Format : Sheet musicLangue : Français
Voici une partition musicale que vous pouvez acquérir pour moins de 10C. Classée dans la catégorie Classique, cette partition dont le titre est 27 JANVIER a été composée par le célèbre compositeur Bourdin Roger. C'est l'éditeur Billaudot sous la référence EFM1310 qui a les droits pour éditer cette partition. / Musique Légère / Partition
SKU: LM.26486
ISBN 9790230964869.
Janvier - Fevrier - Mars - Avril - Mai - Juin - Juillet - Aout - Septembre - Octobre - Novembre - Decembre.
SKU: BT.CMP-0792-04-040
Melodic contour and lightness of touch infuse Mozart's music with a divine character unmatched by any other composer. According to Dvorak Mozart is sunshine. Richard Strauss proclaimed Listen to the remarkable expansion of a Mozart melody. You think it's coming to an end, but it goes farther, ever farther. Alleluja from Exultate, Jubilate is perhaps the best-loved of all Mozart's motet melodies. Give your band the opportunity to experience Mozart's divine gift of melody with James Curnow's sensitive and accessible arrangement today! Charming!Zijn schitterende motet Exultate, Jubilate componeerde Mozart te Milaan in Italië, in het jaar 1773. Het was georkestreerd voor sopraan en gemengd koor, twee hobo’s, twee hoorns, strijkers en orgel. Het Alleluia hieruitis een zeer levendige en vreugdevolle lofzang. In deze bewerking voor harmonieorkest spelen de trompetten en trombones de koorpartijen, terwijl het hout en de overige koperinstrumenten de originele orkest- en orgelpartijen voorhun rekening nemen. Het werk wordt geleverd met optionele slagwerkpartijen.Dieses Alleluja stammt aus der Motette Exultate, Jubilate von Wolfgang Amadeus Mozart. Die Instrumentation der Motette aus dem Jahr 1773 sah ursprünglich einen Sopran-Solisten, Chor, zwei Oboen, zwei Hörner, Streicher und Orgel vor. Dank der vorliegenden Bearbeitung des amerikanischen Komponisten James Curnow wird der Energie sprühende, freudige Jubelruf auch in der Interpretation Ihres Blasorchesters absolut überzeugen. Le motet a revêtu différentes formes au cours de son évolution et a joué un rôle important dans le développement de la musique polyphonique vocale entre les XIIIe et XVIIIe siècles. En janvier 1773, Mozart séjourne Milan en compagnie de son père et y écrit une œuvre originale pour le castrat Venanzio Rauzzini : le motet Exultate, Jubilate KV 165. Cette œuvre sacrée en trois parties rappelle une véritable sinfonia italienne : la pièce suit l’ordonnancement logique Allegro - Andante - Allegro final qui se termine par l’Alleluia, somptueux témoignage de virtuosité vocale.
SKU: BT.SLB-00595900
INSSTR inches. French.
A previously unreleased piece by Francis Poulenc, published with permission from the Bibliothèque Historique de la Ville de Paris and Benoît Seringe, secretary of the Association des amis de Francis Poulenc [Association of the Friends ofFrancis Poulenc]. Le Voyageur sans bagage [The Traveller Without Luggage], which had been premiered in 1937 with music by Darius Milhaud, was reprised on 1 April 1944 at the Thé tre de la Michodière; Francis Poulenc was asked to compose new stage music. Theentire unpublished score lay undiscovered until Bérengère de l’Épine, a librarian at the Bibliothèque Historique de la Ville de Paris, announced the existence of a manuscript in the Association de la Régie Thé trale collection.Poulenc finalised the score between 19 and 21 March 1944. It contains nine songs, all written for a small instrumental ensemble including oboe, clarinet, cello and piano. However, at the end of the manuscript, the composer echoes the second song Lent [Slow] and creates another version for cello and piano; curiously, the original version of the song has not been erased in the manuscript. Poulenc seems to suggest that we consider the piece for cello and piano, that we have publishedhere, as a different piece of music. It was premiered on Wednesday 23 January 2013 by Marc Coppey, accompanied by Jean-François Heisser, in the organ auditorium of the Conservatoire National Supérieur de Musique et Danse de Paris (CNSMDP), during thesymposium for the fiftieth anniversary of Poulenc’s death.Given in a dramatic context, some elements allow us to get an idea of the character of the piece, which Benoît Seringe, Poulenc’s beneficiary, judiciously chose to name Souvenirs.The main character of Anouilh’s play, Gaston, is suffering from amnesia at the end of World War One. Several families try to claim him; they want him to be their missing relative. The Renaud family prove to be particularly stubborn, but Gaston doesnot recognize himself in the child and young man they depict: a ruthless and violent person. In Act 1 Scene 3, left alone for a moment, overwhelmed by the story of the “old Gaston†that is gradually coming to light, and outraged by the desire ofthose around him to appropriate him (to the detriment of the person he would like to be from now on), he whispers these words: “You all have proof, photographs that look like me, memories as clear as day… I’ve listened to you all and it’s slowlycausing a hybrid person to rise up in me; a person in which there is a piece of each of your sons and nothing of me.