Langue : Français
/ 2 Violons Et Piano
SKU: HL.50576275
SKU: BU.EBR-A091
ISBN 9790560151939. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement.Si Tomaso Albinoni est célèbre aujourd'hui, c'est principalement grâce à son fameux Adagio en sol mineur pour orchestre à cordes et orgue. Pourtant c'est une œuvre dont il n'est pas complètement l'auteur. Il s'agit en réalité d'un arrangement écrit par son biographe italien Remo Giazotto. Selon ce dernier, on aurait découvert en 1945, au milieu des ruines de la bibliothèque de Dresde bombardée pendant la Deuxième Guerre Mondiale, une «Sonate en trio» composée par Tomaso Albinoni. Remo Giazotto se serait basé sur le mouvement lent de cette sonate pour écrire l'Adagio, qui nous paraît si familier à présent puisqu'il est cité dans plusieurs musiques populaires, ainsi que dans des bandes originales de films.Cette œuvre au tempo lent a pour introduction une mélodie à l’orgue soutenue par les violoncelles et les contrebasses en pizzicato. Vient ensuite le thème en tutti puis une cadence effectuée par le violon soliste accompagné par l’orgue. On reprend ensuite le début de l'œuvre, puis le tutti rentre dans un élan tragique. L’œuvre se termine par un court solo de violon, toujours soutenu par le tapis sonore de l’orgue et de l’orchestre.
SKU: DZ.DZ-4244
ISBN 9782898521614.
La Sonate n° 6 Kharkiv pour guitare solo a été composée en 2021, à la fin du confinement lié au COVID-19. Ã? ce moment-là , ma famille et moi étions restés dans notre ville natale de Kharkiv (également connue sous le nom de Kharkov), en Ukraine, pendant près de deux ans. Nous considérions cette période de pandémie comme un désastre, mais nous avons réalisé plus tard que c'était en fait un moment plutôt heureux, car la guerre est arrivée dans notre pays quelques mois plus tard. Depuis 2022, une fraction considérable des 1,5 million de citoyens de Kharkiv ont quitté leur foyer, ceux qui sont restés vivent sous des attaques incessantes de missiles, et beaucoup ont été tués. Je voudrais dédier cette Sonate à la ville frontalière de Kharkiv et, surtout, à ses citoyens souffrant de la guerre.Pourtant, la musique de la Sonate n'a aucun programme spécifique. Ici, je donnerai un bref aperçu de ses principaux éléments de composition pour faciliter les interprétations futures.Les premier et quatrième mouvements de cette Sonate sont basés sur l'interaction entre le principe dodécaphonique et le centre tonal de sol majeur, naturel pour la guitare. En particulier, le premier mouvement est basé sur l'interaction de la triade de sol majeur Solâ??Siâ??Ré des cordes de guitare à vide 2â??3â??4, le motif ascendant 1 impliquant les notes Miâ??Fa#â??Laâ??Do# (à l'origine sur la première corde), et le motif descendant 2 utilisant les notes Miâ??Doâ??Sibâ??La (à l'origine sur la corde de basse 6). Ces éléments se complètent presque pour former douze tons (à l'exception du Fa manquant), et les motifs alternent avec des fragments ostinato où chaque note de la triade de sol majeur est déplacée pas à pas d'un demi-ton vers le haut ou vers le bas.Le deuxième mouvement est un Scherzo impliquant de nombreux demi-tons dans des accords accentués et des passages rapides, ainsi qu'un mouvement mélodique chromatique dans la voix de basse. Il est presque atonal dans certains fragments, mais a un centre tonal global de la mineur.Le troisième mouvement est un Adagio méditatif basé sur un thème composé dans l'échelle hexatonique Réâ??Miâ??Faâ??Sol#â??Laâ??Si et des accords ostinato impliquant les cordes de basse à vide Miâ??Laâ??Ré et le demi-ton Siâ??Do.Enfin, le quatrième mouvement est basé sur le thème dodécaphonique complet composé de deux phrases comprenant les motifs 1 et 2 du premier mouvement : Solâ??Faâ??Sibâ??Labâ??Doâ??Mibâ??Ré et Miâ??Siâ??Do#â??Laâ??Fa#. Ce thème est présenté dans ses formes prime et rétrograde. Il y a des dialogues entre la première corde, les basses et les cordes médianes à vide, similaires au premier mouvement. Ã? son apogée, le thème dodécaphonique est interprété en utilisant le mouvement parallèle de l'accord de sol majeur standard de la guitare avec les cordes médianes à vide sur douze positions.La Sonate a été créée en première et enregistrée (CD Naxos No. 8.574630) par le célèbre guitariste ukrainien Marko Topchii, qui a également vécu et étudié à Kharkiv. Je lui suis extrêmement reconnaissant pour l'interprétation brillante de cette pièce.Je suis très redevable envers Productions d'Oz d'avoir conservé mes notations originales là où celles-ci ne correspondent pas au style de l'éditeur.Sonata No. 6 Kharkiv for guitar solo was composed in 2021, in the end of the COVID-19 lockdown. At that time my family and I were staying in our