/ Chant Et Piano / Chanson En Séparée
SKU: BT.SLB-00595900
INSSTR inches. French.
A previously unreleased piece by Francis Poulenc, published with permission from the Bibliothèque Historique de la Ville de Paris and Benoît Seringe, secretary of the Association des amis de Francis Poulenc [Association of the Friends ofFrancis Poulenc]. Le Voyageur sans bagage [The Traveller Without Luggage], which had been premiered in 1937 with music by Darius Milhaud, was reprised on 1 April 1944 at the Thé tre de la Michodière; Francis Poulenc was asked to compose new stage music. Theentire unpublished score lay undiscovered until Bérengère de l’Épine, a librarian at the Bibliothèque Historique de la Ville de Paris, announced the existence of a manuscript in the Association de la Régie Thé trale collection.Poulenc finalised the score between 19 and 21 March 1944. It contains nine songs, all written for a small instrumental ensemble including oboe, clarinet, cello and piano. However, at the end of the manuscript, the composer echoes the second song Lent [Slow] and creates another version for cello and piano; curiously, the original version of the song has not been erased in the manuscript. Poulenc seems to suggest that we consider the piece for cello and piano, that we have publishedhere, as a different piece of music. It was premiered on Wednesday 23 January 2013 by Marc Coppey, accompanied by Jean-François Heisser, in the organ auditorium of the Conservatoire National Supérieur de Musique et Danse de Paris (CNSMDP), during thesymposium for the fiftieth anniversary of Poulenc’s death.Given in a dramatic context, some elements allow us to get an idea of the character of the piece, which Benoît Seringe, Poulenc’s beneficiary, judiciously chose to name Souvenirs.The main character of Anouilh’s play, Gaston, is suffering from amnesia at the end of World War One. Several families try to claim him; they want him to be their missing relative. The Renaud family prove to be particularly stubborn, but Gaston doesnot recognize himself in the child and young man they depict: a ruthless and violent person. In Act 1 Scene 3, left alone for a moment, overwhelmed by the story of the “old Gaston†that is gradually coming to light, and outraged by the desire ofthose around him to appropriate him (to the detriment of the person he would like to be from now on), he whispers these words: “You all have proof, photographs that look like me, memories as clear as day… I’ve listened to you all and it’s slowlycausing a hybrid person to rise up in me; a person in which there is a piece of each of your sons and nothing of me.†Poulenc chose to place the second piece from his stage music score as these words are spoken.He borrowed part of the material, as he often did, from an earlier composition. In this particular case, the beginning is a recycled version of the “slow and melancholic†section from L’Histoire de Babar , composed between 1940 and 1945, andpremiered in 1946 (unless it is Babar that reuses the musical idea from Voyageur ).The eponymous elephant decides to leave in search of the great forest. He embraces the old lady, promises her he will return and reassures her that he will never forget her. Left alone, the old lady, feeling sad and pensive, wonders when she’ll seeher friend Babar again. The situation is similar to that in Voyageur sans bagage: solitude, sadness, a distressing and introspective time, fear of oblivion, the presence of memories…Pièce inédite de Francis Poulenc, publiée avec l’autorisation de la Bibliothèque historique de la ville de Paris et de Benoît Seringe, secrétaire de l’Association des Amis de Francis Poulenc.Le 1er avril 1944, Le Voyageur sans bagage d’Anouilh, qui avait été créé en 1937 avec de la musique de Darius Milhaud, est repris au Thé tre de la Michodière. Francis Poulenc a été sollicité afin d’écrire une nouvelle musique de scène. On ignoraittout de cette partition inédite, jusqu’au jour où Bérengère de l’Épine, conservateur la Bibliothèque historique de la ville de Paris, nous signala l’existence d’un manuscrit dans le fonds de l’Association de la Régie thé trale.Poulenc mit au point sa partition entre le 19 et le 21 mars 1944. Elle comprend neuf numéros, tous écrits pour un petit effectif instrumental réunissant un hautbois, une clarinette, un violoncelle et un piano.Cependant, la fin de son manuscrit, le compositeur reprend le no 2 Lent et en donne une seconde version, pour violoncelle et piano. Curieusement, la version originale de ce numéro n’est pas biffée dans le manuscrit.Poulenc semble nous inviter considérer comme un morceau distinct cette pièce pour violoncelle et piano dont nous proposons ici l’édition. Elle a été créée par Marc Coppey, accompagné de Jean-François Heisser, lors du concert donné durant lecolloque organisé pour le cinquantenaire du décès de