SKU: DY.DO-1526
ISBN 9782897963064.
Wynwood Walls draws on 9 artworks which lend their titles to the 9 connected sections of the quintet. The music reflects and amplifies my own subjective responses to the artworks.The movements are organised in pairs, circling out from a still centre – No Woman, No Cry. The title for this centrepiece comes from Chris Ofili’s moving portrait of Doreen Lawrence, the mother of a teenager murdered in an unprovoked racist attack. As well as this specific reference, the artist intended the painting to be read as a universal portrayal of melancholy, solace, and grief. The two segments flanking No Woman, No Cry complete the central triptych. Edward Hopper’s Nighthawks explores loneliness and isolation, while Grayson Perry’s #Lamentation is a meditation on remembrance and the transience of life. In contrast to the rest of Wynwood Walls, the music here is dark and introspective.I want my time with you is a giant neon sign designed by Tracey Emin for St. Pancras Station, London. Selfie with Sunflowers is an essay written by Julian Barnes about our over-familiarisation with Van Gogh’s iconic sunflower paintings. The music is sentimental, bordering on schmaltz and kitsch. Sunflower Seeds and Infinity Room are a pair of moto perpetuo scherzos inspired by the minimalist installations of Ai Weiwei and Yayoi Kusama respectively. The opening section, Bathers at Asnières, suggests Seurat’s iconic painting, while the finale, Seurat’s Bathers, evokes Howard Hodgkin’s reworking of the Seurat using a blaze of vivid colours.The title of the quintet is borrowed from the Wynwood art district of Miami – an area characterised by the hundreds of colourful street murals which decorate the walls of old warehouses in the neighbourhood. In performance, the artworks can be projected onto a screen behind the ensemble.Wynwood Walls s'appuient sur 9 œuvres d'art dont les titres prêtent leurs noms aux 9 sections connectées du quintette. La musique reflète et amplifie mes propres réponses subjectives aux œuvres d'art.Les mouvements sont organisés par paires, émergeant d'un centre immobile - No Woman, No Cry. Le titre de cette pièce maîtresse provient du portrait émouvant de Chris Ofili de Doreen Lawrence, la mère d'un adolescent assassiné lors d'une attaque raciste gratuite. En plus de cette référence spécifique, l'artiste a voulu que le tableau soit perçu comme une représentation universelle de la mélancolie, du réconfort et du chagrin. Les deux segments flanquant No Woman, No Cry complètent le triptyque central. Nighthawks d'Edward Hopper explore la solitude et l'isolement, tandis que #Lamentation de Grayson Perry est une méditation sur le souvenir et la fugacité de la vie. Contrairement au reste des Wynwood Walls, la musique ici est sombre et introspective.I want my time with you est un immense panneau néon conçu par Tracey Emin pour la gare de St. Pancras, à Londres. Selfie with Sunflowers est un essai écrit par Julian Barnes sur notre sur-familiarisation avec les peintures emblématiques de tournesols de Van Gogh. La musique est sentimentale, frôlant le kitsch et le sentimentalisme. Sunflower Seeds et Infinity Room sont une paire de scherzos moto perpetuo inspirés des installations minimalistes d'Ai Weiwei et de Yayoi Kusama respectivement. La section d'ouverture, Bathers at Asnières, suggère le tableau emblématique de Seurat, tandis que le finale, Seurat’s Bathers, évoque la réinterprétation de Seurat par Howard Hodgkin en utilisant une explosion de couleurs vives.Le titre du quintette est emprunté au quartier artistique de Wynwood à Miami - une zone caractérisée par les centaines de fresques murales colorées qui ornent les murs des vieux entrepôts du quartier. En performance, les œuvres d'art peuvent être projetées sur un écran derrière l'ensemble.
SKU: BT.SLB-00595900
INSSTR inches. French.