home city of Kharkiv (also known as Kharkov), Ukraine for almost two years. We considered that pandemic period as a disaster, but later have realized that it actually was a rather happy time, because a war came to our homeland just a few months later. Since 2022 a considerable fraction of the 1.5 millions of Kharkiv citizens have left their homes, those who stayed have been living under ceaseless missile attacks, and many have been killed. I would like to dedicate this Sonata to the frontier city of Kharkiv and, most of all, to its citizens suffering from the war.Yet, the music of the Sonata does not have any specific program. Here I will give a brief overview of its main composition elements to facilitate future interpretations.The first and fourth movements of this Sonata are based on the interplay between the twelve-tone principle and the G-major tonal center, natural for the guitar. Namely, the first movement is based on the interaction of the G-major triad Gâ??Bâ??D of the open guitar strings 2â??3â??4, ascending motif 1 involving the notes Eâ??F#â??Aâ??C# (originally on the first string), and descending motif 2 using the notes E-â??Câ??Bbâ??A- (originally, on the bass string 6). These elements supplement each other to almost make up twelve tones (apart from the missing F), and the motifs alternate with ostinato fragments where each note in the G major triad is step-by-step moved by a semitone up or down.The second movement is a Scherzo involving numerous semitones in accented chords and fast passages, as well as chromatic melodic motion in the bass voice. It is almost atonal in some fragments, but has an overall tonal center of A-minor.The third movement is a meditative Adagio based on a theme composed within hexatonic scale Dâ??Eâ??Fâ??G#â??Aâ??B and ostinato chords involving open bass strings Eâ??Aâ??D and semitone Bâ??C.Finally, the fourth movement is based on the complete twelve-tone theme consisting of two phrases including motifs 1 and 2 from the first movement: Gâ??Fâ??Bbâ??Abâ??Câ??Ebâ??D and Eâ??Bâ??C#â??Aâ??F#. This theme is presented in its prime and retrograde forms. There are dialogues between the first string, basses and open middle strings, similar to the first movement. In the culmination, the twelve-tone theme is performed using the parallel motion of the standard guitar G-major chord with open middle strings across twelve positions.The Sonata was premiered and recorded (CD Naxos No. 8.574630) by the prominent Ukrainian guitarist Marko Topchii who has also lived and studied in Kharkiv. I am extremely grateful to him for the brilliant performance of this piece.I am greatly indebted to Productions dâ??Oz for keeping my original notations in places where these do not conform to the publisherâ??s style.
SKU: BT.BMP8095417
A lot is known about the American composer Leroy Anderson. This son of Swedish immigrants played the piano, organ, accordion, trombone, tuba and double bass. He spoke several languages fluently and graduated from Harvard with first-class honours.While on military service, the army also commissioned him to write a manual on Icelandic grammar.He already started writing musical arrangements as a student, and from his 30th year arranged and composed for the Boston Pops Orchestra. Such melodiesas Serenata, The Typewriter, Sleigh Ride and Bugler�s Holiday made him world famous. His best-known work, Blue Tango, reached number one in the US charts in 1952, and it sold more than a million copies. In 1975, a year after hisdeath, he was given a star at the Walk of Fame in Hollywood.Most of his works last no longer than three minutes, about the maximum length of a single at that time. One work that lasts longer is his 1953 Piano Concerto in C for piano and orchestra.The first performance was in Chicago, conducted by the composer and with Eugene List at the piano. However, after three performances he was no longer happy with the work and withdrew it. He always intended to revise it, but never got round to it. Itwas only in 1989 that the Anderson family decided to republish the work.This three-part composition is on the one hand characterised by a careless elegance, but on the other one can hear the influence of Rachmaninoff, Copland, Gershwin, and evenBeethoven and Mozart, as well as the Viennese classics.Anderson used the sonata form for the first movement. It ends with a cadenza that carries us on into the second part (in e minor). The third part is a typically cheerful American folk dance in2/4 time, a so-called Hoe Down, with a lilting, lyrical passage as its middle section. At the end comes a solo passage followed by a rapid close.In this piano concerto, Anderson combines a rigidly classical form of composition