Langue : Français
/ Piano Et Chant / 24 + 2 P.S. pages / niveau : 2 / Editions Instrumentales - Format: 22 X 31
SKU: BT.DHP-1115083-140
9x12 inches. English-German-French-Dutch.
Chapters of Life is a moving concerto that musically carries the positive message that even life’s hardest knocks don’t mean the end. In three movements: Wild Days, To Dana and Chapters of Life, the solo trombone and solo tuba enter into a dialogue and the alto flute is also given an opportunity to shine.News: Selected as a FINALIST in the 2012 ITEA Composition Contest (USA) Chapters of Life is een roerend concert met een positieve boodschap. Al zijn de tegenslagen nog zo groot, ze hoeven niet het einde te betekenen... Chapters of Life brengt deze boodschap bijzonder goed over. In de driedelen Wild Days, To Dana en Chapters of Life horen we een dialoog tussen een trombone en een tuba. En ook een altfluit mag zich van zijn beste kant laten zien.Geselecteerd als FINALIST bij de 2012 ITEA CompositionContest (USA)Chapters of Life ist ein bewegendes Konzert, das die positive Botschaft, dass auch die schwersten Schicksalsschläge nicht das Ende des Lebens bedeuten, musikalisch gut herüberbringt“. In den drei Sätzen - Wild Days, To Dana und Chapters of Life betitelt - tritt eine Solo-Posaune mit der Solo-Tuba in den Dialog und auch eine Altflöte darf sich solistisch präsentieren.Aktuelles: Das Werk steht in der Endauswahl des ITEA Wettbewerbs der Kompositionen 2012 (USA)Ce concerto pour tuba s’articule en trois mouvements : Wild Days (Jours sauvages), To Dana ( Dana) qui consiste en un dialogue entre tuba solo et trombone, et A Celebration of Life (Célébration de la vie) qui nous rappelle que les moments difficiles que nous traversons au cours de notre vie ne sont que temporaires. C‘est cette même joie de vivre et cet optimisme sans faille qu’exhale le troisième et dernier mouvement de Chapters of Life (Les chapitres de la vie). Une oeuvre étincelante qui mettra votre tubiste sous les feux de la rampe.Finaliste du Concours de composition 2012, organisé par l’ITEA (Association international de Tuba et Euphonium) - USAChapters of Life ci ricorda che i momenti difficili che incontriamo nel corso della vita sono solamente temporanei. Dovremmo, al contrario, apprezzare maggiormente ogni giorno, con i suoi alti e bassi, concentrandoci soprattutto sugli aspetti positivi. E’ l’ottimismo con il quale tutti noi dovremmo affrontare la vita, che è evocato in questo brano in tre movimenti, To Dana, A Celebration of Life e Chapters of Life.News: Selected as a FINALIST in the 2012 ITEA Composition Contest (USA).
SKU: BT.DHP-1115083-010
Chapters of Life is a moving concerto that musically carries the positive message that even life’s hardest knocks don’t mean the end. In three movements: Wild Days, To Dana and Chapters of Life, the solo trombone and solo tuba enter into a dialogue and the alto flute is also given an opportunity to shine.News: Selected as a FINALIST in the 2012 ITEA Composition Contest (USA) Chapters of Life is een roerend concert met een positieve boodschap. Al zijn de tegenslagen nog zo groot, ze hoeven niet het einde te betekenen... Chapters of Life brengt deze boodschap bijzonder goed over. In de driedelen Wild Days, To Dana en Chapters of Life horen we een dialoog tussen een trombone en een tuba. En ook een altfluit mag zich van zijn beste kant laten zien.Geselecteerd als FINALIST bij de 2012 ITEA CompositionContest (USA)Chapters of Life ist ein bewegendes Konzert, das die positive Botschaft, dass auch die schwersten Schicksalsschläge nicht das Ende des Lebens bedeuten, musikalisch gut herüberbringt“. In den drei Sätzen - Wild Days, To Dana und Chapters of Life betitelt - tritt eine Solo-Posaune mit der Solo-Tuba in den Dialog und auch eine Altflöte darf sich solistisch präsentieren.Aktuelles: Das Werk steht in der Endauswahl des ITEA Wettbewerbs der Kompositionen 2012 (USA)Ce concerto pour tuba s’articule en trois mouvements : Wild Days (Jours sauvages), To Dana ( Dana) qui consiste en un dialogue entre tuba solo et trombone, et A Celebration of Life (Célébration de la vie) qui nous rappelle que les