Voir toutes les partitions de Francis Poulenc
SKU: BU.EBR-A049
ISBN 9790560151229. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance àl’époque moderne.Proposer tout àla fois des « incontournables  Â» du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue àl’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces Å“uvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement. En 1836, le compositeur Félicien David édite les « Mélodies orientales ». Elles comptent au total vingt et une pièces dont dix-huit ont été rééditées en 1845 sous le titre « Brises d'Orient » et trois autres sous le titre « Les Minarets ».A leur sortie, ces mélodies n'obtiennent pas un grand succès. Deux raisons peuvent l'expliquer. D'une part, un incendie détruit une partie des stocks de partitions imprimées. D'autre part, le public, qui avait aimé les « Orientales  » du poète Victor Hugo et les « Pestiférés de Jaffa » du peintre Eugène Delacroix, ne semblait pas être attiré par l'orientalisme musical.Les brises d'Orient possèdent la puissance des charmes orientaux plutôt doux. Le compositeur traduit àmerveille l'atmosphère orientale en marquant les rythmes par des basses étonnantes.Plus que des formes traditionnelles, ce qu'il faut retenir de ces pièces est le fait qu'elles racontent de belles histoires avec toujours une dynamique très réussie de passages lents et de passages vifs et rapides.L'écriture de Félicien David ne manque pas de couleurs. Cependant il n'essaie pas d'appliquer l'exotisme du Moyen-Orient. Les mélodies chantent naturellement àtravers ses pièces.« Rà ªverie » révèle beaucoup de surprises. Le compositeur nous entraîne dans un voyage agité où rêverie rime avec intrépidité. Chevauchée mélodique et rythmique interrompues de contre temps, de silences, qui nous amène àdécouvrir des paysages changeants et très différents dans l'instant musical.
SKU: BU.EBR-A101
ISBN 9790560153797. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance àl’époque moderne.Proposer tout àla fois des « incontournables  Â» du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue àl’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces Å“uvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement. Les cancans, que l'on attribue souvent àJacques Offenbach, ne sont en réalité que des détournements de ses compositions. Le cas le plus célèbre est celui du galop infernal (nom d'un pas de danse), issu de l’œuvre Orphée aux enfers (1858), que l'on se permet souvent de renommer French Cancan. Cette transformation est faite de manière abusive, car l’appellation de French Cancan n'existait pas àl’époque où Jacques Offenbach composait.Le cancan est une danse populaire, inventée au début du XIXème siècle. Il était àla base exécutée en couple dans les bals et les cabarets, et faisait partie des danses très mal vues par les familles mondaines. Le nom Cancan, attribué semble t’il àl’origine parce que les danseurs imitaient la démarche et le cri de l’oie, est ensuite devenu, par une transformation touristique d'origine anglaise (coincoin / cancan) le French Cancan.Cette danse donne l'image d'une société parisienne frivole, proche de celle décrite de façon caricaturale dans La vie parisienne. Les femmes sont vite seules àle danser, en rang, face au public, et les nombreux pas de pattes en l’air laissent souvent apparaître les dessous raffinés de l’époque… que le peintre Toulouse-Lautrec aura plaisir àillustrer.
SKU: BU.EBR-A048
ISBN 9790560151212. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance àl’époque moderne.Proposer tout àla fois des « incontournables  Â» du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue àl’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces Å“uvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement. En 1836, le compositeur Félicien David édite les « Mélodies orientales ». Elles comptent au total vingt et une pièces dont dix-huit ont été rééditées en 1845 sous le titre « Brises d'Orient » et trois autres sous le titre « Les Minarets ».A leur sortie, ces mélodies n'obtiennent pas un grand succès. Deux raisons peuvent l'expliquer. D'une part, un incendie détruit une partie des stocks de partitions imprimées. D'autre part, le public, qui avait aimé les « Orientales  » du poète Victor Hugo et les « Pestiférés de Jaffa » du peintre Eugène Delacroix, ne semblait pas être attiré par l'orientalisme musical.Les brises d'Orient possèdent la puissance des charmes orientaux plutôt doux. Le compositeur traduit àmerveille l'atmosphère orientale en marquant les rythmes par des basses étonnantes.Plus que des formes traditionnelles, ce qu'il faut retenir de ces pièces est le fait qu'elles racontent de belles histoires avec toujours une dynamique très réussie de passages lents et de passages vifs et rapides. L'Almée (danseuse égyptienne) en est un très bon exemple avec une introduction si lyrique que l'on s'attend àl'apparition d'une diva.Mais surprise, un développement harmonieux calme les esprits. Et jusqu'àla conclusion les reprises du thème très rythmé alternent avec ceux du développement lent.Venez découvrir un compositeur digne des grands maîtres de peinture orientale. Cette pièce mérite d'être interprétée par tout pianiste amateur de la musique classique.
