Fantaisie Romantique

Virtuoso and Entertaining Pieces for Flute and Piano. À l'occasion du 250e anniversaire, la maison d'édition Schott a fouillé des trésors dans les archives historiques de la maison et les a réédités. Cette anthologie s'adresse aux musiciens professionnels et aux amateurs avancés qui s'intéressent aux nouvelles découvertes intéressantes au-delà du répertoire standard. Elle contient principalement des oeuvres de la période romantique : des pièces rares et des bis virtuoses, des pièces de caractère expressives, des perles de la musique de salon ou des arrangements élaborés de mélodies (d'opéra) connues. Nombre des compositions originales et des arrangements sont des oeuvres d'importants flûtistes du XIXe siècle. / Niveau : 3-4 / Classique / Recueil / Flûte Traversière et Piano

Par GADE NIELS VILHELM. Compositeur Danois ami de Mendelssohn et de Schumann, Niels Gade eut une influence profonde sur la vie musicale de son pays. Composées en 1864 et éditées en 1865, les Fantaisies Op.43 pour clarinette et piano sont considérées comme des 'perles' de l'école romantique scandinave. / Niveau : Intermédiaire / Répertoire / Clarinette en Sib et Piano

Par PROST NICOLAS. Adolphe Sax, inventeur génial du saxophone (breveté en 1846) est nommé au poste de Directeur de la Musique de Scène à l'Opéra de Paris entre 1847 et 1894. C'est la place idéale pour promouvoir et expérimenter ses instruments à l'orchestre - l'inventeur finit par imposer le saxophone dans certaines oeuvres lyriques, symphoniques, musiques de ballets et bien sûr les musiques régimentaires. On recense de nombreuses apparitions de l'instrument, d'abord timidement mêlé à l'orchestre puis dans de véritables solos pittoresques. Si l'intervention des saxophones dans la Corona d'Italia de G. Rossini, Tannhaüser de R. Wagner, la Damnation de Faust de H. Berlioz, Ondine et le pêcheur de P. Dukas, Hulda de C. Franck ou la 1re symphonie de A. Magnard demeure une tentative anecdotique, d'autres compositeurs comme G. Bizet, C. Saint-Saëns, A. Thomas, V. D'Indy, L. Delibes, G. Charpentier ou J. Massenet offrent à l'instrument de belles phrases chantées au sein même de l'orchestre. On ne compte guère qu'une poignée d'oeuvres de musique de chambre mixte avant 1900. En revanche, la formule saxophone accompagné d'un piano (ou d'une fanfare) est d'usage courant. Les musiques sont écrites principalement par les amis de l'inventeur, souvent chefs de musiques régimentaires qui utilisent un style simple et classique pour les besoins du divertissement de plein air (thèmes et variations virtuoses loin des grands chefs d'oeuvre romantiques de l'époque). Cette petite suite musicale retrace un parcours chronologique des solos de saxophone avant 1900, à découvrir avec une réduction de piano comme support harmonique. Hector Berlioz (1803-1869), véritable défenseur des inventions de Sax, vante les mérites du saxophone dans son Traité d'instrumentation. C'est lui qui utilise la 1re fois l'instrument dans une oeuvre pour 6 instruments à vent afin de saluer avec enthousiasme les inventions du célèbre facteur belge. Hymne pour les instruments de Sax sera donné en public le 3 février 1844 à Paris salle Hertz, Adolphe Sax jouant lui-même la partie de saxophone basse en Mib. La partition demeurant malheureusement introuvable, on sait néanmoins que l'Hymne était une adaptation de son Chant sacré pour choeur composé quelques mois plus tôt. Le 1er solo présenté ici est une possible reconstitution du solo de saxophone. La Berceuse, solo originellement joué au saxophone soprano, est extraite de Santa Claus Symphony (1853) de William Henry Fry (1813-1854). Le compositeur né américain était un fervent admirateur d'Adolphe Sax et le 1er compositeur américain à écrire pour grand orchestre. Ce solo est symbolique : il s'agirait de la première intégration du saxophone aux Etats-Unis, 50 ans avant le jazz dixieland. Récit est une véritable cadence consacrée au saxophone alto sur un accompagnement de pizzicati de cordes et tenues de cuivres. Ce récit est extrait du récit et prologue du 2nd tableau de l'Acte II de l'opéra Hamlet (1868) de Ambroise Thomas (1811-1896). Les deux chants du Pérou (1865) sont originellement harmonisés habilement pour 3 saxophones d'après des chants joués par les Indiens sur 'la Quena', leur instrument national. Orient est un solo de saxophone tiré de la grande marche militaire pour orchestre à vents Orient et Occident opus 25 (1869). Camille Saint-Saëns (1835-1921) a souvent utilisé le pupitre de saxophones, tant dans ses ouvrages symphoniques que lyriques. L'Ouverture et l'Intermezzo de Georges Bizet (1838-1875) sont des solos de saxophone alto des plus remarquables. Ils sont extraits des suites pour orchestre de la musique de scène de l'Arlésienne (1872). La Barcarolle de Léo Delibes (1836-1891) est tirée de son ballet séduisant Sylvia (1876). On y entend un solo très élégant au saxophone alto. Jules Massenet (1842-1912) utilise le saxophone de nombreuses fois. On apprécie bien sûr la valse avec saxophone dans son opéra Le Roi de Lahore, mais c'est surtout grâce à son opéra Werther que le saxophone a été reconnu. Dans l'Air des larmes de Werther (1892), le saxophone dialogue superbement avec le personnage de Charlotte. Le solo de Vision est un chant au saxophone alto qui donne la réplique à Hérode dans l'opéra Hérodiade (1881). La Fantaisie de ce recueil est un extrait de la Fantaisie variée pour saxophone et piano (1889). Elément du patrimoine historique du saxophoniste, cette pièce est typique des musiques légères et décontractées de l'époque. Léon Wettge (1844-1909) était chef de musique du 28e régiment d'artillerie de Versailles avant d'être chef de la Garde Républicaine. / classique / Répertoire / Saxophone et Piano