with simple andappealing themes and elements from light music. So this work is a perfect synthesis of light music and what is called serious music, in the same way as Gershwin�s Rhapsody in Blue. A work that can be played equally well in a concerthall, at an open-air concert or even a pop concert.Over de Amerikaanse componist Leroy Anderson is veel bekend. Deze zoon van Zweedse immigranten speelde piano, orgel, accordeon, trombone, tuba en contrabas. Hij sprak vloeiend verschillende talen en studeerde met grote onderscheidingaf aan Harvard en schreef tijdens zijn legerdienst in opdracht van het leger een handboek grammatica Ijslands.Al in zijn studententijd begon hij met het maken van arrangementen, en vanaf zijn 30ste arrangeerde en componeerde hijvoor het Boston Pops Orchestra. Melodieën zoals Serenata, The Typewriter, Sleigh Ride en Bugler's Holiday maakte hem wereldberoemd. Zijn bekendste werk Blue Tango stond in 1952 op nummer één in de VS Charts, ener werden meer dan een miljoen exemplaren van verkocht. Een jaar na zijn dood in 1975 kreeg hij een ster op de Walk of Fame in Hollywood.Zijn meeste werken duren niet langer dan drie minuten, ongeveer de maximumduur van een singletoen. Een werk dat wel langer duurt, is het pianoconcerto in C voor piano en orkest uit 1953. Het werd in Chicago gecreëerd onder zijn leiding met Eugene List aan de piano. Na drie uitvoeringen echter, was hij niet meer tevredenover zijn werk en trok dit terug. Hij had zijn leven lang de intentie het te herwerken doch kwam er niet meer toe. Pas in 1989 besliste de Anderson Familie zijn pianoconcerto toch opnieuw uit te geven.Dit driedelige werk wordtenerzijds getypeerd door een zorgeloze elegantie, maar anderzijds zijn invloeden van Rachmaninoff, Copland, Gerschwin en zelfs Beethoven en Mozart alsook de Weense klassiekers te horen.Voor de eerste beweging, past Anderson de sonatevormtoe. Op het einde volgt een cadenza die ons in het tweede deel (in mi klein) voert. Het derde deel is een typische Amerikaanse, vrolijke volksdans in 2/4, een zogenaamde Hoe Down met als middengedeelte een zangerige, lyrischeÜber den amerikanischen Komponisten Leroy Anderson lässt sich vieles berichten: Der Sohn schwedischer Immigranten spielte Klavier, Orgel, Akkordeon, Posaune, Tuba und Kontrabass, sprach neun Sprachen fließend, absolvierte mit einemMagna-cum-laude-Abschluss die Harvard Universität und verfasste während seiner Militärzeit im Zweiten Weltkrieg für die amerikanische Armee eine Grammatik des Isländischen. Schon während seiner Studentenzeit begann er zu arrangieren, ab Mitte der30er Jahre des letzten Jahrhunderts arrangierte und komponierte er für das Boston Pops Orchestra. Aus seiner Feder stammen so bekannte Werke der leichten Muse wie Serenata, The Typewriter, Sleigh Ride oder Bugler�s Holiday. Sein wohlbekanntestes Stück, Blue Tango, wurde als erste Instrumentalkomposition über eine Million Mal verkauft und belegte im Jahr 1952 Platz 1 der US-Charts. Für seine Verdienste um die Schallplattenindustrie erhielt er ein Jahr nach seinem Tod einenStern auf dem Walk of Fame in Hollywood.Charakteristisch für seine Werke ist die Dauer: die meisten sind rund drei Minuten lang � mehr passte nicht auf den damals gebräuchlichen Tonträger, eine Singleschallplatte. Nur wenige seinerKompositionen sprengen diesen Zeitrahmen. Dazu gehört sein Konzert C-Dur für Klavier und Orchester. Er komponierte es 1953, die Uraufführung fand unter seiner Leitung und mit Eugene List am Klavier im selben Jahr in Chicago statt. Da Anderson mit demWerk aber nicht zufrieden war, zog er es im Sommer 1954, nach nur drei Aufführungen, wieder ein. Er hatte zeitlebens die Absicht, es zu überarbeiten, allein, es kam nicht mehr dazu. Erst 1989 entschied sich die Anderson-Familie dazu, dasKlavierkonzert wieder zu veröffentlichen.Das dreisätzige Werk zeigt die Unbeschwertheit und Eleganz, die Andersons sämtliche Kompositionen auszeichnen. Dennoch findet man darin auch Anklänge an Komponisten wie Rachmaninoff, Copland, Gershwin, undeben Beethoven und Mozart, sowie die Wiener Klassiker. Der erste Satz folgt der Sonatenhauptsatzform. An seinem Ende steht eine Klavierkadenz, die direkt in den langsamen zweiten Satz (in e-Moll) überleitet. Der dritte Satz schließlich ist einwaschechter Hoe Down, ein fröhlicher amerikanischer Volkstanz im 2/4-Takt, in dessen Zentrum aber eine lyrisch-gesangliche Passage steht. Eine weitere Solo-Kadenz führt das Werk in einen spritzigen Schlussabschnitt.In seinem Klavierkonzertvereinigt Anderson einen klassisch-traditionellen Form- und Kompositionsstil mit Elementen der Unterhaltungsmusik und eingängigen Melodien, die schon immer sein Markenzeichen waren. Daher bildet dieses Werk eine perfekte Synthese von ernster undleichter Musik. Es passt � wie beispielsweise auch George Gershwins Rhapsody in Blue � gleichermaßen in einen vornehmen Konzertsaal, wie auch zur zwanglos-lockeren Atmosphäre einer sommerlichen Open-Air-Veranstaltung oder einesPops-Konzertes.Nous savons beaucoup de choses sur le compositeur américain Leroy Anderson. Ce fils dimmigrants suédois jouait du piano, de lorgue, de laccordéon, du trombone, du tuba et de la contrebasse. Il parlait couramment plusieurs langues et était diplômé avec grande distinction de Harvard. Pendant son service militaire, il écrivit un manuel de grammaire islandaise commandé par larmée.