moments difficiles que nous traversons au cours de notre vie ne sont que temporaires. C‘est cette même joie de vivre et cet optimisme sans faille qu’exhale le troisième et dernier mouvement de Chapters of Life (Les chapitres de la vie). Une oeuvre étincelante qui mettra votre tubiste sous les feux de la rampe.Finaliste du Concours de composition 2012, organisé par l’ITEA (Association international de Tuba et Euphonium) - USAChapters of Life ci ricorda che i momenti difficili che incontriamo nel corso della vita sono solamente temporanei. Dovremmo, al contrario, apprezzare maggiormente ogni giorno, con i suoi alti e bassi, concentrandoci soprattutto sugli aspetti positivi. E’ l’ottimismo con il quale tutti noi dovremmo affrontare la vita, che è evocato in questo brano in tre movimenti, To Dana, A Celebration of Life e Chapters of Life.News: Selected as a FINALIST in the 2012 ITEA Composition Contest (USA).
SKU: BT.DHP-1165740-401
ISBN 9789043151511. English-German-French-Dutch.
Cette oeuvre en deux mouvements pour clarinette et orchestre fut commandée par Musica Reservata vof, Belgique, et est dédiée Eddy Vanoosthuyse, un bon ami et confrère du compositeur. Elle connut du succès sa première mondiale le 10 décembre 2008 Salt Lake City (Etats-Unis), interprétée par l’orchestre Utah Philharmonia sous la direction de Robert Baldwin, avec Eddy Vanoosthuyse comme soliste. Par la suite, l’oeuvre fut mise de côté pendant quelques années, surtout parce que les agendaschargés des deux protagonistes ne leur permettaient pas de trouver le temps pour un enregistrement discographique. Pour finir, l’oeuvre fut enfin enregistrée en juin 2015 Nagoya (Japon), avec le Central Aichi Symphony Orchestra, mené par l’étoilemontante vénézolane, SergioRosales. La même semaine, le 12 juin, l’oeuvre fut présentée en concert pour la première fois au Japon par les mêmes interprètes, et connut ici aussi un grand succès. Après Concerto Doppio pour deux clarinettes et orchestre cordes, composé en 2001,voici la deuxième oeuvre de concert de Jan Van der Roost qui met la clarinette en vedette.Le premier mouvement, Doloroso e Contemplativo, transmet le côté sérieux de la clarinette et, par conséquent, il n’y figure presque pas de virtuosité ou de spectacle. Au contraire, l’orchestration colorée et variée qui est entrelacée autour de lapartie solo est bien plus qu’un simple accompagnement, et prend la forme de partenairemusical, d’importance comparable au soliste. Une introduction un peu mystérieuse mène une première apogée orchestrale en passant par des cellules musicales ascendantes. Ensuite on entend l’entrée du soliste, d’abord par des idées musicales plusfragmentaires, puis par des lignes mélodiques plus longues. L’orchestre entre en dialogue avec le soliste, et son instrumentation délicate et colorée crée un parfait encadrement musical. Vers la fin, l’atmosphère du début est réaffirmée, et lesoliste finit par la même note par laquelle il avait commencé.Le deuxième mouvement, Giocoso e Con Bravura, est une toute autre histoire : ici, le côté virtuose, et parfois presqu’acrobatique, de la clarinette est exploré. Des cascades imposantes et continuelles de notes demandent une dextérité exceptionnelleau soliste, ce qui, un certain moment, et « récompensé » par l’orchestre, par un clin d’oeil au « Hallelujah » de Handel vraiment mérité après ces feux d’artifice ! De temps en temps, l’instrument solo présente une phrase humoristique : laclarinette ne peut pas que chanter, briller et pleurer, mais aussi rire et plaisanter. Plusieurs passages sont presque caricaturaux ! La palette variée de cet instrument magnifique est démontrée parfaitement, parfois avec un brin d’humour oud’ironie. En effet, les deux mouvements contrastants de ce concerto démontrent les différentes facettes de l’instrument qui s’est établi sur la scène de musique classique ainsi que la musique légère (quel nom peu prometteur !). Dans le deuxièmemouvement, rapide pour la plupart du temps, l’orchestre est nouveau traité de manière créative et variée, offrant une palette généreuse de couleurs : sans enlever l’attention de la partie solo difficile, on