†Poulenc chose to place the second piece from his stage music score as these words are spoken.He borrowed part of the material, as he often did, from an earlier composition. In this particular case, the beginning is a recycled version of the “slow and melancholic†section from L’Histoire de Babar , composed between 1940 and 1945, andpremiered in 1946 (unless it is Babar that reuses the musical idea from Voyageur ).The eponymous elephant decides to leave in search of the great forest. He embraces the old lady, promises her he will return and reassures her that he will never forget her. Left alone, the old lady, feeling sad and pensive, wonders when she’ll seeher friend Babar again. The situation is similar to that in Voyageur sans bagage: solitude, sadness, a distressing and introspective time, fear of oblivion, the presence of memories…Pièce inédite de Francis Poulenc, publiée avec l’autorisation de la Bibliothèque historique de la ville de Paris et de Benoît Seringe, secrétaire de l’Association des Amis de Francis Poulenc.Le 1er avril 1944, Le Voyageur sans bagage d’Anouilh, qui avait été créé en 1937 avec de la musique de Darius Milhaud, est repris au Thé tre de la Michodière. Francis Poulenc a été sollicité afin d’écrire une nouvelle musique de scène. On ignoraittout de cette partition inédite, jusqu’au jour où Bérengère de l’Épine, conservateur la Bibliothèque historique de la ville de Paris, nous signala l’existence d’un manuscrit dans le fonds de l’Association de la Régie thé trale.Poulenc mit au point sa partition entre le 19 et le 21 mars 1944. Elle comprend neuf numéros, tous écrits pour un petit effectif instrumental réunissant un hautbois, une clarinette, un violoncelle et un piano.Cependant, la fin de son manuscrit, le compositeur reprend le no 2 Lent et en donne une seconde version, pour violoncelle et piano. Curieusement, la version originale de ce numéro n’est pas biffée dans le manuscrit.Poulenc semble nous inviter considérer comme un morceau distinct cette pièce pour violoncelle et piano dont nous proposons ici l’édition. Elle a été créée par Marc Coppey, accompagné de Jean-François Heisser, lors du concert donné durant lecolloque organisé pour le cinquantenaire du décès de Poulenc, le mercredi 23 janvier 2013, salle d’orgue du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP).Quelques éléments sur le contexte dramatique permettront de se faire une idée du caractère du morceau, que Benoît Seringe, ayant droit Poulenc, a judicieusement choisi d’intituler Souvenirs.Le personnage principal de la pièce d’Anouilh, Gaston, a été retrouvé amnésique la fin de la Première Guerre Mondiale. Plusieurs familles le réclament. On veut voir en lui un parent disparu. Les Renaud se montrent particulièrement tenaces ; maisGaston ne parvient se reconnaître dans l’enfant et le jeune homme dont on lui trace le portrait : un être violent et sans scrupule. Au tableau 3 de l’acte I, resté seul un moment, écrasé par l’histoire de cet autre lui-même qu’il découvre peu peu, indigné par le désir des personnes qui l’entourent de le ramener elles au détriment de celui qu’il voudrait être désormais, il se murmure ces paroles : « Vous avez tous des preuves, des photographies ressemblantes, des souvenirs précis commedes crimes… je vous écoute tous et je sens surgir peu peu derrière moi un être hybride où il y a un peu de chacun de vos fils et rien de moi »…C’est sur ces mots que Poulenc a choisi de placer le no 2 de sa partition de musique de scène.Comme il le fait souvent, il emprunte une composition antérieure une part de son matériau. Dans ce cas précis, il réutilise pour le début du morceau la section « Lent et mélancolique » de l’Histoire de Babar, composée entre 1940 et 1945, créée en1946 ( moins que ce ne soit Babar qui réutilise l’idée musicale du Voyageur). Le héros-éléphant s’est décidé partir pour retrouver la grande forêt. Il a embrassé la vieille dame, lui a promis de revenir, l’a rassurée : jamais il ne l’oubliera.Restée seule, la vieille dame, triste et pensive, se demande quand elle reverra son ami Babar. La situation est similaire celle du Voyageur sans bagage : solitude, tristesse, instantde trouble et de retour sur soi, crainte de l’oubli, présence des souvenirs….
SKU: BT.AMP-339-140
9x12 inches. English-German-French-Dutch.
Moving Heaven and Earth was commissioned by the Clark County School District Commissioning Project, Las Vegas, NV, USA and is dedicated to Bunny Wasserman and her Make Music Matter, Las Vegas foundation, in appreciation of her tireless work in support of music education. It was premiered in January 2012, conducted by Col. John R. Bourgeois.The piece consists of a theme and 4 variations; although the theme is original it contains a phrase heavily influenced by a 14-bar passage from the Libera Me in Fauré’s Requiem. It is a sequence that the composer finds harmonically compelling and, although it is never quoted directly, it appears in altered form in thetheme and each of the variations. In the original, the passage is set to the words: Quando cæli movendi sunt et terra (When the heavens and the earth shall be moved) which gave inspiration for the title.After the initial statement of the theme, Variation 1 features the upper woodwinds who play a stirring melody and accompany the Fauré reference with florid arpeggios. Variation 2 spotlights the saxophones and lower woodwind in a rhythmic, modal waltz, whilst Variation 3 is a broad chorale for the brass and percussion. Variation 4 starts with a fugue, which introduces each section of the band in turn before the original theme appears on the brass while the woodwind continue the fugal figuration. Moving Heaven and Earth is geschreven in opdracht van het Clark County School District Commissioning Project, Las Vegas, NV, USA. Het is opgedragen aan Bunny Wasserman en haar stichting Make Music Matter… Las Vegas, als blijk van waardering voor haar onvermoeibare inzet voor het muziekonderwijs. De première, uitgevoerd onder leiding van kolonel John R. Bourgeois, vond plaats in januari 2012.Het werk bestaat uit een thema en vier variaties; hoewel het een oorspronkelijk geschreven thema is, bevat het een frase die sterk is be nvloed door een passage van veertien maten uit het Libera Me van Faurés Requiem. Het gaat om een sequens die de componist harmonischzeer boeiend vindt, en die - hoewel nooit direct geciteerd - in aangepaste vorm in zowel het thema als de vier variaties naar voren komt. In het origineel is de muziek uit deze passage geschreven op de tekst Quando cæli movendi sunt et terra (Wanneer hemel en aarde bewogen