Que Serais-Je Sans Toi

Piano 2 et 4 mains / Piano solo : Dialogue taquin (Hummel) Por tu amor (Ribas) Monsieur Arsène (Leclerc) Menuet en Fa Majeur (Mozart) La ballade de Bonnie and Clyde (Fame) Les copains d'abord (Brassens) Arabesque (Burgmuller) Mon p'tit jazz à moi (Duflot-verez) Marche militaire (Schumann) Singing in the rain (Brown) Besame mucho (Velasquez) Air de Papageno (Mozart) Jazzy song (Bordier) Air d'Orféo (Gluck) Can you feel the love tonight 'Le roi lion' (E. John) Eleanor Rigby (Lennon/Mc Cartney) Largo (Dvorak) Wolfgang's rag (Duflot-varez) Ariette (Mozart) Les moulins de mon coeur (Legrand) Menuet (Boccherini) La mer (Trenet/Lasry) Le gai laboureur (Schumann) The entertainer (Joplin) Menuet en Ut majeur (Beethoven) Bilitis (Lai) Andante de la 5ème symphonie (Schubert) The sound of silence (Simon) Un blues parmi vous (Duflot-verez) Valse lente (Kabalevsky) Microcosmos (Coulais) Cheek to cheek (Berlin) Que serais-je sans toi (Ferrat) Le tambourin (Rameau) Piano à 4 mains : A l'aube du 5ème jour (Morriconne) Ne vous moquez pas de ma carriole (Duflot-verez) Ma préférence (Clerc)

Deuxième volet de cette méthode, avec comme toujours de grands succès comme applications pratiques : La montagne, Only you, Your song, Que serais-je sans toi, Petite Marie, Indiana Jones, L?encre de tes yeux, San Francisco, L?été 42, Song for guy, Mission, etc. Méthode sans CD

Par COMBIER JEROME. Gris Cendre prend appui sur le texte de Samuel Beckett intitulé Lessness et que Ludovic Janvier en accord avec l'écrivain a traduit par le mot 'Sans'. Lessness. Il n'y eut d'autre traduction trouvée par lui à ce mot forgé par lui en anglais que cet autre mot simple qui ne retient que le retranchement - Sans. Lessness est description, 'tentative d'épuisement' d'un lieu où toute personne est absente sauf par sept fois ce 'il', petit corps seul debout coeur battant, dont les actes - maudire, faire, revivre - sont les prémices à l'occupation de ce lieu. 'Lieu vide en attente des corps, de la langue, des événements'... Lieu de l'être que le philosophe finit par nommer Noir gris, qui dit 'l'être dans sa localisation vide de tout événement'. 'Un noir assez gris pour qu'il ne soit pas en contradiction avec la lumière, un noir qui n'est l'opposé de rien, un noir anti-dialectique.' Il m'est apparut à force de lire, relire ce petit texte, que les mots étaient organisés, que les phrases dessinaient une structure - perceptible - qu'il me plu de me ressaisir dans ma manière d'entendre la musique. J'osais imaginer que cette démarche m'engagerait à entendre une forme musicale étrange dont je serais peut-être le premier déconcerté. Mon rapport à ce petit texte se situe à cet endroit. Gris cendre rejoint le travail que j'ai commencé avec Noir azur - Cette fois - puis avec Noir gris - Impromptu d'Ohio. 'Ciel gris sans nuage pas un bruit rien qui bouge terre sable gris cendre. Petit corps même gris que la terre et le ciel les ruines seul debout. Gris cendre à la ronde terre ciel confondus lointains sans fin.' Samuel Beckett, Sans, éditions de Minuit, Paris 1969 / contemporain / Répertoire / Grand Orchestre

Le recueil de Préludes dans tous les tons est presque le passage obligé des compositeurs pianistes du XIXo. L'exemple le plus abouti, le plus parfait, le plus génial étant sans conteste celui de Frédéric CHOPIN. A côté de lui, des compositeurs mineurs (mais quelquefois intéressants) ont pratiqué cet exercice, souvent au premier degré qui est celui de délier les doigts dans toutes les tonalités en un temps très court et sans souci de développement musical. A mon tour je me suis amusé à écrire 24 Préludes très faciles. Si leur valeur atteignait celle des oeuvres des auteurs cités plus haut j'en serais très heureux. Bien sûr, dans mon esprit, je ne pense pas au premier et dernier nommé d'entre eux, j'ai le sens de mes limites. / Piano