peut dire que l’orchestre n’est pas qu’ l’arrière-plan, mais saisit l’occasion de briller en même temps. Pourtant, les dernières notes sont accordées la clarinette : après un tuttiorchestral énergique, le soliste conclut l’oeuvre par trois notes courtes de pianissimo comme si, de façon subtile, il voulait avoir le dernier mot. Après les nombreuses notes jouées par le clarinettiste, cette conclusion modeste estune fin surprenante d’une oeuvre au style plutôt traditionnel, qui démontre clairement la passion du compositeur pour cette merveilleuse combinaison instrumentale.br> Un merci particulier Peter Knockaert pour cette réduction pour piano duClarinet Concerto, qui fut créée pour le 4th International Clarinet Competition Ghent en 2017.
SKU: DY.DO-1522
ISBN 9782897963026.
Francis Bebey est né à Douala en juillet 1929, dans une grande famille où son père, pasteur, luttait pour nourrir ses enfants. Mais Francis a eu l'opportunité d'aller à l'école. Admirant son frère aîné, Marcel Eyidi Bebey, il s'est éduqué, s'est distingué, et a finalement reçu une bourse pour passer son baccalauréat en France.Nous approchions de la fin des années 1950 lorsqu'il est arrivé à La Rochelle. Plus que jamais, dans cette France où les Africains étaient regardés avec curiosité, condescendance ou dédain, Francis s'appuyait sur ses ressources intellectuelles. Travailleur assidu, il a obtenu son baccalauréat, puis s'est installé à Paris où il a commencé des études d'anglais à la Sorbonne. Un jour, il a su ce qui l'attirait vraiment : il voulait faire de la radio. Francis a appris son métier en France et aux Ã?tats-Unis.Après avoir travaillé quelques années comme reporter, il a été embauché en 1961 en tant que fonctionnaire international au Département de l'information de l'UNESCO.Parallèlement, Francis a toujours été attiré par la création musicale. Son activité diurne très sérieuse ne l'empêchait pas de fréquenter les clubs de jazz le soir. Ã? Paris, le jazz, la musique à la mode à cette époque, mais aussi la rumba et la salsa l'attiraient. Il collectionnait les disques et assistait à de nombreux concerts. Avec son complice Manu Dibango, Francis montait sur scène et jouait de la musique.Francis aimait la musique classique depuis son enfance. Il avait grandi en écoutant les cantates et les oratorios de Bach ou Handel que son père chantait au temple. Il s'est passionné pour la guitare, impressionné par les maîtres espagnols et sud-américains, et a décidé d'apprendre à jouer de l'instrument lui-même.Il a commencé à composer des pièces pour guitare, mêlant les diverses influences qui le traversaient avec la musique traditionnelle africaine qu'il portait en lui depuis son enfance. Son approche a captivé le directeur du Centre culturel américain (alors situé dans le quartier de Saint-Germain à Paris), qui lui a offert l'opportunité de se produire devant un public. Francis y a donné son premier récital de guitare (1963) devant un public hypnotisé. Son premier album solo est sorti peu de temps après.Progressivement, Francis est devenu reconnu comme musicien et compositeur. Plusieurs albums de l'ambassadeur africain de la guitare, comme le décrivait la presse, sont sortis. Il a également écrit des livres, au point que sa carrière artistique est devenue difficile à concilier avec sa carrière de fonctionnaire. En 1974, même s'il était devenu le directeur général chargé de la musique à l'UNESCO, il a fait le saut audacieux et a démissionné de cette prestigieuse institution pour se consacrer aux trois activités qui l'intéressaient : la musique, la littérature et le journalisme.Il a exploré le patrimoine musical traditionnel du continent africain, notamment à travers le piano à pouce sanza et la musique polyphonique des pygmées d'Afrique centrale, ou en chantant dans sa langue maternelle et en composant des chansons humoristiques en français !Le succès a suivi. Francis Bebey a parcouru le monde : de la France au Brésil, du Cameroun à la Suède, de l'Allemagne aux Caraïbes, ou du Maroc au Japon... la liste des pays où il a été invité à se produire, à donner des conférences ou à rencontrer des lecteurs est très