A previously unreleased piece by Francis Poulenc, published with permission from the Bibliothèque Historique de la Ville de Paris and Benoît Seringe, secretary of the Association des amis de Francis Poulenc [Association of the Friends ofFrancis Poulenc]. Le Voyageur sans bagage [The Traveller Without Luggage], which had been premiered in 1937 with music by Darius Milhaud, was reprised on 1 April 1944 at the Thé tre de la Michodière; Francis Poulenc was asked to compose new stage music. Theentire unpublished score lay undiscovered until Bérengère de l’Épine, a librarian at the Bibliothèque Historique de la Ville de Paris, announced the existence of a manuscript in the Association de la Régie Thé trale collection.Poulenc finalised the score between 19 and 21 March 1944. It contains nine songs, all written for a small instrumental ensemble including oboe, clarinet, cello and piano. However, at the end of the manuscript, the composer echoes the second song Lent [Slow] and creates another version for cello and piano; curiously, the original version of the song has not been erased in the manuscript. Poulenc seems to suggest that we consider the piece for cello and piano, that we have publishedhere, as a different piece of music. It was premiered on Wednesday 23 January 2013 by Marc Coppey, accompanied by Jean-François Heisser, in the organ auditorium of the Conservatoire National Supérieur de Musique et Danse de Paris (CNSMDP), during thesymposium for the fiftieth anniversary of Poulenc’s death.Given in a dramatic context, some elements allow us to get an idea of the character of the piece, which Benoît Seringe, Poulenc’s beneficiary, judiciously chose to name Souvenirs.The main character of Anouilh’s play, Gaston, is suffering from amnesia at the end of World War One. Several families try to claim him; they want him to be their missing relative. The Renaud family prove to be particularly stubborn, but Gaston doesnot recognize himself in the child and young man they depict: a ruthless and violent person. In Act 1 Scene 3, left alone for a moment, overwhelmed by the story of the “old Gaston†that is gradually coming to light, and outraged by the desire ofthose around him to appropriate him (to the detriment of the person he would like to be from now on), he whispers these words: “You all have proof, photographs that look like me, memories as clear as day… I’ve listened to you all and it’s slowlycausing a hybrid person to rise up in me; a person in which there is a piece of each of your sons and nothing of me.†Poulenc chose to place the second piece from his stage music score as these words are spoken.He borrowed part of the material, as he often did, from an earlier composition. In this particular case, the beginning is a recycled version of the “slow and melancholic†section from L’Histoire de Babar , composed between 1940 and 1945, andpremiered in 1946 (unless it is Babar that reuses the musical idea from Voyageur ).The eponymous elephant decides to leave in search of the great forest. He embraces the old lady, promises her he will return and reassures her that he will never forget her. Left alone, the old lady, feeling sad and pensive, wonders when she’ll seeher friend Babar again. The situation is similar to that in Voyageur sans bagage: solitude, sadness, a distressing and introspective time, fear of oblivion, the presence of memories…Pièce inédite de Francis Poulenc, publiée avec l’autorisation de la Bibliothèque historique de la ville de Paris et de Benoît Seringe, secrétaire de l’Association des Amis de Francis Poulenc.Le 1er avril 1944, Le Voyageur sans bagage d’Anouilh, qui avait été créé en 1937 avec de la musique de Darius Milhaud, est repris au Thé tre de la Michodière. Francis Poulenc a été sollicité afin d’écrire une nouvelle musique de scène. On ignoraittout de cette partition inédite, jusqu’au jour où Bérengère de l’Épine, conservateur la Bibliothèque historique de la ville de Paris, nous signala l’existence d’un manuscrit dans le fonds de l’Association de la Régie thé trale.Poulenc mit au point sa partition entre le 19 et le 21 mars 1944. Elle comprend neuf numéros, tous écrits pour un petit effectif instrumental réunissant un hautbois, une clarinette, un violoncelle et un piano.Cependant, la fin de son manuscrit, le compositeur reprend le no 2 Lent et en donne une seconde version, pour violoncelle et piano. Curieusement, la version originale de ce numéro n’est pas biffée dans le manuscrit.Poulenc semble nous inviter considérer comme un morceau distinct cette pièce pour violoncelle et piano dont nous proposons ici l’édition. Elle a été créée par Marc Coppey, accompagné de Jean-François Heisser, lors du concert donné durant lecolloque organisé pour le cinquantenaire du décès de Poulenc, le mercredi 23 janvier 2013, salle d’orgue du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP).Quelques éléments sur le contexte dramatique permettront de se faire une idée du caractère du morceau, que Benoît Seringe, ayant droit Poulenc, a judicieusement choisi d’intituler Souvenirs.Le personnage principal de la pièce d’Anouilh, Gaston, a été retrouvé amnésique la fin de la Première Guerre Mondiale. Plusieurs familles le réclament. On veut voir en lui un parent disparu. Les Renaud se montrent particulièrement tenaces ; maisGaston ne parvient se reconnaître dans l’enfant et le jeune homme dont on lui trace le portrait : un être violent et sans scrupule. Au tableau 3 de l’acte I, resté seul un moment, écrasé par l’histoire de cet autre lui-même qu’il découvre peu peu, indigné par le désir des personnes qui l’entourent de le ramener elles au détriment de celui qu’il voudrait être désormais, il se murmure ces paroles : « Vous avez tous des preuves, des photographies ressemblantes, des souvenirs précis commedes crimes… je vous écoute tous et je sens surgir peu peu derrière moi un être hybride où il y a un peu de chacun de vos fils et rien de moi »…C’est sur ces mots que Poulenc a choisi de placer le no 2 de sa partition de musique de scène.Comme il le fait souvent, il emprunte une composition antérieure une part de son matériau. Dans ce cas précis, il réutilise pour le début du morceau la section « Lent et mélancolique » de l’Histoire de Babar, composée entre 1940 et 1945, créée en1946 ( moins que ce ne soit Babar qui réutilise l’idée musicale du Voyageur). Le héros-éléphant s’est décidé partir pour retrouver la grande forêt. Il a embrassé la vieille dame, lui a promis de revenir, l’a rassurée : jamais il ne l’oubliera.Restée seule, la vieille dame, triste et pensive, se demande quand elle reverra son ami Babar. La situation est similaire celle du Voyageur sans bagage : solitude, tristesse, instantde trouble et de retour sur soi, crainte de l’oubli, présence des souvenirs….