worden). Daarop is de titel van deze compositie gebaseerd.Na de aanvankelijke invoering van het thema komt in Variatie 1 het hoge hout aan bod met een treffende melodie; en de verwijzing naar Fauré wordt begeleid door sierlijke arpeggio’s. Variatie 2 plaatst de saxofoons en het lage hout in de schijnwerpers met een ritmische, modale wals, terwijl Variatie 3 een weidse koraal voor het koper en slagwerk omvat.Variatie 4 begint met een fuga die elke sectie van het orkest introduceert, waarna het oorspronkelijke thema in het koper verschijnt terwijl het hout verdergaat met de fugatische versieringen. Moving Heaven and Earth wurde vom Schulbezirksverband in Las Vegas, Nevada (USA) in Auftrag gegeben. Das Stück ist Bunny Wasserman und ihrer Stiftung Make Music Matter, Las Vegas gewidmet, in Anerkennung ihrer unermüdlichen Anstrengungen zugunsten der musikalischen Ausbildung. Die Uraufführung fand im Januar 2012 unter Leitung von Colonel John R. Bourgeois statt.Das Stück besteht aus einem Thema und vier Variationen. Obwohl es sich um ein originales Thema handelt, ist doch ein Abschnitt daraus stark von einer 14-taktigen Passage aus dem Libera Me in Faurés Requiem beeinflusst. Es ist eine Sequenz, die dem Komponisten harmonisch besonders reizvoll erschien, wennsie auch nirgends direkt zitiert wird, sondern in veränderter Form im Thema und in jeder Variation erscheint. Im Original ist diese Passage mit folgendem Text unterlegt: Quando cæli movendi sunt et terra (Wenn Himmel und Erde sich bewegen sollen). Diese Worte waren Inspiration für den Titel.Nach der einleitenden Vorstellung des Themas stellt Variation 1 die hohen Holzbläser in den Vordergrund, die eine bewegende Melodie spielen und die Anspielung auf Fauré mit schönen, lebhaften Arpeggien begleiten. Variation 2 richtet das Rampenlicht auf die Saxophone und die tiefen Holzbläser in einem rhythmischen, modalen Walzer, während Variation 3 ein breiter Choral für die Blechbläser und das Schlagzeug ist. Variation 4 beginnt mit einer Fuge, die nacheinander jedes Register des Blasorchesters präsentiert, bevor die Blechbläser das Originalthema spielen und die Holzbläser dazu mit der Umspielung der Fuge fortfahren. Moving Heaven and Earth (Ébranler le ciel et la terre) est une oeuvre de commande du Clark County School District Commissioning Project de Las Vegas, États-Unis. Cette pièce est dédiée Bunny Wasserman et sa fondation Make Music Matter, Las Vegas, en reconnaissance de son travail sans rel che en faveur de l’éducation musicale. Elle a été créée en janvier 2012, sous la direction du colonel John R. Bourgeois.Cette oeuvre se compose d’un thème et de quatre variations ; bien que le thème soit original, il contient néanmoins un motif relativement influencé par un passage de 14 mesures du Libera Me du Requiem de Fauré. Cette séquence, dont l’harmonisation fascinePhilip Sparke, paraît sous une forme altérée dans le thème et chacune des variations. Dans l’oeuvre de Fauré, le thème mélodique colore les paroles : Quando cæli movendi sunt et terra (Quand le ciel et la terre seront ébranlés), qui ont d’ailleurs inspiré le titre de la présente composition.Après une exposition initiale du thème, la 1re variation fait appel au registre aigu des bois, qui énoncent une exaltante mélodie et enluminent l’allusion Fauré par des arpèges fleuris. La 2e variation met en valeur les saxophones et le registre grave des bois dans une valse modale rythmée, tandis que la 3e variation prend la forme d’un ample choral pour les cuivres et la percussion.La 4e variation installe une fugue qui présente, tour tour, chaque pupitre de l’orchestre avant le retour du thème d’origine interprété par les cuivres, tandis que les bois maintiennent brillement le motif de fugue.
SKU: DZ.DZ-4283
ISBN 9782898522000.
The writing of this piece arose from seeing Goya's painting Un pavo muerto an unadorned oil painting where a turkey and a wicker basket rest on an indistinct black background.Fantasizing about making a harpsichord fantasy (I wrote a double stave version of the piece), how to evoke and decline the sensations felt at the glance, musically? Through, I thought, the use of a particularly dark and passionate mode, culturally and emotionally akin to the tones and features of the great Spanish painter's painting. Unlike my usual type of writing, often susceptible to unexpected disturbances, I forced myself to use almost exclusively the notes of the modal scale in different combinations, and in the middle section of the piece to employ them by transforming them into brighter modes (to let some light filter through).A composition that also features some rather explicit moments of instrumental virtuosity, ideally thought of as possible offshoots of a hellish fandango.- Alfredo Franco, January 2024«L'écriture de cette pièce est née de la contemplation du tableau de Goya Un pavo muerto, une simple peinture à l'huile où une dinde et un panier en osier reposent sur un fond noir indistinct. En rêvant de composer une fantaisie pour clavecin (j'ai écrit une version à double portée de la pièce), comment évoquer et traduire musicalement les sensations ressenties au premier regard ? J'ai pensé que cela pourrait se faire en utilisant un mode particulièrement sombre et passionné, culturellement et émotionnellement proche des tons et des caractéristiques de la grande peinture espagnole du maître. Contrairement à mon style habituel, souvent sujet à des perturbations inattendues, je me suis imposé d'utiliser presque exclusivement les notes de la gamme modale dans différentes combinaisons, et dans la section centrale de la pièce, de les transformer en modes plus lumineux (pour laisser filtrer un peu de lumière).Une composition qui comporte également quelques moments assez explicites de virtuosité instrumentale, idéalement pensés comme des dérivations possibles d'un fandango infernal.»- Alfredo Franco, janvier 2024.