longue. En plus de la reconnaissance publique, il bénéficiait de la reconnaissance de ses collègues musiciens, tels que le guitariste John Williams ou le Vénézuélien Antonio Lauro, qui l'ont invité à faire partie du jury d'un concours de guitare classique à Caracas.Sa vie était le voyage d'un pionnier africain, un homme enraciné dans son patrimoine culturel et portant un message de partage et d'espoir pour le monde. Son originalité continue de résonner dans le monde entier depuis son décès à la fin du mois de mai 2001.Francis Bebey was born in Douala in July 1929, into a large family where his father, a pastor, struggled to feed his children. But Francis had the opportunity to go to school. Admiring his elder brother, Marcel Eyidi Bebey, he educated himself, distinguished himself, and eventually received a scholarship to go and take his baccalaureate in France.We approached the end of the 1950s when he arrived in La Rochelle. More than ever, in this France where Africans were looked at with curiosity, condescension, or disdain, Francis relied on his intellectual resources. A diligent worker, he obtained his Baccalaureate, then moved to Paris where he started English studies at the Sorbonne. One day, he knew what truly attracted him: he wanted to do radio. Francis learned his craft in France and in the USA.After working for a few years as a reporter, he was hired in 1961 as an international civil servant in the UNESCO Information Department.In parallel, Francis had always been drawn to musical creation. His very serious daytime activity didnâ??t prevent him from frequenting jazz clubs in the evenings. In Paris, the Jazz, the trendy music of that time, but also rumba and salsa attracted him. He collected records and attended numerous concerts. With his accomplice Manu Dibango, Francis took the stage and played music.Francis liked classical music since his childhood. He grew up listening to the cantatas and oratorios of Bach or Handel that his father had sung in the temple. He became passionate about the guitar, impressed by the Spanish and South American masters, and decided to learn to strum the instrument himself.He started composing guitar pieces, blending the various influences that flow through him with the traditional African music he had carried within since childhood. His approach captivated the director of the American Cultural Center (then located in the Saint-Germain neighborhood of Paris), who offered him the opportunity to perform in front of an audience. Francis gave his first guitar recital there (1963) in front of a mesmerized audience. His first solo album was released shortly thereafter.Gradually, Francis became recognized as a musician and composer. Several albums of the African guitar ambassador, as described by the press, were released. He also wrote books, to the point that his artistic career became challenging to reconcile with his career as a civil servant. In 1974, even though he had become the General Manager in charge of music at UNESCO, he took the bold leap and resigned from this prestigious institution to dedicated himself to the three activities that interested him: music, literature, and journalism. He explored the traditional musical heritage of the African continent, notably through the thumb piano sanza, and the polyphonic music of the Central African pygmies, or singing in his native language and composing humoristic songs in French!Success followed. Francis Bebey traveled the world: from France to Brazil, Cameroon to Sweden, Germany to the Carribean, or Morocco to Japan... the list of countries where he was invited to perform, gives lectures, or meets readers is very long. In addition to public recognition, he enjoyed the recognition of his fellow musicians, such as guitarist John Williams or Venezuelan Antonio Lauro, who invited him to be a part of the jury for a classical guitar competition in Caracas.His life was the journey of an African pioneer, a man rooted in his cultural heritage and carrying a message of sharing and hope for the world. His originality continues to vibrate around the world since his passing at the end of May 2001.
