Il faut concevoir Développement limité comme une
grosse masse en déformation... C'est difficile à
expliquer, mais c'est l'image que j'avais en écrivant.
Le manque apparent d'architecture est en fait dû à ma
volonté de mêler plusieurs influences artistiques (De
mon domaine Classique, bien sûr, mais aussi latines,
et d'autres plus étonnantes...), d'intégrer
différentes techniques d'attaque de corde, et là où
on ne les attend pas : il ne s'agit pas d'en mettre
plein la vue ; il faut ...(+)
Il faut concevoir Développement limité comme une
grosse masse en déformation... C'est difficile à
expliquer, mais c'est l'image que j'avais en écrivant.
Le manque apparent d'architecture est en fait dû à ma
volonté de mêler plusieurs influences artistiques (De
mon domaine Classique, bien sûr, mais aussi latines,
et d'autres plus étonnantes...), d'intégrer
différentes techniques d'attaque de corde, et là où
on ne les attend pas : il ne s'agit pas d'en mettre
plein la vue ; il faut plutôt jouer sur les moments
où arrive une tension, qui vient chercher sa
résolution. La pièce s'ouvre en slapping (C'est
d'ailleurs ainsi qu'elle se clôt, par des frappes de
main droite qui viennent de sous les cordes.) ;
intervient ensuite un passage où la main gauche se
fait plus active afin de d'apporter une impression de
vitesse (Et j'en ai peut-être trop fait : les petites
mains souffriront !) ; vitesse qui finit par faire
place à une recherche sonore de main droite, soutenue
par une harmonie qui interviendra à trois reprises
dans la suite ; la main droite s'affole enfin : on
entre comme dans un tourbillon (La corde de mi aigu
doit être légèrement détendue, le désaccordage est
important.), et on se noie dans un volume de jeu où
domine le rasgueado. J'ai essayé de placer dans
Développement limité beaucoup (Trop ?) d'idées... à
développer, donc.
PARTITION