à celui du violoncelle - instrument que j'aime tout particulièrement. Dans tout le cycle, l'enjeu a été de créer une ambiance intime et lumineuse. Les couleurs et les timbres se mélangent de manière à créer un halo sonore résonnant et flottant autour ces trois instruments. Ainsi, le halo contribue à recréer ce point particulier de rencontre entre la musique, la danse et la poésie - un point hors du temps libéré des tensions du monde. Le cycle est également imprégné de rythmes répétitifs et dansants, et les mélodies sont construites sur des formes simples utilisant des refrains. Cela confère à l'ensemble une couleur populaire, propre à l'expression de la danse. La première mélodie, At the still-point, cherche à retranscrire cet état de transe par un accompagnement répétitif où piano et violoncelle se mélangent pour créer une texture planante. Il est conçu comme un moteur essentiel au sein duquel le mouvement est toujours présent. Sa répétition permet toutefois de conserver une immobilité apparente. La voix, sensuelle, se déploie sur ce tapis sonore brumeux et flottant. Point d'équilibre fragile, ce still point n'est donc ni en suspens, ni en mouvement : il est les deux à la fois. C'est le moment où le temps s'arrête et où nous nous retrouvons immergés dans nos propres mondes. J'ai imaginé certains vers comme un refrain, rappelant régulièrement l'équilibre subtil et délicat de ce still point. La seconde mélodie, Slow Movement, est le mouvement lent du cycle et évoque les souvenirs - ces trésors que l'on peut enfermer une boîte. J'ai donc choisi d'utiliser la voix parlée. Seuls le début et la fin sont fredonnés (éteint, sans timbrer) comme un écho au thème de violoncelle. Violoncelle et piano prennent tour à tour la parole pour chanter l'expression des mots déclamés dans ce numéro. Les deux dernières mélodies évoquent successivement l'enfance et la vieillesse. To a child dancing in the wind décrit un enfant dansant sur le rivage, insouciant des sons menaçants qui l'entourent. Le fracas incessant des vagues, les hurlements du vent, ou encore les gouttes d'eau salée qui perlent de ses cheveux sont autant d'images des évènements de la vie qui nous assaillent. Le rugissement du vent et le déferlement des vagues semblent être une allusion aux injustices et au désordre de la vie ('L'amour est perdu aussitôt qu'il est gagné et l'imbécile triomphe'). Toutefois, l'imbécile peut être une personne motivée par l'amour et ne se souciant pas du reste. 'Le meilleur ouvrier est mort', mais il était peut-être le meilleur parce qu'il a travaillé avec amour. Ce poème parle donc à la fois de l'insouciance de l'enfance, et de l'expérience de la maturité. J'ai choisi de transcrire en musique cette insouciance de l'enfant qui danse, cette incarnation de la vie dans le moment présent, en un véritable moment vif et dansant. De plus en plus apaisée, la danse s'achève et nous ramène à la réalité du monde adulte avec la dernière mélodie du cycle. Ici, Yeats fait allusion aux moments heureux qui ont pris fin. Les jours dansants sont terminés. L'épouse et les enfants ont disparu. Un corps enveloppé dans un haillon sale évoque aussi bien la mort que l'éclat de vie perdu. La boucle rythmique utilisée traduit avec mélancolie et sensualité les heureux jours disparus. Les vers 'I carry the sun in a golden cup, the moon in a silver bag' à la fin de chaque strophe sont utilisés comme un refrain. Ils portent à la fois l'idée du rayonnement du soleil comme éclat de vie et de l'ombre de la lune qui tombe délicatement dessus comme un voile mystérieux. Mais peu importe que la mort arrive car l'on peut toujours danser et chanter. Jusqu'à notre dernier souffle. / Contemporain / Répertoire / Mezzo-Soprano, Violoncelle et Piano

on poems of James Joyce. Par TREDICI DAVID DEL. Voice, Piano. Del, Tredici, D/ Répertoire / Chant et Piano