SKU: LM.C05451
ISBN 9790230354516.
SKU: BT.DHP-1074175-120
In the nineties, the Cuban-American singer Gloria Estefan recorded a sparkling version of Vicki Sue Robinson’s disco classic Turn the Beat Around. She gave the song a catchy Latin beat, and with this new impulse, it was a worldwide hit. With the sentence from the song text “Love to hear percussion†in mind, Peter Kleine Schaars incorporated a compelling percussion solo in his arrangement. The result is a dynamic piece of music full of pace and passion.In de jaren negentig nam de Cubaans-Amerikaanse zangeres Gloria Estefan een sprankelende versie op van Vicki Sue Robinson’s discoklassieker Turn the Beat Around. Ze gaf het nummer een aanstekelijke latin-beat en met deze nieuweimpuls bleek het opnieuw goed voor een wereldwijde hit. Met in zijn achterhoofd de zin uit de songtekst ‘Love to hear percussion’ verwerkte Peter Kleine Schaars een meeslepende slagwerksolo in zijn arrangement: het resultaatis een dynamisch stukje muziek vol vaart en passie.In den neunziger Jahren hatte die kubanisch-amerikanische Sängerin Gloria Estefan mit ihrer spritzigen Version des Disco- Klassikers Turn the Beat Around im eingängigen Latin-Beat großen Erfolg. Mit der Textzeile Love to hear percussion“ (Ich liebe Schlagzeugklänge“) im Hinterkopf baute Peter Kleine Schaars ein unwiderstehliches Schlagzeugsolo in sein Arrangement ein und schuf so ein dynamisches, temporeiches und leidenschaftliches Stück Musik, das jedes Publikum mitreißt.Dans les années 1990, la chanteuse américano-cubaine Gloria Estefan réalise un pétillant enregistrement du standard de la musique disco Turn the Beat Around de Vicki Sue Robinson. Évoluant sur un rythme typiquement latinoaméricain, la chanson « revue et corrigée » par Gloria Estefan connaît un nouveau succès planétaire. Peter Kleine Schaars a réalisé un excellent arrangement contenant un solo fascinant pour la percussion. La musique est dynamique, rythmée et passionnante.Date de publication prévue : janvier 2007Data prevista di uscita: gennaio 2007.
SKU: DZ.DZ-4081
ISBN 9782897959982.
SKU: BT.AMP-134-120
The Ukrainian Bell Carol is part of a large choral work entitled Shchedryk by the Ukrainian composer Mykola Dmytrovich Leontovych (1877-1921). It was first performed by students of Kiev University in December 1916. The tune is an adaptation of an old ‘shchedrivka’, a song traditionally sung on Ukrainian New Year’s Eve (January 13th) which hopes for good fortune in the year to come. In Shchedryk, Leontovych added his own the lyrics which concern the legend claiming that when Jesus was born, all the bells on earth started ringing in his honour.The tune has since been the inspiration of at least four different Christmas carols, but Philip Sparke has sourced the originalUkrainian melody to create this stirring arrangement. De Ukrainian Bell Carol is onderdeel van het grote koorwerk Shchedryk van de Oekra ense componist Mykola Dmytrovich Leontovych (1877-1921). De melodie is gebaseerd op een ‘shchedrivka’, een lied dat van oudsher werdgezongen op de Oekra ense oudejaarsavond (13 januari). In Shchedryk voegde Leontovych de tekst toe over de legende die vertelt dat bij de geboorte van Jezus alle klokken op aarde begonnen te luiden. Sindsdien is deze melodiede inspiratiebron geweest voor ten minste vier verschillende Christmas carols, waarvan Carol of the Bells de beroemdste is. Voor dit meeslepende arrangement heeft Philip Sparke echter de oorspronkelijke Oekra ense melodiegebruikt.Das Ukrainian Bell Carol ist Teil eines großen Chorwerkes namens Shchedryk vom ukrainischen Komponisten Mykola Dmytrovich Leontovych. Leontovych ergänzte ein traditionelles ukrainisches Neujahrslied um eine alte Legende, die besagt, dass zu Ehren von Jesu Geburt alle Glocken läuteten. Die Melodie diente inzwischen als Grundlage für mindestens vier verschiedene Weihnachtslieder. Philip Sparke griff für seine bewegende Bearbeitung jedoch auf die originale ukrainische Melodie zurück.Ukrainian Bell Carol constitue une des parties de l’œuvre chorale Shchedryk du compositeur ukrainien Mykola Dmytrovich Leontovich (1877-1921). La mélodie s’inspire d’un vieux chant traditionnel ukrainien (shchedrivka) chanté le Jour de l’An (célébré le 13 janvier, conformément au calendrier julien) dans l’espoir que l’année venir se présente sous de bons hospices. l’écriture de Shchedryk, Mykola Leontovich a choisi de changer les paroles. Il opte pour la légende selon laquelle, toutes les cloches des églises se sont mises carillonner joyeusement pour annoncer la naissance de Jésus. La mélodie du chant a inspiré au moins quatre noëlsdifférents. Carol of the Bells en est la version la plus célèbre. Elle a été adaptée en 1936 (texte et mélodie) par Peter J. Wilhousky (1902-1978) d’après la version originale de Mykola Leontovich. Philip Sparke s’est basé sur la mélodie du chant traditionnel ukrainien pour réaliser cet arrangement brillant et pétillant. Ukrainian Bell Carol costituisce una delle parti dell’opera corale Shchedryk del compositore ucraino Mykola Dmytrovich Leontovich (1877-1921). Il testo narra una leggenda secondo la quale le campane delle chiese si sono messe a suonare per annunciare la nascita di Gesù. La melodia di Leontovich ha ispirato almeno quattro canti natalizi diversi. Carol of the Bells di Peter J.Wilhousky è la versione più celebre. Philip Sparke ha scelto di ispirarsi alla melodia originale del canto tradizionale ucraino (shchedrivka) per realizzare questo brillante arrangiamento.