Virtuoso and Entertaining Pieces for Clarinet and Piano. À l'occasion de son 250e anniversaire, Schott Music a le plaisir de vous présenter Joy of Music. Des trésors découverts dans les archives historiques, réédités et présentés dans cette très belle collection. Des ?uvres en grande partie de l'époque romantique, pour des musiciens de niveau intermédiaire à confirmé à la recherche de nouveautés./ Recueil / Clarinette et Piano

Cette musique pleine de fantaisie semble tout droit sortie du grand ?cran sauf qu?elle n?est associ?e ? aucun film ! Comme toute bonne musique de film cette ?uvre est faite de m?lodies entra?nantes de passages virtuoses rapides et bien entendu d?un th?me amoureux romantique. Au niveau de l?instrumentation le compositeur a pens? aux groupes parfois incomplets ce qui rend l??uvreparfaitement jouable par la plupart des orchestres. Id?ale pour un concert ou un concours.

Cette musique pleine de fantaisie semble tout droit sortie du grand écran sauf quelle nest associée à aucun film ! Comme toute bonne musique de film cette uvre est faite de mélodies entraînantes de passages virtuoses rapides et bien entendu dun thème amoureux romantique. Au niveau de linstrumentation le compositeur a pensé aux groupes parfois incomplets ce qui rend luvreparfaitement jouable par la plupart des orchestres. Idéale pour un concert ou un concours.

for Saxophone Choir with optional Percussion-C?est en 2012 qu?André Waignein fait la connaissance de Sergio Yánez Quintana lors d?un cours de direction d?orchestre à l?Université d?Alicante (ES). Sergio est également le directeur du Stage International pour Saxophone et Jazz qui se déroule chaque année à Gran Canaria (ES). C?est dans ce contexte qu?il demande à André Waignein de composer pour Grand Ensemble de Saxophones une pièce très éclectique reprenant des éléments contrastants (classique romantique jazz et latino). La composition est une fantaisie mettant en exergue toutes les facettes musicales du saxophone. Une section rythmique peut intervenir lors des mouvements jazz et latino. Saxophone Colors une?uvre variée et spectaculaire.

Franz Schubert
Sonate pour piano en Sol majeur op. 78 D 894
Dominik Rahmer (Editeur)
Martin Helmchen (Doigtés)
Andrea Lindmayr-Brandl (Préface)
Edition Urtext, reliure paperback
édition révisée
remplace HN 726
La Sonate en Sol majeur, de vastes dimensions et exigeante techniquement, a vu le jour en octobre 1826, deux ans avant la disparition de Schubert. Elle fait partie des trois seules sonates pour piano qui parurent encore sous forme imprimée du vivant du compositeur. Le titre inhabituel de la première édition ? Fantasie, Andante, Menuetto et Allegretto ? est dû à l?éditeur Haslinger. Il fait référence à l?atmosphère rêveuse et mélancolique du 1er mouvement, qui ne correspondait pas vraiment à la conception traditionnelle d?un mouvement initial de sonate. Il est ainsi peu surprenant que la «Fantaisie-sonate», comme on l?appelle encore souvent de nos jours, ait, par son caractère libre et romantique, enthousiasmé des artistes tels Franz Liszt ou Robert Schumann, qui l?a qualifiée de «totalement accomplie, tant par la forme que par l?esprit». La présente édition urtext se base sur un réexamen approfondi de toutes les sources connues, notamment l?autographe de la British Library. Elle est réalisée dans la brillante gravure caractéristique des productions Henle. L?avant-propos de la spécialiste de Schubert, Andrea Lindmayr-Brandl, ainsi qu?une section de notes très développée, fournissent des informations exhaustives sur l?origine de l??uvre, les sources et leurs variantes. Autre point fort, les doigtés du pianiste Martin Helmchen. / Partitions classique / Piano - instruments à clavier / Piano / HENLE VERLAG