La Cantate « Jean de Damas » de Serguéï Ivanovitch
Tanéïev (1856 – 1915) témoigne du fait que le
jeune compositeur (il n’avait alors que 25 ans !)
conjugue, à l’occasion de son premier opus, un chant
traditionnel russe « Fais reposer en paix », avec le
contrepoint occidental.
Cette prière, dont le texte a été composé au
VIIIème siècle par l’illustre Père de l’Église
syrien, Jean de Damas (qui donne son nom à la
cantate), est ici portée par une mélodie rus...(+)
La Cantate « Jean de Damas » de Serguéï Ivanovitch
Tanéïev (1856 – 1915) témoigne du fait que le
jeune compositeur (il n’avait alors que 25 ans !)
conjugue, à l’occasion de son premier opus, un chant
traditionnel russe « Fais reposer en paix », avec le
contrepoint occidental.
Cette prière, dont le texte a été composé au
VIIIème siècle par l’illustre Père de l’Église
syrien, Jean de Damas (qui donne son nom à la
cantate), est ici portée par une mélodie russe
ancienne qui constitue le fil conducteur de l’œuvre,
à la manière d’un leitmotiv.
Pour réaliser cette édition, j’ai utilisé une
transcription des sons de la langue russe en alphabet
français, afin d’en faciliter l’appropriation par
les chanteurs francophones.
M.N. Ossorguine (2021)