SKU: BT.AMP-202-010
This piece is about a medieval legend, The Treasure of Zolverknapp, thatis associated with the region around the village Zolver in Luxembourg.It tells the tale of hidden treasure, brave knights, fierce battles, silverand jewels and a devil?s curse! All of these combine to make The Legendof Celobrium a legendary concert work. The Legend of Celobrium is geschreven in opdracht van de Harmonie de Soleuvre uit Luxemburg, ter gelegenheid van het honderdjarig bestaan in 2007. Celobrium was de Romeinse naam voor Soleuvre (Zolwer in het Luxemburgs, Zolverin het Duits). Het werk beschrijft een beroemde sage die al eeuwen bekend is in de regio. Een muzikaal verhaal boordevol avontuur!Dieses Stück handelt von einer mittelalterlichen Sage aus der Region um das Dorf Zolver (lateinisch Celobrium) in Luxemburg. Sie erzählt von einem Silberschatz in einer alten Burg. Raubritter, Krieg, Flucht, Silber und Juwelen, der Teufel und ein Fluch, der heute noch jene trifft, die versuchen, den Schatz zu heben, machen The Legend of Celobrium zu einem spannenden Konzertwerk. The Legend of Celobrium (“La légende de Celobriumâ€) est une œuvre de commande pour l’Orchestre d’Harmonie de Soleuvre au Luxembourg l’occasion de la célébration de son centenaire, en 2007.Celobrium est le nom donné par les Romains la ville de Soleuvre (Zolwer en luxembourgeois ou Zolver en allemand). La composition raconte une célèbre légende liée la région depuis des siècles : la légende du Trésor du Zolwerknapp.Le Zolwerknapp (signifiant littéralement « bouton de Soleuvre ») est un des points les plus élevés du Luxembourg. Jadis, il abritait le ch teau d’Alexandre, un noble chevalier descendant du prestigieux Ordre médiéval des Templiers, qui y vivaitavec sa famille et son armée. Non loin du Zolwerknapp, près de Belvaux, vivait au sommet d’une colline boisée, un puissant voleur du nom de Tara. Les deux hommes étaient constamment en conflit, chacun voulant régner sur les terres alentours. Tara finit par remporter le conflit et consentit une seule concession. Il autorisa l’épouse d’Alexandre quitter les lieux avec son ne et emporter avec elle tous les biens précieux que l’ ne pouvait porter. Il lui accorda le droit de s’installer en lieu s r aussi loin que l’ ne pouvait la mener. Magnanime, elle choisit d’emmener son mari avec elle, consciente que sa fuite serait ainsi ralentie. Avant de partir, elle jeta son or et ses précieux joyaux dans un puits profond du ch teau.Le voyage fut long et difficile. force de ténacité, ils réussirent se mettre en sécurité au sommet d’une colline avoisinante. Ils s’y installèrent et érigèrent un nouveau ch teau, le ch teau de Differdange.Les siècles passèrent et le ch teau du Zolwerknapp n’était plus qu’un amas de ruines. Jamais personne n’avait osé y chercher le trésor qui sommeillait dans les profondeurs du puits. Mais un jour, le prêtre local réussit persuader sept hommes braves de descendre au fond de l’obscur goulot pour récupérer l’or. Pour ce faire, il leur donna une corde et leur conseilla de garder le silence une fois le fond atteint. Les sept.
SKU: BT.AMP-202-140
SKU: BT.DHP-1216293-140
English-German-French-Dutch.