Poulenc, le mercredi 23 janvier 2013, salle d’orgue du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP).Quelques éléments sur le contexte dramatique permettront de se faire une idée du caractère du morceau, que Benoît Seringe, ayant droit Poulenc, a judicieusement choisi d’intituler Souvenirs.Le personnage principal de la pièce d’Anouilh, Gaston, a été retrouvé amnésique la fin de la Première Guerre Mondiale. Plusieurs familles le réclament. On veut voir en lui un parent disparu. Les Renaud se montrent particulièrement tenaces ; maisGaston ne parvient se reconnaître dans l’enfant et le jeune homme dont on lui trace le portrait : un être violent et sans scrupule. Au tableau 3 de l’acte I, resté seul un moment, écrasé par l’histoire de cet autre lui-même qu’il découvre peu peu, indigné par le désir des personnes qui l’entourent de le ramener elles au détriment de celui qu’il voudrait être désormais, il se murmure ces paroles : « Vous avez tous des preuves, des photographies ressemblantes, des souvenirs précis commedes crimes… je vous écoute tous et je sens surgir peu peu derrière moi un être hybride où il y a un peu de chacun de vos fils et rien de moi »…C’est sur ces mots que Poulenc a choisi de placer le no 2 de sa partition de musique de scène.Comme il le fait souvent, il emprunte une composition antérieure une part de son matériau. Dans ce cas précis, il réutilise pour le début du morceau la section « Lent et mélancolique » de l’Histoire de Babar, composée entre 1940 et 1945, créée en1946 ( moins que ce ne soit Babar qui réutilise l’idée musicale du Voyageur). Le héros-éléphant s’est décidé partir pour retrouver la grande forêt. Il a embrassé la vieille dame, lui a promis de revenir, l’a rassurée : jamais il ne l’oubliera.Restée seule, la vieille dame, triste et pensive, se demande quand elle reverra son ami Babar. La situation est similaire celle du Voyageur sans bagage : solitude, tristesse, instantde trouble et de retour sur soi, crainte de l’oubli, présence des souvenirs….
SKU: HL.48185965
UPC: 888680843076. 9x12 inches.
“Y a-t-il quelqu'un?; Uiprapuru, à nouveau?; Ombre; Le Socle vide; Que penser?; Autrement dit...&rdquo.
SKU: DY.DO-1522
ISBN 9782897963026.
Francis Bebey est né à Douala en juillet 1929, dans une grande famille où son père, pasteur, luttait pour nourrir ses enfants. Mais Francis a eu l'opportunité d'aller à l'école. Admirant son frère aîné, Marcel Eyidi Bebey, il s'est éduqué, s'est distingué, et a finalement reçu une bourse pour passer son baccalauréat en France.Nous approchions de la fin des années 1950 lorsqu'il est arrivé à La Rochelle. Plus que jamais, dans cette France où les Africains étaient regardés avec curiosité, condescendance ou dédain, Francis s'appuyait sur ses ressources intellectuelles. Travailleur assidu, il a obtenu son baccalauréat, puis s'est installé à Paris où il a commencé des études d'anglais à la Sorbonne. Un jour, il a su ce qui l'attirait vraiment : il voulait faire de la radio. Francis a appris son métier en France et aux Ã?tats-Unis.Après avoir travaillé quelques années comme reporter, il a été embauché en 1961 en tant que fonctionnaire international au Département de l'information de l'UNESCO.Parallèlement, Francis a toujours été attiré par la création musicale. Son activité diurne très sérieuse ne l'empêchait pas de fréquenter les clubs de jazz le soir. Ã? Paris, le jazz, la musique à la mode à cette époque, mais aussi la rumba et la salsa l'attiraient. Il collectionnait les disques et assistait à de nombreux concerts. Avec son complice Manu Dibango, Francis montait sur scène et jouait de la musique.Francis aimait la musique classique depuis son enfance. Il avait grandi en écoutant les cantates et les oratorios de Bach ou Handel que son père chantait au temple. Il s'est passionné pour la guitare, impressionné par les maîtres espagnols et sud-américains, et a décidé d'apprendre à jouer de l'instrument lui-même.Il a commencé à composer des pièces pour guitare, mêlant les diverses influences qui le traversaient avec la musique traditionnelle africaine qu'il portait en lui depuis son enfance. Son approche a captivé le directeur du Centre culturel américain (alors situé dans le quartier de Saint-Germain à Paris), qui lui a offert l'opportunité de se produire devant un public. Francis y a donné son premier récital de guitare (1963) devant un public hypnotisé. Son premier album solo est sorti peu de temps après.Progressivement, Francis est devenu reconnu comme musicien et compositeur. Plusieurs albums de l'ambassadeur africain de la guitare, comme le décrivait la presse, sont sortis. Il a également écrit des livres, au point que sa carrière artistique est devenue difficile à concilier avec sa carrière de fonctionnaire. En 1974, même s'il était devenu le directeur général chargé de la musique à l'UNESCO, il a fait le saut