SKU: FD.FD0437
ISBN 9790560244372.
Partition pour piano solo. Claudio Abbado, alors directeur musical de La Scala de Milan, a ete une figure centrale de la vie musicale et culturelle de ma ville natale pendant toute ma periode d'apprentissage au Conservatoire Giuseppe Verdi. J'ai eu le privilege, encore adolescent, de suivre avec grand interet son travail d'interprete du grand repertoire lyrique et symphonique ainsi que son engagement pour defendre la musique de notre temps. Mis a part la place centrale qu'occupe Claudio Abbado parmi les plus grands interpretes des dernieres decennies, on retiendra de lui son intense desir de transmission personnifie par la creation d'orchestres de jeunes auxquelles il a consacre la plus part de son temps depuis que la maladie avait commence a sevir. A l'annonce de son deces le 20 Janvier, il m'a semble indispensable de me souvenir de lui et de lui rendre hommage par cette humble contribution : une Auvre pour piano seul, composee quelques jours apres sa mort et dediee a mon fils Jacopo qui aura quinze ans en cette annee 2014. Tombeau de Claudio Abbado est une piece en forme d'etude qui, compte tenu des difficultes techniques qu'elle comporte, peut etre inscrite dans un cursus d'apprentissage a un niveau avance (debut de troisieme cycle). La piece se deroule selon une ligne dramaturgique tres facilement reperable : apres un depart tres agite, virtuose, sonore et plein de vitalite, le discours musical est interrompu par une partie plus calme et plus douce qui vient ronger de l'interieur les figures rapides jusqu'a gagner tout l'espace et a amener la musique vers un silence de plus en plus present et des sonorites etouffees en sons harmoniques. Gualtiero Dazzi.
SKU: BT.DHP-0991581-140
9x12 inches.
Wakakusa Hill ligt ten oosten van Nara in Japan en dankt zijn naam aan het jonge gras (‘wakakusa’ betekent ‘jong gras’). Aan de voet van de heuvel zijn beroemde tempels en heiligdommen te vinden, waaronder de Todai-tempel en het Kasuga-altaar.De heuvel is jaarlijks het toneel van het ‘Yamayaki’-evenement in de vijftiende nacht van januari. Voor deze gelegenheid maakt men van de heuvel een enorm vuurspektakel, de vlammen van de vele fakkels verlichten dande nachtelijke hemel van Nara.Kurz, kräftig und wirkungsvoll: Mit diesen drei Begriffen ist fast alles über dieses fantastische Fanfare von Itaru Sakai gesagt. Fanfare of Wakakusa Hill handelt von der alten japanischen Tradition, auf dem Hügel Wakakusa in der Nacht des 15. Januars ein Feuer zu entzünden, das den Himmel über der am Fuße des Hügels gelegenen Stadt Nara erhellt. Le mont Wakakusa (littéralement ‘herbe nouvelle’), situé l’est de Nara, tient son nom de cette herbe nouvelle qui le recouvre. son pied se dressent plusieurs temples et sanctuaires célèbres, dont le Temple Todaiji et le sanctuaire de Kasuga. Le quinze janvier de chaque année, le mont Wakakusa est le thé tre d’un incroyable spectacle nocturne. La tradition veut que pour célébrer l’événement du Yamayaki (la Fête du feu de l’herbe), le mont soit embrasé pour laisser les flammes illuminer le ciel nocturne au-dessus de Nara.