When you have been playing in a band for a long time, you will know that music belongs to the most beautiful moments in life, but also to the roughest times. Making music together can give you strength when things are difficult.To a Friend is a wonderfully comforting work for anyone going through a dark time. Jacob de Haan composed the work for his father in law, Gerard Bosch, a musician to the core. The piece received its first performance justweeks before his passing. On a sun-kissed evening, his friends, the musicians of his two music societies Oefening Baart Kunst (Practice Makes Perfect) Otterlo, and the Reünie Orkest Artillerie Trompetterkorps (Reunion BandArtillery Trumpet Corps) played the work for Gerard - an unknowing yet beautiful goodbye.Wanneer je al lang samen in een orkest speelt, weet je dat muziek hoort bij de mooiste momenten in het leven, maar ook bij de diepste dalen. Samen muziek maken kan je kracht geven wanneer je het moeilijk hebt. To a Friendis een prachtig troostrijk werk voor iedereen die donkere tijden meemaakt. Jacob de Haan componeerde het werk voor zijn schoonvader, Gerard Bosch, een muzikant in hart en nieren. Een paar weken voor diens overlijden was het klaarom te worden uitgevoerd. Op een zonovergoten avond speelden zijn vrienden, de muzikanten van zijn beide muziekverenigingen Oefening Baart Kunst Otterlo en het Reünie Orkest Artillerie Trompetterkorps het voor Gerard. Eenprachtig afscheid. Wer lange in einem Orchester gespielt hat, der weiß, dass Musik zu den schönsten Momenten im Leben gehört, aber auch zu den schwersten. Gemeinsames Musizieren kann einem in schwierigen Zeiten Kraft geben. To a Friend istein wunderbar tröstliches Werk für jeden, der eine schwere Zeit durchlebt. Jacob de Haan komponierte das Werk für seinen Schwiegervater Gerard Bosch, der Musiker durch und durch war. Das Stück wurde nur wenige Wochen vor seinemTod uraufgeführt. An einem sonnigen Abend spielten seine Freunde, die Musiker seiner beiden Musikvereine Oefening Baart Kunst (Übung macht den Meister“) Otterlo und das Reünie Orkest Artillerie Trompetterkorps (Reunion BandArtillerie Trompet Corps) , das Werk für Gerard. Ein unbewusster und zugleich schöner Abschied.Lorsqu’on joue dans un orchestre depuis longtemps, on sait que la musique fait partie des plus beaux moments de la vie, mais aussi d’instants très ardus. Jouer ensemble peut donner de la force lorsque les choses sont difficiles.To a Friend est une œuvre merveilleusement réconfortante pour toute personne confrontée une période sombre. Jacob de Haan a composé cette pièce pour son beau-père, Gerard Bosch, lui-même musicien passionné. Elle a étécréée quelques semaines avant son décès. Lors d’une fin de journée ensoleillée, ses amis, les musiciens de ses deux sociétés musicales (Oefening Baart Kunst Otterlo et le Reünie Orkest Artillerie Trompetterkorps ), ont interprétéla nouvelle composition pour Gerard. Ils l’ignoraient alors, mais ce petit concert constitua un adieu merveilleux.
SKU: BT.DHP-1216293-010
SKU: BT.AMP-337-140
The composer writes:On March 11th 2011 a massive 9.0- magnitude earthquake occurred off the coast of north-eastern Japan.I'm writing these programme notes barely a week later and the death toll caused by the quake and resulting tsunami already exceeds 6000, with thousands of people still unaccounted for. I have many friends associated with many bands throughout Japan and one of these, Yutaka Nishida, suggested I write a piece to raise money to help those affected by the disaster. I was immediately attracted by the idea and have arranged Cantilena (a brass band piece recently commissioned by the Grenland International Brass Festival, Norway) for wind band, giving it a new title tohonour my friends in the Land of the Rising Sun.I will be donating royalties from this piece to the Japanese Red Cross Society Emergency Relief Fund and am delighted to say that my distributors, De Haske, who will generously also donate all net profits from sales of this piece, have pledged a substantial advance payment to the Red Cross so that what little help this project generates can be immediate.It is my sincere wish that this 'Band Aid' project will allow wind bands around the world support the people of Japan, where bands are a way of life for many, in this difficult time.Philip Sparke De componist schrijft:Op 11 maart 2011 vond er vlak bij de noordkust van Japan een enorme aardbeving - 9.0 op de schaal van Richter - plaats.Ik maak deze werkbeschrijving nauwelijks een week later en het aantal doden dat de aardbevingen de daaropvolgende tsunami hebben geëist, komt al uit boven de 6000, terwijl