Trio (1979)

For Clarinet Cello and Piano.Published in 1979.First performed by the Muhifeld Trio 22nd May 1980.Score and Parts.

30 brani in linea melodica testo e accordi. Franco Battiato was an italian songwriter, composer, musician, film director and painter. The artist made people talk about him for the great number of musical genres that he deepened and combined with each other in an eclectic and personal way. From the album L'era del cinghiale bianco (1979), he moved away from experimental music and towards a very personal pop d'autore that began to make him known to the public and subsequently sell millions of copies. This collection of 30 songs in melodic line, lyrics and chords contains greatest hits of his amazing career.

Par COMBIER JEROME. Gone fut le premier titre de Solo, monologue écrit par Samuel Beckett en 1979 à la demande de David Warrilow, acteur de l'adaptation anglaise du Dépeupleur crée à New-York en août 1977. Quand Beckett lui demande ce qu'il imagine comme texte, l'acteur répond : 'Je voyais l'image d'un homme debout sur une scène, éclairé par en haut. Il se tient dans une sorte de cône de lumière. On ne distingue pas son visage et il parle de la mort'.* Solo commence par ces mots : 'Sa naissance fut sa perte.' Gone clôt un recueil ouvert en 2006, regroupant quatre pièces de musique de chambre : Noir azur (pour trio à cordes, 2006), Noir gris (pour trio à cordes, 2007), Hors crâne (pour violon, violoncelle et électronique, 2008) et Gone (pour clarinette, piano, trio à cordes et électronique). Peut-être Gone est loin de l'univers de Beckett et de l'entreprise première que je m'étais fixée car loin de l'épure recherchée initialement, le peu d'idée, la restriction des éléments musicaux et surtout la simplicité de leur figuration, mais toutefois je n'ai pas dérogé à la recherche d'une forte contrainte formelle, et numérique à l'origine de toutes les proportions musicales (le temps accordé à telle ou telle idée) et qui reste ainsi la constante de ces quelques pièces. Si le point de départ reste le texte et la fabrication d'une matière musicale mélodique puis harmonique issue précisément des mots ou des bribes de phrases, le texte de Beckett a vite été abandonné dans le cours de la fabrication de la musique. Les échelles de hauteurs construites se sont vite émancipées. Au départ, je me souviens qu'il y avait aussi la recherche d'un timbre précis, d'une qualité de son : une matière noire, profonde, sans repère, ni rythme, ni hauteurs, des bruits de frottements, de souffles, de pression d'archet, comme origine de tout son ou même de toute idée à naître. Ce souffle de l'acteur, David Warrilow prenant sa respiration (rauque et sourde) que l'on entend au début de Solo. L'ajout de l'électronique, s'il m'éloigne incontestablement de la parole parcimonieuse de Samuel Beckett, devrait me permettre en contrepartie d'accéder à ce monde de bruits et de tensions. Plus encore, sa fonction première est de masquer, ou en quelque sorte détruire, ce qui est lisible dans le travail instrumental. Enrichir à ce point le timbre pour que la musique ne soit plus que le fantôme d'elle-même. Jérôme Combier * James Knowlson, Beckett, p. 1038, Actes Sud, Arles 1999, traduction Oristelle Bonis (Damned to fame, The Life of Samuel Beckett, Londres 1996) / contemporain / Répertoire / Ensemble et Electronique

A près de vingt ans de son premier essai pour Quatuor à cordes (Cinq Séquences, en 1963), Maurice Ohana retourne à ce genre difficile, pour lequel il a gardé une secrète prédilection au long de ces années d'apparent éloignement (avec l'exception de Stream pour trio à cordes et voix de basse, composé en 1970).Une commande du Ministre de la Culture en 1977 (c'était, à l'époque, Madame Françoise Giroud), lui fournit le prétexte. L'oeuvre sera écrite entre 1979 et 1980. Une fois encore, Maurice Ohana cherche à échapper au trop grand sérieux que la plupart des compositeurs croient devoir observer en traitant l'assemblage des quatre instruments du quatuor. Les sous-titres, déjà, annoncent une oeuvre d'imagination plutôt que d'écriture ou de recherche: Sagittaire, Mood, Alborada, Faran-Ngô.On perçoit, ici et là, une guitare voilée, des rythmes qui font penser à une mystérieuse 'Nuit dans Grenade', plus tragique peut-être que la 'Soirée' de Claude Debussy.Sagittaire, après un appel initial, enchaîne des rythmes martelés et obsédants.Dans Mood, les réminiscences d'un Negro Spiritual semblent affleurer, comme dans d'autres ouvrages du compositeur où les Blues de sa jeunesse ont laissé un écho persistant.Alborada déploie le prisme d'harmonies lumineuses pulvérisées dans une brume sonore onirique. Faran-Ngô (composée de Farruca et Fandango) enfin est une fête nocturne aux guitares lointaines. / Quatuor A Cordes

Rebecca Clarke's Come oh come my life's delight for SATB.for unaccompanied SATB to words by Thomas Campion.This is a lilting take on the Elizabethan lute-song full of smooth Stanford-like nineteenth-century harmonies exquisitely tempered with modal effects.Rebecca Clarke was born in Harrow in 1886 and died in New York City in 1979. She was one of the finest Viola players of her day and a skilful composer who studied with Stanford at the Royal College of Music in London. Her output as a composer was small comprising about 90 works but all these pieces are brilliant and powerful. Her Piano Trio and Viola Sonata are often playedand recorded and are now widely regarded as masterpieces. However her songs are perhaps her finest body of works and embrace a variety of styles from Blakean simplicity to brutal tragedy and outright farce. Rebecca Clarke's choral music was virtually unknown until Oxford University Press began to publish these works for the first time. She wrote for chorus and other vocal ensembles throughout virtually her whole career from her earliest attempts at composition around 1906 to her final flowering in the 1940s revising and recomposing until as late as 1976.

Intermediate/Advanced. Harmonically speaking, Bill Evans remains one of the most influential musicians and composers in jazz. His compositions are among the richest and most original, laced with beautiful, lush alterations and passing chords. This set represents a sampling of Bill's illustrious career from Waltz For Debby, written in 1954, to Laurie, composed in 1979. Others provide unique challenges and give valuable insight into Bill's creative genius. The rhythm section skillfully plays each composition in the Bill Evans style, including his favorite piano voicings. All to provide you with a realistic sense of the Bill Evans mystic. Rhythm Section: Dan Haerle (p) Todd Coolman (b) Steve Davis (d) Includes: # Waltz For Debby # Walkin' Up # Laurie # Peri's Scope # Funkallero # Turn Out The Stars # Very Early # Interplay # Time Remembered