audacieux et a démissionné de cette prestigieuse institution pour se consacrer aux trois activités qui l'intéressaient : la musique, la littérature et le journalisme.Il a exploré le patrimoine musical traditionnel du continent africain, notamment à travers le piano à pouce sanza et la musique polyphonique des pygmées d'Afrique centrale, ou en chantant dans sa langue maternelle et en composant des chansons humoristiques en français !Le succès a suivi. Francis Bebey a parcouru le monde : de la France au Brésil, du Cameroun à la Suède, de l'Allemagne aux Caraïbes, ou du Maroc au Japon... la liste des pays où il a été invité à se produire, à donner des conférences ou à rencontrer des lecteurs est très longue. En plus de la reconnaissance publique, il bénéficiait de la reconnaissance de ses collègues musiciens, tels que le guitariste John Williams ou le Vénézuélien Antonio Lauro, qui l'ont invité à faire partie du jury d'un concours de guitare classique à Caracas.Sa vie était le voyage d'un pionnier africain, un homme enraciné dans son patrimoine culturel et portant un message de partage et d'espoir pour le monde. Son originalité continue de résonner dans le monde entier depuis son décès à la fin du mois de mai 2001.Francis Bebey was born in Douala in July 1929, into a large family where his father, a pastor, struggled to feed his children. But Francis had the opportunity to go to school. Admiring his elder brother, Marcel Eyidi Bebey, he educated himself, distinguished himself, and eventually received a scholarship to go and take his baccalaureate in France.We approached the end of the 1950s when he arrived in La Rochelle. More than ever, in this France where Africans were looked at with curiosity, condescension, or disdain, Francis relied on his intellectual resources. A diligent worker, he obtained his Baccalaureate, then moved to Paris where he started English studies at the Sorbonne. One day, he knew what truly attracted him: he wanted to do radio. Francis learned his craft in France and in the USA.After working for a few years as a reporter, he was hired in 1961 as an international civil servant in the UNESCO Information Department.In parallel, Francis had always been drawn to musical creation. His very serious daytime activity didnâ??t prevent him from frequenting jazz clubs in the evenings. In Paris, the Jazz, the trendy music of that time, but also rumba and salsa attracted him. He collected records and attended numerous concerts. With his accomplice Manu Dibango, Francis took the stage and played music.Francis liked classical music since his childhood. He grew up listening to the cantatas and oratorios of Bach or Handel that his father had sung in the temple. He became passionate about the guitar, impressed by the Spanish and South American masters, and decided to learn to strum the instrument himself.He started composing guitar pieces, blending the various influences that flow through him with the traditional African music he had carried within since childhood. His approach captivated the director of the American Cultural Center (then located in the Saint-Germain neighborhood of Paris), who offered him the opportunity to perform in front of an audience. Francis gave his first guitar recital there (1963) in front of a mesmerized audience. His first solo album was released shortly thereafter.Gradually, Francis became recognized as a musician and composer. Several albums of the African guitar ambassador, as described by the press, were released. He also wrote books, to the point that his artistic career became challenging to reconcile with his career as a civil servant. In 1974, even though he had become the General Manager in charge of music at UNESCO, he took the bold leap and resigned from this prestigious institution to dedicated himself to the three activities that interested him: music, literature, and journalism. He explored the traditional musical heritage of the African continent, notably through the thumb piano sanza, and the polyphonic music of the Central African pygmies, or singing in his native language and composing humoristic songs in French!Success followed. Francis Bebey traveled the world: from France to Brazil, Cameroon to Sweden, Germany to the Carribean, or Morocco to Japan... the list of countries where he was invited to perform, gives lectures, or meets readers is very long. In addition to public recognition, he enjoyed the recognition of his fellow musicians, such as guitarist John Williams or Venezuelan Antonio Lauro, who invited him to be a part of the jury for a classical guitar competition in Caracas.His life was the journey of an African pioneer, a man rooted in his cultural heritage and carrying a message of sharing and hope for the world. His originality continues to vibrate around the world since his passing at the end of May 2001.