SKU: BT.DHP-1084327-010
9x12 inches. English-German-French-Dutch.
De bouwsteen van Dimensions of the Fourth is de kwart als melodisch interval. Dansende motieven, mooi ademende melodische lijnen, statige akkoorden en opzwepende ritmes wisselen elkaar in dit werk voortdurend af. Het werk begintmet een plezierig dansend thema - de continue afwisseling van de maatsoorten 10/8 en 11/8 resulteert in een karakteristieke ritmische beweging. Hierop volgt een zangerig gedeelte met breed uitgewerkte melodieën, eerst onderbrokendoor een zwierige wals en daarna door een statige mars met verrassende harmonische wendingen. Een energieke en steeds voortstuwende climax leidt naar het slot.In ihrer reinen Form ist die Quarte sehr beliebt; man denke nur an die unzähligen Volkslieder in aller Welt, die mit einer Quarte beginnen. Dazu nehme man den Tritonus - die übermäßige Quarte -, die verminderte Quarte und die Umkehrung des Intervalls und schon ist die Zutatenliste komplett. Das Resultat ist ein attraktives Konzertwerk voll von tänzerischen Motiven, schönen melodischen Linien, prächtigen Akkorden und bewegenden Rhythmen. Cette composition repose sur la quarte en tant qu’intervalle mélodique. Dans sa forme parfaite, elle occupe une place privilégiée. Il suffit de voir les nombreux airs traditionnels du monde entier qui débutent avec un intervalle de quarte. La quarte augmentée fait apparaître le célèbre triton ; la quarte diminuée dévoile la tierce. Enfin, la quarte renversée devient une quinte.Derrière ces notions théoriques qui peuvent sembler ennuyeuses, se cache une œuvre de concert passionnante. Des motifs dansants, des lignes mélodiques charmantes, des accords majestueux et des rythmes pétillants alternent tout au long du développement.L’œuvre débute avec un délicieux thèmedansant qui bascule continuellement du 10/8 au 11/8, donnant naissance un mouvement rythmique particulier. Vient ensuite, un passage cantabile qui dévoile des mélodies aux courbes amples. Une valse gracieuse modifie le cours du développement, avant de céder sa place une marche majestueuse aux tournures harmoniques surprenantes. Les mesures finales gagnent en intensité et annoncent une conclusion pleine de fougue.
SKU: BT.AMP-424-030
English-German-French-Dutch.
Have Mercy, Lord from J.S. Bach’s St Matthew Passion is one of the most beautiful arias from the baroque period. In Philip Sparke’s arrangement, it is envisaged that the soloists stand together as a group stage right, while the other musicians stand behind to form the tutti group. This piece is easily playable for both the soloists and the band, and will create a beautiful moment of reflection whether performed on the concert stage or in a church.Erbarme dich, mein Gott uit de Matthäuspassion van J.S. Bach is een van de mooiste aria's uit de barok. Bij dit arrangement van Philip Sparke is het de bedoeling dat de solisten bij elkaar gaan staan, terwijl de andere muzikanten zich hierachter formeren en de tutti groep vormen. Gemakkelijk speelbaar voor solisten en orkest is dit werk een mooi moment van bezinning op het podium of in een kerk… Have Mercy, Lord (Erbarme dich, mein Gott) aus Johann Sebastian Bachs Matthäuspassion ist eine der schönsten Arien des Barock. Philip Sparkes Arrangement sieht vor, dass die Solisten sich vorn auf der Bühne gruppieren und das Orchester als Tutti-Gruppe dahinter stehend spielt. Mit diesem sowohl für die Solisten als auch die übrigen Musiker sehr zugänglichen Stück kreieren Sie einen meditativen Moment - auf der Konzertbühne oder in einer Kirche.Have Mercy, Lord de la Passion selon St Matthieu de J.S. Bach est l’un des airs les plus beaux du baroque. Dans son arrangement Philip Sparke a prévu que les solistes soient debout en groupe du côté droit du podium, tandis que le reste des musiciens soit debout derrière en formant un groupe tutti. Ce morceau est facile jouer pour les solistes et le reste de l’ensemble, et va créer un beau moment de réflexion si joué dans une salle de concert ou une église.