er nog steeds duizenden mensen worden vermist.Ik heb veel vrienden die met orkesten in heel Japan werken, en een van hen, Yutaka Nishida, steldevoor dat ik een stuk zou schrijven om geld bij elkaar te krijgen voor hulp aan de slachtoffers van de ramp. Ik vond het meteen een goed idee en ik heb vervolgens Cantilena ( een brassbandwerk dat ik recentelijk heb gecomponeerd voorhet Grenland International Brass festival in Noorwegen) gearrangeerd voor harmonieorkest en er een nieuwe titel aan gegeven, als eerbewijs aan mijn vrienden in het land van de rijzende zon.De royalty's die ik voor dit werk krijg,zal ik doneren aan het Japanse noodhulpfonds van het Rode Kruis, en ik ben heel blij dat mijn distributeur, De Haske, die eveneens alle nettowinst op dit werk zal doneren, bereid is alvast een grote vooruitbetaling te doen aanhet Rode Kruis, zodat de hulp die uit dit project voortkomt, hoe bescheiden wellicht ook, onmiddellijk in gang gezet kan worden.Ik hoop oprecht dat dit 'Band Aid-project' het blaasorkesten wereldwijd mogelijk maakt de mensen in Japante steunen - een land waar blaasmuziek voor velen een manier van leven is. Der Komponist schreibt über sein Stück:Am 11. März 2011 ereignete sich ein Erdbeben der Stärke 9,0 vor der nordöstlichen Küste Japans.Diese Werkbeschreibung schreibe ich nur eine Woche später. Die Zahl der Todesopfer des Erdbebens und des dadurch ausgelösten Tsunamis überschreitet bereits die 6000, wobei noch tausende Menschen als vermisst gelten.Ich habe zahlreiche Freunde in Japan, die mit vielen Blasorchestern im ganzen Land verbunden sind. Einer dieser Freunde, Yutaka Nishida, schlug mir vor, ein Stück zu schreiben, um mit dem Erlös den von der Katastrophe betroffenen Menschen zu helfen. Ich war gleich begeistert von dieser Idee und habe daraufhin Cantilena(ein Brass-Band-Stück, das ich jüngst für das Grenland International Brass Festival in Norwegen komponierte) für Blasorchester bearbeitet und ihm zu Ehren meiner Freunde im Land der aufgehenden Sonne einen neuen Titel gegeben.Ich werde meine Tantiemen für dieses Stück dem Hilfsfonds des Japanischen Roten Kreuzes spenden. Ich bin auch sehr froh, dass mein Verlag De Haske, der ebenfalls alle Erlöse aus diesem Stück spenden wird, dem Roten Kreuz bereits im Voraus eine bedeutende Summe geschickt hat, damit der kleine Beitrag, den dieses Projekt beitragen kann, sofort ankommt.Es ist mein inniger Wunsch, dass dieses Band Aid“-Projekt Blasorchestern auf der ganzen Welt ermöglichen wird, den Menschen in Japan zu helfen, wo Blasorchester in dieser schweren Zeit für viele ein Weg sind, das Leben aufrecht zu erhalten.“Philip Sparke Le 11 mars 2011, un violent séisme de magnitude 9.0 s’est produit près de la côte nord-est du Japon. J’écris cette note de programme tout juste une semaine après la terrible catastrophe, et le nombre de morts causé par le tremblement de terre et le tsunami provoqué par ce dernier, s’élève déj plus de 6000 personnes, tout en sachant que des milliers d’autres sont toujours portées disparues. J’ai beaucoup d’amis dans le milieu des Orchestres Vent au Japon et l’un d’entre eux, Yutaka Nishida, m’a suggéré d’écrire une œuvre destinée collecter des fonds pour venir en aide aux personnes affectées par ce cataclysme. Ayant étéimmédiatement séduit par sa proposition, j’ai écrit un arrangement pour Orchestre d’Harmonie de la pièce Cantilena (une œuvre pour Brass Band récemment commandée par le Grenland International Brass Festival, en Norvège), et lui ai donné un nouveau titre en hommage mes amis du Pays du Soleil Levant : The Sun Will Rise Again (Le soleil se lèvera nouveau). Je reverserai l’intégralité des droits d’auteur de ce morceau au fonds de secours de la Croix-Rouge japonaise. En outre, je suis ravi d’annoncer que mon distributeur De Haske, qui a généreusement décidé de donner tous les bénéfices nets sur les ventes de cette œuvre, s’est engagé effectuer immédiatement un versement substantiel la Croix-Rouge afin que le Japon puisse profiter sans délai de l’aide modeste générée par ce projet. J’espère très sincèrement que celui-ci permettra aux Orchestres Vent du monde entier de soutenir le peuple japonais, pour qui la musique joue un rôle important, en ces temps difficiles. Philip Sparke La recente tragedia del Giappone, messo in ginocchio dal terremoto, ha spinto Philip Sparke a comporre The Sun Will Rise Again (Il sole sorger nuovamente), un brano che vuole essere un messaggio di solidariet al popolo nipponico, ma anche un aiuto concreto: gli introiti saranno interamente devoluti, sia dal compositore sia dalla casa editrice De Haske, alla Croce Rossa giapponese.