SKU: DZ.DZ-4244
ISBN 9782898521614.
La Sonate n° 6 Kharkiv pour guitare solo a été composée en 2021, à la fin du confinement lié au COVID-19. Ã? ce moment-là , ma famille et moi étions restés dans notre ville natale de Kharkiv (également connue sous le nom de Kharkov), en Ukraine, pendant près de deux ans. Nous considérions cette période de pandémie comme un désastre, mais nous avons réalisé plus tard que c'était en fait un moment plutôt heureux, car la guerre est arrivée dans notre pays quelques mois plus tard. Depuis 2022, une fraction considérable des 1,5 million de citoyens de Kharkiv ont quitté leur foyer, ceux qui sont restés vivent sous des attaques incessantes de missiles, et beaucoup ont été tués. Je voudrais dédier cette Sonate à la ville frontalière de Kharkiv et, surtout, à ses citoyens souffrant de la guerre.Pourtant, la musique de la Sonate n'a aucun programme spécifique. Ici, je donnerai un bref aperçu de ses principaux éléments de composition pour faciliter les interprétations futures.Les premier et quatrième mouvements de cette Sonate sont basés sur l'interaction entre le principe dodécaphonique et le centre tonal de sol majeur, naturel pour la guitare. En particulier, le premier mouvement est basé sur l'interaction de la triade de sol majeur Solâ??Siâ??Ré des cordes de guitare à vide 2â??3â??4, le motif ascendant 1 impliquant les notes Miâ??Fa#â??Laâ??Do# (à l'origine sur la première corde), et le motif descendant 2 utilisant les notes Miâ??Doâ??Sibâ??La (à l'origine sur la corde de basse 6). Ces éléments se complètent presque pour former douze tons (à l'exception du Fa manquant), et les motifs alternent avec des fragments ostinato où chaque note de la triade de sol majeur est déplacée pas à pas d'un demi-ton vers le haut ou vers le bas.Le deuxième mouvement est un Scherzo impliquant de nombreux demi-tons dans des accords accentués et des passages rapides, ainsi qu'un mouvement mélodique chromatique dans la voix de basse. Il est presque atonal dans certains fragments, mais a un centre tonal global de la mineur.Le troisième mouvement est un Adagio méditatif basé sur un thème composé dans l'échelle hexatonique Réâ??Miâ??Faâ??Sol#â??Laâ??Si et des accords ostinato impliquant les cordes de basse à vide Miâ??Laâ??Ré et le demi-ton Siâ??Do.Enfin, le quatrième mouvement est basé sur le thème dodécaphonique complet composé de deux phrases comprenant les motifs 1 et 2 du premier mouvement : Solâ??Faâ??Sibâ??Labâ??Doâ??Mibâ??Ré et Miâ??Siâ??Do#â??Laâ??Fa#. Ce thème est présenté dans ses formes prime et rétrograde. Il y a des dialogues entre la première corde, les basses et les cordes médianes à vide, similaires au premier mouvement. Ã? son apogée, le thème dodécaphonique est interprété en utilisant le mouvement parallèle de l'accord de sol majeur standard de la guitare avec les cordes médianes à vide sur douze positions.La Sonate a été créée en première et enregistrée (CD Naxos No. 8.574630) par le célèbre guitariste ukrainien Marko Topchii, qui a également vécu et étudié à Kharkiv. Je lui suis extrêmement reconnaissant pour l'interprétation brillante de cette pièce.Je suis très redevable envers Productions d'Oz d'avoir conservé mes notations originales là où celles-ci ne correspondent pas au style de l'éditeur.Sonata No. 6 Kharkiv for guitar solo was composed in 2021, in the end of the COVID-19 lockdown. At that time my family and I were staying in our home city of Kharkiv (also known as Kharkov), Ukraine for almost two years. We considered that pandemic period as a disaster, but later have realized that it actually was a rather happy time, because a war came to our homeland just a few months later. Since 2022 a considerable fraction of the 1.5 millions of Kharkiv citizens have left their homes, those who stayed have been living under ceaseless missile attacks, and many have been killed. I would like to dedicate this Sonata to the frontier city of Kharkiv and, most of all, to its citizens suffering from the war.Yet, the music of the Sonata does not have any specific program. Here I will give a brief overview of its main composition elements to facilitate future interpretations.The first and fourth movements of this Sonata are based on the interplay between the twelve-tone principle and the G-major tonal center, natural for the guitar. Namely, the first movement is based on the interaction of the G-major triad Gâ??Bâ??D of the open guitar strings 2â??3â??4, ascending motif 1 involving the notes Eâ??F#â??Aâ??C# (originally on the first string), and descending motif 2 using the notes E-â??Câ??Bbâ??A- (originally, on the bass string 6). These elements supplement each other to almost