Travelin' Band

'The Arkansas Traveler' is one of the most popular and well known of all Arkansas folk songs. Originally a fiddle tune, this rendition is set in a cajun groove, and uses a number of compositional techniques to explore and develop the tune in many unexpected ways. Great fun to play, and certain to delight audiences! (2:50) / Concert Band

20 CCR favorites to strum on your uke including: Bad Moon Rising · Born on the Bayou · Down on the Corner · Fortunate Son · Green River · Have You Ever Seen the Rain? · Lookin' Out My Back Door · Proud Mary · Susie-Q · Travelin' Band · Up Around the Bend · Who'll Stop the Rain · and more.

Lorsque la pleine lune inonde la mer de sa lumière mystérieuse il est difficile d?imaginer que cette étendue si calme subit largement l?influence de l?attraction gravitationnelle de la Lune. La mer ne cesse de bouger sous l?effet de la Lune. Nous connaissons tous les mouvements de flux et de reflux de la mer. Les hauteurs de marée varient considérablement en fonction de la topographie locale. Entre les phases de marée haute et marée basse on rencontre parfois de très forts courants de marée. Au Japon on peut admirer le célèbre tourbillon géant de Naruto (Naruto no Uzushio) dans le détroit de Naruto qui sépare l?île de Shikoku et l?île d?Awaji. Deux fois par an lorsdes grandes marées on observe des vortex de plus de vingt mètres de diamètre. Ce fantastique ballet de remous en spirales et de vagues blanches qui se brisent avec fracas nous fait prendre conscience de la force active de la nature. La première moitié de l?œuvre dépeint les lignes apaisées d?un clair de lune sur la mer (Moonlight) tandis que le second tableau représente en gros plan le tourbillon géant (Eddying Current).

Depuis la nuit des temps la brillance et la diversité du ciel nocturne ont suscité une profonde attente et de la fascination de l?âme humaine. Combien de pensées et de rêves d?êtres de tous les temps sont rassemblés là-haut ? Un seul regard et nous nous perdons dans l?infini de l?espace. Comme dans un tourbillon notre esprit s?élève vers des terres célestes et nous prenons conscience de la dimension infime de l?humanité et de la grandeur de l?univers. Avec Sidus nous partons pour un voyage qui nous conduit vers cet infini. Plus nous progressons dans notre voyage pénétrant de nouveaux mondes plus nous nous éloignons de notre MOI de nos peines et de nos tracas. Etfinalement nous nous retrouvons au point de départ de ce périple où nous sommes séduits par une cascade d?étoiles filantes. Sublimés et fortifiés par cette magie nous éprouvons la beauté de notre existence comme un cadeau unique.

Song of Hope (?Chant d?espoir?) développe une ligne mélodique principale sur laquelle de nombreux petits motifs viennent se greffer. Cette composition sereine et délicate porte en elle l?espoir d?une paix pour notre futur à tous. Tel est le vœu formulé par le compositeur belge Johan Nijs. La mélodie chaleureuse et profonde rappelle qu?il est bon de prendre le temps de vivre pour ne pas se laisser emporter dans le tourbillon frénétique d?une vie souvent stressante.

Depuis la nuit des temps la brillance et la diversité du ciel nocturne ont suscité une profonde attente et de la fascination de l?âme humaine. Combien de pensées et de rêves d?êtres de tous les temps sont rassemblés là-haut ? Un seul regard et nous nous perdons dans l?infini de l?espace. Comme dans un tourbillon notre esprit s?élève vers des terres célestes et nous prenons conscience de la dimension infime de l?humanité et de la grandeur de l?univers. Avec Sidus nous partons pour un voyage qui nous conduit vers cet infini. Plus nous progressons dans notre voyage pénétrant de nouveaux mondes plus nous nous éloignons de notre MOI de nos peines et de nos tracas. Etfinalement nous nous retrouvons au point de départ de ce périple où nous sommes séduits par une cascade d?étoiles filantes. Sublimés et fortifiés par cette magie nous éprouvons la beauté de notre existence comme un cadeau unique.

Cityscapes (?Paysages urbains?) est une œuvre inspirée d?une série d?impressions et de paysages de la métropole de New York la plus grande ville des États-Unis.Dans le premier mouvement l?impressionnante ligne d?horizon de « La Grosse Pomme » s?étire devant nous. Manhattan le pont de Brooklyn et la Statue de la Liberté sont l?essence du thème principal. Les dernières mesures de ce premier mouvement font référence à la célèbre Symphonie n° 9 dite « du Nouveau Monde » que le compositeur tchèque Antón Dvorák composa lors d?un séjour à New York.Le second mouvement est consacré à Central Park l?immense parc new-yorkais construit au XIXe siècle etdestiné aux loisirs au divertissement et à la relaxation. Plusieurs bâtiments célèbres tels que le Metropolitan Museum of Art jalonnent Central Park.Le troisième et dernier mouvement de ce triptyque dépeint l?esprit bouillonnant de Manhattan quartier célèbre pour abriter d?impressionnants gratte-ciel et la Bourse de Wall Street. La musique palpite au rythme du trafic intense et suit le tourbillon d?activité tumultueux. Elle décrit également les immenses buildings comme l'Empire State Building.

Ce paso-doble enflammé de Johan Nijs nous emporte dans le tourbillon frénétique de La Coruña une charmante ville côtière du nord-ouest de l?Espagne.