SKU: BT.AMP-335-030
Marcho Brioso was commissioned by The Brioso Brass, a British-style brass band from Hokkaido, Japan. They gave the first performance in January 2012.The commission was for a bright and breezy march that the band could use as their theme tune, so Marcho Brioso falls into the composer’s series of Broadway-style marches, which includes Slipstream, The Bandwagon and Jubiloso. After a short introduction a solo cornet plays the main theme, accompanied by a euphonium counter-melody. A secondary phrase from the horns and baritones leads to a tutti version of the main theme which is followed by the traditional ‘bass’ strain. A change of key heralds thetrio section, which features a cantabile melody on euphonium; this is then taken up by the full band after a short bridge passage and further change of key.This takes us back to the home key which sees a quiet staccato version of the main theme lead to a recapitulation and a short coda which brings the march to a close. Marcho Brioso is geschreven in opdracht van The Brioso Brass, een brassband in Britse stijl uit Hokkaido in Japan. De première vond plaats in januari 2012.De componist kreeg het verzoek een vrolijke, luchtige mars te schrijven die de band als herkenningstune zou kunnen gebruiken. Marcho Brioso past daarom uitstekend in Philip Sparke’s serie van marsen in Broadwaystijl - waarin ook Slipstream, The Bandwagon en Jubiloso thuishoren.Marcho Brioso wurde von The Brioso Brass, einer britisch geprägten Brass Band aus Hokkaido in Japan, in Auftrag gegeben. Das Stück wurde von der Band im Januar 2012 uraufgeführt.Gewünscht war ein heiterer, flotter Marsch, welcher sich als Erkennungsmelodie der Brass Band eignen sollte. So fällt Marcho Brioso in die Reihe der Märsche des Komponisten im Broadway-Stil, zu denen auch Slipstream, The Bandwagon und Jubiloso zählen.Nach einer kurzen Einleitung spielt ein Solo-Cornet das Hauptthema, begleitet von einer Gegenmelodie im Euphonium. Die Nebenphrase in den Hörnern und Baritonen führen zu einer Tutti-Version des Hauptthemas, die vomtraditionellen Bass“-Solo abgelöst wird. Ein Tonartwechsel kündigt den Trio-Teil an, der eine cantabile gespielte Melodie auf dem Euphonium enthält; diese wiederum wird nach einer kurzen Ãœberleitung und einem weiteren Tonartwechsel von der gesamten Band aufgegriffen.Der letzte Wechsel führt zurück zur ursprünglichen Tonart, in welcher dann eine Staccato-Version des Hauptthemas eine Rekapitulation hervorbringt sowie eine Coda, die den Marsch zu seinem Ende führt. Marcho Brioso est une œuvre de commande pour le Brioso Brass, un Brass Band de style britannique basé Hokkaido, au Japon. La création mondiale de cette pièce eut lieu en janvier 2012.L’orchestre souhaitant une marche enjouée qui pourrait lui servir d’indicatif musical, Marcho Brioso s’inscrit dans la lignée des marches du compositeur : Jubiloso, Slipstream et The Bandwagon. Un style « broadwayien », des motifs fortement syncopés et quelques surprenantes et capricieuses mesures viennent troubler le rythme régulièrement cadencé de ces marches.Après une courte introduction, le cornet solo joue le thème principal, accompagné d’un contre-chant l’euphonium. Un second motif de huit mesures exécuté par les cors et les barytons mène une version tutti du thème principal. Puis une brève section intermédiaire est déléguée aux basses. Le changement de tonalité qui s’ensuit annonce le trio qui contient une mélodie cantabile confiée l’euphonium ; ce trio est ensuite repris par l’orchestre entier après un bref passage de transition et un autre changement de tonalité.Nous revenons ensuite la tonalité de départ pour un rappel du thème principal en une paisible version staccato et une courte coda, pour conclure cette marche brillante et sémillante.
SKU: RM.BAMB04809
ISBN 9790231048094.
SKU: BT.AMP-134-020
SKU: BT.DHP-1002209-010
Sinfonia Hungarica is a three-movement symphony that depicts the history of Hungary. All three movements were inspired by historical key figures, wars, and other important events from this country. This symphony is a celebration of Hungary’s millennium in 2001.The final movement is named after ISTVAN, the King who introduced Christianity into Hungary and who was crowned by Pope Silvestro II on January 1, 1001. A rather solemn start leads to another war-like passage, ending with some loud crashes. This symbolizes the fact that the body of the pagan Koppany was cut into four pieces, and sent to the four castles of the country as an example. After a quiet, almost religiousintermezzo, the National Hymn of Hungary is introduced. This broad “grandioso†ending also has a symbolic meaning: after ten centuries, Hungary has many reasons to look back on the past with pride, and to look forward to the future with optimism and confidence. Dit stuk werd gecomponeerd in opdracht van het symfonisch blaasorkest Kiskunfélegyhaza uit Hongarije en opgedragen aan dirigent Ferenc Jankovski, burgemeester Jozsef Ficsor en Gabriella Kiss. De wereldpremière vond plaats op 31 maart2001 in Budapest (Hongarije) door het eerdergenoemde orkest onder leiding van de componist.Deze driedelige symfonie beschrijft de geschiedenis van Hongarije. De drie delen zijn ge nspireerd op historische sleutelfiguren, oorlogenen andere belangrijke gebeurtenissen in dit land. De symfonie werd geschreven ter gelegenheid van de millenniumviering van Hongarije in 2001.ATTILA, koning van de Hunnen, vaak ‘de gesel Gods’ genoemd, is de centrale figuurin het eerste deel, dat voornamelijk wordt gekenmerkt door angst, dreiging, agressie en wreedheid. Attila’s broer, Buda, heeft echter een hero scher thema, terwijl zijn geliefde vrouw, Rika, een lyrische melodie heeft. Het spannendeeinde van dit openingsdeel illustreert de gevreesde snelheid van Attila’s troepen: ze achtervolgden hun slachtoffers en vermoordden ze allemaal! Het tweede deel gaat over ARPAD, de stichter van de Hongaarse staat. Hetbegint met een sfeerpassage, die het beeld oproept van zijn grootmoeder, Emese, dromend over zijn bestemming. Een van Arpad’s tegenstanders, de Bulgaarse prins Zalan, werd verdreven na een gevecht. Hierna noemde Arpad het gebiedofficieel ‘Magyarorszag’.Het laatste deel is genoemd naar ISTVAN, de koning die het christendom in Hongarije introduceerde en die werd gekroond door paus Silvester II op 1 januari 1001. Een vrij plechtige start leidt tot nogeen martiale passage, die eindigt met een aantal luide slagen. Deze symboliseren het voorval waarbij het lichaam van de heiden Koppany in vier stukken werd gesneden, die naar de vier kastelen van het land werden gezonden als schrikwekkendDie