make up twelve tones (apart from the missing F), and the motifs alternate with ostinato fragments where each note in the G major triad is step-by-step moved by a semitone up or down.The second movement is a Scherzo involving numerous semitones in accented chords and fast passages, as well as chromatic melodic motion in the bass voice. It is almost atonal in some fragments, but has an overall tonal center of A-minor.The third movement is a meditative Adagio based on a theme composed within hexatonic scale Dâ??Eâ??Fâ??G#â??Aâ??B and ostinato chords involving open bass strings Eâ??Aâ??D and semitone Bâ??C.Finally, the fourth movement is based on the complete twelve-tone theme consisting of two phrases including motifs 1 and 2 from the first movement: Gâ??Fâ??Bbâ??Abâ??Câ??Ebâ??D and Eâ??Bâ??C#â??Aâ??F#. This theme is presented in its prime and retrograde forms. There are dialogues between the first string, basses and open middle strings, similar to the first movement. In the culmination, the twelve-tone theme is performed using the parallel motion of the standard guitar G-major chord with open middle strings across twelve positions.The Sonata was premiered and recorded (CD Naxos No. 8.574630) by the prominent Ukrainian guitarist Marko Topchii who has also lived and studied in Kharkiv. I am extremely grateful to him for the brilliant performance of this piece.I am greatly indebted to Productions dâ??Oz for keeping my original notations in places where these do not conform to the publisherâ??s style.
SKU: BT.DHP-1094655-010
9x12 inches. English-German-French-Dutch.
In his comic opera Banditenstreiche, Suppé uses all the qualities that have made him so well-loved by a wide audience. The appealing music is brimming with unexpected ideas and written in a light and fluent style. There’s much to enjoy with elegant arias and ensembles, pure Viennese waltzes and attractive ballet music. The arrangement of the overture contains many highlights from this opera and makes a superb light item for any concert. Franz von Suppé (1819-1895) behoort tot de belangrijkste vertegenwoordigers van de klassieke Weense operette. In de komische opera Banditenstreiche haalt Suppé alle kwaliteiten uit de kast die hem zo geliefd maakten bij hetgrote publiek: de aanstekelijke muziek is doorspekt met onverwachte invallen en in een lichte en vloeiende stijl geschreven. Er valt veel te genieten met elegante aria’s en ensembles, onvervalste Weense walsen en aantrekkelijke balletmuziek.De ouverture bevat enkele hoogtepunten uit deze opera, die vaak ten onrechte een operette wordt genoemd.Franz von Suppé prägte nachhaltig die klassische Wiener Operette. In seiner komischen Oper Banditenstreiche zog Suppé alle kompositorischen Register, die ihn bei einem so breiten Publikum beliebt gemacht haben: reizvolle Melodien, überraschende Ideen, ein leichter, flüssiger Stil und elegante Arien sind nur einige der charakteristischen Merkmale. Die Transkription der Ouvertüre für Blasorchester enthält einige Höhepunkte der Oper. Né d’un père belge et d’une mère autrichienne, Franz von Suppé (1819-1895) révèle un évident talent de musicien dès son plus jeune ge. Plus tard, il parfait ses connaissances musicales Vienne, où il résidera jusqu’ sa mort. Suppé a consacré sa vie la composition et bien qu'il ait écrit plus de deux cents œuvres, dont de nombreuses opérettes telles que La belle Galatée, Fatinitza et Boccaccio, il reste connu principalement pour ses ouvertures dont certaines bénéficient toujours d'une grande notoriété comme Cavalerie légère, La Dame de pique, Matin, midi et soir Vienne ou encore Poète et paysan. Franz von Suppé fut avec Johann Strauss etKarl Millöcker un des plus éminents représentants de l’ ge d’or de l’opérette classique viennoise.Dans sa version originale, l’opéra-comique Banditenstreiche (1867, Les joyeux bandits) était une œuvre courte en un acte, mais la version de Suppé fut modifiée deux reprises, en 1940 et 1955. D’une composition sans grande prétention, elle devint alors une œuvre d’envergure. En puisant dans le répertoire existant de Suppé, les « arrangeurs » réunirent six pièces originales pour en faire une partition solide et complète. Le résultat final est parfaitement équilibré.Banditenstreiche rassemble tous les traits caractéristiques de Suppé qui ont conquis un large public : une musique originale foisonnant d’idées inattendues ; un style fluide et léger. On y trouve des airs et des passages d’ensemble élégants, quelques authentiques valses viennoises et de belles pages de musique de scène. L’ouverture constitue une synthèse des meilleurs moments de l’opéra, très souvent qualifié tort, d’opérette.