Le passage au troisième millénaire avait généré une certaine inquiétude de la curiosité et même un certain optimisme. Dans Millennium Fever (?La fièvre du millénaire?) les sentiments oscillants deviennent un puissant tourbillon. Les rythmes l?éclat et l?intensité des sons associés à un choix de notes inhabituel traduisent la fébrilité de l?attente tandis qu?un dialogue très expressif se crée entre les différents groupes d?instruments comme un dialogue entre les peuples pour un monde de paix.

Cityscapes (?Paysages urbains?) est une œuvre inspirée d?une série d?impressions et de paysages de la métropole de New York la plus grande ville des États-Unis.Dans le premier mouvement l?impressionnante ligne d?horizon de « La Grosse Pomme » s?étire devant nous. Manhattan le pont de Brooklyn et la Statue de la Liberté sont l?essence du thème principal. Les dernières mesures de ce premier mouvement font référence à la célèbre Symphonie n° 9 dite « du Nouveau Monde » que le compositeur tchèque Antón Dvorák composa lors d?un séjour à New York.Le second mouvement est consacré à Central Park l?immense parc new-yorkais construit au XIXe siècle etdestiné aux loisirs au divertissement et à la relaxation. Plusieurs bâtiments célèbres tels que le Metropolitan Museum of Art jalonnent Central Park.Le troisième et dernier mouvement de ce triptyque dépeint l?esprit bouillonnant de Manhattan quartier célèbre pour abriter d?impressionnants gratte-ciel et la Bourse de Wall Street. La musique palpite au rythme du trafic intense et suit le tourbillon d?activité tumultueux. Elle décrit également les immenses buildings comme l'Empire State Building.

Cityscapes (?Paysages urbains?) est une œuvre inspirée d?une série d?impressions et de paysages de la métropole de New York la plus grande ville des États-Unis.Dans le premier mouvement l?impressionnante ligne d?horizon de « La Grosse Pomme » s?étire devant nous. Manhattan le pont de Brooklyn et la Statue de la Liberté sont l?essence du thème principal. Les dernières mesures de ce premier mouvement font référence à la célèbre Symphonie n° 9 dite « du Nouveau Monde » que le compositeur tchèque Antón Dvorák composa lors d?un séjour à New York.Le second mouvement est consacré à Central Park l?immense parc new-yorkais construit au XIXe siècle etdestiné aux loisirs au divertissement et à la relaxation. Plusieurs bâtiments célèbres tels que le Metropolitan Museum of Art jalonnent Central Park.Le troisième et dernier mouvement de ce triptyque dépeint l?esprit bouillonnant de Manhattan quartier célèbre pour abriter d?impressionnants gratte-ciel et la Bourse de Wall Street. La musique palpite au rythme du trafic intense et suit le tourbillon d?activité tumultueux. Elle décrit également les immenses buildings comme l'Empire State Building.

Le choral Für deinen Thron tret? ich hiermit de Jean-Sébastien Bach est au centre de cette composition.Anton Bruckner fut un des plus fervents admirateurs de Jean-Sébastien Bach. D?ailleurs cette admiration si profonde fut riche de conséquences sur sa propre oeuvre. Dans Spiriti de Thomas Doss on sent planer l?esprit de Bruckner dont l?univers est évoqué par un fragment du choral de la Symphonie n° 5 qui apparaît en filigrane à la fin de l?oeuvre.L?introduction une sorte de marche funèbre expose les premiers fragments du choral de Bach. La musique éclate en segments que Thomas Doss combine et recombine pour construire un premier Allegro turbulentqui s?épanouit dans des tutti puissants. La trame devient exubérante et le divers fragments du choral de Bach finissent par tourbillonner les uns autour des autres dans un vol désordonné.Le passage central (religioso) est de nature méditative et introspective. Une structure en noires pleure une âme éplorée. S?appuyant sur des éléments minimalistes associés aux segments utilisés précédemment le troisième et dernier passage s?achemine vers l?exposition grandiose du choral de Bach. Dans le tourbillon de cloches on sent planer l?ombre des deux grands maîtres de l?orgue.

Le choral Für deinen Thron tret? ich hiermit de Jean-Sébastien Bach est au centre de cette composition.Anton Bruckner fut un des plus fervents admirateurs de Jean-Sébastien Bach. D?ailleurs cette admiration si profonde fut riche de conséquences sur sa propre oeuvre. Dans Spiriti de Thomas Doss on sent planer l?esprit de Bruckner dont l?univers est évoqué par un fragment du choral de la Symphonie n° 5 qui apparaît en filigrane à la fin de l?oeuvre.L?introduction une sorte de marche funèbre expose les premiers fragments du choral de Bach. La musique éclate en segments que Thomas Doss combine et recombine pour construire un premier Allegro turbulentqui s?épanouit dans des tutti puissants. La trame devient exubérante et le divers fragments du choral de Bach finissent par tourbillonner les uns autour des autres dans un vol désordonné.Le passage central (religioso) est de nature méditative et introspective. Une structure en noires pleure une âme éplorée. S?appuyant sur des éléments minimalistes associés aux segments utilisés précédemment le troisième et dernier passage s?achemine vers l?exposition grandiose du choral de Bach. Dans le tourbillon de cloches on sent planer l?ombre des deux grands maîtres de l?orgue.