Sinfonie in drei Sätzen ist eine musikalische Schilderung der Geschichte Ungarns. Alle drei Sätze haben bedeutende historische Persönlichkeiten und Schlüsselereignisse aus der Landesgeschichte - wie etwa Kriege - zum Inhalt. Das Werk wurde zuUngarns Tausendjahrfeier im Jahr 2001 geschrieben.Attila, König der Hunnen, oftmals auch die Geißel Gottes genannt, ist die zentrale Gestalt des ersten Satzes; in seiner musikalischen Beschreibung sind Aggressivität und Grausamkeit, die vonihm ausgehende Bedrohung und ihm entgegengebrachte Furcht spürbar. Daneben erscheinen das heroischer klingende Thema von Buda, Attilas Bruder, und das lyrische von Rika, seiner zärtlich geliebten Frau. Der aufpeitschende Schluss desSatzes ist Sinnbild für die gefürchtete Schnelligkeit von Attilas Truppen, mit der sie ihre Opfer eingeholt und ohne Ausnahme getötet haben.Im Mittelpunkt des zweiten Satzes steht Arpad, der eigentliche Begründer des ungarischen Staates. Eineatmosphärisch klingende Einleitung beschwört Emese, die Großmutter Arpads, herauf, die im Traum seine Bestimmung vorhergesehen hatte. Er schlug seinen Gegner, den Prinzen Zalan von Bulgarien, im Kampf in die Flucht und gab dem Land denNamen Magyarorszag.Das Finale ist nach Istvan benannt, dem König, der in Ungarn das Christentum einführte und am ersten Januar 1001 durch Papst Sylvester II. gekrönt wurde. Ein feierlicher Anfang leitet über in einen an Kriegsgetümmelerinnernden Abschnitt, der in lärmendem Getöse endet. Es steht für das Ende des Heiden Koppany, dessen Körper gevierteilt und als abschreckendes Beispiel an die vier Burgen des Landes gesandt wurde. Ein ruhiges, beinahe religiös wirkendesZwischenspiel mündet in die ungarische Nationalhymne. Dieser prachtvolle, mit grandioso überschriebene Schluss hat auch eine symbolische Bedeutung: Nach zehn Jahrhunderten hat Ungarn guten Grund, mit Stolz zurückzublicken und der Zukunft mitZuversicht und Optimismus entgegenzusehen.Die wunderbare Melodie der Nationalhymne erscheint in der Sinfonie auch vorher schon immer wieder, wird meist aber ganz oder teilweise überdeckt. Sie durchläuft das Werk wie ein roter Faden, der anfangs kaumwahrzunehmen ist und erst im Verlauf der Sinfonie immer deutlicher wird. Am Ende krönt sie das Werk in einer letzten prachtvollen Steigerung, in der das Orchester den majestätischen Klang einer Orgel annimmt.Sinfonia Hungarica est une œuvre de commande pour l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze en Hongrie. Elle est dédiée Ferenc Jankovski (Directeur de l’Orchestre d’Harmonie), Jozsef Ficsor (Maire de la ville de Kiskunfelegyhaze) et Gabriella Kiss.Cette symphonie en trois mouvements retrace l’histoire de la Hongrie. L’ensemble des trois mouvements s’inspire de la vie de personnages historiques clés, de guerres et d’autres événements de grande importance qui ont marqué l’histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l’État hongrois (1001-2001). L’œuvre a été donnée en création mondiale, le 31 mars 2001 Budapest,par l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze placé sous la direction du compositeur.ATTILA, roi des Huns, surnommé “le Fléau de Dieuâ€, est le personnage central du premier mouvement où règne une atmosphère de peur, de menace, d’agression et de cruauté. Bléda, le frère d’Attila, est associé un thème aux accents plus héro ques, tandis que Kerka, l’épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidante de ce mouvement d’ouverture illustre l’effroyable rapidité avec laquelle les troupes d’Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes.Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de l’État hongrois. Un passage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Émèse, la grand-mère d’Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l’un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et l’avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag.Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Étienne Ier (ISTVAN), sacré roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d’ouverture, solennelles et majestueuses, mènent un passage dont l’atmosphère belliqueuse s’intensifie pour s’achever en de violents fracas symbolisant la mort Sinfonia Hungarica, commissionata dalla banda ungherese di Kiskunfelegyahaza, è dedicata al maestro Ferenc Jankovski, al sindaco della citt Jozsef Ficsor e a Gabriella Kiss. La prima mondiale, eseguita dalla banda Kiskunfelegyhaza si è tenutaa Budapest il 31 marzo 2001 sotto la direzione del compositore.Gli eventi salienti della storia dell’Ungheria, come le guerre ed altri avvenimenti importanti, sono tradotti in musica in questa sinfonia strutturata in tre movimenti. Sinfonia Hungaricavuole anche essere un omaggio allo stato ungherese che festeggia il suo millennio nel 2001.ATTILA, re degli Unni, spesso chiamato “il flagello di Dio“ è la figura centrale del primo movimento, caratterizzato dalla paura, dalla minaccia,dall’aggressione e dalla crudelt . Buda, fratello di Attila è associato ad un tema più eroico, mentre Rika, l’amata moglie, è rappresentata da una melodia lirica. L’eccitante finale di questo movimento di apertura illustra la tanto temuta velocit delle truppe di Attila che seminavano paura e morte.Il secondo movimento pone l’accento su ARPAD, il fondatore dello Stato ungherese. Inizia con un passaggio in stile atmosferico che evoca la nonna di Arpad, Emese che aveva sognato e predettoil futuro del nipote. Uno degli oppositori di Arpad, il principe bulgaro Zalan, fu cacciato dopo una battaglia. In seguito, Arpad chiamò ufficialmente il territorio “Magyarorszagâ€.Il movimento finale prende il nome da ISTVAN, il re che portòil cristianesimo in Ungheria e che fu incoronato da Papa Silvestro II il 1 gennaio, 1001. Un inizio solenne prelude ad un passaggio bellico accentuato da rumori imponenti; questo a simboleggiare l’atroce fine del pagano Koppany il cui corpo futagliato in quattro pezzi e inviato ai quattro castelli del paese come monito. Dopo un intermezzo quieto, quasi religioso, viene presentato l’Inno nazionale ungherese. In questo ampio e grandioso finale riecheggia l’orgoglio dell’Ungheria nelricordare il suo passato e la fiducia con la quale si proietta al futuro.Lo stupendo tema dell’Inno nazionale ungherese è proposto nell’arco dell’intera sinfonia. E’ però spesso parzialmente nascosto e usato come filo conduttore, appena riconoscibileall’inizio ma sempre più ovvio quando la sinfonia si avvicina al suo finale. A conclusione della sinfonia, il sublime inno conduce la banda in un’apoteosi finale, facendo apparire l’organico strumentale come un maestoso organo.