SKU: BT.DHP-1094655-140
Franz von Suppé (1819-1895) behoort tot de belangrijkste vertegenwoordigers van de klassieke Weense operette. In de komische opera Banditenstreiche haalt Suppé alle kwaliteiten uit de kast die hem zo geliefd maakten bij hetgrote publiek: de aanstekelijke muziek is doorspekt met onverwachte invallen en in een lichte en vloeiende stijl geschreven. Er valt veel te genieten met elegante aria’s en ensembles, onvervalste Weense walsen en aantrekkelijke balletmuziek.De ouverture bevat enkele hoogtepunten uit deze opera, die vaak ten onrechte een operette wordt genoemd.Franz von Suppé prägte nachhaltig die klassische Wiener Operette. In seiner komischen Oper Banditenstreiche zog Suppé alle kompositorischen Register, die ihn bei einem so breiten Publikum beliebt gemacht haben: reizvolle Melodien, überraschende Ideen, ein leichter, flüssiger Stil und elegante Arien sind nur einige der charakteristischen Merkmale. Die Transkription der Ouvertüre für Blasorchester enthält einige Höhepunkte der Oper. Né d’un père belge et d’une mère autrichienne, Franz von Suppé (1819-1895) révèle un évident talent de musicien dès son plus jeune ge. Plus tard, il parfait ses connaissances musicales Vienne, où il résidera jusqu’ sa mort. Suppé a consacré sa vie la composition et bien qu'il ait écrit plus de deux cents œuvres, dont de nombreuses opérettes telles que La belle Galatée, Fatinitza et Boccaccio, il reste connu principalement pour ses ouvertures dont certaines bénéficient toujours d'une grande notoriété comme Cavalerie légère, La Dame de pique, Matin, midi et soir Vienne ou encore Poète et paysan. Franz von Suppé fut avec Johann Strauss etKarl Millöcker un des plus éminents représentants de l’ ge d’or de l’opérette classique viennoise.Dans sa version originale, l’opéra-comique Banditenstreiche (1867, Les joyeux bandits) était une œuvre courte en un acte, mais la version de Suppé fut modifiée deux reprises, en 1940 et 1955. D’une composition sans grande prétention, elle devint alors une œuvre d’envergure. En puisant dans le répertoire existant de Suppé, les « arrangeurs » réunirent six pièces originales pour en faire une partition solide et complète. Le résultat final est parfaitement équilibré.Banditenstreiche rassemble tous les traits caractéristiques de Suppé qui ont conquis un large public : une musique originale foisonnant d’idées inattendues ; un style fluide et léger. On y trouve des airs et des passages d’ensemble élégants, quelques authentiques valses viennoises et de belles pages de musique de scène. L’ouverture constitue une synthèse des meilleurs moments de l’opéra, très souvent qualifié tort, d’opérette.
SKU: BT.AMP-494-140
English-German-French-Dutch.
