Dans la formation des jeunes pianistes du passé, "La
voix du coeur" représentait un autre passage obligé,
auquel peu réussissaient à s'échapper. Ici,
cependant, j'ai échangé le mode major avec le mineur
et vice versa (comme j'aurais probablement fait il y a
déjà un demi-siècle) pour ajouter ce peu d'ironie
que la partition originale ne semble pas avoir de sien.