SKU: BT.DHP-1084327-140
De bouwsteen van Dimensions of the Fourth is de kwart als melodisch interval. Dansende motieven, mooi ademende melodische lijnen, statige akkoorden en opzwepende ritmes wisselen elkaar in dit werk voortdurend af. Het werk begintmet een plezierig dansend thema - de continue afwisseling van de maatsoorten 10/8 en 11/8 resulteert in een karakteristieke ritmische beweging. Hierop volgt een zangerig gedeelte met breed uitgewerkte melodieën, eerst onderbrokendoor een zwierige wals en daarna door een statige mars met verrassende harmonische wendingen. Een energieke en steeds voortstuwende climax leidt naar het slot.In ihrer reinen Form ist die Quarte sehr beliebt; man denke nur an die unzähligen Volkslieder in aller Welt, die mit einer Quarte beginnen. Dazu nehme man den Tritonus - die u?bermäÃ?ige Quarte -, die verminderte Quarte und die Umkehrung des Intervalls und schon ist die Zutatenliste komplett. Das Resultat ist ein attraktives Konzertwerk voll von tänzerischen Motiven, schönen melodischen Linien, prächtigen Akkorden und bewegenden Rhythmen. Cette composition repose sur la quarte en tant quâ??intervalle mélodique. Dans sa forme parfaite, elle occupe une place privilégiée. Il suffit de voir les nombreux airs traditionnels du monde entier qui débutent avec un intervalle de quarte. La quarte augmentée fait apparaître le célèbre triton ; la quarte diminuée dévoile la tierce. Enfin, la quarte renversée devient une quinte.Derrière ces notions théoriques qui peuvent sembler ennuyeuses, se cache une ?uvre de concert passionnante. Des motifs dansants, des lignes mélodiques charmantes, des accords majestueux et des rythmes pétillants alternent tout au long du développement.Lâ???uvre débute avec un délicieux thèmedansant qui bascule continuellement du 10/8 au 11/8, donnant naissance un mouvement rythmique particulier. Vient ensuite, un passage cantabile qui dévoile des mélodies aux courbes amples. Une valse gracieuse modifie le cours du développement, avant de céder sa place une marche majestueuse aux tournures harmoniques surprenantes. Les mesures finales gagnent en intensité et annoncent une conclusion pleine de fougue.
SKU: BT.AMP-424-130
SKU: BU.EBR-530
ISBN 9790560154565. 9.45 x 13 inches.
En décembre 2011, Chilly Gonzales déménagea son piano au studio Pigalle à Paris. Tout seul pendant 10 jours, il enregistra une sélection de ses compositions parmi une centaine de mélodies composées depuis les 8 années qui le séparent du mythique album Solo Piano I.Jour après jour, le processus d’enregistrement pur et minutieux prit place. Chilly Gonzales enregistra ses pièces les unes après les autres, jusqu’à capturer l’essence-même de chacune.Après des années passées à distraire son public avec sa personnalité “larger than life, à défier tous les artistes du monde, les obligeant à se surpasser pour atteindre l’excellence qu’ils doivent à leurs fans, Chilly Gonzales nous présente son argument le plus persuasif : les 14 titres de Solo Piano II contenus dans ce recueil.La route fut riche jusqu’à Solo Piano II pour “le génie musical auto-proclamé. Porté par une nomination Grammy et un record du monde Guinness Book du concert le plus long, Chilly Gonzales reprit enfin la scène après de nombreuses années passées derrière la console d’un studio à travailler pour les autres. Il devient LE pianiste sollicité par Drake, Feist, Daft Punk, …et même Steve Jobs pour sa campagne mondiale pour IPAD 2.A travers ses albums et tournées, Chilly fascine par sa polyvalence en tant qu’interprète et sa virtuosité en tant que pianiste. Rare est l’artiste qui fait danser son public sur les rythmes les plus branchés du moment, puis fait appel à un orchestre symphonique pour l’accompagner durant son concert de rap.Avec Solo Piano II, Chilly Gonzales se distingue une fois de plus comme un authentique “entertainer, conscient que la plus belle marque de respect pour ses fans est avant tout de “shut up and play the piano (dixit Chilly Gonzales dans “The Unspeakable Chilly Gonzales, 2011).