SKU: BU.EBR-A046
ISBN 9790560151175. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance àl’époque moderne.Proposer tout àla fois des « incontournables  Â» du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue àl’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces Å“uvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement. En 1836, le compositeur Félicien David édite les « Mélodies orientales ». Elles comptent au total vingt et une pièces dont dix-huit ont été rééditées en 1845 sous le titre « Brises d'Orient » et trois autres sous le titre « Les Minarets ».Lors qu'elles sortent, ces mélodies n'obtiennent pas un grand succès. Deux raisons peuvent l'expliquer. D'une part, un incendie détruit une partie des stocks de partitions imprimées. D'autre part, le public, qui avait aimé les « Orientales  » du poète Victor Hugo et les « Pestiférés de Jaffa » du peintre Eugène Delacroix, ne semblait pas être attiré par l'orientalisme musical.Les brises d'Orient possèdent la puissance des charmes orientaux plutôt doux. Le compositeur traduit àmerveille l'atmosphère orientale en marquant les rythmes par des basses étonnantes.Dans la pièce Souvenirs d'enfance, les mélodies sont pour lui plus qu'un carnet de notes ou un journal de voyage où il consigne impressions et souvenirs. C'est aussi un journal intime dans lequel des passages laissent parfaitement deviner qu'il relate son parcours initiatique. Félicien David y revoit son enfance et pense àl'Occident. Son orientalisme n'est donc pas chez lui un refuge ou le moyen d'une fuite.Venez interpréter une des pièces composées par un des maîtres de l'orientalisme du 19ème siècle !
SKU: BU.EBR-A047
ISBN 9790560151205. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance àl’époque moderne.Proposer tout àla fois des « incontournables  Â» du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue àl’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces Å“uvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement. En 1836, le compositeur Félicien David édite les « Mélodies orientales ». Elles comptent au total vingt et une pièces dont dix-huit ont été rééditées en 1845 sous le titre « Brises d'Orient » et trois autres sous le titre « Les Minarets ».A leur sortie, ces mélodies n'obtiennent pas un grand succès. Deux raisons peuvent l'expliquer. D'une part, un incendie détruit une partie des stocks de partitions imprimées. D'autre part, le public, qui avait aimé les « Orientales  » du poète Victor Hugo et les « Pestiférés de Jaffa » du peintre Eugène Delacroix, ne semblait pas être attiré par l'orientalisme musical.Les brises d'Orient possèdent la puissance des charmes orientaux plutôt doux. Le compositeur traduit àmerveille l'atmosphère orientale en marquant les rythmes par des basses étonnantes.Plus que des formes traditionnelles, ce qu'il faut retenir de ces pièces est le fait qu'elles racontent de belles histoires avec toujours une dynamique très réussie de passages lents et de passages vifs et rapides.L'écriture de Félicien David ne manque pas de couleurs. Cependant il n'essaie pas d'appliquer l'exotisme du Moyen-Orient. Les mélodies chantent naturellement àtravers ses pièces.En écoutant « àune Smyrniote » comme dans les autres pièces se révèle un orientalisme assez peu oriental pour nous aujourd'hui. A l'origine, l'orientalisme est un mouvement artistique, ce qui signifie qu'il ne peut être fidèlement lié àla reproduction de la réalité.Dans cette pièce, la mélodie est liée sans nul doute àla basse harmonique très mise en valeur par des accentuations rythmiques qui constituent une assise solide. Des reprises de passages musicaux dans l'enchaînement de l'Å“uvre révèlent des atmosphères complètement différentes, suggérant au pianiste un nouveau fil conducteur dans l'interprétation.