PAROLES J’aime, à penser qu’il ne pourra plus jamais revivre
Que Ma haine se réchauffe aux souvenirs
Je peux sentir
Sa joie et son sourire
Quand, devant ma peur il trouvait tout son plaisir
Se rapp’lant les mots qu’il faut pour blesser
Je peux vous dire
Qu’on ne peut oublier
Même, en fermant les yeux je l’entends
Siffler, ce canard blessé qui virevolte
Pour enfin tomber au sol
Le froid et le temps ont chassé ce mauvais rêve
N’ont pu empêcher mon désir, d’aimer
Encore sur mes derniers tours du soleil
Non rien n’est déjà plus pareil.
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Ecrit le 2018-06-30 par Andre Caron Ce sont de simples
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