SKU: UT.LB-23
ISBN 9788881094929. 5.51 x 8.26 inches.
Dopo l’entusiasmo iniziale, c’è un momento nel corso dello studio del canto in cui bisogna fare i conti con uno strano disagio. Questo si manifesta in diverse forme: il rapporto con l’insegnante diventa difficile, ci si sente insoddisfatti, si cercano nuove strade. Compaiono paure e ansie particolari. Spesso le note acute diventano il chiodo fisso di tanti. Ma anche la respirazione, l’esecuzione di passaggi di agilità ; oppure l’età , l’idea di essere troppo vecchi per poter studiare con profitto o tentare la carriera. L’esibizione in pubblico genera forti tensioni, in qualche caso vero e proprio panico. E così via. Questo succede anche ad artisti che poi si affermano e fanno del canto la loro professione.Individuare – quale condizione di base – l’accettazione delle proprie caratteristiche vocali e adottare un atteggiamento mentale aperto basato sull’attenzione sistematica non valutativa, può ridare al cantante la serenità necessaria per esprimere al meglio le proprie qualità .Per il principiante può essere l’indicazione di una strada da seguire, per lo studente in difficoltà può costituire un cambiamento di rotta nell’approccio al canto dal quale può trarre grandi vantaggi. Il libro è rivolto anche agli insegnanti con la modesta convinzione che l’obiettivo consapevolezza sia un dovere anche loro.Nessun tipo di tecnica potrà essere completamente efficace senza una raggiunta libertà mentale.
SKU: BT.DHP-1013065-010
Hallelujah! begins with the exalted sounds of the original, but… then it changes into the lively arrangement by Naohiro Iwai - swinging musical fireworks. The modern twist to this religious classic means it now well suited for use in more than just than church services. Een verrassende uitvoering van het bekende Hallelujah Chorus uit het beroemde oratorium Messiah van Georg Friedrich Händel. Verras uw publiek met een moderne bewerking van deze klassieker in bigband stijl.So haben sie den bekannten Hallelujah Chorus aus Georg Friedrich Händels Messiah noch nie gehört oder gespielt: Ãœberraschen Sie Ihr Publikum mit einer modernen Bearbeitung des Klassikers im Big-Band-Stil! Chorstimmen für gemischten Chor sind separat erhältlich. Alors que tout ce qu'il entreprenait semblait voué l'échec, Haendel compose dans une période plus que difficile, un chef d'œuvre de la musique : Le Messie, un oratorio dans la plus pure tradition de la Passion allemande et de la cantate sacrée. L’Alléluia est le mouvement final de la deuxième partie du Messie. Takashi Hoshide reprend cette célèbre page musicale dans un traitement enthousiaste, dynamique, aux inflexions de swing. Cet arrangement peut également être interprété avec un Chœur Mixte trois voix (SAT - Set chœur vendu séparément - DHP 1013065-050).