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ISBN 9790560151243. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement.En janvier 1874, Grieg collabore avec le dramaturge Henrik Ibsen, lui offrant la composition de la musique d'accompagnement de sa pièce de théâtre Peer Gynt. Ayant besoin d'argent, il accepte ce travail qu'il mène avec peine, mais qui doit à son insu assurer une grande partie de sa gloire internationale. L'oeuvre est jouée sous les feux de la rampe à Oslo le 24 février 1876. Sur ses 23 numéros qu'il compose, il en choisit quatre en 1888, pour une première suite d'orchestre, et cinq en 1891 pour une seconde, mais la dernière pièce est vite abandonnée.La danse d'Anitra représente le quatrième de cette pièce. Elle est basée sur un Tempo de mazurka en la mineur à 3/4. Son histoire se déroule en Afrique du Nord. Le héros, Peer Gynt est pris pour un prophète. Il est invité par le roi et la belle Anitra danse pour le séduire.La composition est basée sur le modèle de la danse populaire appelée « Springar ». Envoûtante par son mouvement obsessionnel et raffiné, cette danse nous transporte dans un univers merveilleux, celui du conte de fées musicalement scandinave.Venez respirer le parfum exotique nordique d'une puissante séduction de Peer Gynt en interprétant ce passage célèbre.
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The Ukrainian Bell Carol is part of a large choral work entitled Shchedryk by the Ukrainian composer Mykola Dmytrovich Leontovych (1877-1921). The tune is an adaptation of an old 'shchedrivka', a song traditionally sung on Ukrainian New Year's Eve (January 13th) which hopes for good fortune in the year to come. The tune has since been the inspiration for at least four different Christmas carols, of which Carol of the Bells is the most famous. Philip Sparke has sourced the original Ukrainian melody to create this stirring arrangement.De Ukrainian Bell Carol is onderdeel van het grote koorwerk Shchedryk van de Oekra ense componist Mykola Dmytrovich Leontovych (1877-1921). De melodie is gebaseerd op een ‘shchedrivka’, een lied dat van oudsher werdgezongen op de Oekra ense oudejaarsavond (13 januari). In Shchedryk voegde Leontovych de tekst toe over de legende die vertelt dat bij de geboorte van Jezus alle klokken op aarde begonnen te luiden. Sindsdien is deze melodiede inspiratiebron geweest voor ten minste vier verschillende Christmas carols, waarvan Carol of the Bells de beroemdste is. Voor dit meeslepende arrangement heeft Philip Sparke echter de oorspronkelijke Oekra ense melodiegebruikt.Das Ukrainian Bell Carol (Ukrainisches Glocken- Weihnachtslied) ist Teil eines großen Chorwerkes namens Shchedryk vom ukrainischen Komponisten Mykola Dmytrovich Leontovych. Sein Text handelt von der Legende, die besagt, dass zu Ehren von Jesu Geburt alle Glocken läuteten. Aus der Melodie entstand unter anderem auch das bekannte Carol of the Bells von Peter J. Wilhousky. Philip Sparke griff für seine bewegende Bearbeitung jedoch auf die originale ukrainische Melodie zurück.Ukrainian Bell Carol constitue une des parties de l’œuvre chorale Shchedryk du compositeur ukrainien Mykola Dmytrovich Leontovich (1877-1921). La mélodie s’inspire d’un vieux chant traditionnel ukrainien (shchedrivka) chanté le Jour de l’An (célébré le 13 janvier, conformément au calendrier julien) dans l’espoir que l’année venir se présente sous de bons hospices. l’écriture de Shchedryk, Mykola Leontovich a choisi de changer les paroles. Il opte pour la légende selon laquelle, toutes les cloches des églises se sont mises carillonner joyeusement pour annoncer la naissance de Jésus. La mélodie du chant a inspiré au moins quatre noëlsdifférents. Carol of the Bells en est la version la plus célèbre. Elle a été adaptée en 1936 (texte et mélodie) par Peter J. Wilhousky (1902-1978) d’après la version originale de Mykola Leontovich. Philip Sparke s’est basé sur la mélodie du chant traditionnel ukrainien pour réaliser cet arrangement brillant et pétillant. Ukrainian Bell Carol costituisce una delle parti dell’opera corale Shchedryk del compositore ucraino Mykola Dmytrovich Leontovich (1877-1921). Il testo narra una leggenda secondo la quale le campane delle chiese si sono messe a suonare per annunciare la nascita di Gesù. La melodia di Leontovich ha ispirato almeno quattro canti natalizi diversi. Carol of the Bells di Peter J.Wilhousky è la versione più celebre. Philip Sparke ha scelto di ispirarsi alla melodia originale del canto tradizionale ucraino (shchedrivka) per realizzare questo brillante arrangiamento.