March of the Robot Army was commissioned by Linda Anzolin & Giordano-Bruno Tedeschi for Campobanda 2019, with funds made available by JUST ITALIA. Campobanda is an Italian summer music camp for 8- to 18-year-olds (held inCamposilvano in 2019) which has a different theme every year. The theme for 2019 was ‘science fiction’, so composer Philip Sparke chose to write a robot march. After a quirky introduction featuring trumpet calls and chromaticfigures, the main theme appears in a minor mode on clarinet and tenor sax and is then taken up by the full band. A change of key heralds a new theme, led by the trumpet and again repeated by the full ensemble. A further change ofkey introduces a legato ‘trio’ melody over a rather robotic accompaniment: instruments are added bit by bit until a climax is reached. Small motifs from the introduction then lead back to a full recapitulation, revisiting thefirst two themes in new guises before finishing the march with a flourish.March of the Robot Army werd geschreven in opdracht van Linda Anzolin & Giordano-Bruno Tedeschi voor Campobanda 2019: de financiering werd mogelijk gemaakt door JUST ITALIA. Campobanda is een Italiaans zomermuziekkamp vooracht- tot achttienjarigen (dat in 2019 werd gehouden in Camposilvano) met elk jaar een ander thema. Het thema voor 2019 was sciencefiction, dus besloot componist Philip Sparke een robotmars te schrijven. Na een grilligeinleiding met trompetsignalen en chromatische motieven verschijnt het hoofdthema in mineur op klarinet en tenorsax, waarna het door het hele orkest wordt overgenomen. Een verandering van toonsoort kondigt een nieuw thema aan, weeringeleid door de trompet en herhaald door het volledige ensemble. Een verdere toonsoortverandering introduceert een legato ‘triomelodie’ boven een nogal robotachtige begeleiding: er worden stapsgewijs instrumenten toegevoegd totde muziek uitmondt in een hoogtepunt. Korte figuren uit de inleiding nemen ons dan mee naar een volledige herneming, met een terugkeer naar de eerste twee thema’s in een nieuwe gedaante, waarna de mars in stijl wordt afgesloten.Der March of the Robot Army wurde von Linda Anzolin und Giordano-Bruno Tedeschi für Campobanda 2019“ in Auftrag gegeben und finanziell von JUST ITALIA unterstützt. Das italienische Sommermusikcamp Campobanda für 8- bis18-Jährige fand 2019 in Camposilvano statt und hat jedes Jahr ein anderes Motto. 2019 lautete das Thema Science Fiction“, daher entschied sich der Komponist Philip Sparke dazu, einen Robotermarsch zu schreiben. Nach einerskurrilen Einleitung mit Trompetenrufen und chromatischen Figuren erklingt in Klarinetten und Tenorsaxophonen das Hauptthema in Moll, das dann vom gesamten Orchester aufgegriffen werd. Ein Tonartwechsel kündigt ein neues Thema an,das von der Trompete vorgestellt und anschließend vom gesamten Ensemble wiederholt wird. Ein weiterer Tonartwechsel führt zu einem melodischen, legato gespielten Trio-Abschnitt über einer roboterhaften Begleitung. Nach und nachkommen weitere Instrumente hinzu, bis der Höhepunkt erreicht ist. Kleine Motive aus der Einleitung führen dann zu einer Reprise, wobei die ersten beiden Themen in neuer Gestalt wieder aufgegriffen werden, bevor der Marsch zum Endehin noch einmal musikalisch aufblüht.March of the Robot Army est une commande de Linda Anzolin et Giordano-Bruno Tedeschi pour Campobanda 2019, gr ce des fonds mis disposition par JUST ITALIA. Destinée aux jeunes de 8 18 ans, Campobanda est une école demusique d’été dont le thème change chaque année. Celui de l’édition 2019 étant « sciencefiction », Philip Sparke décida d’écrire une marche pour robots. Après une introduction insolite rassemblant appels de trompette et figureschromatiques, le premier thème apparaît dans un mode mineur la clarinette et au saxophone ténor avant d’être repris par l’orchestre entier. Un changement de tonalité annonce un nouveau thème, mené par la trompette et repris,encore une fois, par l’orchestre entier. Un autre changement de tonalité introduit une mélodie legato « en trio » sur un accompagnement quelque peu robotique : divers instruments s’y ajoutent progressivement pour aboutir unclimax. Des petits motifs tirés de l’introduction mènent une récapitulation complète qui reprend les deux premiers thèmes sous des formes différentes, avant de conclure la marche avec un bouquet final.