Étudiant, il avait déj commencé faire des arrangements et dès l ge de 30 ans, il arrangeait et composait pour le Boston Pops Orchestra. Des mélodies telles que Serenata, The Typewriter, Sleigh Ride et Buglers Holiday lui valurent une renommée mondiale. Son uvre phare, Blue Tango, fut numéro un descharts américains en 1952 et se vendit plus dun million dexemplaires. Un an après sa mort en 1975, il eut droit son étoile sur le Walk of Fame Hollywood.La plupart de ses uvres nexcèdent pas trois minutes, soit peu près la durée maximale dun single lépoque. Son concerto en ut pour piano et orchestre de 1953 est quant lui plus long. Il fut créé Chicago sous sa direction avec Eugene List au piano. Après trois exécutions, Anderson nétait toutefois plus satisfait de son travail et le retira. Toute sa vie, il eut lintention de le remanier mais ne le fit pas. Ce nest quen 1989 que la famille Anderson décida de tout de m?me rééditer son concerto pour piano.Cette uvre en trois parties se caractérise par son élégance nonchalante mais aussi par linfluence de Rachmaninoff, Copland, Gershwin et m?me de Beethoven et Mozart, ainsi que des classiques viennois.Pour le premier mouvement, Anderson opte pour une sonate. la fin, une cadence nous conduit la deuxième partie (en mi mineur). La troisième partie est une danse populaire joyeuse et typiquement américaine en 2/4, une Hoe Down avec un passage lyrique et mélodieux en son milieu. la fin, un solo est suivi par une clôture rapide.Dans son concerto pour piano, Anderson unit une composition pure et classique des thèmes beaux et simples, sans oublier des éléments de la musique légère. Cette uvre.
SKU: BT.BMP8091417
SKU: DZ.DZ-4272
ISBN 9782898521898.
En septembre 2018, le guitariste Toby McWilliams a commandé à Cruz lâécriture dâune pièce solo en trois mouvements après avoir entendu ses Five Pieces in C dans lâémission de radio internationale Classical Guitar Alive. McWilliams a demandé que le premier mouvement soit en forme sonate-allegro, suivi de deux autres pièces reflétant les choix de tempo dâune sonatine en trois mouvements typique. Comme câest le cas pour la plupart des Åuvres de Cruz, cette Sonatine a été achevée en tant que musique pure, sans programme sous-jacent. Cependant, dans sa quête de trouver des titres autres que des indications de tempo, Cruz a extrait trois mots de la correspondance entre lui-même et McWilliams qui, ensemble, ajoutent une touche personnelle à la collection tout en suggérant une progression des événements dâune journée imaginaire.Un point dâintérêt dans le premier mouvement, le thème A : Cruz commence sur lâaccord IV et évite intentionnellement dâutiliser un accord I tout au long de la pièce. Bien que la section B commence dans la tonalité de dominante, elle se dirige rapidement vers un centre tonal de ré majeur.Festival (3ème mouvement) utilise un thème dâouverture bitonal : mi majeur dans la voix supérieure tandis que la ligne de basse utilise mi mineur.In September of 2018, guitarist, Toby McWilliams commissioned Cruz to write a three-movement guitar solo after hearing his Five Pieces in C on the internationally syndicated radio show, Classical Guitar Alive. McWilliams requested the first movement to be in sonata-allegro form followed by two other pieces that reflect the tempo choices of a typical three-movement sonatina. As is the case with most of Cruzâs music, this Sonatina was completed as music written for musicâs sake. However, in his quest to find titles other than tempo markings, Cruz plucked three words from the correspondence between himself and McWilliams that together, add a personal touch to the collection while suggesting a progression of an imaginary dayâs events.A point of interest in the first movement, A theme: Cruz begins on the IV chord and intentionally avoids using a proper I chord throughout. While the B section does begin in the dominant key, it moves quickly towards a D major tonal center.Festival (3rd movement) uses a bitonal opening theme: E major in the top voice while the bass line uses E minor.