SKU: BT.AMP-494-010
SKU: BU.EBR-526
ISBN 9790560154060. 8.58 x 12.48 inches.
La collection CrocK'MusiC est constituée de transcriptions de chansons françaises pour le Piano, accompagnées de leurs paroles.Ces partitions, proposées à l'unité, sont réalisées par une équipe pédagogique regroupant plusieurs professeurs de piano.Elles sont graduées en niveaux de difficulté (de 1 à 9) et permettent à tous les pianistes, débutants ou confirmés, d'intégrer dans l'étude de leur instrument un répertoire qui traditionnellement n'y figurait pas.Cet ouvrage est le fruit de dix ans d’enseignement pianistique.J’ai souvent vu arrivé comme d’autres professeurs de jeunes élèves démotivés, ayant perdu tout intérêt à la pratique de la Musique après seulement une ou deux années d’apprentissage.A l’écoute de leurs désirs, j’ai commencé à écrire des transcriptions d’œuvres proches d’eux, que ce soit par l’actualité musicale, scolaire ou tout simplement par leur propre sensibilité à tel ou tel artiste.Chaque arrangement devait prendre en compte leur capacité technique afin de donner à ces pianistes une sensation de facilité. Leurs lacunes en lecture s’effaçaient en sollicitant le travail de l’oreille sur ces chansons connues de tous.Quelques mois suffisaient à ces pianistes pour retrouver un sens à leurs efforts, et s’intéresser à nouveau à des répertoires aussi traditionnels qu’indispensables.Ainsi est née la collection CrocK’MusiC qui permet aujourd’hui à tous l’étude de ces transcriptions.Patrice Bourgès.
SKU: BU.EBR-527
ISBN 9790560154077. 8.58 x 12.48 inches.
SKU: BU.EBR-A040
ISBN 9790560151113. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement.Golliwogg's Cake-Walk est la dernière et sixième pièce d'un recueil de suites pour piano intitulé Children's Corner (« le coin des enfants »). Debussy commence à composer en 1906 ce petit recueil plein de féérie, une dédicace à sa fille Claude-Emma, plus connue sous le surnom de Chouchou, en 1908. C'est cette même année que le recueil est publié chez les éditions Durand, avec une couverture originale et plaisante faite par le compositeur lui-même. La première écoute officielle est créée au Cercle Musical à Paris le 18 décembre 1908 par Harold Bauer. Quelques années plus tard, Children's Corner est retranscrit pour orchestre par le compositeur André Caplet. Son audition est conduite par Debussy lui-même le 25 mars 1911. Bien que ces six petites suites soient dédicacées à sa fille avec les mots suivants : « A ma très chère petite Chouchou, avec les tendres excuses de son père pour ce qui va suivre », elles ne s'adressent pas à des mains d'enfants. Car elles possèdent, pour certaines, des difficulté techniques inaccessibles pour de très jeunes éxécutants.Les six pièces ont toutes un titre anglais, peut être faut-il y voir une aimable moquerie à l'anglomanie dominante de cette époque :1) Doctor Gradus ad Parnassum2)Jimbo's Lullaby (Berceuse des éléphants)3)Serenade for the doll (Sérénade à la poupée)4)The snow is dancing (La neige danse)5)The litthe shepherd (Le petit berger)6)Golliwogg's cake-walk Golliwogg's Cake-walk (allegro giusto, mi bémol à 2/4) est la pièce la plus célèbre du recueil, surnommée par le pianiste Alfred Cortot « Ataxique et dégingandée ». Elle représente l'apothéose finale de ce recueil. Il faut noter que le terme Cake-Wake correspond à une danse noire américaine et le mot Golliwogg représente une poupée de nègre en étoffe.Debussy emprunte pour la première fois la musique jazz pour exprimer la danse des gestes articulés et saccadés de cette poupée nègre. Au milieu du Cake-Walk, il cite à demi-ironique les premières mesures de Tristan de Wagner en indiquant une annotation piquante : « avec une grande émotion »! puis reprend une deuxième citation dans l'accord final.Grà ce à cette pièce pleines d'effets musicaux et de contre temps rythmiques, le pianiste interprète développera un touché nuancé, de la sensibilité et de l'imagination dans l'éxécution pour faire vivre une oeuvre sautillante très originale.